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Mathilde – Chapitre 1




La première fois que j’ai rencontré Mathilde, je revenais de la piscine. Je passais comme à chaque fois à la boulangerie proche du travail pour me prendre un sandwich avant de reprendre.Et ce fut la première fois que je la vis. Elle venait d’être embauchée comme vendeuse dans cette boulangerie. 

Pour vous la décrire, Mathilde est une grande fille brune aux yeux noirs avec des formes généreuses. Je voyais aisément qu’elle avait quelques kilos en trop mais rien de disgracieux. Elle était magnifique. J’eus plaisir à chaque fois de voir ses seins magnifiques, gros et qui semblaient bien fermes mais aussi ses fesses prisent dans un jean moulant.

Au début ce ne fut que les banalités d’usage entre elle et moi. Nous nous disions bonjour. Elle me demandait ce que je voulais et ensuite je partais après avoir payé.

Pendant plusieurs mois rien ne se produisit. Pourtant en se voyant trois fois par semaine, j’espérais à chaque fois que ce serait différent.

Pendant l’été j’eus le plaisir, une fois, de la voir en jupe. Lorsque j’entrai dans la boutique, un vieux monsieur, devant moi, ne cessait de la reluquer tout en la complimentant sur sa tenue. Il faut dire qu’il n’avait pas tort. Elle avait mis ce jour là un top noir et une mini jupe de la même couleur qui laissait apparaître de très belles jambes. J’en eu le souffle coupé.

Lorsque ce fut mon tour, il me fallut quelques secondes pour sortir de ma rêverie et comprendre ce qu’elle voulait de moi. Je bredouillai ma commande et sans réfléchir, je lui demandai son prénom. Elle sembla surprise et hésitante. Puis avec un sourire elle me répondit. Je lui donnai le mien. Je la quittai ma commande sous le bras avec un sourire.

Bientôt le tutoiement céda au vouvoiement. Je passai de plus en plus de temps dans cette boulangerie parfois venant même sans aller à la piscine.

J’appris qu’elle avait pris cette emploi après une longue période de chômage.

Elle était également une artiste. Elle touchait à quasiment tous les domaines. La peinture, la photographie, et l’écriture.

Un soir en rentrant chez moi, je décidai de faire un crochet par la boulangerie. Il n’y avait personne. Encore une fois je passai un temps assez conséquent à discuter avec elle. Quand vint le moment de partir, je ne sus pourquoi mais je lui demandai son numéro de téléphone. Elle sourit, sortit son téléphone et me demanda le mien. Elle le composa et fit sonner mon téléphone une fois.

Je reparti avec le sourire, me demandant déjà comment ce que j’allais écrire dans le premier sms.

Aussitôt rentrer je décidai de passer à l’action.

Merci pour la longue discussion de ce soir. Ça m’a permis de me détendre et d’oublier les soucis du boulot.

 

N’espérant pas une réponse rapide, je me préparai à manger et je filai à la douche. Tout en me lavant je pensai à Mathilde, ses seins, ses fesses, sa bouche. Je bandai et je me surpris à me masturber en pensant à ce que je lui ferai, si elle était présente avec moi. Je la prendrai contre la paroi de la douche, ses seins s’écrasant, au rythme de mes coups de buttoir, sur le verre. Je jouis rapidement et je finis de me laver.

En sortant je remarquai que le voyant de notification de mon téléphone clignotait. Je le saisi encore nu et vis avec plaisir une réponse de Mathilde.

Ça me fait plaisir à moi aussi de discuter avec toi. Car le temps peut sembler long quand il n’y a personne. Mais quel soucis as tu au travail ?

Cela faisait 40 minutes qu’elle m’avait répondu. J’avais été plutôt long sous la douche, finalement.

Excuse moi de te répondre tardivement, j’étais sous la douche. Au boulot je travaille surtout avec des gens qui pensent tout savoir et qui me prennent de haut. Résultat l’ambiance n’est pas bonne.

En cliquant sur envoyer, je me demandai pourquoi j’avais eu besoin de préciser que j’étais sous la douche. Je passai des vêtements confortables et je terminai de préparer mon repas.

