Marine, qui n’attendait que ça, ne se fit pas prier, elle s’assied aux côtés de son oncle, alors que Laurence se mit face à elle et Anaïs était face à son beau-frère.
Jean-Marc était debout, fit le service apéro, avant de s’asseoir à son tour, pour trinquer à ce séjour de vacances féminines.
Marine le verre levé vers son oncle.
— Tu n’es pas du voyage ???
— Non, ma chérie, je travaille !!!
— Oooh, mon pauvre tonton, ça va être triste sans toi ???
— Enfin, Marine, tu es venue pour profiter de la mer, nous partons demain avec ta tante… Lui dit sa mère !!!
— Et puis, ici, il n’y a rien… Tu pourras allez à la plage et te faire bronzer !!! Lui dit Laurence, tout en regardant son mari, qui avait dans ses yeux une étincelle, avec peut-être un espoir que sa nièce reste là.
L’effet du mojito faisait son chemin, malgré le barbecue, saucisses, merguez, les chips, la salade, le fromage, et pour finir une glace, sans oublier le vin rosé, et le champagne.
— Qui veut du café, demanda Jean-Marc ??? Qui assura le service du début à la fin.
Tout le monde, café.
Durant le repas, la main gauche de tonton se posa sur le haut de la cuisse musclée de sa nièce.
Pour finir, par se glisser sur l’entrejambe très humide de cette petite culotte, que Marine ne lui cachait plus.
Avec la complicité de Laurence, Jean-Marc put jouer de ses doigts, en appuyant sur la fente du tissu, au niveau de ses lèvres.
Alors que Marine, cuisses totalement ouvertes, se mordait les lèvres, yeux mi-clos, haletante.
— Mon cur, le café doit-être prêt ?? Dit Laurence, cherchant à lui faire reprendre ses esprits.
Jean-Marc se leva, laissant sa nièce en pleine érection clitoridienne, qui eut du mal à reprendre ses esprits. Anaïs ne s’aperçut de rien, en pleine discussion avec sa sur. Alors que cette dernière, connaissant que de trop son mari, profita de la scène.
Jean-Marc revint avec le café, qu’il servit à chacune, avant de se servir le sien. Puis la discussion entre les deux surs se continua, sur la terrasse.
Marine et son oncle, toujours assis à leurs places, se dévorant des yeux. Jean-Marc se leva et débarrassa la table, plus difficilement, sa nièce le suivit, tous les deux dans la cuisine, ils se mangèrent du regard, avant de lui glisser à l’oreille.
— Tu m’as mise dans tous mes états, j’en peux plus, je vais faire pipi et tu me rejoins ??? Dit Marine.
— Je termine de débarrasser et je te rejoins, petite salope !!!
— J’adore, me faire traiter comme ça !!! Avant de l’embrasser du bout des lèvres.
— Dans la salle de bain… Dit-il.
Elle commença à avancer jusqu’à l’encoignure de la porte, un dernier regard, avant de disparaître. Jean-Marc, lui revint sur la terrasse, les interrompant.
— Je suis à la salle de bain, me doucher… Je reviens…
Laurence avait vu dans son regard, cette petite lumière de plaisirs, de désirs, qu’il avait dès qu’une envie, lui prenait, elle lui sourit.
— Vas mon cur !!!
Anaïs, elle, était dans ses explications, elle ne se doutait de rien.
Le plus naturellement possible, Jean-Marc abandonna les deux surs, pour aller rejoindre sa nièce.
Lorsqu’il passa devant les toilettes, la porte était restée ouverte, la lumière allumée, Jean-Marc tourna la tête, Marine était assise, culotte aux chevilles, elle l’attendait.
Faisant mine d’avoir fini de se soulager, elle se leva, cuisses écartées, sans même s’essuyer, elle se reculotta, et tira la chasse deau, avant de sortir et de poser sa main sur la braguette du jean de son oncle, agrippant ce qui prenait forme dans l’entrejambe du pantalon.
Elle l’embrassa une nouvelle fois, avant de lui demander.
— Où veux-tu que l’on se mette ??? dit-elle.
— La salle de bain, je suis sensé me doucher !!
— Ah Houai… Hum… Sous la douche… Dit-elle, tout en l’attirant dans la pièce, donnant un tour de verrou !!! Tantine ne nous surprendra pas, ma mère a besoin de parler… Mais moi, j’ai besoin de sucer un gros cochon comme toi… J’adore les hommes murs… Allez, tonton, enlève tout ça…
Jean-Marc, désabusé, et à la fois, excité, se laissa déshabiller par sa nièce, qui avait une certaine habitude.
— Eh, mais je te fais peur ??? Tu ne réagis pas… Dit-elle.
Elle lui attrapa son membre en érection, debout face à lui, et le branla d’une main experte, avant de s’arrêter et de le lâcher, pour retirer son petit vêtement blanc, pour lui présenter.
— Tiens, mon tonton, c’est ça que tu voulais ??? Des vicieux comme toi, je passe mon temps libre à m’occuper d’eux… Allez, renifle mon parfum enivrant…
Jean-Marc se laissa faire, humant à pleines narines l’entrejambe souillé d’auréoles de glaire encore fraîche, alors que sa nièce, agenouillée, le suça, à en perdre haleine, jusqu’à lui vider les couilles, qu’elle avala sans restriction.
Puis elle se leva, lui demandant à l’oreille.
— A ton tour, soulage-moi la fontaine sous la douche.
Excité, Jean-Marc, la poussa dans la cabine de douche, et là, après avoir laissé couler la douche. Marine adossée aux parois de faïence, debout, cuisses écartelées, se laissa dévorer sa vulve, totalement épilée, aux petites lèvres rosâtres.
Le clitoris pendouillard, en totale érection, il le suça, lui pratiquant une fellation.
Le bruit de la douche couvrit partiellement, ses gémissements, halètements.
Avant de jouir, dans un jet de glaire fraîche, qu’elle éjacula, sans retenue, sur son visage, lui tenant contre son entrecuisse.
Ils se douchèrent ensemble, la caressant, avant de ressortir de la salle de bain, un dernier baiser, Marine n’ayant que son tee-shirt, cul nu, et Jean-Marc, sa tenue du soir, une sortie de bain éponge couleur tabac.
C’est ainsi qu’il retrouva les deux surs qui elles, n’avaient pas bougé de la terrasse, venant s’asseoir sagement, à sa place.