Depuis l’épisode de Toussaint, je suis revenu deux fois sur Lille. Lors de ses deux séjours, mes rencontres avec Magali se sont cantonnées à des jeux soft de Dominant/Dominée, comme pourrait le faire un couple pour pimenter le quotidien.
Moi comme elle, je suppose, avions besoin de faire un break dans notre relation particulière. Mes fantasmes pervers étant passés, je n’éprouve plus le besoin de domination. En plus, ne partageant ma vie avec personne en ce moment, j’ai également besoin de la tendresse féminine lors de mes relations sexuelles.
Ceci étant, je reviens sur Lille en ce mois de février, cela fait un an que nous nous sommes rencontrés, et il est évidant que cela doit se fêter.
En ce lundi matin, je travaille avec Magali et deux des ces collègues. Après un début de matinée bien chargé, vient l’heure de la pause café. Je propose donc un café et seul Magali répond favorablement. Comme quoi, il y a des semaines où on a de la veine, et celle-ci va vraisemblablement en être une.
— On y va ?
Je sors du bureau et Magali m’emboite le pas. On descend au rez-de-chaussée en ascenseur. Après 10 petites minutes, on prend la direction inverse. Les portes de l’ascenseur s’ouvrent. Durant la montée, je glisse la main dans la poche ou se trouve mon bracelet. Ça fait bientôt un mois que je n’ai pas vu Magali, et accessoirement que je n’ai pas couché, mon engin me fait sentir qu’il a des besoins vitaux.
On descend de l’ascenseur, j’ouvre et maintient la porte du couloir. Magali ne peut ignorer le bracelet qui est bien en évidence. Elle passe devant moi, je m’approche et lui glisse à l’oreille.
— Suit moi !
Je me dirige vers la première porte à gauche qui est celle des archives, où normalement, personnes ne va jamais. Il n’y a pas âme qui vive dans le couloir, on entre et j’allume la lumière. Il n’y a pas de clé sur la porte. N’étant pas exhibitionniste pour un sou, je me mets dos à celle-ci pour la bloquer si jamais quelqu’un venait à vouloir entrer.
Je suis excité comme une puce, c’est la première fois que vais avoir une relation dans un lieu public et qui plus est, sur mon lieu de travail. Dans cette situation ce n’est pas trop la soumission de Magali qui me fait bander, mais bien le risque d’être découvert.
— Approche-toi !
— Oui Monsieur, murmure-t-elle
Elle me fait face, nos visages maintenant collés, je l’embrasse. Malgré la relation qui nous unie maintenant, il y a toujours une connexion entre nous qui s’opère lorsque l’on est en contact. En s’embrasse longuement tels deux amants.
Mes mains qui ne sont pas en reste ne tardent pas à aller vérifier si cette situation l’excite autant que moi. Je déboutonne son jeans et glisse ma main sur sa chatte. Et j’ai la confirmation qu’elle apprécie autant que moi !!!
Mon pouce joue avec son clito et deux doigts lui pénètrent la chatte. Son corps très réceptif ne peut s’empêcher d’accompagner mes allers/retours dans son intimité. Sa respiration s’accélère et elle a de plus en plus de mal à rester debout. Pris pas le plaisir, elle délaisse notre baiser pour blottir sa tête sur mon épaule. Elle fait son possible pour ne pas émettre de gémissements, ce qui je n’en doute pas, accélère encore un peu plus la montée de son plaisir. La bouche ouverte, la mâchoire mordant délicatement mon épaule, elle prend son pied. Alors que mes doigts pénètrent très vigoureusement sa chatte toujours plus humide, mon autre main se charge de pincer ses tétons tout durs. Ce qui devait arriver, arriva. Sentant son corps se crisper et son orgasme arriver, je lâche son sein et attrape ses cheveux avec ma main pour lui tirer la tête en arrière. Je veux voir son visage. Enfin elle jouie, les yeux révulsés, les genoux qui s’affaissent légèrement et un râle de plaisir retenu sort de ses lèvres.
Je retire ma main couverte de cyprine et lèche sa mouille. Elle a toujours aussi bon goût. Il lui faut un peu de temps pour se remettre
— Agenouille-toi et suce-moi !!
Elle ne se fait pas prier et obtempère. Elle défait mon pantalon qu’elle glisse à mes pieds. Mon boxer laisse apparaitre une bite bien bandée qui ne demande qu’à sortir. Ce qu’elle ne tarde pas à faire.
