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Baby-sitter par des jumelles – Chapitre 2




Baby-sitté par des jumelles (2)

Cette nuit a sûrement été la meilleure de toute ma vie. J’ai excellemment bien dormis, j’ai fait plein de rêves érotiques, mais je suis tout de même impatient de me réveiller pour pouvoir profiter de mes deux baby-sitters préférées durant ce weekend qui sannonce être le meilleur depuis bien longtemps. J’ouvre les yeux et ma crainte d’avoir fait un rêve se dissipe : Manon et Léa sont bien là, confortablement blotties contre moi. Leurs deux corps nus de déesses sont collés à moi. Elles arrivent à être magnifiques même en dormant. Je regarde leurs seins et leur entrecuisse, une érection me prend déjà. Moi qui était puceau il y a encore quelques heures voilà qu’un de mes fantasmes est déjà réalisé : me réveiller avec autour de moi deux sublimes femmes avec qui j’aurais fait l’amour la veille. J’ai très envie de leur faire l’amour immédiatement mais je n’ai pas envie de réveiller ces deux Belles aux Bois dormant. Je caresse délicatement leur peau de satin, je passe sur leur visage, sur leurs seins, sur leurs hanches et je vais jusqu’au pubis. Elles bougent un peu dans leur sommeil et j’ai peur de les réveiller mais l’envie est trop forte. J’écarte délicatement leurs lèvres et commence à titiller leur clitoris avec mes doigts. La réaction ne se fait pas attendre et déjà Léa fait mine de se réveiller. Elle n’ouvre pas les yeux mais ses gémissements me prouvent qu’elle prend du plaisir. Elles portent ses mains à ses seins et commence à se toucher et à se malaxer les tétons. Peut-être se croit-elle encore dans un rêve. Petit à petit elle ouvre les yeux, remarque que je la doigte et son regard vient vers moi. Un grand sourire se dessine sur son visage. On se regarde quelques secondes puis nos têtes se rapprochent et l’on s’embrasse.

 – C’est tellement bien de se réveiller à côté de toi, me dit-elle, tout sourire.

 – Si pour toi c’est bien, imagine ce que c’est pour moi. La première fois que je fais l’amour c’est avec deux des plus belles femmes que je connaisse et après je passe la nuit avec elles. C’est le rêve.

 – En même temps on est tellement bonnes ! dit-elle, joueuse.

 – Haha prétentieuse, va, lui dis-je en l’embrassant.

 – Manon dort toujours ?

 – On dirait bien. Elle, les caresses au clito ça ne la réveille pas immédiatement, à première vue.

 – Attends, on va arranger ça.

Léa passe au-dessus de moi et se place entre les jambes de sa sur. Elle prend une des mains de Manon et la place autour de mon pénis déjà dressé, puis commence à lécher la vulve de sa sur. Sa langue se balade entre son clitoris, ses lèvres et l’intérieur de son vagin. De mon côté je prends les mamelons de Manon entre mes doigts pour les masser. Manon fait de plus en plus de mouvement et la main autour de mon sexe commence à s’agiter. Il s’agissait au début de timides va-et-vient mais le mouvement s’amplifie désormais. Léa continue de lécher sa sur. Un peu de cyprine coule déjà du sexe de Manon. Ses gémissements s’intensifient et elle se réveille enfin. Elle continue à me branler mais Léa se jette sur elle.

 – Ah, ma sur jumelle préférée est enfin réveillée. Je suis sûr que tu faisais semblant de dormir juste pour qu’on s’occupe de toi, dit Léa, d’humeur taquine.

 – Haha peut-être bien, qui sait ? Mais en tout cas ce matin il y en a un de qui on va très bien s’occuper. Je propose un petit déjeuner au lit pour Arthur.

 – Ah ouais quelle bonne idée, réagis Léa.

 – Oh merci les filles mais c’est pas la peine. On va tous se retrouver dans la cuisine et préparer ensemble.

