Mon visiteur avait écrit, dans un français si approximatif qu’il faudra que je le rectifie pour raconter convenablement cet épisode : "Caillera de téci de 20 ans à péter son cul". Il y avait une photo du mec, beur plutôt mignon, au physique dessiné et à l’allure irrémédiablement gâchée par l’indévissable casquette et des fringues trop grandes.
Pour être franc, aller traîner dans la cité ne me disait rien qui vaille.
Mais j’imaginais un gay refoulé, incapable de faire son coming-out et qui cherchait un plan secret. Si c’était ça, on pouvait peut-être se marrer. Peut-être était-il puceau… je me mettais déjà à fantasmer.
De toute manière la fiche d’informations était insuffisamment renseignée, donc à priori, ce serait non.
Mais je pris quand même une journée de réflexion pendant laquelle je reçus un nouveau message.
Daoud, m’informait donc qu’il s’agissait d’enculer un de ses potes qui avait parié et perdu. Le prix du pari étant sa virginité anale, il n’y avait pas à hésiter . Une sorte de code de l’honneur l’obligeait à se soumettre. Mais, comme dans la téci il n’y avait pas de PD (mon il ! Doivent fermer leur gueule plutôt me dis-je)., ils avaient recours à moi.
Du coup j’étais partant. Je téléphonai donc à Daoud avec la ferme intention de lui demander de trouver un autre endroit, peu enclin que j’étais à aller sodomiser en banlieue et à me faire tailler un short par des mecs voulant casser de la pédale après nos ébats.
Je n’eus même pas cette précaution à prendre car, d’emblée, Daoud m’informa que, pour des motifs de discrétion, la rencontre aurait lieu chez son frère Aziz qui habitait un petit studio dans Boulogne-Billancourt, du côté de Marcel Sembat.
Il fut difficile de trouver une date, et d’obtenir le certificat. La "victime" ne voulait pas aller chez le médecin demander ça et pas d’argent de toute façon. Je l’envoyai au CDAG. Puis les dates ne convenaient pas. Ce mec avait l’air d’avoir un emploi du temps plus chargé que celui d’un ministre. Enfin il fut convenu que nous nous réunirions, un samedi après midi à 15 H 00.
Je suis ponctuel. Je sonnai chez Aziz à l’heure dite. Il m’ouvrit. Daoud et son pote n’étaient pas encore arrivés.
– Alors s’est toi qui va pilonner Billal ?
– Ben ouais…
– C’est trop chelou comme plan. C’est bien parce que c’est mon p’tit frère…
Aziz était un mec bien foutu, d’à peu près mon âge. Son débardeur rendait hommage à ses bras musclés et à sa peau bronzée. Il était en short et en chaussettes blanches. J’en aurais bien fait mon quatre heures mais il était trop tôt… Enfin il me plaisait déjà suffisamment pour m’exciter.
Comme je me faisais ces réflexions, l’interphone nous avertit de sa voix stridente de l’arrivée de mon petit puceau.
Sans que le propriétaire eut besoin de se déplacer, la porte s’ouvrit et à la queue leu leu six mecs entrèrent. Pour la discrétion cela me paraissait mal engagé.
– C’est qui ces gars là ? demandai-je.
– Ouais Daoud tu m’avais pas dit que vous veniez à 6 !
– C’est des potes répondit l’autre
– Qu’est-ce qui foutent là ? Je croyais que vous ne deviez être que deux.
– Ben ils étaient là pour le pari, alors ils vont voir aussi.
On me présenta ma victime, même gueule et même tête que sur la photo, mais avec une mine déconfite. Visiblement, il s’ y prêtait avec mauvaise grâce. Il s’appelait Billal.
Je me déshabillai et lui présentai ma queue.
– Vas-y, suce !
– Eh, ça va pas, on n’a pas dit ça ! Que le cul !
Les autres protestèrent bruyamment.
