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Gène du vice ? – Chapitre 4




CHAPITRE 4

Personnages :

-Hoa, narratrice, jeune asiatique de 18 ans

-Adrien, son copain, 20 ans

-Virginie, la sur dAdrien, 18 ans

-Agnès, la mère dAdrien et de Virginie, 38 ans

-Vincent, le copain de Virginie, 25 ans

-Richard, le père dAdrien et de Virginie, le mari dAgnès, 50 ans

Pendant les quelques semaines qui suivirent, mes recherches demploi furent toujours infructueuses. Il faut dire que je passais de plus en plus de temps avec Adrien et sa famille et de moins en moins à réellement essayer de trouver un job. Je sortais souvent de chez mes parents en disant que javais une piste de boulot, alors que je me rendais dans la maison des parents dAdrien, devenue un lieu de plaisirs et de vices.

Je participais à de multiples orgies en compagnie dAdrien, de sa sur Virginie, de leurs parents Agnès et Richard et de temps en temps de Vincent, le beau copain de Virginie. Je baisais avec tous ces gens sans me poser trop de questions sur la moralité de me actes et de ceux de mes partenaires, je jouissais comme une folle sans me préoccuper du lendemain. Jarrivais généralement en début daprès-midi et repartais dans la soirée.

Un matin jeus la surprise de recevoir par la Poste deux convocations à des entretiens dembauche pour des postes situés dans une ville éloignée. Comme les deux dates étaient rapprochées, je devrais partir pour trois jours de chez moi et ne pourrais pas voir Adrien et sa famille. Jétais à la fois contente de voir que mes démarches portaient certains fruits, mais en même temps je me sentais un peu déprimée à lidée de passer trois jours sans pouvoir baiser. Comme je savais que je devrais partir dès le lendemain matin, je décidai de me rendre plus tôt chez Adrien.

Comme dhabitude, je toquai directement à la porte-fenêtre de sa chambre. Je le réveillai, il mouvrit en bâillant, à poil. Je lui fis une gâterie avec ma bouche qui laida à se réveiller complètement. Avant quil ne jouisse, il me dit quune envie urgente lobligeait à quitter la chambre quelques instants, étant aussi prise dune envie, je le suivis vers les toilettes.

En passant à proximité de la salle de bain notre attention fut détournée par des bruits suspects. Émoustillés par la pipe que je venais de prodiguer, nous nous approchâmes discrètement de la pièce deau, nous attendant à voir les parents dAdrien en train de baiser, ou peut-être Vincent et Virginie. Je mimaginais déjà les rejoindre pour une partouze bien hard.

Effectivement Agnès et Richard occupaient la pièce en se donnant du plaisir, mais dune manière bien spéciale. Agnès était allongée par terre et Richard accroupi au-dessus delle venait de déféquer sur sa poitrine nue ! Un gros étron maculait les seins de la mère dAdrien.

Nous regardions cette scène, assez médusés de voir les parents dAdrien jouer avec leur merde pendant leurs rapports sexuels. Je savais que ces gens étaient très portés sur le sexe pervers et baisaient en famille, mais je navais pas imaginé quils pouvaient faire des trucs aussi dégueulasses. Apparemment Adrien ignorait également leurs penchants pour le scato.

Nous restâmes à notre place sans faire de bruit pendant plusieurs minutes à mâter Agnès et Richard. Ce dernier sétait retourné, il regardait sa femme allongée sur le dos, partiellement couverte de sa merde, quelle étalait sur ses nichons, son ventre et petit à petit sa chatte, puis son visage, elle poussait des gémissements de plaisir. Richard bandait comme un âne à regarder son épouse se vautrer ainsi dans les immondices. Lorsquelle fut largement couverte dexcréments, Richard vint se coller à Agnès. Il sallongea et lembrassa à pleine bouche, sur ses lèvres couvertes de caca ! Leur baiser était passionné, on voyait quils aimaient sentir la merde dans leur bouche !

