JENNY.
Jai enjambé son torse pour me coucher sur son ventre, en position de grenouille, cuisses largement écartées. Puis jai superposé les mains pour y poser le menton, pensive. Mes yeux dans les yeux noirs de Tony ; mon Tony, je le savais du fond de mon cur Un garou, un grand fauve noir, autant tigre que loup, avec un tiers dhumanité. Je navais pas peur, javais reconnu ce tiers là, cétait bien Tony. Jai souri, et la gueule du fauve souvrit en réponse, dévoilant une langue rouge et épaisse qui se tendit vers moi pour passer sur mes lèvres. Jai écarté les lèvres et sorti la langue à son contact, goûtant la salive du garou.
Jai averti ta tante que tu étais avec moi et quelle ne devait pas sinquiéter. Jai dû lui expliquer tout.
Tu as osé le faire Bravo !
Men parle pas ! Ta tante est connue comme la sorcière la plus puissante du comté. Je crois quelle maime bien. Elle a le droit de savoir que des garous sans loi rôdent, ces trois là nétaient pas seuls. Et elle connaît notre meute depuis toujours.
Si tu sais tout de ma famille, comment ça se fait que je ne sache pas grand chose de vous ?
Ta tante ta préservée, je pense. Elle devait attendre que tu prennes possession de tes pouvoirs, et maintenant tu pourrais en avoir besoin.
Je nétais pas prête à me donner à quelquun, je tattendais. Et puis Sam mavait conseillé dattendre mes dix-huit ans, je les ai eus il y a dix jours. En tous cas, tu as bien fait de la prévenir.
Pour accéder à leurs pouvoirs, les jeunes filles ayant des dons doivent avoir fait lamour. Je devais passer par cette "épreuve" pour connaître létendue de mes pouvoirs de sorcière, avant dapprendre à les maîtriser. Jétais la fille dune sorcière respectée et puissante, morte douze ans plus tôt dans des circonstances étranges et dramatiques. Je comprenais que lheure était arrivée dentrer dans la vie adulte et de revendiquer mon héritage.
Tu crois que tu pourrais te transformer en prince charmant ? Je ne crois pas pouvoir taccueillir tel que tu es maintenant. Si ce que je sens sur mes fesses est bien ce que je pense.
Oui ; cest bien ma verge ; je ne suis pas un démon, alors elle nest pas dentelée et il ny a pas dos non plus. Mais cest trop gros, trop long pour toi, je comprends.
Plus tard, on verra ce quon peut faire, je te promets ; le ventre des femmes est très élastique, et la magie pourra peut-être maider.
Daccord, mais avant de me transformer, je vais te faire jouir. Tu nas pas idée de mes talents
Il se souleva, une main sous mes fesses et lautre dans le creux des reins. Sa tête affleurait le plafond pourtant haut, il me posa délicatement sur le lit méga king-size ; jai soupiré quand il ma surplombée de toute sa masse, mes yeux troublés se posant sur sa verge rouge sang qui sortait dun fourreau noir, si longue et lourde que jen fut choquée avant de me rendre compte que je me léchais les lèvres avec gourmandise. Un jour, je savais quelle serait en moi. Mais pas maintenant, cétait une impossibilité physique.
Je me suis soulevée pour caresser la hampe de chair ; pas de gland visible, mais une peau douce un peu grasse, sillonnée de veines sombres, et une extrémité très charnue comme une bouche avec une ouverture ronde en son centre. Jai placé les deux mains pour pouvoir en faire le tour, en regardant le mufle de Tony, gueule ouverte, qui semblait sourire.
Oui, bon ! Je suis vierge, moi. Je garde cette friandise pour plus tard. Cest bien trop pour une jeune fille comme moi.
Tu es bien dévergondée, justement, pour une petite vierge.
Ma tante sest occupée de mon éducation, quest-ce que tu crois ! Sam est une vraie mère pour moi ; trop jeune pour être la vraie, mais jolie et intelligente ; elle ma appris beaucoup de lamour, je pourrais te surprendre. Allez, tu meurs denvie de me montrer ce que tu sais faire avec ta langue, et à vrai dire je nattends que ça…
En fait, derrière ma gouaille, jétais terrorisée ; Sam mavais fait partager sa couche plus dune fois, jétais restée vierge à défaut dêtre naïve. Javais même vu Sam faire lamour avec son familier Félix, javais pu toucher la verge de celui-ci et comprendre mieux son rôle et son fonctionnement.
