La signature du contrat.
Une fois arrivés chez moi, jordonne à Marie de se mettre nue. Ce nest pas long. Elle ne porte pas de culotte sous sa robe blanche quelle laisse glisser sur le sol et je laide à retirer son soutien gorge : taille 90 bonnets D. Elle retire elle-même ses sandales, les mêmes que la dernière fois, et se présente nue devant moi. Je la détaille enfin : ses seins sont lourds, en forme de pomme avec de très larges aréoles assez claires. Elle a des hanches larges et bien dessinées et jadore la forme de son nombril. Son pubis est orné dune toison assez abondante que je navais, jusque là, queffleurée avec mon pied droit. Je me mets nu à mon tour et je mavance vers elle. Je prends son visage entre mes mains et je lembrasse avec force. Ma langue se fait dure et pénètre dans sa bouche. Jattends quelle moffre la sienne, puis je lui demande de se retourner. Je veux voir son cul. Elle a de belles fesses, bien fermes malgré un léger surpoids depuis ses deux grossesses. Mon index parcourt la raie de ses fesses et je la sens frémir.
— Alors, tu as aimé que je te fasse jouir dans le café ?
— Oui, jai un peu honte, mais jai adoré.
— Bien, je te dois un second orgasme
— Oui, me dit-elle encore.
— Tu es une grosse cochonne, Marie Dis-le que tu es une grosse cochonne !
Jai pris un ton dur, mais sans élever la voix. Marie semble vraiment à la recherche de ce genre de domination, très cérébrale, sans violence, mais avec des exigences toujours plus fortes. La première fois, elle mavait donné sa culotte La seconde, elle nen avait pas mis, comme je lui avais demandé et elle mavait laissé la masturber, sous la table, avec mon pied. Maintenant, elle attend que je la baise, comme si elle me demandait une offrande
Je lui demande de sallonger sur le lit et je lui attache consciencieusement les poignets et les chevilles avec des cordages que javais préparés. Elle se laisse faire sans protester et je me mets à explorer son corps. La douceur de mes gestes contraste avec la fermeté avec laquelle je viens de lattacher. Je veux quelle comprenne que, désormais, ce sera moi qui déciderai quand elle a besoin de violence ou de tendresse, mais je veux quelle sache que je suis capable des deux. Mes mains caressent ses jambes, puis ses cuisses et remontent vers sa poitrine. Jai pris soin déviter soigneusement son sexe. A chaque passage, je men rapproche un peu plus, mais je ne veux pas le toucher. Je veux faire monter son désir en explorant ses autres zones érogènes.
Je me mets à moccuper de ses pieds que je trouve si jolis. Elle chausse du 36 et ils sont soignés. Les ongles en sont finement vernis. Avec mes mains, je les caresse, puis je les masse lun après lautre. Patrice mavait dit que son épouse adorait cela. Effectivement, quand ma langue passe entre ses orteils, je la sens frémir. Elle se cambre et écarte les cuisses aussi largement quelle peut. Je vois que son sexe coule littéralement de désir.
Je remonte alors lentement vers son ventre. Mes mains sarrêtent à la frontière de ses grandes lèvres et jattends quelle me supplie.
— Oui, je suis une cochonne ! me dit-elle enfin. Baise-moi !
Je la regarde en souriant, puis japproche lentement ma verge de son sexe. Je vois son bassin qui avance vers moi, mais jai décidé de la faire attendre. Le bout de mon gland effleure sa chatte, juste pour recueillir quelques gouttes de la liqueur de son plaisir, puis je me recule et je pose de nouveau ma bouche sur ce sexe avide. Ma langue parcourt les moindres recoins de ce sexe que je découvre pour la première fois. Je veux vite la connaître par cur et savoir ce qui lui fait le plus deffet. Cest quand jatteins son clitoris quelle se déchaine vraiment. Sa tête se met à se balancer de droite à gauche et je la vois se raidir puis crier sans retenue.
— Prends-moi ! hurle-t-elle.
— Non, je veux te faire jouir avec ma bouche lui réponds-je.
— Je veux ta queue ! crie-t-elle.