 – Non, non, non, fis Manon en collant son doigt contre ma bouche, ta mère nous a demandé de prendre soins de toi, alors on prend soins de toi.

 – Vous avez déjà très bien pris soin de moi hier, dis-je en rigolant, mais d’accord, j’attends avec impatience ce que vous allez me proposer alors.

Les deux filles m’embrassent puis sortent de ma chambre. Je vois leur deux corps magnifiques s’éloigner de moi, j’en ai presque un pincement au cur. Elles vont dans la cuisine, j’entends des bruits de vaisselle, elles se parlent et rigolent, se font des baisers. Je ne peux m’empêcher de légèrement me masturber en pensant à elles, à hier soir et à la suite du weekend. Après plusieurs minutes elles reviennent dans ma chambre avec un grand plateau et tout ce qu’il faut pour trois personnes. Je les félicite et leur dis que c’est sûrement le meilleur petit déjeuner au lit que j’ai jamais eu. Nous commençons à manger et les filles me disent qu’elles m’ont préparé un dessert spécial pour la fin du petit déjeuner. « J’ai hâte de gouter ça », leur dis-je. A ces mots elles partent dans un fou rire et il fallut attendre au moins une minute pour qu’elles se calment. Nous continuons alors le repas en discutant, des études, des amis, etc. Arrivé au bout, les filles débarrassent le plateau dans la cuisine puis reviennent dans la chambre. « Alors, tu veux ton dessert spécial ? » me demande Manon, un sourire aux lèvres. J’acquiesce, avec une pointe de méfiance. Que peuvent bien mijoter les jumelles ? Elles se regardent et Manon me dit : « Ce dessert peut se lécher, se prendre avec les doigts, mais attention ça peut dégouliner ». Devant mon air dubitatif, Léa décide de prendre les choses en main : « Ce dessert spécial, c’est… », elle se met alors sur moi, sa vulve offerte à moi, « … nos chattes. Tu peux les dévorer tant que tu veux, y’aura toujours du rabe pour toi. ». Je ne me fais pas prier et je fourre mon visage dans ce dessert qui a l’air très appétissant de bon matin. Léa met sa tête en arrière et émet des gémissements de plaisir. Je lèche son bouton d’amour, l’aspire dans ma bouche, le relâche. Ma langue explore toute sa fente rose. J’excite son clitoris avec mes doigts et lèche son vagin déjà humide. Manon se place derrière elle. Elle lui prend les seins, lèche ses mamelons, elle glisse sa main dans son vagin pour collecter un peu de cyprine qu’elle avale ensuite goulûment. Les jumelles s’embrassent à pleines bouches. J’insère deux doigts dans le vagin de Léa et je débute de rapide va-et-vient. Son orgasme arrive un peu après et elle laisse sa place à Manon, qui se positionne au-dessus de moi et que je commence à lécher. Elle doit aimer ce que je lui fais car elle effectue des ondulations avec son bassin qui me font plus appuyer sur son clitoris. Léa se remet de ses émotions et c’est maintenant à elle de donner du plaisir à sa sur. Elle frotte alors énergiquement sa main contre le clitoris de sa sur pendant que j’insère ma langue dans son vagin. Léa rajoute en plus un doigt dans l’anus de Manon. Ceci ne fait qu’accélérer les choses et Manon jouit quelques secondes plus tard, parcourue de spasmes de plaisir. Nous sommes enlacés tous les trois, nous nous embrassons tendrement.

Aux bouts de plusieurs minutes nous décidons de sortir de ma chambre pour aller jouer au salon. Bien sûr nous ne nous habillons pas, c’est plus sympa, et puis ça me permet de toujours admirer leur corps de rêve : leurs fesses rebondis, leurs seins biens fermes, leurs cheveux qui tombent sur leur poitrine. Nous passons la matinée à jouer, puis nous déjeunons vers 13h.

