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Les plaisirs de l'Est – Chapitre 1




Les plaisirs de l’Est

Bonjour, camarades lecteurs et belles amies lectrices. Je me nomme William. Pour vous

parler un peu de moi, je suis un garçon aux cheveux bruns coupés courts relevés avec

du gel et suis d’origine italo-russe. Je mesure environ 1,80m. et suis très attiré par

les filles d’Europe de l’Est. Dans les lignes que vous allez lire, je vous parlerai de

mes expériences vécues à Budapest, en Hongrie.

Tout a commencé lors d’un camp de vacances pour universitaires où j’étais allé avec un

ami. Un soir, avant de nous endormir, nous avions parlé des filles. Les questions que

traitaient nos discussions étaient: "Que penses-tu de cette fille" ou encore "Quel

genre de filles préfères-tu?". Ce fut la réponse que je donnai à cette deuxième

question qui nous poussa à partir.

«Moi, j’adore les filles de l’Est» répondis-je. Mon ami, Frank, rétorqua:

«Ne dis pas de conneries, Will. Les Françaises sont les plus jolies. C’est bien

connu.»

«On parie? Si on partait en Hongrie pendant deux semaines? On verra lequel de nous

deux a raison.»

Frank accepta ma proposition et, à notre retour du camp, nous commençâmes à préparer

notre voyage, prévu pour les fêtes de Noël.

Nous partîmes le matin du 23 décembre vers 10h et arrivâmes à destination environ une

heure plus tard. Nous récupérâmes nos bagages à l’aéroport et nous dirigeâmes vers

notre hôtel. Arrivés à l’hôtel, Frank et moi défîmes nos bagages et planifiâmes notre

journée.

Heureusement pour nous, l’hôtel disposait de prospectus sur toutes les attractions

touristiques et clubs de la ville. Nous décidâmes de faire le tour de la ville en bus

et de faire un peu les boutiques de sport et, pourquoi pas, si on en trouve, des sex-

shop. Nous décidâmes de passer la soirée dans une discothèque située non loin de notre

hôtel. Notre expérience commençait déjà…

Frank et moi sortîmes de la chambre et nous rendîmes à l’arrêt où le bus touristique

attendait les touristes. Nous payâmes notre ticket et montâmes à bord du véhicule.

Après un petit quart d’heure d’attente, le bus démarra et notre visite de la ville

commença.

Frank et moi écoutions l’histoire de chaque monument historique de ce beau pays qu’est

la Hongrie. Pour ma part, en Hongrie, je me sentais un peu comme chez moi bien que je

n’y sois que depuis une heure à peine. Je me sentais proche des Hongrois par nos goûts

pour les filles (et pas seulement par le drapeau) et notre irrépressible envie de

mater les belles jeunes filles de ce pays.

Lorsque nous eûmes fini notre tour de la ville, nous nous rendîmes dans un centre

commercial situé juste en face de l’arrêt où le bus nous avait déposés.

Nous entrâmes dans un magasin de sport et nous y offrîmes un maillot de l’équipe

nationale et un ballon de foot aux couleurs du pays. Nous ressortîmes et essayâmes de

trouver un panneau expliquant où se trouvait chaque boutique. Nous trouvâmes ce que

nous cherchions juste en face du magasin de sport et vîmes avec plaisir qu’un sex-shop

se trouvait à deux étages en-dessous de nous.

En entrant dans le sex-shop, nous fûmes surpris de l’aménagement du magasin. Des

petits curs et des sous-vêtements sexys étaient exposés. Pour nous, les petits curs

faisaient référence à la Saint-Valentin. Sans nous soucier davantage de ce détail,

nous nous dirigeâmes au rayon préservatifs. Nous en achetâmes chacun une boîte et

passâmes à la caisse. En payant nos articles, nous demandâmes à la vendeuse, en

anglais(nous ne pouvions communiquer autrement),pourquoi elle avait exposé ces petits

curs avec la lingerie.

«Ici, nous mélangeons tout. Amour et sexe.»

Elle emballa nos achats dans un sac plastique discret et nous la remerciâmes.

Constatant qu’il nous restait encore un peu de temps avant notre soirée, nous

décidâmes d’aller nous offrir un café dans un petit restaurant du centre avant de

retourner à l’hôtel nous préparer. Nous discutâmes de choses et d’autres, notamment

des filles que nous avions croisées dans le centre commercial. Nous convînmes qu’elles

étaient habillées un peu plus sexy que les filles de chez nous. Leurs manteaux de cuir

moulants à capuchon de fourrure leur allaient à ravir et soulignaient leurs formes

sculptées. Quant aux bas, elles étaient habillées de jeans foncés assortis à leurs

manteaux. Tout ça pour dire que c’était un vrai bonheur de voir des filles habillées

ainsi.

Après avoir tranquillement fini notre café et payé l’addition, nous retournâmes dans

notre chambre d’hôtel pour nous préparer.

Frank et moi revêtîmes un T-shirt blanc et passâmes nos vestes en cuir par-dessus. Mon

ami et moi nous mîmes un peu de gel dans les cheveux et nous partîmes.

La discothèque était déjà si bondée qu’il nous fallut jouer des coudes pour nous

frayer un chemin jusqu’à la piste de danse. Nous y parvînmes tant bien que mal et

commençâmes à nous lâcher. Nous ne connaissions pas la musique mais la trouvions très

entraînante. Frank et moi nous incrustâmes dans la foule et dansâmes avec les

premières filles que nous rencontrâmes. Elles étaient si jolies avec leurs robes

courtes rouges et leur coiffures. Elles n’étaient pas coincées, contrairement à

certaines Françaises de notre cercle de connaissance. Elles se prirent au jeu et

commencèrent même à nous enflammer en nous faisant quelques petits pas pour le

moins…séduisants.

