Après cette première soirée avec Lilou pendant laquelle Valérie m’avait accordé tous les plaisirs qu’elle me refusait depuis qu’elle avait appris l’arrivée de notre enfant, notre vie reprit sa mauvaise normalité. En effet, malheureusement, Valérie retomba dans ses travers rapidement. De nouveau, elle me refusa sa bouche et ses fesses et se refusa même à moi à plusieurs reprises. Aussi quand arriva note énième sortie en amoureux pour sauver notre couple, je n’avais même plus envie de faire le moindre effort.
« J’ai appelé une baby-sitter… Tu veux faire quoi, mon chéri ?
— On fait ce que tu veux. Pour ce que ça va changer…
— Si c’est pour te voir faire la tête, on reste à la maison. »
La soirée s’annonçait sous les meilleurs hospices car elle commençait par une dispute. Pourtant Valérie fit des efforts vestimentaires. Elle avait mis l’une de mes robes préférées, une qui se porte sans soutien-gorge. A contre cur, je décidais moi aussi de me préparer pour la soirée lorsque la sonnette de la porte retentit. Quelques minutes plus tard, lorsque je suis descendu de la chambre, je vis Lilou au milieu du salon avec Valérie. L’espace d’un instant, je me suis mis à espérer que nous allions rester à la maison mais il n’en fut rien. A mon grand étonnement, malgré un début chaotique, la soirée se passa à merveille. Au moment du dessert, le téléphone de Valérie sonna. Elle regarda le texto.
« Je te laisse 5 minutes. Je dois aller… Enfin, tu sais…
— Te repoudrer le nez, lui dis-je en rigolant.
— Oui, c’est ça. A tout de suite. »
A son retour, le regard de Valérie avait changé. Elle semblait honteuse.
« Passe tes mains sous la table. J’ai quelque chose pour toi… »
J’allais à l’encontre de ses mains et elle me passa ce qu’elle y avait. Discrètement, à l’abri des regards, je regardais ce qu’elle venait de me passer. Entre les mains, j’avais une culotte violette et noire, une de celle de Valérie. Je supposais qu’elle venait de la retirer mais j’avais besoin d’en avoir le cur net.
« Et tu portes quoi maintenant ?
— Rien… Lilou m’a écrit que ça te ferait plaisir. C’est le cas ? »
— Heu, c’est bizarre, mais oui, un peu quand même. C’était ça le texto…
— Oui, me dit-elle en rougissant. »
Le reste de la soirée, je ne pouvais mempêcher de penser que ma femme était nue sous sa robe. Cela me donna une érection que je n’arrivais pas à réprimer. Je n’avais qu’une envie : rentrer à la maison pour lui sauter dessus. Et, enfin, vint le moment de nous retrouver dans la voiture pour rentrer.
A notre retour, nous avons retrouvé Lilou mais elle n’était pas seule. Elle était avec deux garçons de son âge. Elle nous présenta ses deux copains. Ma femme ne réagit même pas alors qu’elle avait mis à la porte une baby-sitter pour avoir inviter son copain.
« Alors, Frédéric, mon cadeau t’a fait plaisir ?
— Mais… dis-je me tournant vers Valérie qui rougissait.
— Rassure-toi. Ce n’est pas le dernier… »
Lilou s’assit sur le canapé et invita ses deux copains à venir l’entourer. Valérie me poussa vers le fauteuil où je m’assis. Elle vint s’installer à genoux devant moi. Doucement, ses mains montèrent de mes genoux vers ma braguette. Malgré le public que nous avions, je me laissais faire par mon épouse qui, en quelques secondes, fit jaillir de mon pantalon ma verge déjà bien bandée. Elle me caressa un peu puis me prit en bouche. A ma grande joie, les lèvres et la langue de mon épouse s’occupaient de ma verge. J’étais heureux de profiter de cette fellation. J’en oubliais presque que trois jeunes gens nous regardaient en pleine action. C’est en voyant Lilou bouger que je finis par retomber sur terre. Elle attrapa le bas de la robe de Valérie et la remonta sur ses reins.
« Je vous avais dit les gars. Pas de culotte !
— Et ouais… On t’avait pas cru.
