Résumé des chapitres précédents : j’ai débarassé mon adorable nièce Marine de son pucelage, elle y a pris goût, et je complète peu à peu son éducation sexuelle : levrette, cunilingus, fellation… L’élève est douée et se libère de ses inhibitions. Elle a découvert le plaisir du 69, de me faire l’amour, de le faire en pleine nature… Dans le chapitre 8, Marine est venue avec sa grande copine Alixe, et nous sommes rapidement passé à un sport d’équipe !
CHAPITRE 9 : L’AFFAIRE DU COURRIER ==================================
Avec la nourriture et le repos la forme revient, nous retrouvons les rires et les plaisanteries, la conversation s’anime. Nous engouffrons une quantité incroyable de nourriture avant de nous sentir enfin rassasiés. Heureux , satisfaits et repus comme des gamins, nous chahutons sur le canapé, jouissant de notre nudité, caressant un ventre par ci, un sein par là, un cou, une épaule… – ’Tu te rends compte qu’on est à poil depuis ce matin, et qu’on n’a pas arrêté de faire l’amour depuis qu’on est réveillés, à part le déjeuner ?’ s’exclame Alixe, tournée vers moi. – ’Oui, et attend, après avoir bouffé tout ça, je vais te bouffer la chatte, ma belle !’ Je me lève d’un geste expert, je déplie le canapé convertible sur lequel nous sommes, les filles basculent et je rejoins Alixe, ma tête entre ses cuisses. Un bref moment de résistance, et elle ouvre largement les jambes offrant sa chatte à ma voracité, sous l’oeil intéressé de Marine. Je commence par frotter ma joue sur sa toison blonde et duveteuse : c’est drôle comme elle sont à la fois similaires et différentes, Marine et Alixe, quant à leur toison. Peu étendue et peu fournie chez toutes les deux, celle de Marine est courte et clairsemée comme la toison d’une adolescente, à peine plus claire que ses cheveux châtains. Celle d’Alixe est plus abondante, mais légère et soyeuse comme une fourrure, du même blond vif et coloré que ses cheveux courts. Me frotter à ces poils doux est un délice, Alixe rit de mon plaisir, écartant quand même plus largement les jambes pour m’inviter à une visite plus intime. Je frotte mon nez dans ses poils longs et doux à la couleur de paille dorée, ma langue s’y promène, puis descend plus bas entre ses cuisses. Sa toison s’arrête avant le début des lèvres de son sexe, et le contact de ma bouche sur sa peau nue la fait sursauter, lui fait encore ouvrir plus largement les jambes, les genoux remontés très haut, ouverte, totalement impudique. – ’Hummm, j’aime bien qu’on me caresse comme ça’ ronronne-t-elle en roulant des hanches. Ma bouche parcourt toute la hauteur de sa vulve, s’attardant pour la baiser délicatement, jusqu’à frôler son anus bien fermé. Je pointe un bout de langue qui suit sa fente encore close, remontant jusqu’en haut, et m’attarde au niveau du clitoris jusqu’à ce que son sexe s’épanouisse et découvre son petit bouton qui éclot sous la caresse. Il ne grandit pas démesurément comme celui de Marine qui au sommet de l’excitation ressemble à un petit sexe mâle, mais s’élargit, se décapuchonne tout seul et palpite sous ma langue qui le titille très doucement. Alixe a posé ses mains sur ma tête et ses doigts se contractent à chaque contact de ma langue, ses doigts s’emmêlent dans mes cheveux. Son bassin suit mes mouvements, sa fente s’ouvre et s’humidifie avec abondance. Je continue longtemps à jouer avec son clitoris, lui arrachant des petits cris de plaisir et des halètements de plus en plus rapides. N’y tenant plus, je change de position et me mets tête bêche, aussitôt Alixe se tourne sur le côté et engloutit mon sexe dans sa bouche, comme assoiffée. Je pose à nouveaux mes lèvres sur son sexe, introduit ma langue profondément en elle, fouille sa grotte béante. Alixe gémit, ma bite dans sa bouche, s’active de plus belle sur mon engin, colle son corps au mien. Marine qui se contentait jusqu’ici de nous regarder, vivement intéressée, se met à genoux au dessus de nous, tournée vers ma tête, et entreprend de se masturber juste au dessus de ma tête, le regard rivé sur ma langue suçant le sexe de son amie. Ses doigts s’activent furieusement dans son sexe, ma langue dans celui d’Alixe, les lèvres d’Alixe sur le mien. Nous sommes pris d’une véritable frénésie, le plaisir monte très vite, nos râles se mêlent, nos respirations se précipitent à l’unisson. Ma langue s’enfonce profondément dans la vulve d’Alixe, goûtant ses sécrétions épicées, martyrisant ses lèvres et son clitoris parcourant l’étendue de son sexe que mes doigts ouvrent largement. Ma verge est sucée, léchée, mordillée, agacée par une langue et des doigts d’une agilité démoniaque. Au dessus de mon visage, les doigts de Marine passent de son clitoris à sa vulve, son bassin est agité de mouvements d’avant en arrière et d’arrière en avant comme si elle faisait l’amour, un sexe planté dans le sien. La montée du plaisir d’Alixe, que je ressens dans les secousses qui agitent son bas-ventre, fait monter le mien au même rythme, et à une seconde d’intervalle, nous jouissons tous les deux. je libère des flots de sperme dans sa bouche, elle enserre mon visage entre ses jambes, son sexe est agité de convulsions sous ma langue. Sa bouche m’aspire jusqu’à la dernière goutte. Au dessus de nous, Marine a vu que nous prenions notre pied, et dans un dernier galop de ses doigts, jouit enfin, nous rejoignant dans l’orgasme, et s’écroule à côté de nous. Ma jouissance est si forte que j’ai l’impression de continuer à éjaculer encore dans la bouche d’Alixe qui me tète doucement. Je me dégage enfin de ses jambes, mais le temps que je me retourne dans le bon sens, Marine a pris la place que je convoitais et est en train de goûter avec délectation mon sperme sur la langue d’Alixe… Lorsqu’elle ont fini de partager mon plaisir, je les sépare en les couchant sur le dos, flanc contre flanc, puis je m’étends par dessus, mon sexe glissant entre leurs hanches. Bisous, joujou avec leurs seins, tendresses. Puis, foudroyés, nous sombrons tous les trois dans un sommeil réparateur.
