« Il y a des lingettes dans le mini bar, utilise les et ne me salit pas les sièges, compris salope? »
« Oui monsieur »
La voiture redémarra, après plusieurs minutes de route, j’étais enfin arrivée chez moi.
Il faisait tard, plus personne n’étais dans la rue et j’espérais que personne ne sorte et ne me croise vêtue de la sorte.
J’ai foncé hors de la voiture et je suis rentré dans l’immeuble.
Une fois devant la porte de l’appartement…j’hésitais à franchir le seuil de la porte.
« Entre ma petite putte chérie, entre donc, montre à papa comment tu es »
Je suis rentré dans le salon, obéissante à l’ordre qu’on me donne.
« MMmm je vois que Maitre Marc t’as déjà briefée sur les tenues autorisées. Tu es ravissante ma petite putte. »
« Merci Monsieur »…ça me fait bizarre de l’appeler ainsi
« Je vais t’expliquer ce qui a changé et comment tu devras agir, assis toi face à moi »
Je me suis donc installée dans le fauteuil, en faisant attention à garder mes cuisses écartées, offrant ainsi à mon père la vue de ma chatte au travers de mes bas résille.
« MMm excellent, tu deviens obéissantes comme une bonne petite putte. Bien, bien.
Voici comment ça va fonctionner à présent.
Primo, fini l’école, tu es ma putte et tu resteras ici à ma disposition. Ensuite, tes vêtements sont tous brulés, j’ai remplacé ta garde-robe par des vêtements plus appropriés à ton statut.
Je veux aussi que ton cul soit propre à tout moment de la journée, je t’ai donc acheté de quoi le nettoyer en profondeur. Tu devras te raser la chatte, je ne tolérerai pas un poil.
Tu ne seras autorisée à porter une culotte que lorsque tu auras tes règles! Mais ton cul devra rester disponible.
Les anneaux que tu portes aux seins devront aussi rester.
Tu m’appelleras Monsieur…sauf avis contraire de ma part.
Ton corps m’appartient, j’en disposerai comme je le veux, quand je le veux, tu ne seras pas autorisée à protester ou contester.
Est-ce bien clair ma putte? »
« Oui Monsieur »…j’avais franchis le cap final, j’étais maintenant devenue la putte de mon père.
« Bien, va te changer, tes vêtements sont sur ton lit »
Je me suis dirigé vers ma chambre et découvrit une nouvelle pièce.
Mon lit était toujours là, mais des anneaux étaient fixés un peu partout, au pied, au bord, sur le mur, au plafond.
Les vêtements étaient posés sur le lit. Il s’agissait d’un corset en cuir, d’une paire de stay-up, d’un slip en latex..avec une tirette autorisant un accès direct à mon intimité, d’une paire de botte mi- haute à haut talon et d’un collier ras du cou orné de plusieurs petits anneaux.
« Laisse ta porte ouverte ma putte, je veux te voir te changer »
Il était devant ma porte, me déshabillant du regard.
Alors que j’étais nue, il m’a demandé de me baisser, jambes écartés et d’écarter mes fesses bien largement.
« Mmmm Maitre Marc à bien travaillé, je vois que ta pastille est bien dilatée. Habille toi maintenant et rejoins moi dans le salon!»
Dans le salon, il me dit :
« Viens sur les genoux de papa ma petite putte »
« Oui Monsieur »
J’étais sur ses genoux et il a glissé sa main sous mon slip en cuir pour ouvrir la fermeture à glissière.
Sa main droite c’était posée sur mes seins, il s’amusait à tirer sur les anneaux…alors que de son autre main, ses doigts se glissaient dans mon anus dilaté.
« Je sais que tu es encore vierge….je me réserve le droit de te prendre ta virginité quand le moment sera venu. »
Dit-il alors qu’il me ramonait le fion avec 3 doigts tout en pinçant mes têtons.
« MMmmm oui Monsieur…ouiii »
« Ca te fais jouir…salope »
Je commençais à apprécier ce genre de traitement…me savoir à la merci de quelqu’un avait quelque chose d’excitant.