– T’as dit que tu ferais tout, tout, t’es pas un dégonflé, t’es un vrai keum ou quoi ?
La pression était trop forte. Billal se baissa et prit ma queue. Ses lèvres étaient épaisses et je me mis à bander immédiatement. Autour de nous les mecs se pressaient pour voir et je dois dire que je n’étais pas peu fier des compliments élogieux qui concernaient ma bite, tout le monde s’accordant à ne pas en avoir vu déjà d’aussi grosse.
Aziz était resté en retrait derrière les autres.
Je décidai de pousser mon avantage.
– Fous-toi à poil. Bouffe moi le cul !
En lui tendant ma croupe je sentis sa résistance. Il fallut que ses potes le poussent. Enfin sa langue épaisse se posa sur ma rondelle pour mon plus grand plaisir.
– Tourne la ta langue, enfonce-là, mieux que ça, mieux que ça !
Il s’y mit. Les autres garçons étaient en délire, ils applaudissaient, criaient et Aziz toujours planqué dans un coin et paraissant mal à l’aise dut leur dire de faire mon de bruit à cause du voisinage, même en pleine journée.
Tout en me faisant bouffer la rondelle, je ne quittais pas des yeux les autres gars qui bandaient sans qu’il fut possible d’en douter vu les bosses des survêts.
Ils avaient d’ailleurs du mal à se contenir et des tentatives de discrétion désespérées ne masquaient l’activité de chacune de leur main droite planquée dans leur poche.
Un petit trapu appelé Fahd, sans doute le plus jeune, avait même la main en extérieur sur son sexe et le caressait lentement. Fasciné par le spectacle, il avait dû oublié de se cacher un peu.
– Quelqu’un veut essayer de se faire bouffer le cul ?
– Eh, moi je bouffe que ton cul pas celui d’un de ces bâtards, dit Billal qui s’inquiétait un peu.
– Peu importe, moi je vais le bouffer ce cul, repris-je, qui essaie ?
Ils se regardèrent en hésitant, en souriant, sans doute tentés mais toujours craignant le regard des autres. Personne ne voulu prendre l’initiative.
– Debout, ordonnai-je.
Soulagé de déplier ses genoux, Billal obéit.
– Penche- toi .
A mon tour je lui embrassai les fesses. Comme je l’avais exigé, il était d’une hygiène irréprochable.
Et le miracle opéra. Ce n’est pas pour me vanter mais je crois être un excellent bouffeur de cul. Je lui astiquai l’il de bronze en n’omettant pas de descendre ma langue bien baveuse jusqu’aux couilles et il se mit à bander d’abord, puis à gémir.
– Et z’y vas ! Il aime ça Billal, il aime ça.
– Ta gueule toi ! répondit-il en essayant de se dégager pour ne plus gémir.
Mais je le maintins de force et continuai de bien lui brouter le trou.
Si bouffer un cul est agréable, il faut bien reconnaître que ce n’est pas l’idéal pour dégager son champ de vision et voir ce qu’il se passe autour.
En me redressant pour le ré attirer vers moi, je vis que trois garçons avaient baissé leur froc et se branlaient doucement. D’habitude quand des mecs se trouvent la bite à l’air simultanément, ils comparent. C’est plus fort que nous. Mais là ce ne fut pas le cas. J’en conclus que les mecs s’étaient déjà branlé ensemble et je commençai à croire que, pour plus d’un d’entre eux ce n’était pas suffisant. Le dépucelage de Billa n’était peut-être qu’une circonstance créée pour faire sauter les digues.
Je me remis sur le trou de Billal qui ne put résister longtemps. Il s’empoigna la bite pour commencer à se masturber à son tour.
– Qui veut se faire lécher le cul maintenant ? vous voyez que ça à l’air bon.
– Ouais….ouais…. mais attention…. c’est juste pour essayer… allez pas croire… dit Daoud.
– Aller Billal, fais plaisir à ton pote.
