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Emilie : directrice et trainée du lycée – Chapitre 11




Suite :

Nous nous affalons sur le lit ou au sol, nous reposons un peu, puis, comme illuminé par une idée de génie, Laurent proposa daller chercher des boissons fraiches au distributeur, dans le hall dentrée. Nous acceptons avec plaisir et il se rhabille pour sortir de la chambre.

Seule avec mes deux élèves préférés, nous discutons.

— Vous nous avez vraiment manqué, Mme Bourgeois, déclare Antoine.

— Vous aussi mes chéris Jadorais notre relation Mais le fait que Laurent nous ai surpris lui a permis de mimposer ce quil voulait, y compris de navoir que lui comme amant. Je navais pas le choix

— On sait, répond Florian. Mais pourquoi cest lui qui est venu nous cherché hier, alors ?

— Cétait à ma demande En fait je voulais avoir à nouveau des relations avec plusieurs hommes en même temps. Et comme il veut garder le « contrôle », il a décidé quil me trouverait quelquun lui-même. Quand il ma proposé de vous revoir, jétais évidemment ravie !

— Cest cool ! Et on pourra vous revoir après ce soir ?

— Sans Laurent, je ne crois pas Mais je vais faire en sorte que ce genre de séance se reproduise régulièrement. Jadore vous avoir les trois en même temps en moi !

— Madame Bourgois, commence timidement Antoine, vous ne le prendrez pas mal si je vous dis un truc ?

— Ouh là essaie toujours pour voir

— Jamais jaurais cru quune femme normale je veux dire pas une professionnelle puisse être aussi cochonne !

— Cochonne ? Tu trouves réellement que je suis une cochonne ? Tu es sûr que cest le mot le plus juste ?

— Oui, enfin cest-à-dire que je ne veux pas vous insulter, non plus.

— Salope, lâche dun coup Florian. Cest « salope » le mot juste.

— Tu viens de traiter ta directrice de salope, Florian ?

— Exactement, répond-il en sapprochant de moi. Vous vous habillez comme une pute, vous allumez votre entourage, vous montrez vos seins et votre cul à tout le monde, vous baisez avec trois mecs en même temps, dont deux sont des élèves, vous pratiquez lanal, la double pénétration, vous sucez nos queues comme une affamée, peu importe quelle sorte de votre cul ou dailleurs, vous avalez notre sperme par gorgée entière ou alors vous vous en faites recouvrir. Vous goutez même à notre pisse et vous aimez ça !

Il prononçait ces mots qui mexcitaient tant en se rapprochant de moi et on se retrouva face à face, cest lèvres à quelques centimètres des miennes.

— Pour moi, cest la définition même dune salope Dune magnifique salope.

Et sur ces mots il membrasse langoureusement. Il caresse mes seins, joue avec mes tétons. Entre mes jambes, je sens une langue jouer avec mon clito : cest Antoine qui nous a rejoints et qui commence aussi à soccuper de moi.

Les deux garçons sont doux et attentionnés : ils membrassent partout, me lèchent, me caressent, me doigtent. Cest jouissif et je me mets rapidement à mouiller. Antoine, affairé entre mes jambes me doigte de sa main droite en jouant avec mon clito de sa main gauche. Il enfonce un, puis deux, trois et enfin quatre doigts dans mon vagin, sans trop de peine, en prenant simplement la précaution de bien lubrifier. Sa main est un peu plus petite que celle de Florian mais lécartement de mes chaires et tout de même intense. Intense mais agréable.

Florian se contente toujours de membrasse ou de me lécher les seins pendant que ma main vient saventurer entre ses jambes et masturbe doucement un sexe déjà très dur.

Laurent fait alors son retour dans la chambre avec les boissons.

— Et bien ! Vous auriez pu mattendre, bande de petits cons !

Il dépose les boissons et nous buvons tous un coup. Antoine, toujours entre mes jambes, alterne coca et cyprine, sans que jarrive à savoir laquelle de ces liqueurs il préfère. Les deux autres également ne peuvent se satisfaire de leur soda et reviennent soccuper de moi rapidement. Pour ma part, je finis mon Perrier tranquillement et me saisis alors des bites qui mentourent pour les sucer à tour de rôle.

Alors que mes trois amours saffairent à me donner de plaisir depuis un petit moment, je sens mon vagin être étirer un peu plus. Javais senti quAntoine jouait avec, samusait à y enfoncer plusieurs de ces doigts, de létirer sur les coté, etc. Mais là, cétait autre chose. Il tentait dintroduire son pouce dans ma chatte alors que ces quatre autres doigts y étaient déjà. Je ne réagis dabord pas, espérant quil nirait pas trop loin. Mais il continue avec les enfoncer, à faire pivoter ses cinq doit ainsi réunis pour détendre mes sphincter.