Je me suis laissée tomber en arrière en écartant les jambes, exposant le triangle de toison rousse qui recouvrait le mont de Vénus. Jétais soigneusement épilée, et la vulve bien lisse et douce, les lèvres intimes très pâles déjà humides sécartant et dévoilant une délicate couleur corail. Sans tarder, Tony sest accroupi devant moi, son mufle velu soufflant sur les douces chairs qui frissonnèrent, ses larges pattes ont écarté franchement mes cuisses ; jai soupiré bruyamment.
La langue rouge sortit et lapa de bas en haut toute la fente offerte, écartant les nymphes. Elle était légèrement râpeuse, comme celle des chats, chaude et mouillée ; Jai eu du mal à retenir un cri, tout mon corps trembla, mon bassin se souleva comme la langue remontait en entraînant les lèvres intimes.
Oh ! Tu vas me faire mourir ! Continue, je ten supplie, cest trop bon ! Oh, encore
Je serrais les dents pour retenir mes râles de plaisir, alors que Tony voyait sa langue se couvrir de la liqueur capiteuse qui sourdait de mes muqueuses roses. Il en profita pour titiller lanus et le forcer du bout effilé de sa langue, marrachant un petit cri de surprise. Puis il reprit le glissement profond dans la vulve offerte, pénétrant entre les petites lèvres, massant le clitoris gonflé ; je gémissais et me tordais sous la douce torture qui enflammait tout mon être. Puis Tony se releva et sa verge de garou a commencé à glisser entre les lèvres trempées, les écartant et les massant doucement, marrachant de nouvelles plaintes.
Jétais prête à le recevoir, mais pas sous cette forme, pas maintenant ! Il sest transformé rapidement et jai retrouvé mon Tony, très sérieux cette fois ; sa verge, bien quimposante par sa longueur comme par son épaisseur, paraissait plus à même de me pénétrer sans me tuer. Je lui ai fait un sourire dencouragement, jétais impatiente dêtre prise.
Allez, fais de moi une femme, tendrement, tu en as autant envie que moi Allez, je ten supplie, viens
Fascinée, je voyais Tony guider son énorme gland sorti du prépuce, rouge et brillant, entre mes lèvres trempées ; une sensation étrange quand mes chairs se sont ouvertes, une poussée, une sensation de déchirure, je me suis crispée sous la douleur avant de me relâcher. Ça y était, jétais une femme, savourant cette sensation de plénitude, consciente que jétais trop serrée pour lépais membre viril qui senfonçait doucement en moi.
Tu vas bien ? Je tai vue grimacer.
Cest bien, vas doucement, cest tout. Continue, tu es si gros, si dur
Javais une impression de gêne mais en même temps mon ventre chantait, il se tendait vers Tony, souvrait à lui ; il a empoigné mes seins gonflés dans ses grosses mains, les serrant lun contre lautre en faisant saillir les mamelons déjà congestionnés, puis il les a aspirés à tour de rôle, le regard canaille. Je me suis soulevée pour lembrasser et nos langues se sont entremêlées, nos salives se sont mélangées. La jouissance ma fauchée, anéantie, alors que sa verge se faisait plus lourde, tressautait en inondant ma matrice de semence.
Quand jai ouvert les yeux, un long moment après, jai vu laura de Tony flotter au-dessus de nous ; blanche, rouge, une sphère reliée à son corps par un ensemble de fils entrelacés ; quasiment transparente, je voyais le plafond au travers. Tony était couché sur moi, sappuyant sur les coudes pour ne pas trop mécraser, sa verge toujours aussi raide plongée en moi.
Ton aura, cest la première fois que je la vois Cest magnifique !
Elle est comment ?
Je lui expliquai, mais au fur et à mesure, laura virait au rouge alors que Tony se redressait en commençant à se mouvoir dans mon vagin. Jai relevé les cuisses, il a pris mes chevilles pour les réunir dans une seule de ses mains et les poser sur son épaule droite, dans cette position il allait plus profondément en moi, mon vagin était distendu mais accueillait toute sa puissante virilité. Il prit un rythme de plus en plus rapide, mimposant sa longueur à chaque coup de boutoir qui secouait tout mon corps avec un bruit sec de chair contre chair.