— Tu gardes son môme et pendant ce temps, elle sort sans culotte… C’est une coquine ! »
Les trois jeunes se moquaient de mon épouse et je commençais à comprendre comment risquait de finir cette soirée. Pourtant mon plaisir dans la bouche de Valérie était trop fort et je n’arrivais pas à me résoudre à tout arrêter. J’étais partagé entre le bonheur de la perversité inattendue de ma femme et la honte de la savoir en train de me sucer, le cul exposé à trois personnes.
Lilou finit par se lever et tendit sa main à Valérie. Celle-ci stoppa net sa fellation et se leva pour suivre Lilou. Elles partirent toutes les deux vers la chambre tandis que je rangeais mon sexe dans mon pantalon. Les deux jeunes hommes emboîtèrent le pas des femmes et montèrent l’escalier jusque dans la chambre. Quand je suis entré, je vis les deux garçons gentiment posés dans un coin de la pièce. A côté du lit, Lilou embrassait Valérie, ma Valérie, tout en lui palpant les fesses au travers de la robe. Valérie qui refusait de me sucer le sexe était en train d’embrasser à pleine bouche une femme.
« On attendait que toi. Débarrasse-toi de tes vêtements. »
Devant le regard des quatre personnes présentes dans notre chambre, j’ai enlevé un à un mes vêtements. Ensuite, Lilou déshabilla Valérie. Ma femme et moi étions nus et Lilou nous invita à prendre place sur le lit. Alors que nous nous allongions dans le même sens, Lilou demanda à ma femme de se retourner. Valérie me présenta alors son sexe ouvert et luisant. En même temps, elle reprit mon sexe en bouche. Tout en sentant sa bouche sur mon sexe, je commençais à déguster le sexe dégoulinant de mon épouse. Je faisais abstraction du fait que nous n’étions pas seuls et me concentrais sur ce que me faisait mon épouse.
Ma femme se redressa alors et quitta sa position pour aller vers les pieds du lit. Une fois arrivée au niveau de mon sexe, elle l’attrapa et l’enfonça en elle. J’avais une vue imprenable sur ses fesses qui montaient et descendaient le long de mon sexe. A quelques centimètres devant elle, les deux garçons et Lilou ne perdaient rien du spectacle offert par ma femme. Elle était nue et ils ne se gênaient pas pour la regarder avec envie. Je n’osais imaginer les pensées salaces qui leur traversaient l’esprit. Je préférais me concentrer sur son anus que j’espérais bien prendre rapidement. D’ailleurs j’en approchais un doigt mais je fus arrêter par Lilou.
« Hé ! Depuis quand on prend des initiatives ?
— Je voulais juste…
— Tu voudras quand je lui dirais que tu as le droit de vouloir. Puisque c’est ça, je vais être obligé de sévir.
— Mais…
— C’est de la faute de ton mari… Prends-toi en à lui, coupa Lilou »
Elle se mit face à Valérie et lui mit une paire de gifles, puis une seconde… Enfin, elle enfonça des doigts dans la bouche de Valérie jusqu’à sa main entière. Valérie semblait étouffer mais continuait à monter et descendre le long de mon sexe. C’est à ce moment-là que des cris d’enfants nous arrivèrent de la chambre de notre fils.
« Vas-y, m’ordonna Lilou »
Avant que je ne puisse réagir, Valérie se leva et me libéra. Le signe était clair : elle voulait que j’y aille. Ne le croyant même pas, je me suis levé et ai enfilé mon peignoir. Au moment de sortir de la pièce, je me suis retourné pour voir mon épouse nue sur le lit face aux trois jeunes. Jeus peur de ce qui pouvait se passer en mon absence mais je devais m’occuper de mon fils. Je suis resté un temps qui me sembla interminable à calmer les pleurs de mon fils avant que je puisse le laisser dormir. A chaque instant, je pensais à ma femme laissée dans ma chambre. En vers dans la pièce, je fus accueilli à la porte par Lilou.
« Tu as mis trop de temps. Valérie ne pouvait plus attendre… »
Elle ouvrit doucement la porte et je vis Valérie assise sur le lit avec devant elle les deux garçons avec le pantalon ouvert. Valérie avait les yeux baissés devant les deux garçons qui se masturbaient.
« Ça ne te dérange pas trop si Valérie s’occupe de mes copains un peu ?
— Heu… Oui… C’est ma femme…
— Je t’ai posé la question pour la forme.