Lodeur qui envahissait la salle de bain devint difficilement supportable, nous décidâmes de quitter discrètement la pièce et de regagner la chambre dAdrien, après être passés aux toilettes.

Nous navons pas reparlé de ce que nous venions de voir. Nous avons fait lamour dans sa chambre, jai pris beaucoup de plaisir, mais jétais troublée par le souvenir des pratiques immondes auxquelles nous venions dassister.

Nous sommes ensuite sortis déjeuner, et sommes revenus dans laprès-midi. Nous avons retrouvé les parents dAdrien ainsi que Virginie. Nous nous sommes à peine salué et avons commencé à baiser tous ensemble, sans faire allusion aux pratiques sales que nous avions surpris le matin même. Vincent nous a rejoint en début de soirée pour une nouvelle partie à six des plus délurée.

Comme à mon habitude, je regagnai le domicile de mes parents dans la soirée, heureuse du plaisir pris pendant cet après-midi de débauche et impatiente de retrouver mes compagnons de baise quelques jours plus tard. Une fois dans mon lit je ne pus mempêcher de repenser à la scène de laquelle javais été le témoin le matin : les parents dAdrien baisant dans la merde. D’un côté je trouvais cela absolument dégoûtant, comment était-il possible de supporter lidée dêtre recouverte de merde et même de la porter à sa bouche ? D’un autre point vue, de telles pratiques abolissaient un tabou et brisaient des interdits qui nétaient peut-être pas plus absolus que de baiser avec plusieurs personnes de sexe différent en même temps. Je ne savais pas trop quel raisonnement adopter vis-à-vis de ces déviances. Sans que je ne men rende compte, ces réflexions me firent porter ma main sur mon sexe, que je branlais avec vigueur jusqu’à l’orgasme.

Comme prévu je partis de ma ville pour passer mes entretiens. Là encore les résultats ne furent pas fameux. Inconsciemment je manquais probablement de motivation pour décrocher un emploi qui maurait éloigné dAdrien et de sa famille.

Sans que je ne me lavoue réellement, je décidai de négliger ma toilette intime pendant ce voyage, je passai donc trois jours avec la même culotte. Lorsque je revins chez mes parents, le soir du troisième jour, ma culotte collait à mon entrejambes qui devenait poisseux. A peine couchée, je la retirai et portai ce morceau de tissu imprégné à mon nez. Je respirai de toutes mes forces mes odeurs intimes démultipliées par la très longue durée pendant laquelle javais porté mon sous-vêtement sans en changer. Lodeur bien particulière, musquée et entêtante, mexcita et je dus me branler sauvagement pour me calmer.

Je renfilai ma culotte sale le lendemain. Jétais très impatiente de retrouver Adrien, javais un peu peur de sa réaction lorsqu’il sapercevrait que je portais une culotte sale, mais je ne pouvais pas me résoudre à la changer, son odeur était trop excitante.

Je me rendis, comme souvent, en début daprès-midi dans la maison de ses parents et le trouvai dans sa chambre, apparemment heureux de me voir. Nous nous embrassâmes vivement, il posa ses mains sur mes fesses, puis en fit glisser une sur ma poitrine et lautre sous ma jupe.

Jétais inquiète, mais très excitée à lidée quil découvre ma culotte et ma chatte sales. Je voulais quil lape mes jus poisseux. Je mallongeai sur son lit en quittant ma jupe et mon chemisier et linvitai à enlever ma culotte pour me faire du bien avec sa langue. Il ne se fit pas prier. Il ne dit rien en retirant la culotte, mais lorsqu’il posa la bouche sur ma chatte :

— "Putain, tu sens vraiment la femelle en chaleur! Ta chatte est super bonne!"

Il replongea dans ma fente moite pour moffrir un cunnilingus mémorable. Que cétait bon de sentir la langue de mon amoureux fourrager ma chatte trempée et sale. Les sensations de plaisir physique salliaient avec le plaisir cérébral de commettre un acte immoral et dégradant pour mon amant !