Vers 15h, alors que nous regardions la télé, la sonnette de l’entrée retentit. Nous nous regardons, étonnés. Mes parents sont en weekend et nous n’attendons personnes. Il faut vite que nous nous habillions car je vais aller ouvrir. Nous allons dans nos chambres et j’enfile rapidement un short et un t-shirt puis je me dirige vers l’entrée. Quelle surprise quand j’ouvre la porte et que je découvre Inès, ma meilleure amie. Elle a l’air un peu gênée alors qu’elle est d’habitude plutôt extravertie.

 – Salut Inès. Qu’est-ce que tu fais là ? demandé-je, interloqué.

 – Euh Salut Arthur. Je crois savoir que tes parents ne sont pas là et ça fait longtemps qu’on ne s’est pas vu alors je passais juste pour voir si t’allais bien.

 – Euh oui ça va, merci. Et toi ?

 – Bien. T’es tout seul ?

 – Oui, réponds-je sans réfléchir, comme si la présence des jumelles n’était pas autorisée.

 – Très bien… Euh je voulais te parler… Enfin… Hier soir je t’ai appelé et… comment dire ? Oh, et puis merde !

Elle me fixe alors dans les yeux, s’avance rapidement vers moi et m’embrasse à pleine bouche. Le baiser dure plusieurs secondes. Je suis très surpris et je ne parviens pas à me libérer de son étreinte. Elle stoppe finalement ce baiser et me dit : « Arthur, je t’aime ». Je la regarde, plus que surpris. C’est une très jolie fille mais c’est aussi ma meilleure amie ; mais en un baiser elle vient de me faire prendre conscience qu’autre chose existe entre nous. Je rapproche alors ma tête de la sienne et nous nous embrassons une nouvelle fois. Ce deuxième baiser est bien plus profond, nous le voulons tous les deux. Il dure presque une minute et pendant ce temps nous nous enlaçons le plus fort possible. Le baiser s’arrête et elle me demande, toute joyeuse : « On rentre ? ». Je l’embrasse encore et la tire à l’intérieur tout en fermant la porte avec le pied. Je la dirige vers le salon et nous nous jetons sur le canapé. Je prends alors conscience que les jumelles sont dans la chambre voisine et je ne veux pas qu’Inès sache qu’elles sont là et ce que nous avons fait les heures précédentes. Je lui dis donc que nous ne devrions peut-être pas faire ça immédiatement mais Inès me retire déjà mes vêtements et je me laisse emporter par sa fougue. Elle est à califourchon sur moi et elle me dévore la bouche. Nos langues s’emmêlent, nos respirations s’accélèrent, nos esprits chavirent. Elle se redresse pour enlever son haut et son soutien-gorge. J’ai alors le temps d’admirer son visage, ses yeux bleus, ses longs cheveux blonds attachés en queue de cheval, ses petits seins et ses hanches parfaitement dessinées. Elle se met debout sur le canapé et entreprend désormais de retirer le bas. Elle se met dos à moi et descend sensuellement sa jupe le long de ses jambes. Je peux voir qu’elle ne porte pas de culotte. Etrange. Mais la vue de son petit abricot me fait vite passer à autre chose. Elle se remet face à moi, m’embrasse puis descend vers  mon sexe. Elle a un sourire quand elle voit la bosse sous mon short et s’empresse de retirer la barrière de tissu.