« Montre à papa comment tu suces »
Je me suis mise à quatre pattes, entre ses jambes et j’ai déboutonné son pantalon, avide de gouter sa bitte.
Je l’ai sucée comme Maitre Marc me l’avais appris, glissant sa bite au fond de ma gorge, jouant avec son gland,..
Il a pris ma tête entre ses mains et a mené la dance en effectuant un mouvement de va et viens de plus en plus rapide.
J’ai sucé mon père…et ça m’excitait.
Il a poussé sa bite au fond de ma gorge, poussant un râle de plaisir…et il a éjaculé.
J’ai immédiatement avalé son foutre chaud, léché sa bite pour bien la nettoyer et être certains d’avoir récupérer la moindre goute de son précieux jus.
« Tu es une bouche à pipe ma putte…j’apprécie »
« Merci Monsieur »
« Va prendre un bain et te coucher, demain je dois partir, je reviendrai après demain…mais quelqu’un viendra prendre soin de toi »
Dans mon bain je me suis masturbée, pensant à la bitte de mon père.
La nuit fut douce et reposante. J’en avais bien besoins.
Au petit matin, mon père m’apporta le déjeuner au lit….
« Voilà ta récompense pour tes prouesses d’hier soir. Je m’en vais, la personne qui doit s’occuper de toi est déjà là, elle t’attend dans le salon. Je compte sur toi pour lui faire bonne impression »
« Que dois-je porter Monsieur? »
« Je te laisse choisir dans ta garde robe ma petite putte »
Je me suis empressée d’ouvrir cette garde robe et de découvrir les vêtements que mon père m’avait choisi.
C’était impressionnant, une montagne de vêtements en latex, cuir, satin, des chaines, des colliers, des bottes, des objets de toutes les formes,….
« Je vais choisir des vêtements de petite salope Monsieur »
Il m’a regardé choisir.
Une jupette grise d’écolières, un top blanc transparent et moulant avec un décolleté très impressionnant, une paire de stay up blanc et des petites chaussures noire.
« La parfaite salope…tu as de la chance que je suis en voyage… »
« Merci Monsieur, je suis ravie de vous plaire »
« N’oublie pas de nettoyer ton cul salope…sinon tu vas le payer fort cher » le ton avait changé.
« Oui Monsieur, je m’exécute immédiatement »
Dans la salle de bain, j’ai lu rapidement le mode d’emploi de la poire et j’ai douché mon cul comme il le fallait. Après 15minutes, mon cul était propre en profondeur. C’était même jouissif de sentir le liquide chaud circuler dans mes entrailles.
Entre-temps mon père était parti.
Dans le salon, une personne attendait, elle était dans l’ombre donc je ne pouvais pas la voir.
« Approche toi salope, laisse moi te voir »…la voix était ferme et féminine.
Mon père me donnait à présent à une femme!
Je me suis avancée doucement dans le salon.
« Très jolie, excellent choix salope. Tourne et laisse moi admirer ton cul, on m’a dit qu’il était très accueillant »
L’inconnue c’est avancée. Elle était grande, la quarantaine, vêtue d’un body en cuir blanc, de haute botte en cuir blanc, de gants en cuir blanc aussi…et elle portait une cravache de cavalier à la ceinture.
Sa poitrine était généreuse. Ses cheveux, long était noir ébène tout comme ses yeux.
J’ai commencé à tourner doucement comme elle me le demandait.
« A quatre patte chienne, viens me lécher les bottes »
J’ai rampé vers elle, tête baissée et commencé par lui lécher les bottes.
WHAC! Un coup de cravache sur mes fesses
« Applique toi sale putte! »
Ma langue léchait de long en large ses bottes.
Pendant que je m’appliquais, elle m’a attachée une chaine à mon collier.
« Tu seras ma chienne personnelle… »
« Bien Madame »
« Reste à quatre patte et tourne toi, remonte ton cul que je l’admire de plus prés »
Je lui ai tourné le dos et afin de lui offrir la meilleure vue, je m’étais penchée en avant..Ce qui avait pour avantage d’écarter mes fesses en même temps.