Longtemps, longtemps après, une des filles bouge dans son sommeil et son mouvement me réveille. Il me faut quelques instants pour réaliser où je suis, avec qui je suis, dans quelle position nous sommes… La pendule francomtoise dont le balancier va et vient imperturbablement me révèle qu’il est presque six heures ! Nous avons dû dormir d’un coup plus de quatre heures… Malgré toutes les précautions que je prends en me redressant, mon mouvement réveille les deux filles, l’une s’appuyant sur un coude en baillant, l’autre se frotte les yeux. Je les embrasse toutes les deux puis m’assieds sur le canapé. Les voilà toutes les deux à peu près bien réveillées, s’étonnant comme moi de notre temps de sommeil… – ’Tiens, dis-je un peu trop vite en avisant un paquet de lettres sur la table basse au milieu de nos plateaux, le courrier est arrivé !’ Alixe est la première à réagir : ’hein, quoi, les courrier est arrivé ? Qu’est-ce que ça veut dire, qu’il est arrivé jusqu’ici ? Qui L’a mis là ?’ – ’Quelqu’un est venu ?’ renchérit Marine ? – ’Ah, oui, c’est vrai : c’est notre petite postière, il faudra que je vous raconte, un jour. Oui, elle a dû entrer, et quand elle nous a vu elle s’est bien gardé de nous réveiller, elle a posé le courrier là.’ – ’Mais attends, elle a l’habitude de te voir à poil, et en plus avec une, heu, avec d’autres filles ?’ – ’Disons que je n’ai plus grand chose à lui cacher, et c’est vrai qu’elle m’a déjà surpris avec une autre fille, mais ça ne dérange ni elle ni moi ! Aujourd’hui, je pense même qu’elle s’est copieusement rincé l’oeil et peut-être que si on n’avait pas été aussi profondément endormis, elle se serait jointe à nous…’ – ’Ah ben ça, c’est du service à domicile !… Et elle est comment, ta postière ?’ – ’Hummm, c’est un petit lot adorable dans les vingt cinq ans, une mignonne brunette aux cheveux frisés, avec une bouche et un sourire à damner un saint !’ – ’Eh ben, conclut Alixe, pas rancunière, je t’enverrai du courrier souvent, alors…’ Nous parvenons finalement à nous extraire du canapé, et toujours nus tous les trois, nous décidons d’aller nous jeter dans la piscine, histoire de nous remettre en forme. Pour la première fois depuis ce matin, mon sexe est à peu près au repos… Je dis bien à peu près, parce que sortir dans le jardin et aller jusqu’à la piscine entre les deux filles nues ne me laisse pas tout à fait… indifférent. Il faudrait être complètement insensible. Ouf, nous voilà dans l’eau : je ne me lasse pas du plaisir de me baigner, et Marine et Alixe semblent aussi le partager. Nous nageons, nous flottons, nous jouons à peu près innocemment. Nous étendons nos corps délassés sur les matelas au soleil, laissant à ce dernier le soin de nous sécher. Le voudrions-nous que nous ne pourrions pas nous empêcher d’être attirés les uns vers les autres : nous voici à nouveau couchés côte à côte, une fille couchée sur le dos à ma gauche et l’autre à ma droite. Il ne se passe pas cinq minutes avant le premier geste, une main sur une cuisse, une main sur un sein, un frôlement sur un ventre doré, sur une hanche nue… Sans même nous rendre compte de nos gestes, nos corps se cherchent, goûtent ces contacts émoustillants, nos sens perpétuellement sur le qui-vive. Inconsciemment, notre nudité totale nous excite, réveille l’appétit de nos sexes. Les aréoles des seins d’Alixe s’épanouissent, les pointes de ceux de Marine s’érigent, mon sexe se redresse. – ’Alors, et si tu nous racontais un peu pourquoi ta postière connaît si bien ton anatomie, au fait ?’ demande Alixe. – ’Oh, ça, c’est presque une vieille histoire… Et ma postière, comme tu dis, elle s’appelle Juliette. Et Juliette, c’était au début de l’été il y a quatre ans, à la suite d’un vilain accident j’avais un bras et une jambe dans le plâtre, et j’étais un peu coincé ici. Le matin il y avait une infirmière qui venait me piquer les fesses, et le soir un voisin qui m’apportait le ravitaillement, mais question visites c’était un peu limité.’ ’Un jour, l’infirmière était passé tard et elle était encore là quand j’ai entendu le grincement du vélo de Juliette qui déposait mon courrier dans la boîte, alors j’ai demandé à l’infirmière de se précipiter et lui demander qu’elle vienne m’apporter le courrier jusque dans la maison, pour que je puisse le lire plus tôt.’ – ’Ah, tu te débrouille pas mal, pour attirer les jeunes filles chez toi, non ? – ’Non, non, ne crois pas ça : Juliette, je la connaissais pour l’avoir simplement croisée dans la rue, mais elle me semblait plutôt renfermée, coiffée et habillée plutôt garçon manqué, je n’en faisais pas une proie !… D’ailleurs, si l’infirmière n’avait pas insisté d’elle-même, plaidant pour ma solitude, que mon courrier me narguait à quelques pas sans que je puisse l’atteindre, ni Juliette ni moi n’aurions insisté. Non, vous allez voir, que ça n’est pas une histoire de cul, au contraire, c’est très émouvant’ dis-je en ménageant mes effets. Amusées par le tour du récit, Les deux filles se sont tournées vers moi, la tête appuyée sur un coude, attentives tout en continuant distraitement leurs caresses. – ’Et le lendemain, lorsque Juliette est venue pour la première fois, elle s’est contenté de me donner le courrier, et moi, cloué dans mon canapé-lit, bien incapable de me lever, je n’ai même pas cherché à la retenir. Plus que réservée, elle me paraissait volontairement distante, presque hostile. Ce n’est que peu à peu, au bout de trois ou quatre jours, que nous avons commencé à discuter un peu. Elle m’a expliqué qu’elle travaillait à mi-temps, que j’étais sur la fin de sa tournée et que ça ne la dérangeait donc pas de m’apporter le courrier à la maison. Elle me donnait des nouvelles du voisinage, me rendait quelques menus services. Elle restait en général déjeuner avec moi, ce qui améliorait mon ordinaire, et passait le début de l’après midi, à me distraire, discuter, parler de choses et d’autres.’
