Se ravisant, elle posa la bombe sur la petite table de chevet et partit à la cuisine chercher du lubrifiant qu’elle me tendit aussitôt. Celui-ci coula bientôt entre mes fesses et Anna commença à mettre un puis deux doigts pour me préparer.
C’était la première fois qu’on me sodomisait et je commençais a apprécier cela même si j’étais troublé par le coté pervers de ma femme. Pendant qu’elle me préparait, elle approcha le sexe du chien de ma bouche en me disant :
— Je te prépare pour ce beau mâle mais prépare-le bien aussi : suce-le !
Ne ressentant aucune once de honte ou quoi que ce soit, je pris le sexe du chien, le branlai un peu et le suçai au mieux pour qu’il puisse bander comme il faut. Après quelques minutes, une giclée sortit de son sexe. Je voulus recracher sa semence mais je reçus une gifle de ma femme.
— Avale salope ! je ne veux pas que tu en perdes une miette. Tu vas aimer, comme j’aime que ce chien me prenne quand je le garde et que tu n’es pas à la maison.
Quelle surprise ! ma femme se tapait donc le chien… et elle en redemandait la salope !
Après quelques minutes, elle positionna le chien derrière moi et me mit de la Chantilly en pleine raie de mes fesses.
— Vas-y mon chien, lèche bien le cul de cette salope et tu pourras bien le limer après.
Cette phrase me plut malgré le ton autoritaire de ma femme à son amant.
Je sentis sa langue rugueuse me lécher le cul.
— Hum c’est trop bon !
Une autre gifle tomba.
— Qui te demande de parler ? Tu n’es pas là pour ton plaisir, mais pour le sien.
J’étais devenu un jouet sexuel pour le chien, comme un simple jouet en plastique.
Bientôt je sentis que mon cul mouillait bien et ma femme le constata en introduisant deux doigts facilement alors qu’elle avait eu du mal avant. Elle prit le chien et l’avança pour qu’il puisse introduire son sexe en moi. Le chien était devenu fou et je ressentais ses pattes qui essayaient de m’agripper pour bien me prendre. Anna le fit patienter de plaisir. Je voyais son sourire et elle me dit :
— Tu vas voir ce que c’est qu’un vrai mâle !
Elle le lâcha et le chien m’agrippa, me sodomisant d’un seul coup.
Ouah ! Je me mis à pleurer vu la violence et la grandeur de son sexe qu’il me rentra d’un coup. Et il se mit à me limer d’une façon que je ne ferais même pas à ma femme. Il était tellement excité que rien ne pouvait l’arrêter.
Au fur et à mesure, je prenais plaisir à me faire enculer par la bête : ma bête. Au bout de quelques minutes, son sperme inonda mon cul de pute. J’étais à bout de souffle et lui aussi : quel pied de se faire sodomiser !
— Tu as aimé mon mari ? J’aurais pu le parier que tu étais une belle pute !
.Elle rit et me prit en photo.
— A partir de maintenant, tu es à moi et tu feras ce que je veux.
Je n’avais rien à dire. J’ai bandé dur et j’ai éjaculé pendant ce laps de temps. Le chien partit mais elle le rattrapa.
— Tu n’as pas finis ton travail.
.Elle prit alors une corde et m’attacha sur la table basse que nous avions, et mit un cousin par terre en face de notre fauteuil.
— Maintenant que tu as pris ton pied, à mon tour : lèche bien ma chatte et tu vas voir comment un homme doit se comporter.
Au fur et à mesure que je léchai sa chatte, sa cyprine coulait à flot et je pus ressentir son excitation .Elle se leva alors et se mit à genoux sur le coussin, s’appuyant sur le fauteuil.
— Viens mon chien ! tu vas montrer à cette petite bite qui est le vrai maître du jeu.