Tout en mangeant je regardai la dernière bêtise de la télé, puis je fis ma vaisselle. La soirée allait se résumer à la télé en fond sonore et moi dans la tête dans le projet d’entreprise qui avait pris du retard.

J’étais tellement absorbé par ce projet et les difficultés qui lui sont liés, que lorsque mon téléphone sonna, je sursautai.

Moi aussi je viens de prendre ma douche ;-) Dommage on aurait pu la partager. À demain. Bonne nuit.

J’hallucinai ou pas du tout. Il me revenait mon fantasme sous la douche.

Ce soir là je partis me coucher des images plein la tête.

Le lendemain le réveil fut très difficile. Je me sentais plus fatigué que lors du coucher la veille. Et surtout envie de rien. La douche et le café ne me réveillèrent pas.

Je partis malgré tout au travail, lasse comme j’étais. En arrivant mon chef sursauta presque en me voyant. J’étais blanc comme un linge et je me sentais faible. Il m’envoya aussitôt chez le médecin.

Le diagnostic tomba aussi sec. Surmenage avec début de burn out. La pression du projet, la mauvais ambiance et le manque de sommeil avaient eu raison de ma santé mentale et par conséquent de ma santé physique. Résultat 2 semaines d’arrêt avec obligation de déconnecter totalement du travail.

Je prévins mon chef qui bon gré mal gré dut accepter la situation. Donc me voila seul dans mon appartement à ne pas savoir ce que j’allais faire de ma journée. Je rangeais mon PC portable et eteignis mon mobile pro. Je fis un peu de ménage et m’affalai dans mon canapé. Mon téléphone perso sonna vers 13h. C’était Mathilde qui se demandait pourquoi elle ne m’avait pas vu.

Je suis en arrêt. Surmenage. On se verra dans 2 semaines.

La réponse ne se fit pas attendre. C’était la sonnerie d’appel. Mathilde m’appela directement.

— Alors comme ça tu te surmene.

— Il paraît, repondis je. En fait je me fais chier comme un rat.

— Passe à la boulangerie. On discutera, ça te permettra de te vider la tête, me proposa t-elle.

— Je voudrais bien mais je ne suis pas autorisé à sortir avant ce soir.

— Alors dans ce cas c’est moi qui vais venir, décida t-elle. Et c’est non négociable.

— Si tu veux. Tu passes vers quelle heure?

— 15h30 ça te va?

— Oui mais il te faut mon adresse. Je te l’envoie par SMS.

— D’accord. Je te laisse. Bisous à tout à l’heure.

Je lui envoyai mon adresse et je me remis dans la série que j’avais en retard.

Avant même de m’en apercevoir, il était déjà 15h. Je sentis mon poul s’accélérer à l’idée que dans 30 minutes, elle serait là. Je fis le tour de mon logis tout en rangeant les différentes choses qui pouvaient trainer, je fis correctement mon lit et aérer l’ensemble. Je venais de finir quand l’interphone sonna.

C’est moi, dit une voix toute joyeuse.

J’appuyai sur le bouton d’ouverture et j’ouvris ma porte attendant l’arrivée de l’ascenseur. Quand les portes de celui ci s’ouvrirent, je sentis mon poul repartir à la hausse de plus belle. Elle avait mis une petite robe d’été noire avec des chaussures ouvertes. Elle me fit la bise et je l’invitai à entrer.

— C’est joli chez toi. Tu as de la place.

— Ce n’est que la pièce de vie. Tu veux que je te fasse visiter.

Avec plaisir.

Je l’emmenai dans la cuisine pour commencer. Petite mais fonctionnelle. Puis la salle de bain.

— Tu as même une baignoire en plus de la douche.

— Oui mais je ne m’en sers pas. Je n’aime pas trainer des heures dans une eau qui devient vite froide.

— C’est parce que tu n’as jamais partager un bain avec une autre personne.

— La douche est suffisamment grande pour deux, répondis je jouant dans son jeu.

Elle me fit un clin d’il et me suivit dans la chambre.

— Un grand lit. Ça donne envie de s’y allonger.