’L’été était arrivé d’un coup, et je souffrais de rester cloué au lit. C’est vrai que sa présence était agréable, elle s’apprivoisait, et je commençais à lui trouver du charme. C’est vrai qu’elle est toute petite, mais bien faite, musclée, des yeux bruns presque noirs, les cheveux raides très courts, et dès qu’elle s’est mise à sourire, j’ai découvert une bouche immense, des dents éclatantes, bref un sourire à damner un saint.’ ’Quand j’ai pu un peu me lever, et comme je ne pouvais utiliser qu’un béquille, elle m’a aidé aussi à me déplacer. C’est vrai que ce premier contact direct et appuyé avec moi l’a un peu surprise, il faut dire que vu la température, elle portait un débardeur léger et moi je ne supportais qu’un bermuda, et vu sa petitesse, j’avais passé mon bras plâtré par dessus son épaule, mon torse nu s’appuyant contre son bras.’ – ’Ahhh, ça devient cochon !’ m’interromps Alixe, frottant mon ventre avec un air gourmand et impatient… – ’Pas du tout, on ne pensait à ça ni l’un ni l’autre, crois-moi, je vacillais sans aucun équilibre, et elle essayait de me retenir, c’était plutôt périlleux ! Sur le moment, on n’avait même pas remarqué que mon plâtre avait fait glisser la bretelle de son débardeur et qu’elle avait un sein à moitié à l’air. Quand elle s’en est rendu compte, elle a remis sa bretelle en place, l’air étonné de ne pas s’en offusquer plus que ça.’ ’Les jours suivants, le fait de me toucher ou que je la touche ne la troublait plus du tout, il me semble même qu’elle accueillait cette intimité nouvelle avec plaisir. Par contre, je dois avouer que moi, ça commençait à me troubler un peu… Mais je ne me suis jamais permis un geste ou même un regard déplacé.’ – ’Même pas un geste absolument involontaire qui l’aurait frôlée ici ou là ?’ demande Marine… – ’Oh, surtout pas, d’une part je sentais bien que j’avais affaire à un petit animal écorché vif qui commençait à peine à s’apprivoiser, d’autre part j’avais besoin d’elle, tant pour m’aider que pour me distraire, et je ne tenais pas à la faire fuir ! Elle venait à la fin de sa tournée et restait toute l’après midi avec moi, sa présence était vraiment très agréable.’ ’Un jour, je lui ai demandé de m’emmener jusqu’à la piscine, j’avais vraiment trop chaud, je mourais d’envie de me baigner. Elle m’a aidé à envelopper mes plâtres de sacs plastiques bien étanches, mais là où ça a posé un problème, c’est pour m’aider à entrer et sortir de la piscine : moi j’avais demandé le matin à l’infirmière de m’aider à passer un short de bain, mais Juliette avec son débardeur et sa jupe était un peu embarrassée…’ – ’Alors c’est là qu’elle s’est foutue à poil ?’ demande Alixe, impatiente. – ’Pas du tout ! Je lui ai proposé de prendre un maillot de bain dans le coffre de la piscine, il y en a toujours un choix pour les invités, mais elle n’a pas voulu. Non, elle en a été quitte pour être un peu mouillée, mais c’est tout. Par contre, de retour à la maison, quand j’ai voulu me changer après m’être rincé, mon maillot mouillé glissait mal et je me suis cassé la figure, le maillot à mi-cuisses, et j’ai bien été obligé de l’appeler à l’aide.’ ’Mais elle ne s’est pas offusquée, elle m’a plutôt plaint gentiment voyant que j’étais totalement handicapé et incapable de me sortir de là, et elle a fini de me déshabiller, puis de me rhabiller, et je vous assure, sans que j’ai un geste déplacé !’ – ’Ben alors, t’étais sage à cette époque là !’ se moque Marine… – ’Sur le moment, je m’étais plutôt fait mal, ce n’est qu’après que j’ai regretté de ne pas avoir profité de la situation…’
’Le jour suivant, c’est elle qui m’a proposé de me conduire jusqu’à la piscine, et quand on y est arrivés, elle m’a annoncé qu’elle avait pris un maillot de bain, et elle a quitté son éternel débardeur et sa jupe. Oh, un maillot de bain une pièce, très sage, mais je peux vous dire qu’il moulait un corps parfait, admirablement proportionné, et que mon regard a dû s’attarder un peu sur certaines rondeurs…’ ’On s’est baignés tous les deux, et au bout d’un moment, elle m’a déclaré qu’elle adorait se baigner, mais qu’elle ne le faisait pas souvent. Quand je lui ai demandé pourquoi elle n’allait pas tout simplement à la piscine municipale de la ville, elle m’a répondu qu’elle n’aimait pas, il y avait trop de monde, et pas toujours des gens sympas. C’est pas moi qui l’aurait détrompée sur ce sujet…’ ’On a passé un bon bout de temps dans l’eau, moi obligé de rester là où j’avais pied, et elle ne nageant pas très bien restant autour de moi, jouant et chahutant, heureuse de se trouver là.’ ’Ah, c’est sûr que de se retrouver tous les deux en maillot de bain, c’est propice aux attouchements, mais ça n’a pas dépassé un bras autour de la taille, deux jambes qui s’emmêlent, un sein qui s’appuie contre un bras.’ ’Mais elle était si heureuse, quand on se faisait sécher au soleil sur les matelas, qu’elle s’est étendue à côté de moi, presque à me toucher. Oh, elle ne s’est pas collée à moi, mais si ses mains m’évitaient, ses yeux me caressaient sans fausse pudeur, avec naturel.’ ’Les jours suivants on a à nouveau passé l’après midi à la piscine, Juliette osant enfin poser la main sur moi, mais ça n’allait pas plus loin que des gestes qui pouvaient à la rigueur passer pour de la camaraderie… Je dis bien à la rigueur, mais ni l’un ni l’autre n’était dupe : sa main qui enserre mon épaule, qui se pose sur ma poitrine, ses doigts qui me frôlent en une caresse furtive, ça ne trompait personne. Je lui rendais les mêmes gestes, toujours sur le mode ami-ami, sans jamais aller plus vite qu’elle.’