J’ai senti sa cravache redresser ma jupette, glisser entre mes fesses…tourner autour de mon petit trou, se faufiler entre mes lèvres qui déjà commençaient à mouiller. Je m’en voulais au fond de moi, jouir sous la coupe d’une femme…
WHAC! WHAC! Deux coups de cravache sur mes fesses
« Qui t’a dit de mouiller salope? »
Elle a recommencé..Une série de 15 coups de cravaches, alternant fesse gauche et droite
Pas une plainte ne sortit de ma bouche. Je mordais mes lèvres tant la douleur était aigue.
« Puisque tu es si salope, je ne te ferai pas de cadeau »
Elle a commencé par frotter la pointe de sa botte sur ma chatte détrempée.
Elle frotta, pressa, fit glisser cette pointe entre mes lèvres qui devenaient de plus en plus humide.
Les coups de cravache sur mes cuisses et mes fesses pleuvaient aussi. Provoquant un mélange de douleur et de plaisir de plus en plus intense.
« Voyons voir ton cul maintenant sale putte »
Elle s’est approchée de moi et à craché sur mes fesses et mon petit trou.
Elle a forcée l’entrée assouplie par les traitements précédents directement avec 3 doigts.
MMmm je prenais du plaisir à sentir ses doigts forcer ma petite entrée.
« Tu aimes ça hein salope »
« Hoo oui Madame, merci »
« Et bien on va continuer alors…sale putte »
Je sentais un liquide couler sur mon cul ouvert…il était froid et visqueux.
Elle me tartinait le trou avec, l’étalant comme on beurre une tartine.
« Avec ça, tu vas avoir ce que tu mérites salope! »
« Je vais te défoncer le cul comme jamais »
Elle ne perdit pas de temps, déjà 5 doigts avait glissé dans mon trou huilé avec soins, l’étirant de plus en plus. Elle poussait de toutes ses forces et faisait tourner sa main telle une vis pour mieux pénétrer.
Je sentais mes sphincter se dilater de plus en plus…ça faisait mal, horriblement mal.
Elle a commencé un mouvement de va et viens, d’abord léger. ..puis de plus en plus fort.
« Salope, tu vas tout prendre oui! Écarte tes fesses au maximum »
Ma tête reposait maintenant sur le sol alors que mes mains écartaient mes fesses.
Ca tirait de partout, je sentais la douleur remonter le long de ma colonne…c’était horrible.
Elle poussait encore plus fort….puis une douleur flash me traversa un moment….suivie rapidement d’une montée de plaisir.
« Ca y est! Maintenant poufiasse tu vas gouter au joie du fist »
Sa main toute entière, jusqu’au poignet, tournait à l’intérieure de mon cul.
Elle l’a retirée brusquement…pour la replonger immédiatement d’un coup sec.
Encore et encore… à chaque fois, ma tête glissait sur le sol tellement elle y allait avec force.
Le plaisir montait de plus en plus fort, je miaulais comme une chatte en chaleur.
Puis elle a cessé é…mon cul n’était plus qu’un trou béant, ouvert et dilaté comme jamais. Même après les outrages de Maitre Marc, il n’était pas comme ça.
« Suis moi chienne! » Elle s’installa sur le divan, jambes écartés.
« Va dans mon sac, il y a un immense gode noir, je veux que tu le prennes »
En fait de gode, c’était plutôt monstrueux. Il mesurait bien 40cm de haut pour 20cm de large à sa base. Sa forme était conique aussi, comme ceux de chez Maitre Marc. Mais il avait une ventouse pour le fixer au sol…je ne pourrais jamais le mettre en entier sans me déchirer la chaire.
« Fixe-le sur le sol, face à moi, de telle manière que tu puisses y glisser ton cul de putte pendant que tu t’occupes de ma chatte »
Une femme, j’allais lécher une femme….où donc s’arrêtera mon « apprentissage » comme disait mon père.
J’ai fixé le plug sur le sol, et doucement je me suis assise dessus.
Il glissait doucement, mais sa forme oblongue et conique s’élargissait au fur et a mesure.