Elle gobe mon engin à pleine bouche et commence son travail. Elle lèche mes couilles, puis revient sur mon membre. Puis elle prend de nouveau mes testicules en entier dans sa bouche pour jouer avec. Je suis aux anges ! Elle remonte sur ma bite pour la lécher sur toute sa longueur. Elle titille mon frein avec expertise. Magali est vraiment une reine des fellations, il n’y a pas de doute la dessus.
— Arrête de jouer et suce moi, je ne vais pas tenir
Sourire aux lèvres, satisfaite, elle reprend ma bite dans la bouche. Depuis sa première gorge profonde, ma soumise accepte de mieux en mieux ma bite. Elle parvient à la prendre de plus en plus profondément et sans haut le cur. J’apprécie d’autant plus qu’elle en souffre plus et semble apprécier l’exercice.
Me sentant venir, je prends sa tête dans mes mains, et donne quelques coups de bassin dans sa gueule. J’éjacule au fond de sa bouche. Tout comme elle, il m’est difficile de ne pas gémir de plaisir, mais je me retiens au maximum.
Illuminée de plaisir, me regardant droit dans les yeux, elle avale mon sperme. Quel Pied !!!
J’enlève mon bracelet, remonte mon boxer et mon pantalon. Magali se refait une beauté et nous sortons de notre cachette.
— Ce soir, c’est notre anniversaire. Et on va fêter ça
Je reste énigmatique, Mag doit se demander ce qu’il l’attend. Maintenant il faut nous trouver une excuse pour notre pause-café très prolongée
Le soir venu, on se retrouve à ma chambre d’hôtel.
— Magali, cela fin maintenant un an que l’on se connaît. Et comme tout anniversaire, on va fêter ça !
— Bien Monsieur, me dit-elle alors que je n’ai pas encore mon bracelet.
Magali avait le sourire aux lèvres, imaginant surement une nuit de baise intense, mais mes intentions étaient toutes autres.
— Il est venu pour toi, comme pour moi, de découvrir une nouvelle sensation !
—
— Quand je t’avais questionné sur tes pratiques sexuelles, tu m’avais répondu que tu n’avais jamais pratiqué l’anal. Est-ce toujours le cas ?
— Oui, c’est toujours le cas, dit-elle alors qu’un frisson lui parcours le corps.
Le visage de ma soumise est maintenant blême, et le sourire a disparu de sa face. J’en profite pour mettre mon bracelet de dominant.
— La dessus, nous sommes aussi ignorant l’un que l’autre !
La pénétration anal n’est pas forcement une pratique qui m’attire. Ou plus exactement, je n’ai jamais osé demander à une de mes compagnes si elle acceptait que je la sodomise. C’est donc le moment ou jamais de découvrir cette nouvelle pratique avec cette femme qui est tout à moi.
— Est-ce que ton mari te l’a déjà demandé ?
— Non Monsieur.
— Et toi en a tu déjà eu envie.
— Non Monsieur.
— Pourquoi ?
— Je trouve ça dégelasse et pas naturel ! et ça doit faire mal !
Je lui mets le main sur la gorge et la regarde avec un sévère.
— Désolé Monsieur dit-il elle pour se rattraper.
— Est-ce que tu as envie que je te sodomise ce soir !
— Non, Monsieur.
— Alors, voyons, la question sous un autre angle. Est-ce que le maitre que je suis peut enculer la soumise que tu es ?
Mon cur bat très fort, je suis de nouveau dans mon rôle de male dominateur.
Après un long blanc, les yeux embués de larmes elle répond.
— Oui Monsieur, dit-elle d’une toute petite voix.
Je suis à la fois excité et stressé, car même si je me suis renseigné sur cette pratique, je rentre en plein dans l’inconnu (dans tous les sens du terme).
— Très bien, c’est une très bonne réponse soumise !
— Merci Monsieur.
— Alors écoute, je ne vais pas te cacher que tu vas surement avoir mal au début, mais je vais tout faire pour que tu prennes le maximum de plaisir. Et dit-toi que ce n’est que pour avoir plus de plaisir par la suite.
— Bien Monsieur.
— Vas dans la salle de bain, je t’y ai laissé un kit de lavement pour que tu te nettoies le cul. Tout y est expliqué. Ne revient que quand tu seras propre.
N’étant pas très pipi caca, je laisse Mag se faire le lavement avec la poire que je lui ai laissé. Plus tard nous ne prendront plus autant de précaution pour nos relations.
