Histoires de sexe à l'école Premières histoires de sexe

À cette époque – Chapitre 1




Histoire vraie, vécue dans la plus humble intimité

À cette époque, mon frère et ma belle-sur habitaient un petit appartement au bord du Doubs, petit village sympa de mon enfance. C’était un rez-de-chaussée avec une petite cour intérieure dans laquelle nous avions entreposé mon bateau pour une petite modification.

J’étais arrivé la veille avec ma femme Cathy. Mon frère et moi ne parlions que de la modification de la traversée de coque de mon bateau. Les femmes, Chantal et Cathy commençaient dêtre agacées par notre préoccupation et trouvaient qu’on s’occupait plus du bateau que d’elles. Traversée de coque c’est bien, mais leurs deux corps nétaient pas mal non plus et elles nous le faisaient bien ressentir. Tout compte fait, après avoir bu l’apéro, nous remîmes notre projet au lendemain pour nous consacrer uniquement aux traversées de corps de nos deux femmes.

Le repas fut assez coquin, la saison s’y prêtait et nos deux femmes s’étaient retrouvées les seins à l’air et ne portaient, en tout et pour tout, que leur petite culotte. Mon frère et moi avions passé la majeure partie du repas à souiller leur corps de nourriture, que nous venions chacun notre tour nettoyer de nos langues et évidemment, notre jeu consistait à choisir les meilleurs morceaux de nos deux femmes. L’atmosphère de la pièce devint vite insupportable ; mon frère et moi étions sous une telle tension que les yeux de nos deux belles crépitèrent d’étincelles ne laissant en aucun cas trahir leurs degrés d’excitation. Pouvez-vous imaginer un seul moment, l’état de leurs petites culottes ? Trempées, bien sûr, remplies d’un velouté de crème à mourir de plaisir. Ce fut à cet instant que mon frère et moi décidâmes de passer à ce qui nous tenait le plus à cur, non plus la traversée de coque du bateau, mais la traversée de corps de nos deux femmes en ébullitions, qui n’attendaient que cet instant.

Mon frère et Cathy partirent dans la chambre et je me retrouvai avec Chantal dans le salon sur le canapé-lit que les femmes avaient préparé. Pouvez-vous imaginer la suite ? Je nen suis pas certain ! Allonger sur le dos, la tête enfouie dans les gros seins de ma belle-sur ancrée sur mon érection. Elle nen pouvait plus, elle se donnait à fond, je ne sais plus combien de temps nous sommes restés ainsi, l’espace-temps n’existait plus. Le supplice me parut insurmontable, j’avais résisté, nous avions tous les deux essayé de tenir le plus longtemps que possible, mais notre degré de résistance dépassa toute espérance. Ce qui devait arriver arriva. Lexplosion, le bigbang de nos deux corps, presque une résurrection et puis plus rien, le néant, l’inconscience. Elle s’endormit et, moi, dans une douce torpeur la tenant encore dans mes bas, j’écoutai ce qui pouvait bien se passer dans la chambre d’à côté. Ils ne dormaient pas encore. Je les entendais s’agiter, mais hélas Après un tel traitement, je succombai dans un profond sommeil jusqu’au lendemain matin.

Quand jouvris les yeux, vers six heures et demie, le jour était là, avec une mise en forme du tonnerre. Jen profitai pour tripoter les seins de mon tombeau damour qui, elle aussi, devait avoir bien récupéré de la veille. À mon grand étonnement, ses seins avaient diminué de moitié. Ce nétait plus Chantal dans mon lit, mais Cathy ; et, incapable de me souvenir comment avait eu lieu cet échange. Tant pis pour moi, je continuai mes investigations à la recherche dune réaction dans le but bien sûr de remettre le couvert pour un bon petit-déjeuner. Aucune réaction, elle dormait profondément. Je lai tripotée un peu partout, mais rien de chez rien. Vous pouvez comprendre à quel point la nuit avait dû être très chaude ? Sur ce, tendant loreille, jentendis des bruits dans la cuisine. Je décidai de me lever pour aller voir qui était là.

Mon frère, en train de prendre son café, tout était prêt sur la table et nous déjeunâmes tous les deux. Nous reparlâmes de notre modification comme si rien ne sétait passé cette nuit-là. Aucune question, ni dun côté, comme de lautre. Entre nous, nous partagions nos femmes, mais nous gardions toujours en secret ce qui se passait chacun de notre côté.