J’étais quasiment à moitié enfoncée dessus qu’elle c’est levée brusquement et m’a poussée violemment sur mes épaules, le faisant glisser tout entier d’un coup sec.
J’ai hurlé de douleur, voulant me dégager à tout prix…mon cul brulait, la douleur cinglait mon esprit…ma vue se brouillait…
« Salope! Je sais que tu peux l’enfiler complètement. Ferme ta gueule et bouffe moi la chatte pétasse »
Dit t’elle en m’assénant une gifle qui eu pour effet de me faire reprendre connaissance.
Transis de douleur je me suis inclinée légèrement entre les cuisses de ma Maitresse et j’ai commencé mon uvre.
Le plug, solidement fixé au sol et bien ancré dans mon cul me dilatait comme jamais.
Elle avait dégrafé son body, me laissant accéder à sa chatte rasée à la perfection.
« Lèche salope, fais moi jouir ou tu le paieras cher »
Ma langue se glissa entre ses lèvres, tournait autour de son clitoris, j’ai entrepris de le sucer un peu.
Délicatement je lui léchais l’entrée chaude de sa vulve, lapant le jus qui commençait à suinter.
Elle recommença à me fouetter les fesses avec sa cravache alors que j’avais enfoncée ma langue profondément en elle.
Le plug continuait à me faire très mal…je souffrais le martyrs, les fesses en feu à causes de la cravache et le cul déchirés par le plug.
Toutefois, malgré la douleur, j’ai continué à la lécher avec application.
Tant et si bien qu’elle jouit. Elle a posée ses mains sur ma tête et me l’avait poussée sur sa chatte détrempée
« bouffe moi la chatte sale putte, bois mon nectar »
Je l’ai léchée, j’ai avalé et lavé la chatte de ma Maitresse….et j’adorais ça.
« Bonne putte, tu es une bonne putte.
Reste bien assise sur ton plug, il faut que ton cul soit suffisamment dilaté comme ton père me l’a demandé ».
J’étais assise sur le plug, mon cul me faisait de moins en moins mal, mais je sentais mes sphincter étirés à leur limite…prêts à casser comme du cristal.
Elle s’est approchée de moi et m’a embrassée goulument, sa langue pénétrant ma bouche.
Alors qu’on s’embrassait, elle glissa sa main sur mes seins et entreprit de jouer avec.
Pincement, étirement avec l’anneau…elle m’excitait énormément.
Je pouvais sentir ma chatte dégouliner.
« Bien, lève toi chienne. On va manger. Tu resteras à mes pieds et tu mangeras les restes que je te donnerai. »
Elle mangeait tranquillement, jetant de temps à autre un morceau de viande ou un légume.
Bien entendu je n’osais pas la défier…donc je mangeais ce qu’elle me donnait.
A chaque mouvement, vu que j’étais à quatre pattes, je pouvais sentir les contours de mon trou glisser…il était maintenant totalement dilaté.
« Ma pute, voici le programme pour cet après-midi, je vais achever de ruiner ton cul…j’estimerai qu’il sera complètement ruiné quand je pourrais y glisser mes 2 mains jointes jusqu’à mi- bras sans avoir de résistance. Tu va souffrir mais je te promets beaucoup de plaisir si tu résistes…et beaucoup de douleur si tu pleurs ou crie. »
J’avais le souffle coupé…plus un mot ne sortait de ma bouche.
J’ai acquiescé brièvement de la tête en signe d’accord…avais je vraiment le choix?
« On va aller dans ta chambre, ton père à aménagé ton lit pour facilité ce genre de chose »
« Couche toi sur le lit, face au plafond et écarte les bras et les jambes »
Le ton était donné…
Elle a fixé des chaines à mes poignets et chevilles. Les chaines de mes chevilles passaient par des anneaux situés au plafond, celle de mes poignait étaient attachées derrière ma tête.
Elle a tiré subitement sur les chaines de mes chevilles, remontant mes jambes d’un coup.
Mon corps formait un angle droit et mes jambes étaient écartées en V.
