J’avais passé ma journée à lire ce bouquin à la con, nan mais franchement, une fille aussi banale qu’ Anastasia qui réussit à se taper un beau milliardaire adepte de sadomasochisme… si ça c’est pas du foutage de gueule… quoi qu’il en soit j’étais trop émoustillée pour rester 2h30 au cinéma sans pouvoir me faire plaisir, non pas que je me gène d’habitude, mais avec toute la famille autour vous comprenez…
J’ai donc décidé de rentrer à la maison; prétextant un soudain coup de fatigue je m’étais discrètement éclipsé.
Je ne serais pas seule mais Adrien étant couché je pourrais me faire plaisir sans être dérangée.
Mince… ça me rappel que j’ai laissé mes godes chez moi… bon, je vais passer faire un tour dans la chambre de ma cousine la connaissant elle doit bien avoir un de ces appareils caché quelque part.
Je franchissais donc tranquillement le seuil de la maison en pensant aux doux plaisir qu’allait m’apporter mon imminente masturbation.
Perdue dans mes pensées je ne relevais pas la lumière du salon laissée allumée et je fonçais en haut.
J’ouvrais la porte d’un coup et là…
"Elea???"
"Adrien???"
J’y croyais à peine, devant moi se trouvait mon cousin, nu et qui plus est entrain de se masturber! Je devrais être dégoûtée mais là tout de suite je me sens juste irrésistiblement attirée par cette queue dressée qui pointait dans ma direction.
"C’est pas ce que tu crois! je peux t’expliquer! tu sais j’ai des besoins comme tous les hommes et là franchement ça fait trop longtemps que je me retiens, s’il-te-plais ne le dis à personne!"
Pauvre cousin… on dirait qu’il me prend pour une sainte, mais moi aussi j’ai des besoins tu sais… d’ailleurs….
Je commençais à défaire ma veste et à retirer mon pantalon, Adrien me regardait comme une extraterrestre.
"Qu’est-ce que tu fais là?"
"Ecoute, moi aussi j’ai des besoins et des envies, ce que je te propose, vu la situation c’est qu’on se masturbe ensemble! comme ça on s’aide mutuellement et tout le monde est content, ça te vas?"
"Euh… oui je suppose…"
Parfait j’avais gagné un support visuel pour ma masturbation. En sous-vêtements je me dirigeais vers larmoire de ma cousine et après quelques secondes de fouille je trouvais ce qu’il me fallait, un joli gode d’une vingtaine de centimètres
plutôt épais et avec des veines en relief, juste comme je les aime. Je m’asseyais sur le lit et faisait signe à mon cousin de me rejoindre, puis je faisais glisser ma culotte sur le côté et je commençais à minsérer un doigt dans le vagin tout en suçant le gode pour le lubrifier.
"Où est-ce que t’as trouvé ça?" dit Adrien qui venait de comprendre que sa sur avait un gode.
"Roh… tu crois vraiment que les filles sont toutes des sainte-ni-touche style princesses Disney? réveille toi un peu, on est dans le monde réel, ta sur est une ado, ses hormones la travaillent c’est normal… concentre toi plutôt sur ton sexe tu veux bien?"
Il commençait alors lui aussi à se branler, et sa queue qui avait rétréci depuis le moment où j’étais rentré commençait à reprendre sa vigueur. J’étais en admiration devant ce magnifique pénis qui gonflait, gonflait sans s’arrêter. Je crois que si il n’avait pas été de ma famille je lui aurais sauté dessus pour le sucer goulûment. J’en bavais d’ailleurs tellement qu’une goûte tomba sur ma chatte et me ramena à la réalité. Ma culotte était trempée, je décidais donc de minsérer le gode, tout aussi mouillé que ma culotte.
Adrien ne perdait pas une miette du spectacle, sa queue avait atteint sa taille maximale, elle devait faire dans les 18 cm, de taille moyenne mais tellement attirante. Tout à coup je sentais une pression sur le sein gauche, c’était la main libre d’Adrien qui venait me caresser. Je m’étais tendue au contact mais il me caressait tellement bien que je du abandonner et me laisser aller. Je senti soudain une intense chaleur monter en moi et , à force de gode et de caresses je ne tardais pas à avoir un orgasme. Celui-ci passait j’aidais mon cousin en le branlant avec mes deux mains. Lui, trop content en oublia de me prévenir de sa jouissance et me couvrit les seins d’un sperme chaud et visqueux. Un peu étonnée j’en ris et je commençais à étaler le sperme sur mon poitrail. Mais il se faisait tard, je me levais en me dirigeant vers la douche quand je vis à terre la culotte sale de ma cousine, je compris alors pourquoi mon cousin avait l’air aussi paniqué tout à l’heure. Cela me donna une petite idée;
Je retirais ma propre culotte, trempée de ma mouille, et la jetais en arrière sans un regard pour mon cousin, qui n’avait pas bougé, pas dit un mot.
Pendant que je prenais ma douche, je recommençais à me masturber, je sentais bien que ce qui venait de se passer avec mon cousin n’était pas anodin et que mon corps en demandait d’avantage!
