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Ma mère, cette belle femme. – Chapitre 1




On s’endormit dans les bras l’un de l’autre, et je me réveillai vers 2h du matin avec une érection, comme tous les jours, je me levai sans bruit pour aller uriner. Maman m’entendis et me dis :

-Chéri j’ai soif tu veux bien que je vienne ?

-Je n’ai rien à te refuser, mon amour.

Elle se leva et me suivis dans la salle de bain, elle se mit à terre près de la baignoire et attendis que je me vide sur elle. Le jet atterrit sur ses seins, puis je le dirigeai vers sa bouche et elle me but tout ce qu’elle pouvait en se mettant les doigts dans sa chatte et en criant qu’elle m’aimait et que j’étais son maître et que nous serions heureux . Elle finit par jouir et se releva pour venir m’embrasser, elle voulût me sucer et je la laissai faire mais je lui ai dit de venir sur moi pour que moi aussi je puisse la lécher. Mais comme elle venait de jouir, elle me dit qu’elle avait envie elle aussi de pisser, je lui dis :

-Tu peux le faire dans ma bouche.

-Oh oui, je serai vraiment heureuse de me vider sur toi, mon amour.

Elle s’accroupit sur moi et pendant qu’elle me suçait elle se vidait dans ma bouche. Son urine avait un bon goût et je m’en délectais, je n’arrêtais pas de boire et de lui lécher le con, j’éjaculais assez vite dans sa bouche et on s’est nettoyer tous les deux pendant au moins un bon quart d’heure. Nous étions vraiment comme des amants qui ne se contrôlaient plus et on retourna se coucher en se jurant que jamais on ne se quitterait.

Le lendemain, au petit déjeuner, avant de partir à l’école j’eus droit à ma tasse de lait servie par ma mère en slip et soutien gorge comme je les aimais c’est-à-dire blancs et avec des dentelles. Je bandais et elle me dit que j’attendrais mais que ce soir elle aurait une bonne surprise pour moi et nous partîmes pour l’école. Je rentrai vers 17 h et me mis à faire mes devoirs, vers 18h maman rentra et vint m’embrasser.

— Bonjour, mon amour, j’ai pensé à toi toute la journée et j’ai la culotte trempée, je vais me changer.

— Non, maman, j’adore sentir ton odeur.

— Comme tu voudras, chéri, je vais nettoyer le four pour nous faire des lasagnes.

Je finissais mes devoirs et je descendis. En passant devant la porte de la cuisine je vis ma mère à quatre pattes, la tête dans le four en train de frotter. La vue de son cul dans sa jupe et le fait d’apercevoir la marque de sa culotte à travers me fit avoir la trique et doucement je m’approchais d’elle. Je me mis à genoux derrière elle et je lui relevai la jupe. Elle se releva brusquement et se cogna au four je lui dis :

— C’est moi, mon amour laisse moi faire.

Je pris mon canif et lui ouvrit le collant sur 20 centimètres, puis j’écartais les bords et sa culotte. Je voyais son beau cul et directement je plongeai ma langue vers ce délicieux nid je n’arrêtais pas de la lécher, son odeur m’enivrait, je passais ma langue partout, dans sa chatte, dans son cul, sur ses fesses, elle criait que je lui faisais un bien fou et me supplia de la prendre avec ma grosse queue :

— Prends moi, prends moi, j’ai envie que tu me bourre partout, oh mon amour je t’en prie prends moi vite, je t’aime.

Je baissai mon slip et lui frotta ma queue entre ses cuisses jusqu’au clitoris, je redescendis un peu et m’engouffra dans sa chatte toute trempée, elle cria dans le four que j’étais son chien et que je la baisais magnifiquement. Après une dizaines de minutes à la limer de cette manière je décidai de l’enculer. Je me retirais d’elle et posa mon gland tout mouillé sur sa rondelle. Je poussai doucement mais elle me dit de la prendre comme une chienne et elle passa une main derrière mon cul pour me pousser à fond dans son beau petit cul. Je l’enculai ainsi pendant au moins cinq minutes elle hurlait :

— Vas-y, vas-y vas-y, remplis moi avec ton gros machin, vas-y vas-y oh mon amour c’est bon je suis ta salope, je me fais enculer par mon fils mais c’est tellement bon que je voudrais que ca dure tout le temps, je t’aime continue, continue oh oh oh je vais jouir, viens jutes dans ta mère remplis lui le cul de ton jus viens vite je t’aime je t’aime.

Je lui éjaculai plein le cul et je me retirai doucement, elle se recula du four et se tournant vers moi elle me dit simplement :

— Merci, mon chéri si tu savais comme j’ai joui, viens je vais te nettoyer la queue. On se releva et elle me lava la queue dans l’évier de la cuisine. On monta à la salle de bain et je lui retirai ses collants et sa culotte puis avec un Gand de toilette je lui lavai tout son cul et sa chatte pendant qu’elle me disait tout le bien que je lui avais fait.

— Mon cour, on croirait vraiment que l’on est marié et si tu savais comme je suis bien avec toi, j’espère que toi aussi tu es bien.

— Maman, je crois bien que je n’ai jamais ressenti un tel bonheur, je te jure que jamais je ne te quitterai et crois moi on sera heureux tous les deux. Maintenant viens on va manger et après je veux que nous passions une nuit d’amour comme l’autre fois.

— Bien sur mon chéri, je t’aime tant.

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