’Jusqu’au jour où nous étions couchés au bord de la piscine, Juliette au creux de mon bras valide, la tête sur mon épaule, câline, une main caressant négligemment mon torse, et sans qu’on s’en aperçoive un orage énorme a crevé au dessus de nous. On a eu juste le temps de rentrer avant d’être trempés. Essoufflé de cet effort dont j’avais perdu l’habitude, je me suis étendu pour me reposer sur mon canapé-lit, et elle est venue s’allonger à côté de moi, exactement dans la même position qu’au bord de la piscine. Dehors, les éléments se déchaînaient, d’épais nuages noirs assombrissaient le ciel, nous laissant presque dans l’obscurité, entrecoupée d’éclairs magnifiques. La pluie tombait drue, le tonnerre éclatait autour de nous, assourdissant. Et alors je ne sais pas si c’est le déchaînement de la nature qui l’a décidée, ou l’obscurité, mais sa main est devenue plus caressante, ses doigts plus inquisiteurs, plus décidés. Elle passait nettement de ami-ami à autre chose…’ ’Une jambe passée par dessus la mienne, son corps collé au mien, sa main parcourait ma poitrine, mon ventre, mes flancs, mes hanches, ma cuisse, sans jamais toutefois passer sur le devant de mon maillot…’ ’Et puis, à la faveur d’un moment de quasi obscurité, elle a ôté son maillot et s’est recouchée contre moi, peau contre peau, ses seins chauds contre mon côté, sa toison chatouillant ma cuisse…’ Emoustillées les deux filles se rapprochent, se tournent vers moi, et dans un geste presque simultané posent leur tête sur ma poitrine, chacune envoyant une main rejoindre mon sexe. – ’Alors Juliette a continué à me caresser, et peu à peu sa main est descendue jusqu’à mon maillot. Moi pendant ce temps là, je me contentais de caresser son dos et ses reins, mon bras valide coincé par son corps. Et puis elle s’est décidé : elle s’est relevée et elle m’a enlevé mon maillot de bain. Là, elle s’est accroupie, un genou de chaque côté de mes hanches, et elle a pris doucement mon sexe dans ses mains, l’a caressé lentement, comme si elle avait besoin de s’habituer à l’existence de cette chose.’ ’Quand j’ai voulu caresser aussi son ventre ou ses seins, elle a doucement repoussé ma main, a déposé ses lèvres dessus et l’a reposée sur moi, pour me faire comprendre que je ne devais pas la toucher. Je l’ai laissée faire.’ ’Elle a continué un moment à me masturber délicatement, comme si elle ne se décidait pas à aller plus loin, et enfin elle s’est couchée sur moi, a guidé d’une main mon sexe jusqu’à son ventre, et lentement elle m’a enfoncé en elle.’ ’Comme si elle hésitait encore, elle a attendu un peu, et puis son ventre a commencé à bouger. Au début elle se retenait, et puis petit à petit elle se libérait, elle a joui sans un mot, sans un son, les bras tendus de chaque côté de mes épaules, et elle s’est écroulée sur moi en éclatant en larmes ! Je lui ai laissé le temps de se calmer un peu et je lui ai demandé ce qui lui arrivait, alors elle a tout raconté : comment deux ans avant elle avait été victime d’une tentative de viol, comment depuis elle était incapable d’avoir des rapport physiques avec un garçon, et comment peu à peu avec moi qui était handicapé et dépendante d’elle, elle avait repris confiance et s’était sentie capable de faire à nouveau l’amour.’ – ’Mais c’est émouvant, ton histoire…’ dit Alixe en continuant néanmoins à caresser ma verge qui palpite sous ses doigts. – ’Eh oui, je vous l’avais dit. Quand elle a eu dit tout ça, elle allait mieux… Elle s’est remise à côté de moi, elle a pris ma main et l’a posé sur sa poitrine, et alors j’ai commencé à la caresser. Hummm, depuis des jours j’en avais envie et je me retenais. Je me suis gavé de sa peau !’ ’Ensuite, je me suis couché sur elle et à mon tour, je lui ai fait l’amour, longtemps, tendrement pour ne pas tout gâcher. Mais je peux vous dire que quand j’ai joui, ça a été une sacrée secousse !’
