Je suis complètement raplapla à l’issue de cette séance avec ces deux hommes.
Jacky m’a enculée de façon magistrale. Il faut dire qu’il est sacrément membré le bougre.
Mon anus ne s’est toujours pas refermé après qu’il m’ait emplie de sa semence.
Ce qui m’étonne le plus, c’est d’avoir aimée être la proie de ce couple, les voisins de ma fille.
Même Gilles, mon gendre, s’y est mis pour m’honorer le derrière alors que je chevauchais Jacky.
Michelle m’a frappée, insultée et c’est ce que je désirais le plus à cet instant. Comment l’a-t-elle devinée ?
Pour en avoir le cur net, je demande à la jeune blonde, si mystérieuse :
— Vous m’avez droguée avec cette tisane, n’est-ce pas ?
— Il ne s’agit pas d’une drogue ! Elle n’est pas catégorisée ainsi…
— Ouais ! Mais ça m’a quand même fait un effet terrible !
— C’est que tu y es réceptive !
— C’est quoi alors ce truc ?
Michelle hésite, se tourne vers son mari en lui lançant un regard interrogateur.
Jacky plisse les yeux et d’une petite moue donne un assentiment à son épouse.
La jeune femme me répond alors :
— Il s’agit d’une plante aux vertus que l’on peut qualifier d’aphrodisiaques
— C’est quoi comme plante ? Je voudrais vite en acheter !
— C’est une plante inconnue des laboratoires pharmaceutiques et encore moins du public
— Mais, d’où ça vient ? Comment la trouver, alors ?
— Si tu me promets le secret absolu, tu en sauras plus.
— Je le promets sur ce que j’ai de plus précieux !
— Mon grand-père était un explorateur de nouvelles contrées. Il alternait son temps entre son métier de médecin, ici, et l’exploration de la jungle amazonienne. Un jour, il a sauvé un jeune indigène d’une ethnie inconnue. Ultérieurement, il n’a jamais évoqué la présence de cette tribu à quiconque, mais est retourné périodiquement à la rencontre de cette peuplade indigène. Le jeune homme qu’il avait sauvé est devenu une sorte de sorcier ou plutôt le guérisseur de son village. Mon grand-père et lui sont restés très liés, en échangeant leur sang d’abord, puis leurs compétences. Ils étaient comme des frères.
— C’est ce sorcier qui a découvert les vertus de cette plante magique ?
— Pas vraiment, elle était utilisée depuis longtemps par le clan, lors de cérémonies de fertilité.
En gage de la fraternité qui les unissait, mon grand-père a offert son stéthoscope et le sorcier a offert en échange un gros sac de graines de la plante en question.
— Mais pourquoi ton grand-père n’a-t-il pas exploité cette découverte, il aurait pu faire fortune !
— Par honneur et par respect de ces gens, tout simplement ! Il ne voulait surtout pas que la chose se sache et que des prédateurs puissent décimer cette tribu pour quelques raisons pécuniaires. D’ailleurs, mon grand-père a « mystérieusement » perdu la vie au voyage suivant, alors qu’il s’opposait à la déforestation amazonienne. Il devenait trop gênant pour certains intérêts.
C’est par hasard, que Jacky et moi avions découvert un coffre qui était dissimulé dans la maison familiale et qui contenait les affaires de mon grand-père avec tous ses carnets de notes et … le fameux sac de graines. Même mes parents ignoraient tout de cela !
— Mais alors ? Pourquoi nous divulguer cette information à Gilles et à moi ?
— Cette plante a de nombreuses vertus. Outre que les feuilles infusées soient à la fois aphrodisiaques et libératrices de l’esprit, le pollen de sa fleur, au contact des muqueuses, par exemple si on le prise par le nez, permet l’ouverture de la conscience sous la forme d’une empathie exacerbée, d’une symbiose avec l’autre. Gilles et toi rayonnez d’un besoin d’amour et de sexe. Il nous a été facile de le voir immédiatement. Ce pollen permet en outre de « visualiser » l’honnêteté de l’autre et presque de deviner ses pensées.
— C’est incroyable ce que tu me racontes Michelle !
— As-tu remarqué comme ton gendre est heureux désormais ? As-tu remarqué comme mon mari a bandé immédiatement en te voyant ? As-tu remarqué comme tu as désiré que je te frappe ? Il y avait là tous les effets de cette plante mystérieuse.
— J’en suis abasourdie, mais comment s’appelle cette plante ?
— C’est absolument imprononçable ! Jacky lui a trouvé comme nom : « l’épice » en référence au romans du cycle de « DUNE » de Franck Herbert [1920-1986]. Le pollen ayant des reflets bleutés.
— J’aimerais tant pouvoir en faire pousser chez moi…
Michelle ne répond pas et me tend la main pour m’aider à me relever. Geste que j’apprécie, tant je suis fourbue ! Elle ne me lâche pas la main et m’attire à elle pour m’embrasser.
Sa langue électrise la mienne et quand elle glisse sa main entre mes jambes, j’ai un orgasme instantané. Je suffoque, mais n’en a cure et continue à m’embrasser en me doigtant d’une manière prodigieuse.