Ses mains entourent alors mon sexe et elle commence à doucement me branler. Elle n’est pas aussi experte que les jumelles mais elle fait ça avec amour. Elle me regarde dans les yeux et entreprend de sucer mon gland. Ses petites lèvres entourent mon gland et elle agite sa langue dessus. Elle voit que ceci me satisfait pleinement alors elle commence à mettre mon membre de plus en plus profondément dans sa bouche jusqu’à ce qu’il soit entièrement engloutis. Elle n’arrive pas à le maintenir longtemps entièrement dans sa bouche car elle s’étouffe un peu alors elle le relâche puis réessaie. Elle commence quand même les va-et-vient de sa bouche autour de mon sexe. Elle me regarde dans les yeux et alterne entre branlette et fellation. Ses mains et sa langue jouent avec mes boules, ce qui me procure encore plus de plaisir. Pendant ce temps elle glisse une main entre ses jambes et se masturbe. Ceci dure plusieurs minutes puis elle remonte vers mon visage et nous nous embrassons sur la bouche, dans le cou, nous nous mordillons le corps. Je la serre fort contre moi, comme si cela allait permettre de rattraper le temps perdu. Mes mains parcours son corps nu, j’explore ses formes. Je glisse même un doigt dans sa fente d’amour, ce qui lui arrache un petit gémissement.

Alors que je l’embrasse dans le cou, sa bouche est à côté de mon oreille et elle me susurre avec sensualité : « Je veux te sentir en moi, Arthur. J’en ai toujours rêvé. ». Ceci m’excite encore plus et je la retourne sur le dos. Je suis à genoux devant son intimité et je lubrifie mon sexe avec la cyprine qui a commencé à couler du vagin d’Inès. Elle me regarde alors et me dit : « Vas-y doucement, c’est ma première fois. Je suis restée vierge pour que ce soit toi qui me dépucelle. ». Ces paroles me font très plaisir (et un peu bizarre aussi) et j’humidifie encore plus mon sexe pour que tout se passe en douceur. Quand je suis prêt j’avance mon membre vers le vagin d’Inès et elle me guide avec sa main pour que je le pénètre le plus délicatement possible. Sa respiration se fait plus courte à mesure que je m’enfonce en elle. Je sens les parois de son vagin se contracter autour de mon sexe. Et quand j’entre plus rapidement pour en faire entrer le reste elle pousse un gémissement de plaisir : « Oh ouuiiiii ! C’est tellement bon d’enfin te sentir en moi ». Je prends ses hanches entre mes mains et commence de doux mouvements de va-et-vient. Ses mouvements de bassins accompagnent les miens et elle pousse de petits soupirs de plaisir chaque fois que mon membre remonte dans sa chatte qui s’humidifie de plus en plus. Elle me regarde, se mord la lèvre et se touche les seins pour se procurer encore plus de plaisir. Petit à petit une de ses mains descend vers sa vulve et atteint son clitoris qu’elle excite entre ses doigts. Sa chatte est à présent bien humide et mes coups de bassin se font de plus en plus engagés. Elle ferme les yeux et se cambre en arrière, ses mouvements de bassin se synchronisant avec les miens, afin que mon sexe aille stimuler tous les recoins de son intimité. Ce traitement doit fonctionner car elle gémit de plaisir. Ceci m’encourage à augmenter la cadence de mes va-et-vient en elle. Mes mains s’agrippent plus fortement à ses hanches, nos soufflent s’accélèrent. Le visage d’Inès est parcouru par une grimace de plaisir qui s’amplifie lorsqu’elle reprend la stimulation de son clitoris. Je continue quelques minutes à enfoncer ma queue dans cette chatte humide mais le rythme élevé de la pénétration et la vue de ce magnifique corps me font chavirer. Je sors mon sexe du vagin d’Inès et je me positionne au-dessus de ses seins. Elle prend la relève pour me branler et en quelques secondes ma semence chaude sort à grands jets de mon sexe. Le liquide blanchâtre vient s’étaler sur sa poitrine et sur son visage.