La langue dAdrien me fit jouir rapidement. Je remplis sa bouche dabondantes sécrétions intimes, quil avala sans rechigner. Nous nous embrassâmes ensuite langoureusement, je goûtai ainsi à mes jus intimes et men délectai. Cétait un peu salé, musqué, entêtant.

Après ces préliminaires brûlants, je pris en bouche la queue raide dAdrien. Je lenfonçai immédiatement au fond de ma gorge en la prenant entièrement, comme sa mère me lavait enseigné. Je remarquai vite son goût particulièrement corsé, presque poivré. Tout comme moi Adrien avait dû rester sale en mon absence ! Même si la force du goût me surpris durant un instant, je my habituai rapidement et le plaisir de transgresser les règles élémentaires de lhygiène mexcitait follement. Je suçai avec passion ce membre chéri, souillé de plusieurs jours sans gant de toilette !

-« Hum, elle est bonne ta grosse bite mon chéri ! », déclarai-je en regardant mon amoureux dans les yeux et avec un grand sourire.

Après cette bonne pipe, Adrien pénétra ma chatte trempée. Depuis trois jours jattendais impatiente ce moment incomparable : sentir un dard tendu et veiné senfoncer dans mon sexe gourmand et le pilonner pour me donner du plaisir !

Je prenais vraiment mon pied, mais je faisais également attention à ce quAdrien ne jouisse pas trop vite. Je voulais quil ait lénergie nécessaire pour menculer ensuite. Aussi, je rompis assez vite notre rapport et magenouillai sur le lit, tendant mes fesses vers sa queue dure, linvitant dans mes entrailles !

Il comprit immédiatement le message et entra sa bite dans mon cul en faisant de lentes poussées. Il accéléra progressivement le rythme et me ramona le fion avec vigueur enfonçant sa queue entièrement dans mon rectum accueillant. Contrairement aux autres séances de sodomie que javais déjà pratiquées, je navais pas pris la peine de bien vider mes intestins avant de venir voir Adrien. Aussi, mon anus était encombré de merde bien collante. Au début Adrien ne saperçut de rien, mais au fur et à mesure de ses pénétrations sa bite changea de couleur et une odeur de merde de plus en plus prononcée envahit petit à petit la pièce. Je la sentis, mais ne dis rien, continuant de gémir sous les coups de boutoirs dans mon derrière. Adrien non plus ne disait rien, mais il ne pouvait pas ne pas avoir remarqué lodeur. Aussi, je pris son silence pour une acceptation de ma saleté intime. Il me défonça le cul jusqu’à sa jouissance. Je sentis à peine ses giclées de foutre dans mon boyau graissé de merde.

Lorsqu’il se retira, je me retournai vers sa bite. Elle était partiellement couverte de ma merde puante, une goutte de sperme perlait au bout. Excitée par la situation perverse que javais provoquée, je neus pas un instant dhésitation, jempalai ma bouche sur ce vît dégueulasse et nettoyai la bite couverte dimmondices. Je goûtai ainsi pour la première fois de ma vie à de la merde, celle qui sortait tout juste de mon cul et colorait la bite de mon amoureux. Cétait tiède et très amer. Je pense que sans lexcitation de la situation jaurais été dégoûtée et aurais immédiatement recraché la matière que je venais de mettre dans ma bouche. Mais jétais tellement chauffée à ce moment-là que je trouvai le goût acceptable et que je pris le temps de nettoyer la bite dAdrien ! Je devenais pire que ma belle-mère dont les actes sales mavaient repoussé à peine trois jours plus tôt ! Je pris encore davantage conscience de mon caractère vicieux et pervers.

Adrien me regarda faire et ne rechigna absolument pas lorsqu’une fois son membre nettoyé de mes excréments, je vins lembrasser à pleine bouche. Il goûta ainsi ma merde et déclara :

— "Tu es vraiment une grosse cochonne ! Jai vraiment de la chance davoir trouvé une copine aussi chaude, aussi perverse et aussi mignonne que toi".

Je sus que je venais de franchir un nouveau palier de la perversion. En quelque sorte ma vie bascula en même temps que je jouais avec ma merde.

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