Quand elle me relâche, je suis pantelante et Gilles doit me soutenir pour m’éviter de m’écrouler sur le sol.
Le couple nous sourit aimablement et nous décidons de prendre congé d’eux, presque à contrecoeur.
Arrivés chez ma fille, nous remarquons aux bruits qu’Agnès et son amante Mélanie font, que toutes deux sont en pleine action dans le lit conjugal.
Son mari ne semble pas gêné d’entendre ma fille jouir et comme il l’avait convenu, il préfère se coucher près de moi, dans mon lit.
Alors que j’éteins la lumière et m’apprête à m’endormir, Gilles me souffle à l’oreille :
« Maman, tu ne voudrais pas m’enculer avec tes doigts ? »
Gilles m’appelle à nouveau Maman, c’est signe qu’il souhaite fantasmer sur sa vraie mère (voir les épisodes précédents).
Je lui réponds :
— Si tu me nettoies le cul avec ta langue, je vais t’enculer comme jamais tu le seras
— Oh oui maman, laisse-moi te lécher !
Je retire le drap, grimpe à califourchon sur son visage et m’assieds dessus, au point de l’étouffer. La situation semble lui plaire car, tandis que sa langue commence à s’affairer pour nettoyer mon derrière, je note que sa queue se tend au maximum.
La tentation de ce sexe raide est forte et je ne peux m’empêcher de m’en saisir pour le branler délicatement, puis me pencher vers l’avant pour le prendre en bouche.
Mon gendre ne peut parler, mais quand il écarte les jambes et prend appui pour soulever son bassin, je comprends qu’il m’invite à le doigter.
Je me relève brusquement, bascule Gilles pour le mettre sur le ventre et lui enfonce sans ménagement mon majeur dans son petit trou. Je l’ai pénétré sans difficulté, mais il émet un petit cri, de surprise probablement. Il aime tant que je coulisse en lui, qu’il adapte sa position en s’agenouillant pour relever ses fesses tout en noyant sa tête dans l’oreiller.
Comme mon doigt se sent seul, je lui en ajoute un autre ce qui fait frémir Gilles de bonheur.
Rapidement, j’en mets un troisième pour le limer énergiquement. Il râle de satisfaction alors que je vais et viens à toute allure. Il recule son postérieur vers moi pour m’inciter à aller plus profondément. Je joins alors tout mes doigts et m’enfonce inexorablement dans cet anus dilaté qui s’élargit pour laisser entrer ma main entière
Je me souviens alors de ma petite fille Christelle qui avait agit ainsi avec sa mère et combien ma fille Virginie était troublée d’être ainsi envahie.
J’ai la main entière dans le cul de mon gendre et mes doigts fouillent son fondement. Grattent sa prostate, bourrent ce cul. Gilles ne peut se retenir de hurler son bonheur alors que je le sodomise très profondément.
« Argh ! Oh oui, Maman, c’est bon, plus fort s’il te plaît !!!! »
Il crie si fort qu’il finit par alerter les filles, qui entrouvrent la porte de ma chambre pour admirer le spectacle. Agnès semble alors prise de frénésie en voyant son mari ainsi sodomisé. Elle grimpe sur le lit et se met à califourchon sur le cou de son homme pour se frotter le clitoris en oscillant du bassin, d’avant en arrière.
Mélanie, quant à elle, s’assied près de moi pour me caresser la poitrine, je me tourne alors vers elle et nos bouches se rejoignent pour un si long baiser que j’en oublie de maltraiter le cul de mon gendre.
Le bougre, coincé par sa femme arrive quand même à frétiller du derrière pour me rappeler ma mission et c’est à regret que je me sépare de la bouche pulpeuse de la belle rousse.
Je suis rouge de confusion, ce qui fait sourire Mélanie, qui reprend la caresse de mes seins alors que ma fille se remet à jouir.
Je glisse une main pour me saisir du sexe de mon gendre, mais m’aperçois que le coquin a juté sur le drap sans la moindre stimulation. J’extirpe ma main invasive et un « pop » bruyant qui résonne quand je sors de son anus.
Nous nous relevons toutes les trois et ma fille se précipite dans mes bras pour me serrer très fort.
— Ô maman ! Comme je t’aime ! Comme tu es formidable !
— Toi aussi mon amour, tu es la prunelle de mes yeux, je t’adore ma chérie
Ma fille me roule alors une pelle que j’apprécie plus que tout autre chose dans l’instant.
Le pauvre Gilles s’est allongé et baigne dans son jus avant de s’endormir instantanément.
N’ayant plus de place pour me coucher dans le lit, Agnès me prend la main et me guide vers sa chambre. Je souhaite auparavant me laver les mains et quand je rejoins la chambre conjugale, Mélanie et ma fille m’ont réservé la place centrale.
Je me glisse entre elles et toutes deux se mettent à me biser et à me caresser les bras, le ventre, les seins, mais elles le font avec une infinie délicatesse que j’apprécie énormément après cette journée épuisante.
Je me sens si bien, que je m’endors sans penser que, demain, il me faudra me faudra prendre l’avion pour retourner chez moi.