La pression daccentuant, je me dégage des sexes des autres et dit à Antoine :

— Tu joues à quoi là ?? Arrête ça, tu vas me faire mal !

— Madame, ma main est déjà presque entièrement dedans sans que vous naillez rien dit

— Oui, mais je sens que le plus dur reste à venir ! Arrête tout de suite !

Et alors que je sentais la main dAntoine se retirer, Laurent intervient :

— Continue ! On va taider

Florian et Laurent qui mentouraient me mettent alors sur le dos, se saisissent chacun dune jambe, me les lèvent et les écartent.

— Eh, les gars ?? Vous êtes sourds ? Jai dit non !! Je ne peux pas !

— Et moi je dis quil faut dabord essayer répondit Laurent. Laissez-nous faire

Antoine repris aussitôt son entreprise et tentait de faire progresser sa main dans ma chatte.

— Non Je vous dis que. OOOhhhhhh ça fait.. AAAAAAAAAHHHHHH !!!!!!

— VOILAAAAAA !!!

Antoine venait denfoncer son poing dans mon sexe déclenchant un « voilà » de victoire de ses camarades et un « AAAHHHHH » surprise de ma part. Je dis surprise et pas douleur car, il faut ladmettre, sa main avait glissé en moi assez doucement, mavait certes étirée mais sans vraiment me faire mal.

Antoine me « fista » (jai appris le terme ensuite, sur internet) pendant quelques instants puis, la sensation devant un peu pénible, se retira. Les garçons mavaient tenu les jambes ainsi et étaient impressionnés par la souplesse de mon sexe, mais pas autant que moi qui, décidemment, découvrait un corps plein de possibilités !

Antoine termina le fist fucking par une séance de léchage qui me fit oublier la légère douleur. Florian pris ma tête entre ses mains, me tira à lui pour me mettre à quatre pattes sur le lit et mincita à le sucer. Ce fut la fin de la « pause » et le top départ de la deuxième manche car, derrière moi, Laurent en profitant pour me sodomiser directement en me disant :

— Cest pour votre bien, votre chatte doit être un peu sensible

Ce nest pas faux, mais à la manière dont il me ramone le fion, celui-ci allait bientôt être aussi douloureux ! Il me défonce, laisse sa place à Antoine qui tape dedans avec la même ardeur mais ségare aussi un peu dans ma chatte. Et à nouveau Laurent prend la place et mencule puissamment. Je voudrais dire que cétait violent, douloureux, que jai souffert Mais à la vérité, jai pris un pied denfer à être baisée comme une chienne, comme un objet.

Alors que Laurent est dans mon cul depuis un moment, il se penche vers moi, me chope les seins et me relève vers lui. Le fait de me redresser ainsi change progressivement lorientation de mon bassin et la sensation que me procure la sodomie. Cest plus intense, mais plus jouissif également Je suis maintenant presque entièrement redressée, le cul à peine tendu vers larrière, et Laurent peut du coup membrasser le cou et me mordiller le lobe de loreille tout en me ramonant le fion. Antoine et Florian, en face de moi, profitent de mon corps ainsi exposé : ils membrassent, jouent avec mes seins en les léchant, les palpant, les mordant, ils caressent mon sexe, branle mon clito Bref, ils soccupent de moi comme dune princesse.

Soudain, il mentraine avec lui en arrière, sallonge sur le dos et mécarte les jambes, le tout en restant enfoncé dans mon cul. Il laisse ainsi, en une sorte de « cowboy inversé », la voie libre vers mon sexe. Florian est le premier à sy précipiter et me prend à nouveau en double tandis quAntoine se nettoie la bite dans mon gosier.

Cest, cette fois-ci, entre ma chatte et ma bouche que se succèdent les bites, mon cul étant en permanence occupé. Florian laisse sa place à Antoine et me fait lécher sa queue imbibée de mouille, ce qui est bien plus agréable au gout que lorsque que ça sort de mon fion Les doubles se succèdent pour mon plus grand bonheur et celui de mes chers amants. Nous prenons, ensemble, un pied denfer et jai à nouveau un orgasme pendant cette nouvelle partie. Je soupçonne également les garçons de nêtre pas loin de cracher la purée et de profiter de mes fellations maladroites pour faire redescendre la pression.

Rapidement, Laurent exprime sa volonté de bouger car la position lui est inconfortable. Je me réempale donc sur Florian en cowboy « classique » pendant que Laurent et Antoine soccupent de mes fesses. Les corps semmêlent avec une fluidité étonnante pour passer dune position à lautre. Il ny a pas dhésitations, de quack ou de malaises Je suis tellement excitée que je prends les devants, que je les invite à séchanger leur place, que je me lubrifie moi-même lanus pour quils menculent. Je mouille tellement que chaque pénétration nest que plaisir sans la moindre douleur. Cest le paradis !