— Mais je t’en prie. Moi aussi j’aime faire ça.

Elle se jeta sur le matelas. Je vis sa robe remontée sur le haut de ses cuisses. Je pus distinguer rapidement un shorty en dentelle noire. Elle dut s’en apercevoir car elle se releva rapidement.

— Je t’offre à boire ?

— Avec plaisir. Tu as quoi?

— Eau, café, alcool

— Je prendrai bien un café s’il te plaît. Tu ne me saouleras pas maintenant pour profiter de moi.

— Mince je suis découvert.

Nous riames tous les deux et nous dirigeâmes vers la cuisine. Je fis couler deux cafés et nous allâmes dans le salon. Elle s’installa dans le canapé et je pris un des pouffes pour m’asseoir de l’autre côté de la table basse face à elle.

Elle avait les jambes légèrement écartées me laissant apercevoir son shorty.

Tout en discutant j’avais du mal à détacher mon regard de ce bout de tissu mais aussi de ses seins lorsqu’elle se penchait en avant pour prendre sa tasse. Malgré moi je me mis à bander. Ma queue se sentit rapidement à l’étroit dans mon boxer et mon pantalon.

Quand elle eut fini sa tasse, je lui en proposai un autre qu’elle refusa poliment.

Nous discutâmes pendant des heures, quand elle regarda sa montre. Il était déjà 20 heures.

— Je vais rentrer. Il faut encore que je me fasses à manager. À moins que tu ne m’invites? Dit elle d’un air malicieux.

— Si ca ne te dérange pas de passer encore quelques heures avec moi, ça me va.

— Chouette un repas à l’oeil. Tu vas nous faire quoi de bon?

— Je comptais me faire du poisson avec des légumes, ça te va?

— Super j’adore ça.

— Je te propose de me suivre dans la cuisine pour que nous puissions continuer à discuter. Et pendant que ça cuit, on prendra l’apéro.

Elle se leva aussitôt et me suivit dans la cuisine. Je préparai le poisson, sel, poivre, citron, des aromates et j’epluchai mes légumes et les coupai tout en plaisantant avec elle. Je sorti du vaisselier l’alcool et des verres et nous retournâmes dans le salon. Je repris ma place devant elle quand elle m’invita plutôt à venir à côté d’elle.

Nous trinquames puis nous continuâmes à plaisanter. J’avais beaucoup de difficultés à ne pas regarder son décolleté ou ses seins qui déformaient la matière.

— Je peux te poser une question, commença t-elle.

— Je t’en prie.

— Tu me trouves attirante?

Pris au dépourvu, je dus mettre mes idées en ordre avant de lui répondre.

— Je mentirai en disant le contraire.

— Ça me rassure car je trouve que tu as le regard très baladeur.

— Excuse moi mais ça fait un moment qu’il n’y a pas eu de filles ici.

— Je m’en doutais un peu. Alors dis moi ce qui te plaît chez moi. Et évite les traditionnels, yeux, bouche ou visage. Sois franc.

— Pour être tout à fait franc, tu as de beaux seins et un joli cul. Tes jambes ne sont pas suffisamment montrées à mon goût alors qu’elles sont magnifiques.

— Au moins c’est franc. Ça te dérange si je retire mes chaussures, elles me font mal à force.

— Fais comme chez toi.

— Ne me dis pas ça, je pourrai le faire.

— J’insiste. Fais comme bon te semble.

— En fait chez moi je me balade souvent en petite tenue voir nue, donc ce serait mal venu ici.

— En effet. Promis je ne m’en offusquerais pas, rigolais je.

Elle rit avec moi et se leva. Elle baissa les bretelles de sa robe puis la fit glisser le long de son corps. J’étais bouche bée. Elle portait un magnifique coordonné noir en dentelle. Elle passa les mains dans son dos, retira son soutien gorge, et baissa son shorty. J’eus beaucoup de mal à avaler ma salive.

Mathilde était devant moi nue. Ses seins étaient comme je l’esperais. Gros, ferme et tenant parfaitement. Son minou totalement imberbe m’invitait à le caresser. Elle se rassit et ma mine déconfite la fit sourire.