Inès m’a fait jouir, c’est maintenant à mon tour. Je place mon visage entre les cuisses de ma nouvelle amante. Je vois qu’elle devient un peu plus nerveuse mais je veux qu’elle profite pleinement de ce moment. J’embrasse alors délicatement l’intérieur de ses cuisses en me rapprochant petit à petit de sa vulve. J’effleure ses lèvres du bas avec les miennes, en soufflant légèrement dessus. Puis ma langue commence à explorer plus avant cet endroit interdit. Jamais je n’aurais imaginé un jour lécher la chatte de ma meilleure amie. Je passe ma langue sur ses lèvres, sur son clitoris et je m’aventure parfois à l’entrée de son vagin. Puis mes lèvres se déposent autour de son bouton d’amour que j’aspire très légèrement et que ma langue vient alors exciter encore un peu plus. La réaction est immédiate et Inès se cambre de plaisir. Je lèche plus rapidement son clitoris et l’entrée de son vagin. Elle presse ma tête contre son sexe pour augmenter son plaisir et fait mine de vouloir l’enlever quand je l’excite trop. Je passe alors mes mains autour de ses cuisses pour bloquer ses mouvements de bassin et pour garder ma tête tout proche de son sexe : je la ferai jouir, qu’elle le veuille ou non. Je varie le rythme et l’intensité de mes coups de langues et je sens que ceci l’excite grandement. Avec ses doigts elle récupère mon sperme étalé sur son corps et se sucent les doigts jusqu’à ce qu’il n’y en est plus une trace. Son corps se cambre, elle essaie d’éloigner ma tête de son sexe pour reprendre ses esprits mais je ne l’entends pas ainsi et j’intensifie encore mon cunnilingus. Ses gémissements de plaisir deviennent des cris de plaisir. Quelques secondes suffisent pour que son orgasme se déclenche. Un cri de jouissance extrême accompagne des spasmes de plaisir. Son corps en est parcouru pendant plusieurs secondes. Quand ils s’arrêtent elle s’allonge complètement essoufflée sur le canapé.

Je viens me blottir contre elle et l’embrasse. Dans un souffle elle me dit : « C’était tellement bon, j’aurais voulu que ça dure toute la vie. Mais maintenant j’ai envie d’être un peu plus ta chienne : baise-moi la bouche et éjacule-moi dedans. ». Je parais un peu surpris au début mais un baiser accompagné d’un « s’il te plait » très sensuel finirent de me persuader. Nous nous embrassons encore quelques minutes le temps qu’Inès reprenne des forces puis elle se met à quatre pattes sur le canapé. Je me positionne devant elle et elle entreprend une fellation pour commencer. C’est un peu plus habile que la première fois mais elle manque toujours un peu d’expérience. Je prends alors sa tête dans mes mains et commence à l’enfoncer sur mon sexe dressé dans sa bouche. Elle a parfois quelques haut-le-cur quand mon membre touche sa glotte mais elle s’habitue peu à peu. De la bave commence à apparaitre sur mon sexe, et les bruits de gorge profonde sont de plus en plus forts. Parfois je colle sa tête contre mon ventre pendant quelques secondes puis je la relâche pour qu’elle reprenne sa respiration. De longs filets de bave joignent alors mon sexe et sa bouche, ce qui m’excite encore plus. Je reprends alors la pénétration de sa bouche avec ma queue.

