6h et la journée débuta.
Direction la grange où les bêtes n’attendaient qu’une chose : le petit-déjeuner.
Clothilde m’accompagne et me montre pendant une bonne demie heure comment faire, où est situé tout l’attirail : foin, graines, eau, les outils, la technique, l’ordre de passage, il n’y a pas tant d’étapes que ça mais tout est à multiplier par au moins 80 ou 90 bêtes.
Après 2h effrénées, les bêtes sont prêtes à sortir se balader dans le domaine appartenant au couple : 6 hectares, rien que ça !
Clothilde m’invite donc à faire une pause, bien méritée de mon point de vue, il était presque 9h et j’étais déjà complètement crevé.
On se place sur la petite terrasse devant l’entrée de la grange, un parasol, deux chaises, une vision presque idyllique causée par la fatigue de cette première matinée.
« Alors, comment tu trouves le travail à la montagne ? Pas trop dur ? » me demanda Clothilde en rigolant.
Elle avait du comprendre que je n’étais pas au bout de mes peines mais je ne comptais pas me laisser faire et j’allais leur montrer qu’un citadin sait travailler !
Après cette courte pause, 3 nouvelles heures de travail exténuant suivirent, je transpirais, j’avais chaud et je commençais, malgré tous mes efforts, à avoir vraiment du mal à continuer quand Clothilde arrive telle un messie : la journée (ou comme j’avais pu l’expliquer dans le premier chapitre, le fait que l’après-midi était off) était terminée dans sa grande majorité !
Avant de rentrer à la maison, il fallait passer à la douche, au « nettoyage » comme Clothilde aimait le dire.
Première étape, le jet d’eau des box, pour enlever toute la terre des bottes, puis la douche traditionnelle.
Je passe dans le box et Clothilde nettoya mes bottes, c’est au moment où le rôle s’intervertit que le bout du jet se décrocha et l’eau termina sur Clothilde, une eau glaciale d’après le cri que j’entendis.
5 secondes, le temps que je coupe le robinet, avait suffi pour la tremper et elle grelotait, j’étais tétanisé de peur de me faire salement engueuler.
Mais au final, un "ouf"de soulagement, rien de tout ça.
« Ne t’inquiète pas ! Ce foutu embout ne marche jamais, et si je mets du scotch, c’est encore pire ! Je suis frigorifiée, va vite me chercher une serviette dans les vestiaires ! ».
Je cours donc vers les vestiaires (trois casiers de type industriel, rien de plus, avec de quoi se changer et se sécher) et je retournai vite pour lui tendre la serviette.
Elle attrapa la serviette dans mes mains et commença à se sécher.
« Tu pourrais peut être m’aider non ? »
.
Je m’exécutais, elle avait la chair de poule à cause d’un petit vent qui passait dans la grange.
Je remarque vite qu’il n’y avait pas que ses poils sur ses bras qui s’hérissaient, mais également la forme de ses tétons en dessous du débardeur via le contact du froid à ceux-ci.
Je n’avais jamais fait attention à ce point, mais elle ne portait pas de soutien-gorge !
En effet, ses seins étaient minuscules, sans aucun doute du A malgré mes piètres connaissances là-dedans, cependant, ses tétons semblaient énormes, ce qui était assez drôle.
Tellement énorme qu’elle cria de nouveau quand la serviette vint frotter son téton gauche, endolori par ce drap rêche tout sauf accueillant.
« Aiiiiie ! »
.
Elle passa sa main dessus, comme pour atténuer la douleur.
« Nom de dieu, c’était tellement sensible à cause du jet d’eau que ça me fait toujours mal » et contre toute attente souleva son débardeur pour regarder comment allait son téton.
J’étais devant elle bouché bée, ne sachant pas quoi faire, en train de regarder ce téton énorme et ce petit sein.
La situation était tellement absurde pour moi (car je suis certain que pour elle, faire ce geste était totalement anodin) qu’une érection commençait à naitre dans mon short.
Si bien que je devins cramoisi.
Par angoisse, je me ruai dans les vestiaires, décision complètement débile il faut bien l’avouer.
Clothilde me suivi et me demanda ce qu’il y avait, j’ai dû baragouiner quelques mots pour cacher ma nervosité (ce qui ne marcha pas du tout) et ma demie-molle (ce qui ne marchait pas non plus).
Elle le remarqua rapidement :
« Mais c’est de me voir topless qui te met dans cet état ? » en éclatant de rire.
La nervosité laissa sa place à la frustration, elle se moquait de moi en plus !
« Moi qui pensais qu’un homme de la ville était habitué par tout ça » en continuant à rire.
Elle enleva son débardeur et se tenait devant moi, en short et en bottes, l’absurdité redoublait d’efforts.
Clothilde avait donc 67 ans, et de ce que je pouvais voir maintenant, avait une carrure vraiment athlétique, des abdominaux se dessinaient presque sous cette petite poitrine et son ventre était plat.
Ses cheveux étaient long, en dessous des épaules, attachés en queue de cheval pour travailler, elle était très bien « conservée » pour son âge et c’est ce qui me faisait sans doute de l’effet.
Je n’avais pas vraiment d’expérience avec les femmes, malgré ma réputation de bad boy causée par les redoublements, je n’avais eu qu’une copine l’année dernière et l’histoire s’était arrêtée aux préliminaires.
Elle s’approcha de moi et me fit m’asseoir sur la chaise des vestiaires, son sein était devant mon visage.
« Comme tu m’as fait mal tout à l’heure, tu vas devoir te rattraper ».
« Embrasse le ».
Je m’exécutais encore, je dépose mes lèvres sur ce téton qui devait bien faire 5 centimètres de long.
C’était très dur et délicieux, je tournais avec ma langue, je lapais son téton et au bout de quelques secondes, elle commençait à gémir, j’étais plutôt content de moi sur le moment.
Le fait de l’entendre fit grimper mon érection, c’est à ce moment qu’elle me repoussa contre le dossier de la chaise.
« Enlève moi ces bottes s’il te plait ».
« Et mon short ».
Les bottes par terre, je fis descendre son short à ses chevilles et elle passa par-dessus pour s’en débarrasser.
Une petite culotte tanga cachait son intimité.
Elle s’asseya sur moi, et commença des va-et-vient, ma bite frottait mon short et sa culotte, je ne savais pas quoi faire mais c’était carrément bon.
La scène était si érotique que je sentais déjà venir la fin, tellement je n’étais pas habitué à ça aussi.
« Oh Pierre ! Doucement ! Si tu veux jouir, tu dois gémir ».
« Qu .. quoi ?! »
.
« Tu as très bien compris, je ne me frotte pas à toi pour que tu restes silencieux, tu veux que ça se poursuive non ? ».
« Oui, mais je n’ai pas l’habitude de gémir, je ne le fais jamais ! ».
« Il y a des débuts à tout tu sais ».
Elle fit descendre mon short recommença son mouvement, seulement nos deux sous-vêtements se frottaient entre nos sexes.
Je n’en pouvais plus que j’éjacula dans mon caleçon, une grosse dose, avant de m’écrouler sur la chaise.
Je relevais la tête et tomba nez à nez avec le regard noir de Clothilde qui en disait long.
« Je croyais t’avoir dit de gémir si tu voulais jouir n’est-ce pas ? ».
Première fois de ma vie que j’appréhendais un orgasme, mais qu’est-ce qu’il était original et donc bon.
Qu’est ce qui allait m’arriver ?