Elle a tiré encore un coup pour remonter mon cul et ensuite elle a appliqué du gel en grande quantité sur mon cul, tartinant à nouveau mes sphincters.
J’étais effrayée, terrorisé…et elle était si belle, si attirante vêtue de cuir blanc…elle me tartina le cul avec tant de délicatesse, j’ai même pu ressentir un doigt glisser sur mes lèvres humides pour titiller mon clitoris.
« Écoute-moi attentivement! Si tu cries, pleures, hurles…ou parles, je te fouetterai tellement que tu en seras marquée à vie. Compris petite salope? »
« Oui Madame, je vous rendrai fier de moi »
Un sourire sadique sur son visage en guise de réponse….puis elle a commencé son travail de démolition anale.
Elle a commencé par 3 doigts avec la main gauche, puis 3 doigts avec la main droite…et écarta mes sphincters.
Elle écartait de toutes ses forces, je mordais mes lèvres pour ne pas pleurer ou hurler de douleur.
Puis elle a glissé un 4 e doigt à droite et un 4 e doigt à gauche, écartant encore un peu plus mon trou béant.
Je pouvais sentir sa respiration sur mes sphincter dilatés…elle a commencé à me lécher la chatte alors que mon cul était distendu par ses mains.
Sa langue experte eu vite raison de ma douleur et m’apporta des vagues de plaisirs…
Elle a forcé son poing fermé…poussant encore et encore, imprimant un mouvement rotatif pour qu’il entre….et il entra, elle a poussé encore, petit à petit son poignet disparu dans mon cul…puis la moitié de son avant bras.
Un violent spasme de plaisir me traversa le corps, laissant échapper un râle de jouissance.
Elle a retiré son bras et l’a enfoncé à nouveau..mais plus fortement encore, brisant les dernières défenses de mon anus déchiré.
Son poing fermé entrait et sortais à présent sans trop de résistance de la part de mes sphincter..elle avait réussi.
En même temps, le plaisir montait de plus en plus, ma chatte dégoulinait à nouveau..
Elle a laissé son bras bien enfoncé dans mon cul et a recommencer à me lécher la chatte…suçant mon clitoris, tournant autour avec délicatesse.
Son poing sorti de mon cul faisant un horrible « plop »…signe que mon anus était totalement ruiné, déchiré, rompu.
Mains jointe, telle une bonne sur à l’heure de la prière, elle a commencée à forcer le passage.
Elle poussait de plus en plus fort, ses mains glissèrent millimètre par millimètre. Je n’en pouvais plus, la douleur reprenait le dessus et un cri s’échappa de ma bouche.
Elle s’arrêta net et a retiré ses mains d’un coup sec…elle a empoigné son fouet.
« Sale poufiasse, tu vas regretter ce cris »
Les coups pleuvaient sur mes cuisses, mes seins, mon clitoris..Laissant des zébrures rouges.
Après une trentaine de coup de cravache elle m’a regardée fixement… « Ne me fait pas arrêter à nouveau ou j’irai jusqu’au sang! »
Des larmes coulaient de mes yeux, mais aucun cris ne sortait de ma bouche…je résistais.
Elle a vidé la bouteille de gel dans mon cul…non plus sur mon anus, celui-ci restait ouvert..mais bien à l’intérieur de celui-ci et sur ses gants de cuirs.
Mains jointes à nouveau…elle a poussé à nouveau, mais sans ménagement par rapport à la dernière fois.
Les mains glissèrent avec facilités sur le gel et bientôt il ne restait plus que ses poignets.
D’un coup elle a poussé encore plus fort.
La douleur était horrible, terriblement intense…je devais me mordre les lèvres quasiment à sang pour ne pas crier.
Elle continuait, poussant petit à petit…puis j’ai senti ses deux poignets passer le col de mes sphincter et ses avant bras était entré aussi.
« On y est pétasse…tu es maintenant parfaitement fistée
Tu vas commencer à ressentir le plaisir »
Et elle ne m’avait pas menti. En effet, au fur et à mesure que ses mains entraient, j’ai senti une vague de chaleur monter en moi, prenant le dessus sur la douleur pour finalement l’effacer complètement.