Humiliée avant même de se nettoyer, elle se dirige vers la salle de bain. Après plusieurs minutes, et plusieurs lavements que j’entends dans les toilettes, Magali revient. Je souri en voyant qu’elle s’est rhabillé avec pudeur.
— Es-tu propre.
— Oui Monsieur.
Je vois des larmes coulées le long de ses joues. Mon cur se serre.
— Tu sais que l’on peut tout arrêter ?
— Oui Monsieur.
Je décide de la décontracter et la traite avec douceur avant de la sodomiser.
— Laisse toi faire, c’est moi qui prends toute les initiatives.
Face a elle, je mets mes deux mains des deux côtés de son visage, mes pouces derrières ses lobes d’oreille. Je la caresse. Mon visage s’approche, je lui fais un baiser sur le front, sur le nez et enfin sur la bouche, nos langues ne tardent pas à s’entremêler. Je sens son pouls ralentir. Elle se calme, son corps se réchauffe.
J’arrête de l’embrasser, mes mains lâchent son visage pour déboutonner son chemisier. Lentement, je défais bouton par bouton pour lui enlever définitivement. Il tombe par terre. Toujours debout devant moi, j’embrasse le haut de ses seins. Mes mains passent dans son dos pour détacher le dernier obstacle que les sépare de mon regard.
Maintenant libérées, je peux m’occuper de ceux-ci. Je me mets à genou, et lui dispense des baisser sur tout son buste. Je m’attarde sur son nombril, puis je remonte entre ses seins. Je ne résiste pas longtemps à l’appel de ses têtons. Je joue avec eux plusieurs minutes, mes mains caressant les flans de son corps. Elle a maintenant la chair de poule.
Je veux voir si mes efforts portent leurs fruits. Je descends son pantalon. Sa petite culotte toute blanche ne laisse pas de doute. Satisfait je dépose un baiser sur sa chatte à travers le fin coton. Celui-ci est tout humide. Je joue avec ses lèvres. Mag tient de plus en plus difficilement debout, ses jambes fléchissant à plusieurs reprises.
Enfin j’enlève sa culotte. Sa chatte toujours aussi impeccablement rasée luit de plaisir.
— Maintenant que tu es plus détendue, on va pouvoir passer aux choses sérieuses !
— Oui Monsieur !
Elle me fait une pipe, je rebande aussitôt. Je veux profiter au maximum de la première sodomie que vais lui faire, et me vide donc une première fois dans sa bouche avant de mettre la capote
Voulant ne rien rater de ces réactions, je lui demande de s’allonger sur le dos pour la prendre en missionnaire et non en levrette. Je lui mets un coussin sous les fesses pour faire remonter son cul. Je suis maintenant sur le lit, à genou devant son arrière train. Je bande déjà comme une mule. Je passe un doigt sur sa chatte puis continu vers son anus pour un premier passage.
Elle frissonne. Curieusement, mon excitation baisse, et ma bite débande légèrement. Il est vrai que mettre les mains sur le petit trou de quelqu’un n’est pas ragoutant au premier abord.
Avec ma langue je viens aussi lui titiller son clito et mes doigts s’aventurent en parallèle dans sa chatte. Après de longues minutes à lui lécher la chatte, son excitation est de nouveau au maximum. Elle est enfin prête à recevoir ma bite dans son cul.
Je prends le tube de lubrifiant et enduis généreusement mon pieux avec. Je dispose également une bonne quantité de ce liquide gluant sur le trou de ma soumise. A chaque passage de ma main je sens ses fesses se crisper.
— Détend toi, plus tu te crisperas, plus le passage sera difficile.
Enfin je présente mon gland à l’entrée de sa cavité. Réaction immédiate, ses fesses se contractent. Je presse tout doucement l’entrée que résiste. Le corps de Magali fait un geste de recul. Je la prends fermement par la taille pour la maintenir.
Je recommence ma pression sur son anus. Magali pousse de petits soupires. Je sens que mon engin commence à ouvrir les parois de son cul. Ses gémissements sont alors un peu plus forts. Puis d’un coup, après une pression un peu plus franche, mon gland franchi l’obstacle ! Un cri de douleur et de surprise accompagne cette arrivée. Ses mains agrippent les draps avec force.
Je regarde avec délectation le visage crispé de ma soumise. Je m’arrête pour laisser à Magali le temps de s’acclimater à cette nouvelle présence. Je me penche pour l’embrasser, puis je lui mordille les seins. Son corps se relâche.
