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Mâle reproducteur – Chapitre 2




Ça y est ! Je venais d’entrer dans le cercle très fermé des mâles reproducteurs. Au début, on ne m’avait donné « qu’une » saillie par jour. Au bout de quelques mois, j’en ai eu deux : une le matin et une le soir. Puis, une fois la première année passée, je suis passé au même rythme que mes collègues, à savoir trois par jour : une le matin, une l’après-midi et une dernière le soir.

Ce rythme de travail, si on pouvait l’appelé ainsi, avait été étudié suivant un ratio : qualité du sperme / nombre de demande. Avant le fléau, certains de mes collègues étaient mariés. Autant vous dire que leurs femmes respectives voyaient d’un mauvais il le fait que leurs maris soient réquisitionnés et couchent avec d’autres. Malheureusement pour elles, comme c’était devenu une cause d’utilité publique et mondiale, elles avaient été forcées d’accepter la situation. Ça ne les empêchait pas d’avoir régulièrement de leur nouvelles et parfois même de manifester pour la libération de leurs maris dans des mouvements « anti-exploitation masculine », un peu similaire au mouvement vegan et plus globalement antispecistes.

Pendant toutes ces années passées entre les murs du centre, grâce à tout le confort moderne, on avait droit aux infos du monde. On avait également droit à une immense salle de sport pour qu’on se maintienne en forme, aidé par des coaches sportives ….. Qui parfois faisaient aussi du sport en chambre avec nous.

Ici et là, on a appris que tous les hommes survivants n’étaient pas enfermés avec nous. On a eu, à plusieurs reprises, la surprise de voir arriver de nouvelles têtes. Le premier, par exemple, était un homme qui avait été caché par sa femme. Il avait été dénoncé par une de ses voisines qui, recalée à la sélection pour la reproduction, l’avait menacé de le dénoncer si elle ne pouvait coucher avec lui. Elle avait mis sa menace à exécution. Ensuite on a eu droit à deux autres hommes. Lycéens au moment du Fléau, ils ont été cachés par une femme, une de leurs anciennes profs, qui les avait exploités. Enfermés dans une cave et gavés de viagra de contrebande (oui, le vrai, vendu en pharmacie était surveillé et quiconque en achetait était suspecté de cacher un ou plusieurs hommes), ces deux jeunes devaient coucher avec celles qui payaient. Autant vous dire que maintenant, cette femme est en prison. Malheureusement pour les deux nouveaux qui pensaient que toutes ces saillies à répétition allaient s’arrêter, ils allaient devoir continuer à faire ce qu’ils faisaient avant mais cette fois dans un environnement sécurisé. Il y a eu aussi ce groupe de quatre hommes qui, avaient été retrouvés enfermés, nourrit par intraveineuse dans un hangar avec une machine à traire sur le … Je vous laisse deviner. Chaque goutte de semence étant vendu à prix d’or sur le marché noir.

Ainsi, nous avions appris que, partout dans le monde, la société commençait à se reprendre et à se réorganiser. Par exemple, le paysage politique et sociologique, étant majoritairement masculin avant, fut complètement remanié. Cette société occidentale ne ressemblait plus à ce que nous avions connu. Les conflits armés ourdi pour des guerres d’ego principalement masculins furent stoppés, les femmes préférant l’approche diplomatique. Enfin l’approche diplomatique oui et non, car un jour on a appris à la télévision que le centre de reproduction de Los Angeles avait été touché par un attentat au virus des oreillons, stérilisant ainsi plusieurs dizaines d’homme avant d’être arrêté. La puissance d’un pays ne se mesurait plus à sa puissance militaire mais à la capacité reproductive et compte tenu des procédures sanitaires en vigueur dans les centres, c’était clairement une attaque.

Dans cette nouvelle société, en l’absence d’homme, il a été constaté une montée en puissance du saphisme (ou lesbianisme pour ceux qui veulent un synonyme). Rien d’étonnant après tout, faute de grives on mange des merles. D’autres tendances apparaissaient comme la mode pour les femmes de se travestir en homme lors de soirées spéciales. C’est ainsi que dix ans après le fléau, on a vu émerger de nouvelles tendances politique comme le PF : Parti Féministe qui jusque-là domine le paysage politique français mais surtout, et ça, ça nous faisait peur, des mouvements lesbiens plus ou moins radicaux.