Alors que Laurent me sodomise puissamment et que je roule une longue et savoureuse pelle à Florian, je le sens se retirer de mon anus mais rester derrière moi, sans laisser sa place. Je lentends cracher, et je me dis alors quil souhaite me lubrifier un peu car il est vrai quaprès autant dallers-retours, ça commence à chauffer un peu ! Mais au lieu de retourner dans mon fion béant, il introduit son gland dans mon sexe, là même où Florian me lime déjà !!

Mon dieu, il veut me tuer ou quoi ??? Deux sexes dans le même trou, il doit être fou !! Je me retourne alors vivement :

— Arrête-ça tout de suite !! Tes dingue ??

— Fais-moi confiance, me répond-il avec un ton voulant plutôt dire « ferme ta gueule »

Florian, sentant évidement ce qui se passe dans le trou quil occupe déjà me prend alors le visage entre ces mains et me dit :

— Ne vous inquiétez-pas, Madame Bourgeois, ça va passer, vous êtes hyper ouverte Et vous vous êtes pris un poing entier dedans il y a peu !

— Oui mais tentais-je alors.

Florian minterrompt alors en membrassant passionnément, laissant ainsi Laurent opérer tranquillement. Son sexe glisse tranquillement en moi tandis que je ferme les yeux dinquiétude. Mon vagin est durement étiré mais, bizarrement, je ne ressens pas de douleur, au contraire Le sexe de Laurent presquà fond qui croise et chevauche celui de Florian ; les deux membres qui vont et viennent tantôt ensemble, tantôt de manière décalée Tout cela me procure en réalité un plaisir particulier, intense mais un plaisir quand même ! Les garçons sentent dailleurs que je me détends, que mes gémissements reprennent de manière non feinte et ils en profitent donc pour me pénétrer franchement, à fond.

Alors que ma première sodomie il y a quelques années fût un échec total, ma première double pénétration vaginale, même avec deux gros calibres, est au contraire une réussite, un bonheur, une expérience incroyable. Comme pour la double « classique », personne nest laissé de côté et Laurent laisse bientôt sa place à Antoine qui observait depuis le début la scène. Son sexe, plus petit, rentre sans problème, étire moins mes muscles vaginaux et la double nen est que plus jouissive encore. Je voudrais dailleurs crier de plaisir mais, je vous le rappelle, nous sommes dans un internat ! Certes, ma chambre est à lécart, au fond dun couloir, assez loin des premières chambres mais, à cette heure silencieuse de la nuit, le moindre « Oh oui comme ça cest bon » un peu trop fort à toute les chances dêtre entendu Je me contente donc de gémir, de soupirer, de couiner, de refreiner mes orgasmes en embrassant celui en face de moi ou en enfonçant sa queue dans ma bouche.

Revenons à laction. Jai actuellement deux bites dans ma chatte, une autre dans ma bouche. Et jaime ça. Jen jouis, même. Dautant quils ne sont pas violents, au contraire, ils attentionnés : à un moment, Laurent et Florian se retirent, libèrent donc mon sexe pour un instant pour contempler son état douverture et me lécher goulument le clito. Cette pause salvatrice et jouissive me refait mouiller abondamment et la double reprend ensuite de plus belle.

Alors que Florian membrasse, jentends Laurent dire à Antoine :

— Viens par-là toi !

Antoine passe dans mon dos, si bien que je ne vois pas ce quil fait. Jentends juste « mets-toi là », « non, comme ça plutôt » Des phrases qui minquiètent un peu ! Puis, soudain, je comprends. Je sens en effet un gland pénétrer mon anus, je le précise, EN PLUS des deux sexes occupant mon vagin. Je suis choquée, apeurée, déstabilisée mais encore terriblement excitée. Je perds mes mots et ne sais comment réagir à cette tentative de triple pénétration

— Oh mon dieu Vous êtes fous, putain ?!? Je suis pas une actrice porno, ou une poupée gonflable !! Je Oh mon dieu. Je vais crever.

Nécoutant pas mes plaintes, Antoine senfonce lentement mais surement dans mon cul, créant une forte pression sur mon vagin bien rempli, mes muscles et ma peau distendus. A cheval sur moi, le cul collé au ventre de Laurent, la tête est à quelques centimètres de mon oreille. Il me chuchote :

— On essaie mais si vous avez vraiment mal, dites-le moi, je me retire tout de suite.