Les filles continuent à me caresser, partageant leur attention entre mon récit et mon sexe, me masturbant presque distraitement. Pourtant, de ma verge raidie s’échappent quelques gouttes de sperme qui viennent imbiber les doigts de Marine. – ’Hummm, regarde moi ça un peu, et il ne disait rien !’ dit-elle en ramenant sa main vers le visage d’Alixe, qui lui saisit le poignet, et passe sa langue sur ses doigts englués. Alors Marine se penche sur mon pubis, et d’une langue agile, commence à lécher ma tige où ses doigts ont étalé mon sperme. – ’Laisse m’en un peu !’ demande Alixe en rejoignant sa copine, et d’une langue toute aussi agile, elle récupère une goutte qui s’échappe à nouveau de mon gland. – ’Attendez un peu, là, toutes les deux !’ Je me dégage, me relève, les pousse l’une contre l’autre allongées sur le dos, puis je m’allonge sur leurs cuisses et alternativement lèche la chatte de l’une et de l’autre. Ma langue passe d’une fente à l’autre, d’un clitoris à l’autre, mélangeant leurs sécrétions sur ma langue. Puis remontant le long de leurs corps, je me couche sur Alixe, lui écarte les jambes, guide mon sexe jusqu’à sa fente et sans plus de préliminaire, la pénètre de toute ma longueur. – ’Aouf ! Sauvage !…’ s’écrie-t-elle un peu surprise par mon assaut. Je reste quelques secondes immobile, je me retire d’elle, passe sur Marine et lui fait subir le même traitement. – ’Ouf !… Trois petits coups de reins, je me retire et je plante à nouveau mon sexe dans le vagin d’Alixe. Alternativement je passe de l’une à l’autre, embrassant Marine en baisant Alixe et inversement. Cet exercice m’excite très vite, et lorsque je commence à jouir dans le ventre d’une des filles, l’autre m’arrache à elle pour demander sa part, les deux se chamaillent en riant pendant que mon sperme gicle sur leurs corps emmêlés au hasard de notre chahut. Calmées sinon satisfaites, les deux amies pouffent de rire et étalent ma semence sur leurs seins, comme une huile bronzante… – ’Et tu ne nous a pas fini l’histoire de Juliette’, réclame Marine, lovée entre mes jambes, la joue sur mon sexe barbouillé, pendant qu’Alixe m’embrasse goulûment, sa langue enroulée autour de la mienne. – ’Oh presque,’ dis-je en repoussant la tête d’Alixe sur ma poitrine, ’après lui avoir fait l’amour, elle était comme transformée : épanouie, confiante, son esprit enfin libéré laissait son corps profiter pleinement du mien. Ensuite, même quand j’ai pu à nouveau me débrouiller sans aide, on a souvent refait l’amour. Elle m’a raconté qu’elle avait enfin pu coucher avec son petit ami, mais elle prétendait qu’elle avait encore besoin de faire l’amour avec moi. Même maintenant, elle est mariée et elle a un enfant, mais de temps en temps nous faisons l’amour ensemble, elle dit qu’elle se ressource !’ ’Elle m’a surpris plusieurs fois avec une autre partenaire, mais ça ne la trouble pas : elle repartait discrètement, et me le racontait à son passage suivant. Un fois seulement, j’étais avec une nana un peu coincée, j’ai aperçu Juliette qui repartait en silence, je lui ai fait signe de nous rejoindre. Elle faisait non énergiquement de la tête, mais finalement elle s’est laissé convaincre, et on s’est pris tous les trois un pied de toute beauté !’ – ’Ah oui ? Oh alors c’est dommage qu’elle ne soit pas restée, quand elle est venue cet après-midi !’ rétorque Alixe. ’Elle passe, demain ?’ – ’Mais non, gourmande, demain c’est samedi, elle ne travaille pas, elle passe le week-end avec son mari et sa fille…’ Légèrement déçue, Alixe… J’en parlerai quand même un jour à Juliette, après tout, elle les a vues toutes les deux à poil, ça a pu lui donner des idées…
En attendant, tout poisseux que nous sommes de mon sperme, nous décidons de nous doucher. Nous sommes tellement rassasiés de sexe que le rinçage se passe sans nouveau débordement, mais pour autant aucun de nous trois ne décide de se rhabiller, et c’est toujours aussi nus que nous nous retrouvons dans le salon à boire un verre.
Les deux filles n’ont plus aucune pudeur et se comportent comme si elles étaient habillées : Marine est assise dans un fauteuil, les talons ramenés sous ses fesses, et exhibe sa chatte encore gonflée, encore un peu entrouverte de tous ses ébats de la journée, dévoilant la pointe d’un clitoris rougi de fatigue. Alixe est vautrée sur le canapé, ouvrant et fermant les jambes sans remarquer que sa chatte s’entrouvre en rythme. – ’Et si tu nous montrais la vidéo qu’on a tournée ce matin ?’ – ’Ah oui, bonne idée ! Bon, ce que je vous propose, c’est qu’on regarde ça en dînant avec un plateau télé, ici dans le salon, d’accord ?’
Pendant que les filles préparent notre pique-nique, je vais chercher la caméra vidéo et les câbles de raccordement. Curieusement, elle n’est pas dans la chambre, où je l’avais laissée en évidence, mais sur un bord de fenêtre du salon. Tiens, une des filles aurait tourné encore un bout de vidéo ? Ah, surprise !… Je branche l’ensemble sur le projecteur vidéo, dévoile l’écran géant, et rembobine la cassette. Elle était vierge hier quand j’ai filmé le strip-tease des deux filles, ça doit donc être parfait.