Je me souviens qu’un jour avec les collègues, on a vraiment eu peur. Je devais approcher les trente piges et on a vu une femme politique rependre une doctrine vraiment extrémiste qui disait des trucs du genre : « L’homme a toujours considéré la femme comme un objet ou un outil. Maintenant c’est notre tour ». Du genre de la perdante de l’élection présidentielle en 2017 mais version anti homme cette fois ci. Elle préconisait de ne se servir des hommes qu’à des fins uniquement reproductives, de nous parquer comme des animaux. En bref nous ne serions rien de plus que des distributeurs à semence. Certaines encore plus radicale, argumentant que les hommes ont, de tout temps, été responsables des guerres, demandaient même notre élimination progressive et totale. Estimant qu’avec le clonage et les progrès médicaux, les femmes pouvaient s’en sortir seules. Autant vous dire que de telles déclarations faisaient autant de bruit que la montée des mouvements populistes et extrémistes actuellement.

Voyant que de telles idéologies semblaient gagner de plus en plus de terrain en France, la représentante de ce mouvement s’était qualifiée pour les élections présidentielles. Ne voulant pas finir enfermé dans un sous-sol sans espoir de revoir un jour le soleil, attaché à un lit, nourri avec du viagra par intraveineuse toute la journée, sans pouvoir sortir ni même vivre (car c’était, en substance ce que ces folles nous réservait si on les écoutait), moi et plusieurs de mes collègues, on avait prévu de se faire la belle (comprenez par-là de se barrer et non de se taper cette femme à plusieurs dans un gang bang) et de tenter de rejoindre l’Angleterre ou l’Allemagne, rien n’était décidé.

Il nous a fallu du temps pour préparer notre évasion. Il a fallu monnayer au près du personnel du centre des vêtements, de femme bien sûr pour passer inaperçu, et un véhicule nous attendant dehors. Comment on a fait vous me demanderez ? Et bien en faisant des heures sup avec ces dames tout simplement. Officiellement, elles ne sont pas autorisées à bénéficier de nos faveurs … Bah voyons … Comme si aucune d’elle ne s’était faite tringler dans un placard ou une remise. Elles s’étaient presque toutes accordé un congé sabbatique d’un an pour raison personnelle. Tout le monde savait ce que ça voulait dire : elle partait en congé quand leurs grossesses risquait de se voir et revenaient ensuite qu’après avoir accouché et retrouvé la ligne. C’est comme ça, grâce à quelques coups de reins, qu’un soir on est parti en douce.

Notre cavale ne s’est pas faite facilement car l’alerte a vite été donnée et des patrouilles de police ont très vite été déployées. On a dû changer de véhicule plusieurs fois mais pas gratuitement. Comprenez par là qu’on a parfois été obligé de payer un bout de trajet en nature. Je me souviens encore de cette camionneuse qui avait embarqué notre petit groupe de quatre dans sa remorque. Quand elle s’est arrêtée et qu’elle a ouvert la porte, il y avait trois autres femmes en plus d’elle qui nous attendaient. On a vite compris que si on ne couchait pas chacun avec l’une d’elle, elles n’hésiteraient pas à nous livrer à la police. Alors on s’est exécuté et on a organisé une partouze dans la remorque. Malheureusement et malgré nos efforts, on a fini par se faire coincer tout près de la frontière. Bah oui, l’un de nous a fait la connerie de laisser la lunette de la cuvette levée sur une station d’autoroute. Quand une cliente a vu ça, elle a discrètement alerté la responsable de la station qui était au courant de notre escapade par la télévision et les journaux. Sachant approximativement où on était. La police a fini par nous rattraper alors qu’on allait sortir du territoire.

On a été conduit dans le sous-sol d’un commissariat où avaient été aménagées des cellules individuelles et où on a été gardé durant trois jours. Le premier soir, on s’est demandé pourquoi on n’avait pas été directement renvoyé au centre. On a vite compris quand chacun de nous a reçu la visite d’une fliquette en uniforme (parfois avec des tendances SM) qui commençait à se déshabiller devant nous, juste après avoir passé la porte. Je me souviens encore quand l’adjudante chef est entrée dans ma chambre, le deuxième jour, et m’a réveillé. Je lui ai dit « Oh non pas encore, pas maintenant, pitié » d’un air résigné sachant pertinemment qu’elle allait user de son autorité. Elle m’a menotté au lit et m’a chevaucher durant de longues minutes. On aurait bien protesté mais en ces temps-là, refuser de se reproduire, comme toute forme de contraception d’ailleurs, était passible de prison. On en était pas loin au centre vous me direz mais en prison on se serait sûrement fait violer par les matonnes, la directrice de l’établissement … Et peut-être aussi certaines prisonnières. C’est pour ça qu’on s’est laissé faire et c’est toute la caserne de gendarmette qui nous est passé dessus.