— Tu lauras la prochaine fois si tu es sage ! lui réponds-je, bien que je meure denvie de la pénétrer.
Je poursuis le travail de ma langue sur le clitoris de Marie. Je tourne autour, je le titille de temps en temps avec la pointe de ma langue et je me mets à le lécher franchement. Elle connait enfin son second orgasme de la journée. Je la laisse reprendre ses esprits, puis je la détache. Elle a lair complètement épuisée.
— Rhabille-toi ! lui ordonné-je.
— Et toi ? Tu ne jouis pas ? me demande-t-elle dun air surpris.
— Non, la prochaine fois je me viderai en toi, mais maintenant jai un rendez-vous Prend tes affaires et file à Angoulême rejoindre ton mari !
— Bien, me répond-elle. Et merci pour ces orgasmes
— Tu les avais mérités, lui dis-je. La semaine prochaine, tu viendras directement chez moi
Elle ne me répond pas, mais je sais quelle attendra ce moment avec impatience. Ça y est, elle est à moi ! Cest son mari qui va être content Depuis le temps quil voulait quun autre la baise !
Dailleurs, je me dépêche de le prévenir que je lui renvoie sa femme. Bien sûr, il me demande comment les choses se sont passées et je lui apprends quelle a eu deux orgasmes, un au café et lautre chez moi. Il me demande si jai pris des photos. Je ny ai même pas pensé. Je lui promets que jen ferai la prochaine fois et je lui jure que je vais faire de sa femme une vraie salope. A ma grande surprise, il me remercie. Je lui annonce que je lui réserve une bonne surprise.
Je décide commencer à rédiger le chapitre concernant la période dessai de Marie et son acceptation du contrat, pourtant très contraignant que je lui propose. Au moins, je naurai pas besoin de lui demander des précisions Je décris dans les moindres détails ce qui sest passé dans le café puis chez moi. Jinsiste sur la beauté du corps de Marie, je la flatte un peu
Je décide que je relirai le chapitre que je viens décrire seulement demain et je téléphone à Marie. Elle a du arriver depuis un bon moment à Angoulême et je lui ai laissé presque deux heures pour soccuper de ses enfants. Jappelle son portable et elle me répond immédiatement.
— Cest toi Gilles ? me demande-t-elle.
— Pourquoi ? Tu attendais lappel dun autre de tes amants ? lui demande-je un peu cassant.
— Mais, non Il est tard
— Je sais ! Tes enfants dorment ?
— Oui, je les ai fait manger, et je les ai mis au lit
— Tu as aimé ce que nous avons fait ?
— Oh oui !
— Ce soir, je veux que tu jouisses encore
— Mais tu nes pas là
— En effet, je pourrais te demander de te masturber en pensant à moi, mais je veux que tu te fasses baiser par ton mari. Je veux que tu sois salope avec lui comme si tu étais avec moi. Tu me raconteras tout cela demain Bonne nuit ma Marie chérie.
— Bonne nuit. Je taime !
— Moi aussi, lui dis-je avant de raccrocher.
Je souris en pensant à Patrice qui se plaignait quelle ne le laissait presque plus la toucher. Ce soir, il va retrouver la belle cochonne quil a connue 10 ans plus tôt. Jexigerai quelle me décrive ses rapports dans les moindres détails et je sais que jaurai aussi la version de son conjoint. Je trouve finalement la situation assez amusante.
Avant de dormir, je décide de modifier le chapitre que je viens décrire pour ajouter quelques lignes sur la serveuse du bar où nous étions. Je veux exciter la jalousie de Marie et lui montrer quelle naura pas lexclusivité de mes faveurs. Cest satisfait et reposé que je vais me coucher en pensant à Marie que je nai pas encore pénétrée. Il faut parfois savoir faire des sacrifices pour dresser une soumise
La prochaine fois, je la baiserai vraiment. Il faudra aussi que je lui montre quà la moindre incartade, elle peut être punie. Je retrouve le martinet que javais utilisé avec ma maîtresse qui aimait ce genre de jeux et je me dis que, le lendemain jirai acheter une cravache.
(A suivre)