C’est alors que la porte de la chambre de mes parents, qui me fait face et qui est donc dans le dos d’Inès, s’entrouvre. Je vois que les jumelles sont en train de nous filmer avec un portable. Elles sont, de plus, chacune empalée sur l’une des extrémités d’un même double god. Je leur fais signe de retourner dans la chambre mais elles continuent à filmer et à mimer ce que je fais à Inès. Au bout d’un moment elles finissent par rentrer dans la chambre. Heureusement Inès n’a rien vu. Je suis un peu déstabilisé par ce qui vient de se passer mais le doux contact de la gorge d’Inès sur mon sexe refait vite remonter le plaisir. Je continue les va-et-vient de mon membre dans sa bouche et je vais parfois mettre un ou deux doigts dans sa petite fente, ce qui lui procure encore plus de plaisir. Je remonte ses cheveux en queue de cheval pour lui dégager le visage et pour avoir une meilleure prise sur sa tête. Je sens la jouissance monter petit à petit en moi. J’accentue ma prise sur la tête d’Inès et j’accélère mes mouvements dans sa bouche et sa gorge. Les bruits de bave dans sa gorge sont de plus en plus fort et au bout de quelques minutes je décharge mes jets de sperme dans la bouche et la gorge de mon amante. Elle avale une première partie mais garde un peu du liquide blanchâtre dans sa bouche pour que je puisse le voir. Elle penche la tête en arrière, me montre sa bouche pleine de ma semence en me regardant dans les yeux puis l’avale en entier. Après ça elle me dit : « C’est tellement bon d’être ta chienne ». Je souris puis nous nous embrassons plusieurs minutes sur le canapé. Nous sommes un peu fatigués après ces ébats et nous décidons d’aller faire une sieste. Je la porte telle une princesse pour l’amener jusqu’à ma chambre. Je la dépose sur mon lit et nous continuons à rire et à nous embrasser.

 – Arthur, il faut quand même que je te dise pourquoi je suis venu chez toi aujourd’hui.

 – Ah parce qu’au départ tu ne venais pas du tout pour ça ? plaisanté-je.

 – Si, enfin je sais pas vraiment, dit-elle en rigolant. En fait hier soir je t’ai appelé et t’avais l’air un peu pressé. Tu m’as dit que tu rappellerais plus tard mais tu as mal raccroché ton téléphone. Du coup j’ai tout entendu : les jumelles, quand vous avez fait l’amour ensemble, tout. A ce moment j’ai fait comme une crise de jalousie, j’ai failli raccrocher, puis j’ai eu comme un fantasme voyeuriste et j’ai continué à vous écouter faire l’amour. Ma jalousie et mon fantasme ont fait émerger ce que je ressentais pour toi depuis des années. J’ai alors commencé à me masturber en pensant à toi et en vous écoutant.

J’étais totalement surpris par ce qu’Inès m’apprenait mais cela m’excitait.

 – Et comment tu t’es masturbée exactement ? demandé-je d’un ton malicieux.

 – Haha comme ça…

Inès se redresse sur le lit et met une main au niveau de sa vulve. Ses doigts passent entre ses lèvres. Ils se posent ensuite sur son clitoris et commencent des petits mouvements circulaires. Elle fait rouler son bouton d’amour entre ses doigts agiles. Puis elle enfonce son majeur dans son vagin, fait quelques allers-retours et me tend son doigt. Je suce alors le délicieux nectar qui coule déjà de son sexe. Elle a maintenant son majeur et son annulaire dans son vagin et elle intensifie les mouvements. A la vue de ce magnifique spectacle j’ai moi aussi envie de participer. Inès voit que je trépigne d’impatience alors elle me prend la main et place trois de mes doigts dans sa chatte. Je commence immédiatement à la pénétrer pendant qu’une de ses mains se touche le clitoris et que l’autre excite ses mamelons. Elle soupir de plaisir et l’orgasme arrive quelques minutes après. Elle jouit alors que je viens l’embrasser. Nos langues s’emmêlent, nos esprits chavirent. Nous nous serrons l’un contre l’autre.

 – Je t’aime.

 – Moi aussi, ma beauté, je t’aime.

 – Ça te dirait de sortir avec moi ? dit-elle en plaisantant.

 – Oui, avec plaisir. Mais je crois qu’on a grillé quelques étapes là.

 – C’est pas grave. J’aime bien cette ordre-là moi.

Sur ces mots et après un dernier baiser nous nous couchons. J’attends qu’elle s’endorme. Elle est si belle que j’ai envie d’en profiter le plus longtemps possible. Mais la fatigue me gagne et je m’endors à mon tour dans les bras de ma nymphe. Deux jours, trois amantes : je crois que c’est un weekend de rêve.

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