Je décollai très vite en tordant mes bouts de seins jusquà avoir mal, jouissant plusieurs fois et inondant la lourde verge qui me labourait de flots de cyprine ; Tony me retourna et me positionna en levrette, il me prit à nouveau de toute sa longueur, marrachant un râle de plaisir ; en même temps, il avait plongé un pouce dans mon anus, comme pour me rappeler que jétais toute à lui, et quil pouvait donc disposer de mon corps par tous ses orifices. Puis il a éjaculé à nouveau, chevillé en moi, me remplissant à nouveau de sa semence. Il sest écroulé à côté de moi, caressant mes flancs et membrassant dans le cou.
Je reprenais mon souffle, les yeux fermés, attentive aux lignes de force que je sentais passer à lextérieur et même sous le studio, assez faiblement. De lénergie que je pourrais domestiquer. Je regardais lheure : presque 7 heures . Je nétais pas trop pressée, dautant que Tony continuait à me caresser et que sa verge restait toujours aussi rigide en moi. Il avait remis son pouce dans mon anus et le remuait doucement, alors jai commencé à onduler du bassin contre lui.
Quelques minutes après, quand il ma sodomisée, jai quand même dégusté, bien quil mait préparée et lubrifiée. Mais il avait une verge tellement épaisse que javais bien compris que jaurais mal, alors jai serré les dents, ravalé mes larmes, et me suis cambrée, bien offerte. Il était vraiment épais et malgré le lubrifiant dont il sétait généreusement couvert, Tony avait du mal à pénétrer. Quand il a été planté bien à fond, je me suis tordue pour lembrasser, il ma roulé un patin bien baveux tout en caressant mon ventre et mes seins. Ensuite, je lui ai chuchoté :
Allez, vas-y, lance les chevaux, défonce-moi, je suis ta chienne ! Et naie pas peur, je ne suis pas en sucre.
Là, il na pas répondu, mais jai compris ma douleur ; pour une première sodomie, jai été servie. Il sest mis à pilonner mes reins en sortant complètement puis en revenant de toute sa longueur, marrachant des larmes mais pas de cri, je refusais de me plaindre et mordais mes lèvres jusquau sang. Il nempêche quau bout de plusieurs minutes de ce traitement vigoureux, la douleur, bien que toujours présente, était devenue supportable ; jai recommencé à encourager mon amant qui sest déchaîné en prenant une cadence inhumaine. Pour la première fois, jai joui dans la souffrance, criant et pleurant en même temps ; Tony a éjaculé une troisième fois, et jai eu limpression quil avait des réserves inépuisables de semence tellement il a rempli mes intestins.
Après une bonne douche, jai pu récupérer mes tennis, ma parka fourrée, tout le reste de mes vêtements était détruit ; Tony ma donné un sweat-shirt qui ma servi de robe tellement il était grand. Jai embrassé mon amour à laura blanche et je suis allée rejoindre ma tante avant quelle parte ouvrir sa boutique de Cumberland. Il avait gelé et neigé, rouler était difficile mais Tony nhabitait pas loin de chez moi, dans le centre de Windham. Jentrai un peu après 8 heures dans notre maison, une vieille bâtisse isolée adossée à la forêt comprenant sous-sol aménagé pour les invocations privées, avec pentagramme et tout ce quil faut, rez-de-chaussée servant de cuisine, pièces à vivre (salon, séjour, bibliothèque), et deux étages plus petits que le rez-de-chaussée. Sam avait le premier, moi le second.
Quand je suis entrée dans le séjour, la première chose que jai vue, cétait Félix qui dormait, roulé en boule sur son fauteuil préféré. Cétait un gros matou noir angora, il a ouvert un il jaune et ma saluée :
Bonjour, Jennifer OGara. Tu tes enfin décidée à te faire sauter ? Ton aura est impressionnante ce matin. Tu vas enfin pouvoir maccueillir dans ta chatte rouquine, jen bande déjà.
Dans tes rêves, mon gros !