Nous nous installons confortablement sur le canapé, nos plateaux devant nous, et zou ! Un coup de télécommande, la lumière se met en veilleuse, le projecteur chauffe un instant, la cassette démarre… Plan général sur les deux filles étendues au soleil au bord de la piscine, bronzant en papotant, gros plan sur les visages, sur les corps alanguis, sur leurs seins épanouis. Un sein sur un écran de deux mètres de large, c’est impressionnant ! On voit les deux filles se lever, puis entamer leur strip-tease, ça passe très bien à l’image, on rigole tous les trois au spectacle de leurs mimiques. Gros plan sur leurs fesses quand elles baissent leur culotte, rapide aperçu de la chatte d’Alixe qui avait du mal à remonter son maillot. Encore quelques gros plans ici et là, puis le noir quelques instants, nous nous applaudissons. Soudain, apparaissent en gros plan les fesses nues de Marine, la caméra recule et on découvre le décor de ma chambre, Marine couchée sur mon ventre, m’embrassant, son ventre ondulant sur le mien, puis la caméra se déplace entre nos jambes emmêlées et nous offre un plan magistral sur le sexe de Marine se frottant contre le mien. A l’écran, ma verge fait près d’un mètre de haut et près d’une vingtaine de centimètres de diamètre… Sur le canapé, nous ne faisons plus un geste, fascinés par les images. Puis nous voyons Marine se déplacer, poser sa tête sur ma cuisse et empoigner mon sexe, le caresser, puis le lécher, l’enfourner dans sa bouche. A voir cette scène, je ne peux pas m’empêcher de bander. La caméra se déplace à nouveau, se stabilise, et Alixe entre dans le champ de l’objectif, se coucher à mon côté et me caresser. On la voit ensuite ramper par dessus mon corps, approcher sa tête du sexe de Marine, l’embrasser, le lécher… On voit distinctement que Marine cesse de s’occuper de ma bite, trop occupée par la langue d’Alixe dans sa fente, puis on me voit me lever, pousser les filles l’une contre l’autre, et la bouche de Marine qui rejoint le sexe d’Alixe.
Assis sur le canapé, nous avons les yeux rivés sur l’écran, chacun une main sur le sexe, nous caressant discrètement… Je vois les doigts de Marine masser son mont de vénus, ceux d’Alixe ont disparu entre ses cuisses, montent et descendent doucement. Je disparais du champ, la caméra se déplace et filme leurs ébats en gros plan… Les langues vont et viennent, fouillent, les lèvres de leur sexe s’écartent, les visages montrent la montée du plaisir. Excitées par les images, nos mains accentuent leurs caresses. Les doigts de Marine sont descendus jusqu’à son clitoris qu’elle manipule ouvertement, la respiration saccadée. La caméra bouge encore, se stabilise et je rentre dans le champ, me couche dans le dos d’Alixe, et on distingue parfaitement le moment où je la sodomise. On voit jouir les deux filles, leurs soupirs remplissent la pièce et manque de me faire jouir. Je ralentis ma masturbation, le film n’est pas terminé ! On voit Marine se relever, la caméra filme maintenant ma queue profondément plantée dans l’anus d’Alixe, allant et venant de plus en plus vite. La caméra filme en gros plan le moment où je m’extrais complètement d’elle, laissant son anus béant ! De chaque côté de moi, Marine et Alixe se masturbent franchement, haletantes. A l’écran, mon corps se tend dans le dos d’Alixe, ma bite palpite dans ses reins, c’est tout juste si on ne voit pas mon sperme gicler…
Le noir se fait une seconde, puis l’image du salon en plein jour, le canapé où nous nous trouvons, déplié, les deux filles couchées sur le dos et moi par dessus, dormant… – ’Oh, la bourrique de Juliette, elle nous a filmés !’ dis-je en comprenant soudain pourquoi la caméra n’était plus à sa place. La caméra tourne autour de nous, filme nos visages détendus, le corps des filles, mes fesses et mon sexe glissé entre leurs cuisses, les poils de leur pubis collés, leur fente bien dessinée dans la lumière du jour… Puis la caméra tourne curieusement, et la frimousse réjouie de Juliette apparaît en gros plan, rigolarde, et elle tire la langue. La caméra descend sur son tee-shirt, qui remonte et nous dévoile un instant ses seins, descend encore sur son short qui descend et nous dévoile sa chatte brune. Le noir. le film est terminé, je rallume la lumière d’un coup de télécommande. Les filles restent un moment absentes, la main toujours enfoncée entre les cuisses, puis reviennent à la réalité. – ’Ah la cochonne,’ dit Alixe dont la main s’active à nouveau sur sa fente, ’il faut absolument que tu l’invite !’ – ’Quel pied, ce film !’ dit simplement Marine, reprenant aussi sa masturbation. Les yeux dans le vague, l’esprit encore attaché aux images qui viennent de défiler, elles se caressent sans plus de retenue. Fasciné par leur décontraction, je m’y mets aussi et nous voilà tous les trois en train de nous masturber. Je suis vautré sur le canapé, Marine allongée à ma droite a remonté les genoux et posé sa tête sur ma hanche. Ses doigts mouillés s’activent sur son clitoris, le massent, le cajolent. Alixe est à genoux à ma gauche, tournée vers nous, les cuisses ouvertes et deux doigts profondément enfoncés dans sa chatte, fouille son sexe avec délectation. Marine geint, Alixe halète. Le mouvement de nos mains s’accélère, chacun se masturbe sans s’occuper des autres. Les gémissements de Marine s’amplifient, son corps se tend comme un arc et elle jouit avec un cri de satisfaction, avant de se détendre comme une poupée de son, puis elle se tourne sur le côté pour me regarder.