Mon érection se faisait puissante dans mon boxer. Frank, lui aussi, semblait séduit.

Ces deux jeunes filles dansaient pour nous alors qu’elles ne nous connaissaient même

pas! Pour elles, nous étions tous là pour nous amuser. N’y tenant plus, je saisis

l’une des filles par la taille et me mis à danser passionnément avec elle. Ma

partenaire se prit au jeu et se colla à moi. Je sentais ses seins contre ma poitrine

et ses bras autour de mon cou. Frank prit l’autre fille dans ses bras et tous deux se

mirent à danser. Nous continuâmes à danser avec nos partenaires jusqu’à la fin de la

chanson. Un agréable moment. Trop court.

Tentant le tout pour le tout, Frank et moi proposâmes à nos copines d’aller boire un

verre au bar. Les jeunes filles acceptèrent et ma partenaire se présenta:

«Moi, c’est Milena et elle, c’est Ilona. Et vous?»

Frank et moi fûmes surpris d’entendre nos nouvelles amies parler notre langue. Devant

nos airs étonnés, Milena nous expliqua qu’elles avaient appris le français durant

leurs études au lycée. Nous hochâmes la tête et nous présentâmes:

— Moi, c’est William.

— Et moi, c’est Frank.

Frank et moi prîmes deux bières tandis que Milena et Ilona avaient choisi de prendre

deux cocktails. En buvant notre verre, nous discutâmes de nos vies et, avec notre

tempérament d’hommes hétérosexuels et l’incroyable ouverture d’esprit de nos deux

copines, la conversation finit par porter sur le sexe. Désirant Milena comme un fou,

je lui dis que j’aimais les filles de l’Est et que je la trouvais jolie. Elle me

remercia du compliment et me dit quelques mots qui sonnèrent à mes oreilles comme le

plus doux murmures au monde:

«Moi, j’ai toujours souhaité coucher avec un Italien. De plus, tu me plais beaucoup.

Poursuivons à quelque part d’autre.»

Après avoir fini nos verres, nous sortîmes de la discothèque avec nos copines et les

emmenâmes vers notre hôtel. Arrivés à notre chambre, nous les fîmes entrer et

refermâmes la porte derrière nous.

Fous de désir, Frank et moi nous jetâmes sur nos belles et les embrassâmes

passionnément à pleine bouche. Milena me rendit mon baiser. Quel beau baiser! Long,

sensuel, agréable. Budapest: le baiser. (Clin d’il à l’auteur jpj pour son super

texte sur Budapest en espérant qu’il va lire celui-ci)

Notre baiser se prolongea durant un doux moment après lequel je lui retirai lentement

sa robe. Ses mains me dépouillèrent de ma veste et de mon T-shirt tandis que les

miennes se chargeaient de faire tomber mon pantalon au sol. À présent tous deux en

sous-vêtements, nous nous embrassâmes à nouveau. Son corps m’était beaucoup plus

accessible. Mes mains glissaient sur ses hanches puis remontaient sur ses seins pour

les caresser à travers le soutien-gorge. Milena glissa sa main sur ma queue et la

caressa à travers mon boxer puis cala ses mains entre le sous-vêtement et mon bas

ventre. Mon boxer tomba au sol et je me retrouvai nu devant ma belle hongroise. Je lui

retirai délicatement son soutien-gorge et fis descendre mes mains à la hauteur de sa

petite culotte. Je mis quatre doigts entre sa petite culotte et son ventre puis fis

descendre sa petite culotte tout tranquillement le long de ses jambes. Je la soulevai

ensuite de terre et la posai sur mon lit. Je la couvris de mon corps et l’embrassai

passionnément.

Sur le lit voisin, Frank prenait déjà Ilona en levrette et cette dernière commençait à

jouir. Milena et moi poursuivîmes notre baiser. Je me détachai ensuite de ma

partenaire et la pénétrai doucement afin de lui faire sentir l’entrée de ma queue dans

son antre d’amour. Mes premiers va et vient furent lents et légers puis devinrent de

plus en plus rapides et puissants. Milena cria son plaisir. Les mains crispées dans

ses hanches, je continuais de la pénétrer. À côté de moi, Frank se faisait sucer par

Ilona et semblait être au bord de la jouissance. Je me retirai tranquillement du sexe

de Milena et me mis à la sodomiser. Je fis lentement rentrer mon sexe dans son cul

afin de lui faire désirer le rapport. Mes va et vient se firent lents et tranquilles

puis devinrent rapides et puissants. Ma belle hurla de plaisir sous mes coups de

queue.

Sentant le sperme monter en moi, je me retirai doucement du cul de ma partenaire et me

branlai à quelques centimètres de son visage. Il ne me fallut pas plus de quelques

secondes pour jouir sur le visage de Milena et voir mon sperme couler sur ses seins.

Sur le lit voisin, Frank venait de jouir sur les seins d’Ilona et se caressait

toujours la verge.

Les deux jeunes filles se dirigèrent vers la salle de bain et s’essuyèrent le visage

et les seins puis nous rejoignirent dans nos lits. Milena et moi nous endormîmes dans

les bras l’un de l’autre. Notre séjour allait être plus agréable que prévu.

La suite dans le prochain récit

William

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