– Crève Daoud ! Sale bâtard.
– Tu parles pas comme ça à mon frère, intervint Aziz qui se rapprocha. Son short était tendu à mort.
Aziz est baraqué, l’autre ne répliqua pas.
– Passe-moi le gel toi… oui là, sur le fauteuil dans mes fringues…Oui.
Je passai deux doigts dans l’orifice, m’enduisis la bite consciencieusement et commençai la pénétration tout en douceur.
Billal avait mal. Il geignait mais était trop orgueilleux sans doute pour me dire d’arrêter.
Tout le monde désormais était pantalon sur les chevilles.
L’un des garçons remarqua
– T’as vu Driss il a pas le bout coupé.
Presque tous les regards convergèrent vers le sexe épais de Driss, qui tenait droit devant lui et qui était effectivement protégé par un épais prépuce. Cela ne fit que confirmer ce que je pensais, tous ces mecs se connaissaient déjà la queue, à l’exception du dernier dont seul Daoud, qui n’avait pas tourné la tête, semblait connaître son intégralité.
Ça bandait grave et ça commençait à sentir le mâle. La chaleur montait, las sueur perlait sur les poils des torses, des pubis et sous les bras. Les mecs se touchaient, les peaux frôlaient les peaux, l’atmosphère devenait électrique. Tous ces mecs avaient envie de baiser et personne n’osait encore l’avouer. Ce n’était qu’une question de temps, juste ce qu’il fallait pour faire tomber les inhibitions.
Je fis s’allonger mon amant sur le canapé, lui écartai les cuisses et retentai une pénétration face à lui. Je commençai à l’embrasser, il s’y refusa. Aziz qui était complètement excité maintenant lui enserra la mâchoire en lui intimant l’ordre de se soumettre. Il le fit. Et, comme pour le cul, se laissa aller à l’abandon d’une langoureuse galoche, Ma bite frappait toujours à son cul, je la reculai, l’avançai, détendis les chairs. Désormais il m’avait agrippé et serrait très fort ses bras autour de moi. Je lui arrachai un cri quand mon pénis rentra tout entier.
Alors je me mis à aller de plus en plus vite. Je m’étais relevé pour le prendre debout. Les mecs se pignolaient autour. Du sperme nous éclaboussa sous les rires, inondant le torse de Billal et s’écrasant sur mon pubis.
– Oh putain Hichem, ça te fais juter, t’as vu comme y jute Hichem ?
– Ouais Hichem il a toujours les couilles pleines.
C’est vrai qu’il y en avait et cet aveu de Wajd confirmait que ces garçons étaient les rois de plans branlette.
J’en ramassai sur mes doigts et le fit bouffer à Billal qui ne dit rien.
A mon tour je m’allongeai et je fis s’asseoir le gars sur ma teub.
Il se mit à aller et venir tout seul. Il ne pouvait plus cacher sa satisfaction.
– C’est bon c’est bon… c’est trop bon….
– Eh Billal t’es en train de devenir gay.
– Vous êtes tous des gros PD à vous branler en regardant ça de toute façon. J’suis sûr que vous avez envie de prendre ma place bâtards ! Répondit-il rageur.
– Allez viens Daoud, viens te faire bouffer le cul maintenant.
Daoud répondit à mon invitation, m’enjamba et présenta son postérieur à Billal qui dansait toujours sur ma bite.
En offrant son cul à bouffer, Daoud fit sauter la dernière digue. Les mecs commencèrent à tendre la main vers la queue du pote le plus proche…
Aziz s’était mis derrière. Absorbé dans les fesses de son frangin, Billal ne pouvait pas le voir.
Je l’avais deviné le Aziz. Je retirai ma bite, et lui fis signe de la main de s’approcher. Il hésita, mais comme tous les autres garçons en étaient maintenant à explorer le corps des autres, il ne se contint plus et pénétra le trou béant de Billal sans hésitation, comme à l’exercice, avec une science évidemment déjà éprouvée de la sodomie.
