Les jours suivants j’avais passé les examens préopératoires pour subir l’opération d’augmentation mammaire. J’avais peur de l’opération en elle-même. J’avais aussi et surtout une sourde angoisse de mon apparence avec des seins importants et disproportionnés avec ma taille. Jay m’avait bien dit que cela était l’un de ses fantasmes et surtout que vu mon âge, pour être une actrice porn à 50 ans il fallait avoir des attributs qui fassent la différence avec mes collègues actrices plus jeunes. Je dirai à ma fille et à mes amis que cela était à la demande de Jay … Je me faisais une raison, j’étais en même temps très curieuse de me découvrir avec des seins énormes …
A la maison Carole et Mathilde m’avaient prise en main pour développer comme elles disaient « mon entrainement à découvrir l’amour au féminin ». Elles m’avaient bien dit qu’entre nous il n’y aurait aucun sentiment, elles étaient un couple qui s’aimait et ne voulaient pas que je vienne troubler leur relation. J’acquiesçais, elles commencèrent par m’embrasser une par une dans la bouche. Mêlant chacune à leur tour nos langues. A nous sucer la langue de l’autre, elles jouaient chacune avec ma langue percée et mon barbel. J’aimais et cela m’excitait beaucoup. En même temps nous nous caressions les seins, nous les sucions. La première séance elles arrêtèrent aux seins. Elles me dirent de les regarder, Carole était toujours engantée avec ses gants blancs d’uniforme de servante. Elle retroussa le bas la robe d’uniforme de Mathilde, laissant apparaitre le haut de ses bas tenus par des jarretelles, elle était sans culotte, se pencha et commença à lécher son sexe glabre en faisant des bruits de succion. Je trouvais la scène totalement érotique, je voulais me caresser mais je ne savais pas si j’avais le droit de me faire plaisir. Lorsque Mathilde jouie dans la bouche de Carole, elles échangèrent de place et Mathilde commença à lécher et à sucer Carole, laquelle portait les mêmes dessous que Mathilde sans culotte avec des bas de couleur beige et un peu épais. Là je n’en pouvais plus et je commençais en me masturber, je jouissais en même temps que Mathilde.
Quand je repris mon souffle, affalée sur le sofa. Carole me disait que j’allais être punie pour avoir joui sans demander la permission. Elle me donna l’ordre de retrousser ma jupe, de me mettre à quatre pattes sur le sofa, leur tournant le dos et que j’allais être punie avec le martinet. Dans la liste de Jay, il avait mentionné que je recevrai la fessée sans avoir besoin d’une raison à cela. La effectivement j’allais recevoir le martinet, mais effectivement. Je m’étais caressée sans autorisation …
C’était la première fois que j’allais recevoir une fessée et en plus par une femme … J’étais toute retournée, et aussi très excitée. Je reçus 25 coups de martinet, je devais les compter à haute voix un par un, à partir de la moitié j’ai commencé à sangloter et à pleurer en recevant les derniers coups. Mathilde me prit la tête dans ses mains et m’embrassa sur la bouche, elle mélangeait sa salive avec mes larmes, je la trouvais attendrissante avec moi.
— Maintenant j’espère que tu as compris qu’il ne faut plus jouir sans demander l’autorisation
— Oui mademoiselle Mathilde
— Maintenant tu vas dire « merci » à Carole pour t’avoir administré le martinet de Monsieur Jay
— Merci Mademoiselle Carole, je répondais d’une voix humble en essuyant mes larmes
— Je crois que tu devrais la remercier mieux que ça, rajoutait Mathilde
— Oui Mademoiselle Mathilde, que dois-je faire ?
— Avec ta langue percée, montre-nous comme tu sais jouer de ton nouvel instrument que tu as dans la bouche.
Je me retrouvais agenouillée sur la moquette du salon, Carole assise les jambes grandes ouvertes me montrant son sexe totalement lisse, elle avait des grosses lèvres un peu foncées, qui brillaient de mouille. Je n’avais jamais vu un sexe de femme d’aussi près de ma vie et de plus que je devais prendre dans ma bouche. J’avais un dégout et en même temps une malsaine curiosité.
La jeune Louise dans le cabinet de piercing m’avait soulagée en me léchant et me faisant jouir après mes perçages, j’avais énormément aimé cela. Je me remémorais cette séance, je prenais mon courage à deux mains, plongeais dans l’entrejambe de Carole. En même temps Mathilde posa ses mains sur ma tête et la força vers le vagin de Carole. Elle ne me laissait aucune liberté seulement celui de ma langue, Mathilde collait ma tête au sexe de Carole et se servait de moi comme d’un jouet. Carole me donnait des ordres
— Sors ta langue dure, rentre dans mes lèvres. Maintenant tu suces salope
— Remonte sur mon clito, titille-le avec ton instrument
Comme le piercing de mon Barbel était assez loin derrière dans ma langue, je devais faire des efforts pour tirer celle-ci au maximum pour que la boule touche son clitoris, cela a duré de longues minutes. Mathilde suivait les instructions de Carole en déplaçant ma tête le long de sa fente. J’avais mon visage couvert de mouille.