Avec mon pouce je caresse son clito, je reprends alors ma poussée dans son anus toujours avec beaucoup de douceur. Centimètre par centimètre, ma bite pénètre cette nouvelle cavité. Centimètre après centimètre ces gémissements se font plus forts, entrecoupés de petits cris. Je m’arrête alors pour lui laisser de nouveau le temps de s’adapter à la présence nouvelle de ma bite dans ses entrailles.
En ce qui me concerne, la sensation est délicieuse. Les parois et la pression exercée sur ma bite son plus forte que dans sont vagin. J’ai l’impression d’être dans un carcan qui compresse mon pénis, les sensations sont énormes.
Alors que ma bite est rentrée à moitié je la ressort complètement et d’un coup sec. Elle cri plus de surprise que de douleur. Je remets du lubrifiant sur son trou et sur ma bite. Et je présente à nouveau mon gland à l’entrée de ses fesses. Cette fois je rentre un poil plus facilement. Magali émet par contre le même gémissement que lors de la première entrée.
— Cette fois je vais te la mettre en entier.
Sur ces paroles, quelques larmes se mettent à couler le long de ses yeux. Les premiers centimètres passent sans trop de soucis même si elle gémit à chaque centimètre gagné. Je fini enfin par la pénétrer totalement sur des cris plus vivaces, les poils de mon pubis contre sa chatte et mes couilles contre ses fesses. Ma bite est littéralement emmurée dans son cul, la sensation est terrible. Je reste ainsi un bon moment en elle, sans bouger, ma main caressant toujours son petit bouton que ses mouvements de bassins accompagnent.
Mais, il est maintenant temps pour moi de la ramoner. D’abord lentement, je pénètre ensuite ma soumise avec une cadence de plus en plus importante. Ses cris de douleur mêlés de plaisir se joignent à ma pénétration. Ses cris diminuent en intensité et se transforment en gémissements. Alors que mes mains prennent ses hanches pour accompagner mes mouvements. Son bassin, lui aussi suis le rythme. Même si Mag ne prend vraisemblablement pas encore un plaisir total, la douleur a diminué et son cul accepte mon membre plus facilement.
Mon instinct animal prend véritablement le dessus. Je lui défonce dorénavant le cul sans ménagement, mes couilles claquant contre ses fesses à chaque pénétration. L’accroissement de ses gémissements me faisant bander encore plus. Parfois je retire mon engin totalement pour le renfiler aussi sec. Quel plaisir !
Je lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit pour que je la prenne en levrette, mes mains sur ses fesses, je la défonce virilement. Ces mains ses cramponnent aux draps, alors que ses gémissements ne font que croitre encore. J’attrape ses cheveux d’une main et lui claque les fesses avec l’autre. Je suis sur le point de décharger.
Enfin, dans un dernier mouvement, j’éjacule et m’effondre sur son dos. Coller, nous mettons un petit temps à reprendre nos esprits. Il est sûr que ce ne sera pas la dernière fois que je défonce le petit cul de ma chose !
Nous allons à la salle de bain pour se nettoyer, j’en profite pour la prendre de nouveau, dans la chatte cette fois ci.
Avant d’enlever mon bracelet et de lui laisser congé, je l’interroge.
— Réponds franchement à toutes mes questions !
— Oui Monsieur.
— As-tu eu mal ?
— Oui Monsieur ? Au début, quand c’est rentré pour la première fois, j’ai eu l’impression qu’on me déchirait l’anus.
— Et ensuite, ça été mieux ?
— Oui, un peu sauf qu’en ta bite est entièrement rentrée, ça m’a fait mal.
— Tu n’as pas jouie ?
— Non Monsieur.
— Est-ce que tu as quand même eu du plaisir à un moment ? Car j’ai entendu des gémissements qui ressemblaient à du plaisir.
— Oui, la pénétration me faisait moins mal, et j’ai commencé à prendre du plaisir à la fin.
— Bon, c’est bien ce qui me semble, tu es une bonne salope qui aime le cul ! La prochaine fois, ton cul te ferra jouir, je te le promets.
Le but de ces paroles est atteint. Elle rougie de honte, et baisse la tête. Il faut bien lui rappeler sa condition.
— En tout cas, sache que tu as donné un plaisir énorme à ton maitre, tu peux être fière ! Mais ne t’inquiète pas, tu auras l’occasion de t’habituer à la sodomie, elle ferra partie de nos classique. Tu peux retourner chez ton mari !
A suivre