Billal se rendit compte de la manuvre, voulut protester mais le bras ferme d’Aziz lui recolla le visage sur les fesses de Daoud.
Je me dégageai donc en laissant les deux frères s’occuper de leur victime qui mettait désormais un point d’honneur à exécuter scrupuleusement les termes de son pari. Non seulement Billal se laissait baiser mais il prenait désormais des initiatives. Il en vint même à dire aux autres garçons d’essayer. Cette fois-ci, personne ne le traita de PD et chacun se mit en ordre pour tester cette recommandation.
Je m’approchai donc du beau métis appelé Wadj. Il avait l’air d’attendre que Aziz libérât la place. Je m’agenouillai et il me présenta un beau dard épais à pomper. Quand j’y mis la langue, du pré-sperme s’écoulait déjà du méat avec abondance.
Pendant que je m’appliquai à bien astiquer cette queue, Aziz éjacula dans le cul de Billa à grand cris.
Je me reculai pour voir la queue sortir du trou, et le sperme en couler. Libérant le zob de Wadj qui se trouvai ainsi prêt pour enculer son copain à son tour.
Dès lors, ce fut une partouze.
Hichem qui avait éjaculé le premier et se contentait de regarder, lâcha ce commentaire :
– Putain Aziz c’est pour ça que t’a quitté la téci, t’es PD, mon gars.
– Regarde Hichem, vous êtes tous des PD… viens que je te bouffe le cul.
Mais Hichem, dont la libido avait décliné hésitait. Daoud vint au service de son frère.
Hichem finit par tendre son cul et il y prit tellement goût qu’il bandait à son tour, le désir ayant retendu sa bite.
J’aimerais bien essayer d’être enculé aussi moi dit Fahd qui jusqu’ici ne s’était distingué qu’en étant le premier à avoir embrassé un de ses potes après lui avoir caressé la queue.
Il était face à moi.
Je demandai alors à Billal de s’allonger sur le canapé, à Fahd de se mettre en 69 dessus et pendant qu’il se faisait bouffer le bite je l’enculai. Il était très excité. Son cul avait abondamment mouillé. Je n’eus pas trop de peine à le forcer.
Pendant que je forçai, Billal, chauffé depuis un bon moment lui éjacula dans la bouche.
– Ça y est les gars, il a tenu son pari, il a tenu son pari !
_ Pas tout à fait ! Qui a encore du jus dans les couilles ?
Daoud, Hichem, Wadj et Driss avaient encore les burnes lourdes… sans parler des miennes.
Je m’allongeai sur le sol et ordonnai à Billal de se planter sur ma queue. Les gars devaient défiler en posant le pied de part et d’autre de ma tête au dessus de moi pour se faire sucer et décharger sur sa petite gueule.
Quand chacun eut joui, je me relevai. Il était couvert de sperme. Sa tête en était pleine, son crâne rasé était blanc de crème, ses lèvres épaisses gluantes. J’y entrai mon dard pour hâter le dénouement et terminai aussi par le facialiser moi-même.
Puis je lui roulais un mégapelle en malaxant son gros paquet mou, doux et humide
– Alors les garçons, j’ai fait ce que vous attendiez ?
– Ouais… j’crois que tu viens de changer nos vies man.
– C’est clair, c’est trop bon le cul entre hommes.
– Mais je vous préviens dit Driss… si quelqu’un en parle dans la téci, il est mort !
Tous jurèrent de garder le secret.
– Tu reviendras ?
– J’crois que vous êtes bons sans moi là ?
– Tu nous as pas tout enculés.
– Non mais vous avez des beaux morceaux parmi vous. Vous pouvez jouer tout seul maintenant.
Néanmoins, nous promîmes de nous revoir, le temps que je leur apprenne encore quelques trucs.
Et ainsi fut fait.