— À toi maintenant. Je ne dois pas être seule sans rien.

Mécaniquement je me levai, puis m’executai. Quand mon pantalon fut retiré, je vis son regard s’attarder sur la bosse que faisait ma queue dans mon boxer. Je le retirai et ma bitte sursauta quand le bout de tissu fut retirer. Elle me regarda avec gourmandise et sortit sa langue sur le côté. Je me rassis à côté d’elle.

— Je vois que ça te plaît ce que tu as sous les yeux.

— Plutôt oui. Toi aussi ça te plaît.

— Beaucoup.

Elle se rapprocha de moi puis posa sa main droite sur ma queue. Elle imprima un léger mouvement de bas en haut tout en me regardant droit dans les yeux. Et comme si de rien n’était, elle s’inquiéta de savoir si notre repas était cuit. Je me levai et en allant dans la cuisine, je respirai un grand coup. Le poisson manquait encore de cuisson. Je revins dans le salon où elle m’attendait allonger. Ma queue fit un nouveau soubresaut. Je m’approchai de ce corps puis je le frolai de ma main en partant du bas de ses jambes jusque ses seins. Elle frissonna et je vis ses tétons pointés. Elle se redressa. Ma queue était au niveau de son visage. Elle s’approcha un peu plus et deposa un baiser sur le gland gonflé de désir. Puis elle ouvrit la bouche et le prit dans sa bouche. Elle m’arracha des rales de plaisir puis s’arrêta.

— J’en garde pour le dessert. Encore combien de temps avant de manger ?

— Au moins le temps que je te fasse jouir.

— Tu es bien sure de toi?

Sans lui laisser le temps de continuer, je la fis s’asseoir et je me mis à genoux devant elle. Je lui deposai un baiser sur les lèvres, puis je descendis vers seins où je mordis doucement les tétons puis jusqu’à son mont de Vénus. J’embrassai ses grandes lèvres tout en introduisant un doigt dans sa fente totalement détrempée. Elle avait un goût acidulé et sucré à la fois. Sa chatte faisait quelques bruits obscènes de clapotis et je la sentais de plus en plus fébrile. Dix minutes de ce traitement eurent raison de mon amante. Elle jouit dans un profond cri de plaisir. Je me relevai et echangeai avec elle un long baiser langoureux. Elle se dégagea et remarqua que ma queue suintait de plaisir. Elle la reprit en bouche, décider à la nettoyer.

Le repas fut vite englouti et la table vite débarrasser. Mathilde me suca encore à deux reprises puis nous nous installames dans les bras l’un de l’autre devant la télé.

— Tu restes ici cette nuit? Lui proposais je

— Avec plaisir. Et puis ta baignoire m’a donné des idées.

— Tu ne bosses pas demain ?

— Non c’est mon jour de repos. Mais il faudra que je rentre chez moi, tout de même.

Le film terminé, j’emmenai ma belle dans la chambre. Nous nous couchames collé l’un à l’autre. Nos bouches et nos langues entrèrent en communion. De longs baisers langoureux avec nos mains qui glissaient le long de nos corps.

Nous reprimes nos échanges de plaisir. Cette fois ci elle vint se mettre sur moi, sa chatte au niveau de mon visage. Je pus ainsi la lécher et la doigter pendant qu’elle me suçait. D’abord un doigt puis un second dans son vagin trempé de désir et de plaisir. Je glissai un autre doigt dans le sillon de ses fesses jusqu’à sa rondelle. Elle sursauta et m’avoua n’avoir jamais été prise ou doigter à cet endroit. Elle se releva et vint présenter son antre de plaisir au dessus de mon chibre. Elle descendit doucement afin de sentir toutes les parois de son vagin occupée par ma queue. Elle commença à monter et à descendre au rythme de sa respiration et de ses seins tressautant. Je les saisi et j’y portai ma bouche, le léchant et les tétant comme un affamé. La jouissance monta vite pour nous et ce sont de puissants jets de sperme qui partirent dans la capote.

Nous nous couchames enlacés et nous endormirent

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