Aucunement troublé, je la laisse profiter du spectacle, ma main montant et descendant le long de ma verge tendue, découvrant mon gland gorgé de sang, épais et rouge. Ses yeux qui fixent ma main et ma verge m’excitent, accélèrent la montée de mon plaisir, et heureusement pour le canapé, au moment où je vais éjaculer elle présente sa bouche grande ouverte pour recueillir ma semence qui jaillit à jets puissants dans sa gorge. A côté de moi, j’entends en même temps Alixe qui jouit bruyamment, et s’écroule sur mon épaule pendant que je finis de me vider dans la bouche de Marine. Alixe remplace ma main par la sienne étalant sur ma verge les dernière gouttes de ma semence qui s’écoulent de mon gland, et frotte sa main poisseuse sur mon ventre.
— ’C’est peut-être assez pour aujourd’hui ?’ demande-t-elle à la cantonade. – ’Moi, je suis d’accord, on a quand même besoin d’un peu de repos, tous les trois ! On est nus depuis ce matin, et on a passé une grande partie de la journée à baiser… Allez, on n’a qu’à dire que jusqu’à demain matin, plus de sexe, ok ?’ Elles approuvent toutes les deux, et après une douche rapide et sage, nous nous étendons tous les trois sur mon lit, tendrement enlacés.
…
Presque dix heures de sommeil ininterrompu… Je me réveille entre les deux filles, le bras de Marine en travers de ma poitrine, sa jambe sur ma cuisse, la main d’Alixe sur mon sexe. Mes gestes étant limités, je caresse doucement leur toison, sans chercher à les réveiller. Je rêvasse, repensant à notre journée d’hier riche en aventures… sexuelles. Ma verge se mettant à bander fortement dans sa main, Alixe se réveille la première, émergeant d’un sommeil profond et s’étire sans lâcher mon sexe. Du coup, Marine se réveille aussi sortant peu à peu des brumes de la nuit, m’embrasse doucement, puis embrasse aussi Alixe en passant par dessus ma poitrine. Mon sexe étant déjà en main, elle s’occupe de celui d’Alixe, glissant la main entre ses cuisses qui s’ouvrent tout de suite pour l’accueillir. Puis elle se lève à moitié, vient entre les jambes d’Alixe qu’elle oblige à se coucher sur le dos, l’empêchant de continuer à caresser ma verge, pose sa bouche sur son sexe et entreprend de glisser sa langue dans la fente charnue. Alixe manifeste rapidement son contentement, mais voudrait aussi rendre la pareille à sa copine. Elles changent de position toutes les deux mais au lieu du soixante neuf prévisible, leurs gesticulations les amènent tête bêche certes, mais leurs sexes lèvres à lèvres. Aussitôt leur ventre ondule, chatte contre chatte, le clitoris très long et tendu de Marine glissant dans la fente ouverte d’Alixe. Les deux filles s’excitent mutuellement, leurs vulves se frottent, s’agacent.
Le tableau est splendide, mais j’ai peut-être bien un petit supplément à leur proposer… Je vais fouiller dans un placard très personnel et finis par y retrouver ce que je charchais : un godemiché double avec ceinture… Trop occupées à leur activité, aucune des deux n’a suivi mes recherches, et quand je présente ma trouvaille entre leur ventre, elles ont un moment d’étonnement. Je les fais s’écarter un peu l’une de l’autre, je choisis Marine comme première ’mâle’ et délicatement, et fais pénétrer l’extrémité du godemiché dans son sexe. Elle éprouve une certaine difficulté à rester simple spectatrice de l’opération pendant que j’enfonce cet engin d’une taille respactablesurprise par cette intromission inhabituelle : c’est bien un sexe qui la pénètre, mais il n’y a pas d’homme de l’autre côté… Lorsqu’elle s’est accoutumée à cette présence insolite, je lui ajuste la sangle de ceinture et celle qui passe entre ses fesses et la fait bouger un peu pour contrôler la bonne installation de l’attirail. Marine contemple avec étonnement la bite qui se dresse maintenant entre ses jambes alors qu’elle en sent une dans son vagin, Alixe et moi sommes fascinés par cette fille au sexe d’homme. Alixe s’installe d’elle-même sur le dos, les genoux remontés, impatiente et curieuse des sensations qu’elle va éprouver. Marine est hésitante devant la conduite à tenir, mais répond à l’invite de son amie en se couchant sur elle, prenant garde à la présence nouvelle de sa verge raide. Elle a bien sûr un peu de mal à trouver la bonne position, mais Alixe l’aide à guider le bout du sexe vers sa fente et à entamer la pénétration. Doucement, Marine accentue sa pénétration, étonnée de l’effet de ses mouvements, ravie des sensations que les mouvements de l’autre bout de l’engin provoque dans son ventre. Elle a beau être attentive à ce qu’elle fait à Alixe, elle n’en ressent pas moins le sexe raidi dans son sexe et a un peu de mal à maîtriser les deux… Alixe se laisse faire, enchantée de se faire baiser par Marine, toute à la recherche de son plaisir. Marine essaye de trouver les mouvements de bassin d’un garçon, faisant entrer et sortir le godemiché du sexe de sa copine, cherchant à en fouiller les profondeurs et à lui donner du plaisir, mais elle est perturbée par les sensations du sexe bougeant dans son ventre. Elle se masturbe et baise Alixe en même temps. Cette dernière se rend bien compte de son trouble, et son plaisir s’en trouve multiplié. Elle gémit, halète, et ne peut s’empêcher de mouvoir son bas-ventre, augmentant encore les sensations de Marine.
Les deux filles en train de faire l’amour ensemble, chacune avec une bite dans le ventre, est terriblement excitant, et je ne retiens pas ma main qui caresse ma verge énergiquement. Avec un cri, Alixe jouit la première, pendant que Marine emportée par son plaisir continue à la baiser, entraînant mon propre orgasme. Mon sperme jaillit sur le dos de Marine, qu’Alixe est obligée d’immobiliser pour cause d’orgasme insuportable… Revenant à la réalité et ayant pitié de Marine inassouvie, je détache les sangle qui lui entourent la taille, fait rouler les deux filles en prenant soin de na pas les désunir, puis rattache l’appareil autour des hanches d’Alixe qui récupère peu à peu.