— Maintenant lèche-moi le trou du cul et embrasse-le goulument, ordonnait Carole
J’ai eu haut le cur, lorsque Mathilde voulut descendre ma tête vers le petit trou de Carole, je résistais. Je reçus alors une gifle magistrale de Carole.
J’acceptais mon sort et me laissait diriger vers l’anus de Carole, que je léchais et embrassait stoïquement avec une obéissance un peu abject. Elle commença à jouir du cul, Mathilde m’ordonnait de mettre ma langue dure et de la rentrer dans son trou le plus possible. Carole eut un orgasme anal, je ne savais pas qu’une femme pouvait aussi jouir du cul. Je l’avais lu dans un magazine féminin mais je n’y croyais pas vraiment. Maintenant je l’avais vu mais non seulement ça, j’en étais l’auteur …
Carole me disait que j’avais encore beaucoup à apprendre, mais pour une première fois c’était pas mal.
Avant que Jay arrive à la maison. Carole m’avait préparée, j’étais recoiffée, maquillée comme une pute, habillée seulement de mes dessous, soutient gorge a armature, porte jarretelles gainant, bas comme ceux qu’elle portait, beige et de gros denier qui s’arrêtaient à mi-cuisse. Les mules hautes comme des échasses et de longs gants en satin blanc. Elle me disait que les gants c’était entre autres la marque de Jay, pour lui toute femme élégante se devait d’être gantée …
Lorsque Jay arriva la maison, il m’embrassa tendrement, me félicita ainsi que Carole pour mon « accoutrement ». Il me demanda ce que j’avais fait aujourd’hui pendant la journée. Je lui racontais que Mesdemoiselles Carole et Mathilde m’avaient embrassée, caressé les seins. Ensuite elles s’étaient donné du plaisir devant moi, cela m’avait tellement excitée que je m’étais masturbé sans demander la permission. Pour cela elles m’avaient fouetté au martinet avec 25 coups sur les fesses. Puis j’avais dû lécher Carole pour lui donner du plaisir …
Jay après m’avoir écouté attentivement et en souriant me demanda de venir lui faire une pipe et de le faire jouir avec ma langue percée. Il me disait aussi que je devrais apprendre a parler comme une salope avec les termes crus sinon je pourrais être punie et recevoir encore le martinet.
— Montre-moi tes fesses, puis viens me sucer, fais-moi jouir avec ta langue percée et avale ma semence, ensuite tu répèteras tout ce que tu m’as raconté mais avec les termes approprie pour une pute.
Je me mis debout, lui tournais le dos relevais ma robe de nuit, il pouvait voir mes fesses rougies, puis pour la deuxième fois de la journée je me retrouvais agenouillée sur la moquette, Jay assis dans le sofa, j’ouvris avec certaine difficulté son pantalon, je devrais apprendre à utiliser mes mains gantées. Je sortis son sexe et le travaillais consciencieusement avec ma langue, mon barbel autour du gland, je le suçais en m’appliquant. Au bout de plusieurs minutes, je commençais à avoir des crampes dans mes mâchoires et ma langue à force de tirer dessus commençait à me faire mal.
Il explosa dans ma bouche, j’avalais son jus. J’étais très excitée mais je savais que je ne pouvais pas me caresser. Gantée je n’aurai pas réussi à me faire jouir …
— Maintenant raconte-moi ce que tu as fait en langage de pute …
— Je me suis gouinée avec Mesdemoiselles Mathilde et Carole, nous nous sommes roulés des pèles. On s’est sucé les miches. Je me suis doigtée comme une cochonne et j’ai joui, pour cela j’ai été punie et j’ai reçu le martinet sur mon gros cul. Ensuite j’ai dû me gouiner encore une fois avec Carole. J’ai dû lui sucer sa chatte ruisselante, jouer de ma langue avec son clito, lui lécher le trou du cul el l’enculer avec ma langue. Ensuite j’ai fait une pipe à mon Maitre, j’ai enroulé ma langue avec mon piercing autour de son gland, vous avez joui dans ma bouche et j’ai dû avaler tout votre jus avec délectation.
— C’est beaucoup mieux, tu apprends vite ma belle et soumise Liz
J’étais fier d’écouter ses mots. Il me disait qu’il allait réorganiser la maisonnée autour de moi. Nous avons diné, servis par Carole. Il demanda à Carole d’apporter un vibromasseur pour que je puisse me soulager en face d’eux. Elle l’apporta sur un plateau dargent, un beau vibro rouge !
Il me fit asseoir dans un large fauteuil, les jambes écartées et ma robe de nuit remontée. Jay, Carole et Mathilde me regardèrent me masturber, gantée devant eux, je fermais les yeux et me fit rappeler à l’ordre
— Tu nous regardes Liz ! Quand tu seras sur un set de photo ou de tournage il y aura plusieurs personnes autour de toi, il faut que tu apprennes me disait Jay devant les deux gouines.
Je jouissais devant eux … ma vie de soumise débutait bien …