J’ai commencé par émettre des cris de plaisir pendant qu’elle avait imprimé un léger mouvement de recul avec ses bras pour ensuite les enfoncer à nouveau.
« Madame….mmmmm…ouiii….j’aime…..mmmmm »
« Tu peux jouir salope…je te l’autorise »
Elle a joué avec ses deux mains dans mon cul…elle m’apportait du plaisir en faisant bouger ses doigts, en tournant légèrement ses mains enfoncées profondément.
J’ai joui assez rapidement. Mes muscles se sont cabrés de partout, même mes sphincters pourtant déchirés se sont resserrés dans la jouissance.
Ma jouissance a coulé hors de ma chatte détrempée, glissant sur mes jambes et mes stay up.
« Superbe petite saloppe…je suis fière de toi »
Elle a retirée ses deux mains de mon cul, le laissant se reposer.
« Puisque tu as été courageuse, je vais te donner un bain qui te fera le plus grand bien »
« Merci Madame »
« Plus de Madame à partir de maintenant, tu peux m’appelle Julie »
J’étais surpris de ce revirement, mais il ne me déplaisait pas.
Julie était aussi une soumise de Maitre Marc et de mon père, ce dernier lui avait demandé de s’occuper de moi.
Dans le bain, elle me lava tout le corps, me massant les seins, les fesses, la chatte…et même mon cul. Ses caresses étaient douces et tendre. A plusieurs reprises nous nous sommes embrasées.
Finalement, nous nous sommes couchées sur mon lit et avons terminés la nuit ensemble, dans un tendre mélange de caresses, baisers…mélange voluptueux de plaisirs et jouissances mutuelles.
Au petit matin, mon père nous a réveillées. Nous étions nues, entrelacées l’une l’autre.
« Debout ma petite putte…il est temps de te lever »
J’étais dans la salle de bain pour me laver et me faire belle pour mon père.
Julie discutait avec lui.
J’ai pu entendre leur conversation.
— Elle est formidable, vous avez de la chance Maitre.
— Merci Julie, tu as bien travaillé aussi, Maitre Luc sera content.
— Quand comptez-vous la marquer Maitre?
— Bientôt Julie, bientôt.
Julie était partie depuis quelques minutes et mon père m’a appelé.
« Ramène ton cul ici petite putte…et dépêche toi »
J’avais revêtit une minijupe rouge, des stayup noir avec bord en dentelle, un top rose et une paire de botte à talon aiguille.
« Assis toi et écoute bien attentivement ce que je vais te dire »
« Maitre Marc et Maitre Luc vont arriver. Nous procéderons à l’officialisation de ta soumission. Cette cérémonie est très importante pour toi, car si tu la rates, tu resteras toute ta vie une soumises de seconde zone…utilisée pour ramener de l’argent dans le cercle. Donc tu as intérêt à la réussir. D’autant que ce sera pendant cette cérémonie que tu me donneras ta virginité. Mais si tu rates les épreuves, ce n’est pas moi qui la prendrai. Est-ce clair ma petite putte? »
« Oui Monsieur, mais en quoi consiste cette cérémonie? »
« Tu le découvriras plus tard ma petite putte, maintenant montre moi comment Julie t’a bien ouverte le cul »
Je me suis levée, relevé ma mini sur ma taille et courbée afin que mon père puisse observer le travail de Julie.
Il a approché sa main et a glissé 3 doigts.
« Effectivement, c’est plus souple maintenant…et tu t’es bien lavée, c’est propre. Bravo ma petite putte, je suis fier de toi. En récompense je vais t’honorer »
Il s’est levé et a approché sa bite de mon cul. Ses mains s’étaient posée sur ma taille ; il a entré d’un coup sec sa bite d’un seul trait.
J’ai commencé directement à miauler de plaisir alors qu’il me ramonait allègrement le fion.
Ses couilles venaient taper sur ma chatte, provoquant des bouffées de chaleurs dans mon bas ventre.
Après une dizaine de minutes il a éjaculé, bite bien ancrée dans mon cul. Son fouttre chaud s’était rependu dans mes entrailles.