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Mes premiers congés payés – Chapitre 50




Lorsque mon réveil sonna, je me réveillais en sursaut, et surtout, comme tous les matins, en très grande forme, aucun bruit dans la maison, Bernard et Bruno étaient déjà partit, je me levais doucement, allais prendre ma douche et je gagnais la cuisine où Brigitte était attablée devant son ptit déj.

Brigitte : « salut, jespérais te voir, je voulais te remercier de mavoir aidé »

Moi : « de rien, Laurence est partit ? »

Brigitte : « non elle dort encore, elle partira dans la matinée », puis se levant elle sapprocha de la chaise sur laquelle je venais de masseoir, se pencha au dessus de moi et déposa un baiser sur mes lèvres, puis se redressant, elle me dit « jaurais vraiment aimé avoir plus, peut-être quun de ces jours »

Moi : « non, je ne pense pas, et je tai déjà dis pourquoi ».

Je finis de déjeuner et jattendais Jeanine, elle se leva une heure plus tard, elle arriva dans la cuisine alors que je buvais un bol de café, je me tournais pour lui dire bonjour et je pris une claque qui cingla ma joue, alors que Jeanine me dit « dis donc petite salope, tu pourrais te lever pour dire bonjour », en tenant ma joue, je me levais et mavançais pour lembrasser,

Jeanine « à 4 pattes salope, tu embrasses mes pieds », je fis ce quelle me demandait et déposais un baiser sur ses pieds, elle me repoussa dun coup de pied puis sassit, et levant un de ses pieds jusquà ma bouche, dit « lèche saloperie, lèche et suce comme si tu suçais une bite, tu aimes ça, jai vu avec celle de Gaston, alors dépêche-toi, tous, un par un », je suçais chacun des doigts de ses deux pieds, puis elle me repoussa et dit « lève-toi, et sers moi un café, alors que je me levais elle sourit, elle venait de voir que mon short était déformé par lérection qui cachée dedans, je lui servais son café et attendit à ses côtés,

Jeanine « déshabille-toi saloperie, enlèves tout » quand je fus nu, elle me demanda de me tourner et asséna une claque très forte sur mes fesses en me demandant « est-ce que je tai permis de bander ? » alors que je répondais « non », elle me claqua à nouveau les fesses en me disant de me retourner, lorsque je fus face à elle, elle attrapa mon bol à moitié plein de café, et me dit « oh il ny a plus grand-chose, on va arranger ça » puis avec un regard sévère « branle-toi et vides tes couilles dans ton bol, ensuite tu boiras », très excité, jobéis à son ordre, il ne me fallut que quelques minutes pour exploser et des paquets de sperme flottaient à la surface du café, je voulu prendre une cuillère pour mélanger, Jeanine me stoppa « non, comme ça sans remuer et actives un peu », je pris mon bol et commençais à boire, je sentais mon sperme couler dans ma bouche puis au fond de la gorge, quand jeus tout bu, je posais le bol sur la table, Jeanine me regardait avec des yeux remplis dexcitation.

Elle se leva et me dit « dehors, salope, jai envie de pisser, ensuite tu me feras ma toilette », quand je fus allongé sur lherbe, elle saccroupit légèrement au-dessus de mon torse et commença à se vider, le jt durine me cinglait le torse, elle avança un peu en disant « ouvres ta bouche, petite pute, que je te donnes à boire et ensuite tu vas messuyer avec ta langue avant quon aille à la douche », jouvris la bouche et le reste de son urine sécoula au fond de ma gorge et également sur ma figure, Jeanine était dans tous ses états « avales ma ptite gourmande, bois toute la pisse de ta tata adorée ». Une fois quelle se fut vidée, elle me rinça au jet deau, puis me tendit une serviette rêche pour messuyer, en disant « frottes bien surtout » et cest le corps rouge comme une écrevisse que je la suivais dans la salle de bains.

Je lavais Jeanine consciencieusement, quand se fut fini, elle me dit « écoute-moi bien saloperie, Cathy ma donné une super idée lautre jour, et je suis sur que ça va te plaire, aujourdhui tu nes pas mon neveu, tu es ma nièce, et tu vas obéir à tout ce que je te demanderais, pour commencer, tu iras dans ta chambre et tu enfileras ce qui est sur ton lit pendant que je mhabille, ensuite tu reviendras ici, mais pour commencer, je vais te raser le torse et les jambes, ce sera mieux, tu comprendras pourquoi après ».