Comme cest chou de sa part alors quil est en train de me déchirer le cul Enfoncé en moi, il essaie de faire de timides allers-retours, tout comme les deux autres dans mon sexe. Mais tout est tellement serré (3 bites pour 2 trous) que cest à la fois difficile et douloureux. Ils insistent encore un peu, mobligeant à respirer très fort, à serrer les dents et à me concentrer pour ne pas crier tant cela est intense. Ils trouvent tout de même un semblant de rythme et arrivent à me pénétrer à peu près normalement. Les deux sexes dans mon vagin allaient et venaient doucement en décalé tandis que celui dans mon cul ne rentrait que lorsquil y avait un peu de place en dessous Imaginez la sensation pour moi ! Sentir des masses très dures aller et venir en moi, appuyer sur mes muscles et mes parois dans tous les sens Je nen revenais pas de vivre un moment pareil, aussi intense. Une chose que je pensais réservée aux actrices, et encore, une minorité dentre elles ! Dire que jy ai pris un grand plaisir serait mentir. Mais cétait une expérience extraordinaire, dune intensité rare. Comme un exploit sportif qui fait souffrir mais qui vous remplit quand même de satisfaction

Cette triple pénétration ne dure finalement que quelques instants mais qui me paressent carrément longs (la relativité version Youporn). Mais je tiens le coup et cest finalement eux qui cèdent, le frottement du cul écarté dAntoine contre Laurent commençant sérieusement à indisposer celui-ci ! Et oui, nest pas acteur porno qui veut

Me voici enfin délivrée et vide de sexes. Je me sens totalement épuisée, dilatée, endolorie par tant de nouveautés, asséchée et assommée par trop dorgasmes. Je métale sur le lit et tente de reprendre ma respiration. Puis, sentant que je naurais pas la force de continuer, ni lenvie dailleurs, je demande aux garçons qui commençaient à maborder à nouveau :

— Jen peux plus Vous mavez vidé, défoncé mes salauds. Finissez-vous sur moi Où vous voulez !

Les garçons ne protestent même pas, sans doute contents de ne pas à avoir à écourter la séance eux-mêmes car ils sont à deux doigts de craquer Le premier à venir est Florian, rapidement suivi par les autres. Les jets de spermes sabattent partout : Florian se répand sur mon sexe et mon ventre, Laurent sur ma poitrine et Antoine, décidément le plus pervers, sur mon visage et ma bouche, ouverte à sa demande. Je suis littéralement recouverte de foutre frais

Les garçons se dispersent alors pour boire, se nettoyer un peu, ou commencer de se rhabiller. Ils commentent cette incroyable partie de sexe, me félicitent pour mes performances, se félicitent entre eux pour avoir tenu aussi longtemps et mavoir fait jouir autant. Moi, je suis dans ma bulle, en train détaler le sperme sur mon corps et de lécher mes doigts en repensant au plaisir inimaginable que je venais de ressentir. Javais le sourire malgré des orifices endoloris. Jétais fier de moi malgré mon état si dégradant. Javais hâte de recommencer malgré ma fatigue.

Sortant un peu de mes pensées, jentends une petite phrase innocente prononcée à voix basse : « il faudra quon essaie la double anale, la prochaine fois ! ». Ils sont sérieux ou cest juste pour me faire peur ??

Le lendemain, un vendredi, se déroula sans que rien de notable se produise, à part le travail normal dune directrice de lycée qui a du mal à sassoir et je profite du weekend pour me reposer, moi et mes orifices.

Le lundi suivant, Laurent vint me voir dans mon bureau.

— Alors, me demande-t-il avec un grand sourire, remise de vos émotions, madame la Directrice ?

— Hum, oui, répondis-je avec le rouge aux joues, le weekend fut réparateur

— Parfait, maintenant que vous êtes « calmée », nous allons pouvoir revenir à quelque chose de plus classique Rien que nous deux.

— Tu rigoles ? On va remettre ça le plus souvent possible ! Je vous veux, vous trois, au moins une fois par semaine Et je veux dautres hommes aussi !

— Q Quoi ?!?

— Tu as très bien entendus Si tu veux continuer de me baiser quand tu veux, il va falloir que tu me trouve dautres amants. Je veux de la nouveauté Je veux voir dautres corps, dautres bites

— Comment voulez-vous que je fasse ça ??

— Débrouilles-toi !! Je veux pouvoir me faire sauter quand je veux et où je veux ! Tu as intérêt à me constituer un beau réservoir de mâles.

— Bon, je vais voir ce que je peux faire Mais je ne promets rien

— Je suis sûr que tu y arriveras Et, Laurent, que des élèves, évidement. Pas de vieux garçons de la campagne et pas de profs non plus Je ne veux pas que ça sorte du Lycée.

A suivre…

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