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Ma mère, mon amour – Chapitre 5




Nous sommes montés prendre une douche tous les trois. Il fut convenu que nous dormirions ensemble et je partis me coucher le premier. Je les entendais dans la salle de bain qui se parlaient et je fus surpris quand elles vinrent dans la chambre. Ma mère avait une jolie combinaison rose pleine de dentelle et ma tante avait la même mais de couleur blanche. Elles se mirent chacune d’un côté du lit et commencèrent à relever leurs combinaisons devant moi. Ma mère avait des collants couleur chair et une culotte blanche et ma tante, des collants aussi couleur chair mais une culotte rose. Elles se couchèrent près de moi et je dus les caresser toutes les deux, je pris dans ma table de nuit un canif pour pratiquer une ouverture dans leurs collants à hauteur de leurs entre-jambes. Je m’allongeais sur ma tante et ma mère écarta la culotte et dirigea mon sexe tout gonflé de désir vers la grotte toute mouillée de ma chère tante. Je la pénétrais d’un seul coup de rein et elle me regarda droit dans les yeux et me dit :

— " Oui, viens baiser ta tante depuis tantôt je n’attends que cela, oui viens, mets dans grosse queue dans ma chatte, oh que c’est bon, vas-y limes moi bien mon bébé. "

Ma mère, elle, me caressait les couilles et me disait :

— " Vas-y mon amour, fais la jouir, continues. "

Elle se mit à califourchon sur le visage de ma tante et écarta sa culotte et descendit, je vis la langue de ma tante se tendre vers ce puits qui lui dégoulinait dans la figure. Ma mère m’embrassait, elle était comme folle, elle jouissait sous les coups de langue et me bavait dans la bouche en me criant qu’elle m’aimait.

Je n’en pouvais plus et je me vidais à gros bouillon dans le ventre de ma tante, qui sous la violence des jets se mit à jouir en me serrant les fesses pour que je reste en elle le plus longtemps possible.

Nous nous sommes allongés côtes à côtes et nous nous sommes endormis assez vite, il faut dire que la journée avait été épuisante.

Je me réveillais avec une trique comme d’habitude, mes deux femmes étaient encore à mes côtés, et je me mis à genoux au pied du lit pour les admirer. Ma mère dormait sur le côté, sa bretelle de la combinaison était descendue et je voyais un de ses seins, elle avait les jambes un peu écartées et je pouvais voir le début de sa culotte, ma tante, elle, elle était sur le dos et avait les deux jambes très écartées je lui voyais la chatte car sa culotte était restée écartée. Je me penchai et lui léchai ses belles lèvres toutes épilée, je les écartai et lui passa la langue sur son clitoris, elle gémit dans son sommeil, je continuai et introduisis deux doigts dans sa chatte. Elle se réveilla, me regarda et me dit :

— " Oh c’est toi mon cour, je croyais que c’était Max.

— Qui c’est Max.

— Je t’expliquerais un jour. "

Son regard se posa sur mon membre, et elle se passa la langue sur les lèvres en disant :

— " Oh, la belle sucette ! "

Elle se jeta littéralement sur moi et me pompa divinement. Ma mère se réveilla également et vint la rejoindre. Je voyais ces deux femelles me sucer et dans la glace qui se trouvait au dessus du lit je voyais leurs deux culs, je me penchais un peu et mis mes mains dessus. La douceur et le crissement des collants me donnèrent des frissons dans le bas des reins et je me vidai sur leurs visages. Elles s’embrassèrent avec mon sperme qui leur coulait dans la bouche, elles me disent :

— " Viens mon amour. "

On s’embrassa comme des fous. Nos trois langues se mélangèrent et nous étions heureux.

On passa à la salle de bain, et j’urinai dans la cuvette pendant qu’elles prenaient une douche, j’ouvris le rideau et je vis ma tante qui, les jambes écartées, urinait dans la bouche de maman je me mis à côté d’elle et je bus aussi .C’était pas trop mauvais et je me promis de recommencer avec ma mère. Après ma douche je m’habillais et descendis faire le petit déjeuner. Oufs à la coque, mouillettes et jus d’orange pour tous le monde.

Elles descendirent, toutes habillées et maquillées, et on prit notre petit déjeuner ensemble en parlant de choses et autres. C’était samedi, et je devais ranger le garage, elles me dirent qu’elles allaient faire des courses et que j’aurais une surprise en rentrant. En rangeant le garage, je pensai à mes deux femmes et naturellement je rebandais, je montai dans la chambre que l’on avait mis à disposition de ma tante et je vis sa valise posée sur le lit. Je l’ouvris et commençai à fouiller. Il y avait deux tailleurs, plusieurs sous-vêtements, quelques chemisiers et en dessous je découvris un godemichet assez imposant avec deux lanières. (Je sus plus tard que cela s’appelait un « gode ceinture ».)

Je pris une culotte blanche en satin et l’enroulait autour de ma queue et me couchais sur le lit pour me masturber, j’étais aux anges, mais j’arrêtais assez vite en pensant que je devais me réserver pour ma surprise. Je rangeais tout comme il faut et redescendit au garage. Vers midi, je les entendis rentrer et venir près de moi.

— " Alors, comment va notre étalon ?

— Très bien les filles, et ma surprise ?

— Tantôt si tu es sage. "

Elles allèrent faire à dîner et moi je voulus prendre une douche mais elles s’y refusèrent en me disant qu’elles aimaient l’odeur de la transpiration sur mon corps. Pendant le dîner elles parlaient entre elles :

— " Tu crois qu’il va être beau ?

— Oui, tu as bien vu moi cela m’allait bien.

— Mais avant il faut que nous le rasions.

— Bien sûr ce sera plus doux. "

Elles voulaient donc me raser. Je me dis « pourquoi pas ! ». Mais je dis à ma mère qu’elle aussi devait le faire. Elle éclata de rire, et se leva, abaissa son collant et sa culotte et je vis son minou tout épilé je passai une main dessus, c’était divin. Ma tante me montra le sien aussi, elles avaient été chez une copine de ma tante qui était esthéticienne pour se faire raser. Ma tante avait repassé le sien aussi et il était tout doux.

— " Je suis d’accord de le faire aussi, on se met où ?

— Sur la table, mais avant, achevons de manger et faisons la vaisselle.

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