Par des mouvements du bassin, Marine fait comprendre à Alixe qu’elle doit maintenant assumer sa nouvelle fonction de ’mâle’. Le trouble de l’orgasme passé, celle-ci commence à mouvoir son bassin, enfonçant et sortant l’engin du sexe de son amie. Ses sensations atténuées par le pied qu’elle a pris, elle peut mieux s’appliquer à ce qu’elle fait, et cherche à amener Marine à un maximum de plaisir, ralentissant lorsqu’elle la sent perdre pied, la faisant languir, l’amenant à nouveau au bord de l’orgasme. Elle s’amuse à la faire jouir, et l’autre, totalemnt submergée, ne peut que subir les agaceries et les assauts de la baiseuse. Dans des registres différents, elles éprouvent autant de plaisir. L’une à manipuler les sensations de l’autre, l’autre à en jouir. Ma verge n’a pas eu le temps de diminuer de taille qu’elle est à nouveau raidie par une excitation débordante, à tel point que je défais la ceinture qui entoure Alixe, sors le godemiché de leur sexe, pousse Alixe qui roule à côté de sa copine, et avec délectation je plonge ma verge dans le sexe béant de Marine. Après quelques coups de boutoir furieux, elle jouit en criant sans retenue, et je la rejoins rapidemeent, noyant son vagin de ma semence. Foudroyé, je m’étends sur elles deux, mon torse sur la poitrine d’Alixe, mon sexe toujours planté dans celui de Marine. Tous les trois un peu secoués par cette expérience, nous restons un temps silencieux, à reprendre notre souffle.
— ’C’est une peu hard, comme réveil, hein ?’ se décide à dire Alixe. – ’Hummm oui, ça décoiffe !’ reconnaît Marine, ’Moi je ne ferais peut-être pas comme ça à chaque fois, mais de temps en temps, c’est vachement bien… Qu’est-ce que c’était bon ! Mais c’est pas si facile à manipuler, un… d’avoir une bite. C’est pas du tout les mêmes mouvements, de… Enfin je veux dire de baiser par rapport à se faire baiser. En plus, quand on en a une aussi dans le ventre, moi ça m’a vachement troublée : je te baisais et je me faisais baiser en même temps, j’avais une part de mes sensations habituelles, et en plus une partie de celles d’un garçon, je pense, quand il enfonce sa queue dans une fille. C’est un peu une baguette magique, une bite entre les jambes…’ – ’Oui, je trouve aussi, mais tu t’en sers vachement bien, qu’est-ce que tu m’a mis ! Et en plus je sentais que toi aussi ça t’excitait, alors moi je suis partie comme une fusée…’ – ’Ben les filles, je vois que vous n’avez plus besoin de moi !’ – ’Eh non, attends’, s’exclame Marine, ’c’est pas du tout pareil ! C’est vrai que c’est vachement bien, mais une vraie bite, c’est autre chose ! C’est vivant, c’est chaud, c’est plus dur, et puis ça réagit, heu… ça palpite, ça gonfle. Et puis tu sais mieux t’en servir que nous. Nous on sait comment ça nous fait du bien, mais on n’a pas de sensation au niveau de cet engin là. Et puis ça jaillit pas à la fin…’ – ’Ah oui, moi je suis de son avis, c’est super comme expérience, une fois comme ça, mais un vrai garçon on s’en lasse pas. Maintenant, c’est vrai que me faire… heu, qu’elle me fasse l’amour avec une grosse queue, c’était super ! Me faire pénétrer par Marine, c’était géant… Et puis j’ai aussi trouvé ça terriblement excitant, de la pénétrer ensuite, de jouer avec elle, j’avais l’impression de manipuler sa jouissance, de la manipuler toute entière ! C’est vrai que c’est une baguette magique… Vous avez de la veine, les garçons ! Moi, ce que j’aimerais bien, une fois, c’est pouvoir changer de corps avec un garçon, et puis connaître vos sensations, ce que ça fait quand on vous caresse, quand on vous suce, et puis quand vous nous la mettez dans le ventre. Je suis sûre que j’essayerais de me masturber, pour voir. Et surtout je voudrais savoir ce que ça fait quand vous jouissez !’
Tout en décrivant ses fantasmes, Alixe joue avec ma bite, la caressant pour son propre plaisir, pour ses propres sensations. Mais je me retrouve à nouveau avec une splendide érection. ’Toi, ça t’a jamais tenté, de savoir ce qu’on ressent, nous les filles ? Wouahhh… Quand on nous caresse, quand on nous lèche, hummm ! Une langue qui joue avec notre clito, ce que c’est bon… Et puis quand on sent que le bout du sexe entre, qu’on est envahie par un gros machin qui va et vient et qu’on sent notre ventre qui s’excite, qui nous fait jouir. Et quand vous explosez dans notre ventre, hummm, c’est super ! Moi j’aime bien faire jouir les garçons, j’aime bien les sentir… éjaculer. Aussi bien dans mon ventre, que dans ma main, dans ma bouche, dans… partout, quoi !’ – ’Arrête, tu m’excites !’ dit Marine en rigolant, nous faisant rire aussi. – ’Bon, mais il faudrait peut-être qu’on se calment un peu, non ? On est à peine réveillés qu’on recommence à faire l’amour… Moi je vous propose qu’on s’habille tous les trois, aujourd’hui, ça nous changera on est à poil depuis hier matin !’ Les filles acquièsent toutes les deux et partent dans la chambre de Marine s’habiller. Mais en fait, quand on se retrouve tous les trois pour prendre le petit déjeuner, nous nous apercevons que nous avons eu la même idé