Jeanine rasa le duvet qui recouvrait mon torse, puis mes jambes et le bas ventre, ensuite elle me dit « penche-toi en avant que je moccupe de ton cul aussi, elle étala de la mousse sur ma raie et au passage titilla mon ptit trou, avec lequel elle joua un peu, puis elle le rasa, quand ce fut fini, elle me donna une grande claque sur les fesses et me dit « allez, ma ptite salope, bouges ton cul et fais ce que je tai dit tout à lheure, magne-toi parce que jai hâte »

Je partis dans la chambre, la laissant seule dans la salle de bains, en voyant ce quil y avait sur mon lit je restais coi.

Il y avait un chemisier de femme, blanc, une mini jupe, un string de femme en dentelle rouge avec le devant en voile transparent, un porte-jarretelles et des bas résilles noirs et pour finir des chaussures noires à talons aiguille.

Excité, jenfilais le string qui du coup fut un peu juste à cause de lérection qui venait de monter en voyant ma tenue du jour, je passais le porte-jarretelles et je commençais à enfiler les bas, cétait la première fois que jen mettais et ce nest pas si facile que ça, une fois les bas mis, jenfilais le chemisier puis la jupe, Jeanine de la salle de bains cria « alors ma salope tu te dépêches où je viens te chercher », je lui criais que jarrivais, jenfilais les chaussures et tant bien que mal, je rejoignis la salle de bains.

Jeanine mattendait, elle avait amené un tabouret de la cuisine sur lequel était déposé un god que javais vu 48h auparavant chez Cathy, elle me montra le tabouret et dit « assis salope, que je finisse le travail », je mapprochais du tabouret, Jeanine prit le god à pleine main et de sa main libre écarta la ficelle du string, puis elle me dit « dépêche-toi, tinquiète, ça va rentrer tout seul, jai mis du lubrifiant, je mabaissais doucement au-dessus du tabouret, Jeanine regarda si le god était où elle le voulait, c’est-à-dire en face de mon ptit trou, je sentis le bout du god contre mon anus, je voulu me relever, mais Jeanine plus rapide sappuya dune main sur mon épaule, le bout du god rentra dans mon anus, je criais car ça me faisait mal, Jeanine avait maintenant lâché le god et de ses deux mains elle sappuya sur mes épaules en disant « tais toi petite pute, tu tassois et après je vais te maquiller, aujourdhui, tu nes pas mon neveu, mais ma nièce cest pour ça que je tai rasé complètement » puis elle appuya de tout son poids sur mes épaules et je sentis le god qui investissait mon cul, Jeanine resta appuyée jusquà ce que le god soit totalement rentré, puis elle me fit face et me balança un aller-retour, ma tête vola, et les larmes coulèrent, sur mes joues, Jeanine éclata de rire « cest ça ma grande, pleure comme une pisseuse que tu es, tu pisseras moins, la claque cest parce que tu as rechigné à faire ce que je voulais, maintenant tu sais à quoi ten tenir si tu ne fais pas ce que je veux », puis alors que je sentais parfaitement la présence du god dans mon cul, elle sortit un sac dun des placard et le posa sur le lavabo, du sac, elle sortit un perruque noire mi-longue quelle me mit sur la tête, puis elle sortit du maquillage et commença à me lappliquer, sur les yeux, les cils en terminant par du rouge à lèvres quelle appliqua avec beaucoup dattention, quand ce fut fini, elle se recula pour juger de leffet et dit « superbe, tu es une vrai petite pute maintenant, regarde-toi dans la glace, petite salope ».

Je levais les yeux, avec la perruque et le maquillage, je faisais vraiment illusion, javais en face de moi une jeune fille avec des traits un peu masculin mais javais vraiment lair dune fille. Le pire cest que jétais excité par la situation, Jeanine me dit « lève-toi que je te regarde marcher », je fis quelques pas les jambes écartées à cause du god et en titubant à cause des talons, Jeanine applaudit, « oui, cest très bien, donc je texplique, aujourdhui tu es ma nièce, ma pute, ma ptite salope à moi et tu obéis à tout ce que je dis, et comme tu es une fille, ta bite devient ton clitoris et ton anus, ta ptite chatte, et je vais mamuser avec les deux ma chérie, nous allons commencer par aller faire des courses et quand nous rentrerons, je vais te caresser la chatte et te la défoncer à coup de god et pour ton clito, je vais men occuper aussi, tu verras ».

Malgré la douleur, qui commençait à satténuer, dans mon anus, jétais excité, cétait la première fois quon me faisait me travestir, et je sentais mon sexe en érection comprimé dans le string, je demandais à Jeanine « mais je vais sortir dans cette tenue ? », pour toute réponse je reçu une claque sur les fesses, et Jeanine rajouta « si tu pleurs, tu fous ton maquillage en lair et je là, je sors le martinet, ma chérie, je tenlèves le god et en voiture, on va samuser un peu ».

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