Le petit-déjeuner terminé, brin de toilette bâclé, nous repartîmes sur le bateau, afin dentreprendre cette modification. Le tout consistait à réaligner larbre de lhélice afin de permettre le déjaugeage plus rapide à grande vitesse. Mon frère et moi avions équipé ce bateau dun moteur Renault (dauphine 5 Ch. qui développait une cinquantaine de chevaux) Démontage de la traversée étanche de la coque et modification du tube de larbre. Nos deux femmes, de leur côté, firent leur apparition assez tard dans la matinée. Elles étaient bien occupées à lintérieur avec le ménage et le repas pour midi.

Lheure du déjeuner se fit entendre, non pas par nos femmes, mais surtout par les gazouillements de nos estomacs. Abandon du chantier et direction nos femmes, ou plutôt lapéro, ce que nous servirent nos deux belles sans la moindre hésitation. Nous déjeunions tous les quatre, dans une ambiance assez coquine, laissant passer quelques cochonneries, mais sans plus. Nous étions toujours plus préoccupés par notre bateau que par tout le reste. Nous prîmes un bon café et nous laissâmes le soin à nos deux belles de soccuper de débarrasser la table et de faire la vaisselle. Pour nous, le bateau nous attendait, nous avions encore beaucoup de boulot.

La traversée de coque démontée, nous entreprîmes de découper à la meuleuse le tube de larbre, afin de changer linclinaison. Ce ne fut pas une mince affaire, nous y avions passé pas mal de temps, il faisait chaud et nous étions déjà au beau milieu de laprès-midi. Mon frère était toujours en train de meuler. Je décidai daller me rafraichir et surtout de voir comment nos deux belles occupaient leur après-midi.

En entrant tout doucement, intrigué par des bruits suspects, dans le salon sur une couverture à même le sol. Nos deux belles étaient là, pêle-mêle, dans un soixante-neuf magistral, ce qui éveilla de suite ma virilité par un garde-à-vous irréprochable. Leffet de surprise fut immédiat, elles quittèrent leur position et maccaparèrent, comme pour me faire oublier ce que javais vu. En un rien de temps, je me retrouvai dénudé, allongé sur le dos. Cathy sempressa dengloutir mon garde-à-vous dans sa bouche, et Chantal plongea sa langue dans la mienne, sans même que je puisse réagir, ni même que je pus dire un seul mot. Lexpression « succomber à la tentation » était bien là. Je succombai dans lextase, mais subitement tout changea. Elles se mirent toutes les deux à califourchon, Cathy bien ancrée sur ma virilité, face à Chantal son intimité sur ma bouche. Toutes les deux sactivèrent chacune de leur côté, seins contre seins, bouche contre bouche, sans sinquiéter de mon triste sort. De mon côté tout en bas ; je résistais péniblement surtout du côté Chantal, qui minondait de son élixir de jouvence. Pour mouiller, elle mouillait, mais cétait tellement bon que je ne pus résister longtemps, je succombai à léruption, tel un feu dartifice. De spasme en spasme, les contractions furent tellement violentes quelles inondèrent tout le vagin de Cathy. Sur ce fait ; elles comprirent vite ce qui métait arrivé et vinrent toutes les deux essayer de revitaliser leur joujou qui était à lagonie, et toujours bouche conte bouche avec le petit plus en plus, elles finirent par remettre en état ce qui les tenait le plus à cur. À partir de cet instant, tout sinversa. Chantal vint sancrer sur mon petit plus et Cathy vint positionner son vagin sur ma bouche. Le paradis que javais connu quelques minutes auparavant devient vite un enfer. Imagine une chatte dégoulinante de mon sperme en train denvahir ma bouche ? Toutes les deux y prenaient vraiment du plaisir et continuaient leurs activités dattouchements mammaires et buccaux. De mon côté, toujours en dessous je repris mes esprits et commençai de mactiver, et même dy prendre un certain plaisir, tant pis pour mon sperme ! Je retrouvai enfin ce paradis que je nespérais plus. Ma résistance à toute épreuve à endurer toutes les situations fut remarquable, jétais fier davoir pu survivre à une telle débauche. Mais hélas, ce nétait quillusions, tout mabandonna et sur un dernier soubresaut, lexplosion se fit ressentir dans tous les corps et rebelote, tout mon flux saillant partit se rependre dans le vagin de Chantal qui sen donnait à cur joie. Le temps de récupération fut pour ma part terrible.

Jabandonnai ce chantier pour retrouver mon bateau où mon frère simpatientait de ne pas me voir revenir. Mais il faut dire que javais eu une sacrée soif. Le meulage était fini et le tube de la traversée darbre était en place. Il me restait plus que la soudure de lensemble à réaliser et ça, cétait mon domaine. Alors, je conseillai à mon frère daller se rafraichir. Et là, je ne sais pas, si vraiment il savait ce qui lattendait.

Je vous laisse le soin de deviner la suite !

Gros bisous à tous.

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