Une fois revenu au centre, un tribunal, genre conseil disciplinaire improvisé avait été convoqué. Visiblement le gouvernement voulait nous punir symboliquement. On s’est retrouvé avec une avocate qui fut magistrale. Elle a bien compris que nous ne voulions pas être considéré comme des objets, comme le préconisait certaines doctrines, parqués comme des vaches qu’on allait traire (il n’y qu’un seul pi dans le cas présent et très peu de lait). Les caméras de télé étaient là et avaient retransmis son réquisitoire. Ses paroles avaient touchées l’opinion à tel point que ça a provoqué des manifestations partout en France, même à l’étranger, et fait reculer les intentions de vote pour ces mouvements aux idées nauséabondes. De plus un projet de loi fut promulgué. Il disait que chaque homme aurait un service minimum de vingt ans de travail à faire, renouvelable à volonté. Les jeunes mâles, nés depuis le fléau, seraient logés, à partir de l’âge de onze ans, dans un autre centre où ils seraient éduqués en vue de leur futur rôle. Ils seraient ensuite, à l’âge de dix-huit ans, envoyés dans notre centre, dont les travaux d’agrandissement avaient commencé, pour y être formé par leur géniteur. Ouf ! On a été soulagé car on n’allait pas finir enfermés ad vitam aeternam. Il n’y avait pas que nous qui étions rassurés car au dehors, ça voulait dire que celles qui avaient été recalées au processus de sélection allaient avoir une chance d’avoir un enfant avec les sortants « retraités ». Malgré tout ça, pour avoir voulu se soustraire à notre devoir, le tribunal nous a quand même condamnés à cinq ans de servitude supplémentaires pour l’exemple.

OK on n’avait pas réussi notre coup, à savoir quitter le pays, mais au moins on avait contribué à ne pas finir esclaves.

Au fur et à mesure de nos carrières, Les instances gouvernementales avaient établies des statistiques. Voulant jouer sur notre instinct naturel de compétiteur, chacun d’entre nous savait régulièrement combien de saillies avaient abouties à une grossesse. Ça nous permettait de savoir combien d’enfant on avait. Je me souviens quand Hervé, un colosse culturiste, s’est vanté « ça y est les mecs j’ai passé la barre des milles gamins ». Il y avait de quoi en avoir le tournis. Mais ce chiffre faisait pâle figure face aux scores des américains.

En France on commençait tous à une prestation quotidienne puis on passait à deux après quelques mois et enfin à trois après un an. Bien sûr on faisait ça naturellement et sans drogue d’aucune sorte. On a appris qu’aux Etats Unis, c’était de l’abattage. Ils commençaient par trois femmes, puis cinq, puis sept puis, pour les plus courageux, ils passaient à neuf, genre une femme par heure. Une rumeur persistait comme quoi le Recordman mondiale était un californien de vingt-sept ans : Trevor Grant. Selon cette même rumeur, cet homme, devenu trésor national, aurait engendré, à lui seul, plus de deux cents enfants pour le seul mois de février 2027. Il faut dire que nos collègues américains avaient toute une batterie de soigneuse qui leur massait l’entrejambe pour les mettre en bonne condition et on a appris de source sûre qu’ils étaient tous sous traitement d’un médicament appelé Vegemite, sensé augmenté et accéléré la production de sperme. Malheureusement après dix ans, il est apparu que ce produit avait de graves effets secondaires.

En effet, en voulant accélérer la production des gamètes, ça avait altérer la mitose cellulaire des cellules souche ce qui donnait un plus grand nombre de spermatozoïde déficient, ce phénomène augmentant avec le temps. Mais ce n’était pas le seul effet secondaire car ça augmentait également les risques de malformation ou de déficience physique ou neurologique chez les nouveaux nés en plus de certains types de cancer des testicules chez les géniteurs. De nombreuses femmes finirent par porter plainte et ce fut un scandale mondial car la Végémite était distribué dans de nombreux pays. En France, le gouvernement avait appliqué le principe de précaution et elles ont eu raison.

On savait que nos enfants connaissaient le nom de leur géniteur. Il avait été décidé internationalement que le nom et la nationalité du père soient inscrit sur les documents d’identité et ce pour une bonne raison : éviter les coucheries entre membres d’une même famille. C’est comme ça que chacun de nous avaient parfois des nouvelles de leurs bambins : des lettres, des photos, … Chacun d’entre nous se posait la question de sa sortie. Comment ça allait se passer, allait-on se faire harceler, agressé, … C’était probable. On se demandait tous quelles allaient être les mesures prises dans ce sens.

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