Toutes les fois qui suivirent ressemblèrent à ce fameux week end, dès que mon épouse partait à la cuisine, nous en profitions pour nous échanger de petites caresses, je passais ma main sous son pull et me régalait du contact de ses seins. Dès que nous entendions ses pas dans le couloir, nous reprenions nos places sur nos fauteuils respectifs et nous échangions des regards complices.
Un jour, cependant, une opportunité de taille se présenta à nous : mon épouse devait accompagner sa mère visiter ses grands parents qui habitaient à 600 km de chez nous, un week end entier sans elle ! !
Comme cette décision fut prise rapidement, nous n?avons pas eu le temps de décommander ma belle soeur pour notre sacro saint rendez vous du vendredi soir. Mon épouse, ne se doutant pas de notre manège me dit que nous n?aurions qu?à faire la fête sans elle.
Le vendredi midi, je prit une après midi de libre pour aider mon épouse à préparer ses bagages et l?emmener avec ma belle mère au train. Puis je suis rentré à la maison pour me faire ? une beauté ?, une douche complète dans les règles de l?art, insistant sur les parties qui risquaient d?être sollicitées.
Au passage je me suis accordé une bonne séance de masturbation sous l?eau chaude afin de calmer mes ardeurs et ne pas risquer que tout finisse avant même d?avoir commencé.
Ensuite je suis parti faire les courses pour nous concocter un festin de roi.
Pendant que je cuisinais, la pression et les doutes ont commencé à venir : ce jeu si fraternel n?allait il pas seulement rester à ce stade, je risquais gros sur ce coup, il fallait la jouer fine ! ! !
La pression atteignit son paroxysme quand la sonnette de l?entrée retentie, j?ai respiré un bon coup et je suis allé ouvrir à mon hôte.
Elle était splendide, elle portait une sorte de haut assez leger, ouvert au nombril par une ficelle, et une jupe assez cintrée.
Je lui ai expliqué la situation qui apparemment n?a pas eu l?air de l?étonner (je pense que sa mère l?avait prévenue). Nous avons décider d?aller louer deux films, et ensuite de dîner.
Nous nous sommes régalés (modestement) et nous avons passé un repas très agréable en discutant de tout et de rien. Nous étions vraiment bien tous les deux.
Puis sur le coup des 10 heures, nous avons décidé de mettre le premier film, nous avons enlevé nos chaussures et nous nous sommes allongé tout habillé sur le lit, les bandes annonces finies elle était déjà la tête sur mon torse, moi la main sur son épaule presque nue.
5 minutes après elle m?a alors dit que son haut devait la déranger et elle l?a retiré.
Elle n?était donc plus qu?en soutien gorge à balconnet (charmant d?ailleurs) et jupe ! ! Je fis de même avec ma chemise.
Ma main parcourait son dos, ses épaules, son cou, ses cheveux et elle me caressait le ventre et les pectoraux.
Puis je pris mon courage à deux mains et lui dit que j?avais encore une entrave à mes caresses sur son dos.
Elle émit un petit rire qui me donna encore plus la trique et j?avoue que j?étais encore plus à l?étroit dans mon boxer short.
Elle se mit à genoux au dessus de moi et là, l?instant magique commença : elle passa ses mains dans le dos et dégrafa son soutien gorge.
Dès qu?elle les libéra en un geste très lent, je les vis dans toute leur splendeur se libérer de l?étreinte de leur prison de dentelle : ils tombèrent tout doucement un tout petit peu et se montrèrent à moi dans toute leur splendeur (c?était la première fois que je les voyais et le choc fut terrible). Fermes, avec un maintien fabuleux, des tétons déjà dressés, des mamelons rosés à souhait, et d?une taille terrible, elle devait l?exploser son 85C ! ! ! Moi qui n?était habitué qu?au petit 85B de sa soeur, j?étais fou !
Elle a reprit sa place dans mes bras et j?ai recommencé à lui caresser le dos, puis son bras et juste en dessous, l?espace entre son bras et son dos. Là, le signal m?a été donné sans que j?insiste : elle a relevé légèrement son bras pour que j?y glisse ma main.
J?ai profité de cette occasion pour placer ma main sous son aisselle et le bout de mes doigts caressait la base de ses seins. Quelle extase !
Plus le temps passait plus je devenais aventureux jusqu?à pour finir caresser ses tétons.
Je me régalais à toucher ses seins, les palper, exciter tout son mamelon, je parcourais son sein de la base jusqu?à presque toucher le téton sans jamais l?atteindre et je le voyais se dresser de plaisir.
Le film finit, je l?allongeais sur le dos et prenais ce téton entre mes lèvres, le mordillait doucement.
J?aurais pu rester toute la vie comme ça.
Elle releva ma tête et m?embrassa sur les lèvres d?un baiser chaste et me dit que malheureusement elle devait partir, ayant exceptionnellement à travailler le lendemain matin et elle n?avait pas prévue de quoi se changer.
Mais elle me promit de revenir le lendemain soir, je n?avais qu?à garder le 2e film, elle serait ravi de reprendre sa place dans mes bras.
Sur le pas de la porte nous nous embrassâmes à nouveau du même baiser chaste et elle m?embrassa sur la joue.
Je me dis alors intérieurement que finalement notre relation se limiteraient sûrement à ce que nous avions vécu ce soir, je devais déjà m?estimer heureux.
Mais je me trompais bien heureusement.
Une fois seul, je me suis branlé comme jamais respirant son parfum imprégné dans l?oreiller.
Je me rependais sur les draps, attendant le lendemain.
La suite viendra plus tard.
A bientôt !