— Tu ne vas pas la forcer ?
— Non, ce n’est pas utile. Valérie… Ils ne vont pas attendre toute la nuit. »
Valérie leva alors les mains vers les deux sexes tendus et les saisit. Elle les masturba un peu puis elle en approcha un de sa bouche. Je crus défaillir quand le gland passa ses lèvres et entra dans sa bouche. Mais que se passait-il dans la tête de ma femme ? Elle qui me refusait sa bouche embouchait un parfait inconnu. Elle passa ensuite au deuxième. Elle suçait goulûment les deux garçons. A mon grand étonnement, mon sexe se dressa à nouveau devant la scène. Je ressentais un mélange inquiétant d’excitation, de jalousie et de honte. Je n’osais plus bouger ni même quitter des yeux le visage de ma femme faisant des fellations aux deux garçons. Au bout d’un moment, je réussis à prendre mon courage et avançais vers la chambre.
« Qu’est-ce que tu fais ? Reste là, me lança Lilou.
— Mais, je ne peux pas la laisser faire !
— Oh si. Tu peux et tu dois… Les gars, elle suce bien ? Demanda-t-elle en se tournant vers les garçons.
— C’est génial. Elle est très douée.
— C’est une super suceuse que tu as trouvé… »
L’un des deux garçons retira ses vêtements, passa alors derrière Valérie et glissa sa main entre ses jambes. D’un geste ferme, il positionna mon épouse à quatre pattes sur le lit. D’un doigt, il ouvrit le sexe de mon épouse.
« Elle est déjà toute trempée. Il l’a bien préparée son mari… »
Puis d’un coup sec, il s’enfonça entre les cuisses de Valérie. Ces cris, bien étouffés par la présence du sexe de l’autre garçon dans sa bouche, semblaient être dus autant à sa surprise qu’à son plaisir. Ma femme était embrochée de chaque côté. Derrière elle, un garçon la prenait en levrette en lui donnant de grand coup de butoir. Devant elle, le second profitait des bienfaits de sa bouche experte. J’étais sans voix devant ce tableau inédit et déroutant de ma femme offerte par notre baby-sitter à la perversité de deux garçons. Et j’étais encore plus subjugué par la nymphomanie découverte de mon épouse qui se livrait de bonne grâce à ces deux garçons devant moi. Valérie gémissait de plus en plus fort. Ses gémissements trouvaient écho dans la grosseur et la dureté de ma verge.
Celui qui se faisait sucer se dévêtit à son tour et vint s’allonger sur le lit. Il invita Valérie à venir s’installer sur lui en lui faisant face. Valérie se mit en place et commença à onduler sur ce nouveau sexe qui lui était offert. Elle se retourna alors vers moi. Je crus déceler de la honte dans son regard mais je ne pus m’en assurer car la deuxième garçon qui s’était redressé attrapa son visage et enfourna son sexe dans la bouche de mon épouse. C’est alors que je sentis une main s’emparer de mon poignet.
« Fais-toi plaisir. » me dit-elle en dirigeant ma main vers mon sexe.
Machinalement, j’ai ouvert mon peignoir et ai saisi mon sexe. Je me mis alors à me masturber en regardant mon épouse baisée par les deux garçons. Sa bouche était forcée par la verge d’un des garçons alors qu’elle ondulait sur le second. Cette vision de ma femme dépravée me donnait une sensation indescriptible. J’avais envie de tout casser et pourtant, je ne bougeais pas, me branlant toujours en regardant cette scène surréaliste.
Le garçon qui était dans sa bouche la quitta pour passer derrière ma femme. Je vis alors qu’il forçait son anus avec un doigt. Alors que Lilou venait de me refuser le droit de forcer le petit trou de mon épouse, elle laissait son copain enfoncer son doigt entre ses fesses. La bouche enfin libre, ma femme put exprimer bruyamment son plaisir. Elle gémissait comme elle le faisait quand nous faisions l’amour. Sa bouche entrouverte laissait échapper des soupirs profonds.
« Elle a envie qu’on lui prenne le cul cette coquine ! » lança le garçon qui lui doigtait l’anus.
Et je dus me rendre à l’évidence, il avait raison. Après avoir lubrifié le petit trou de mon épouse plus abondamment, il glissa un deuxième doigt entre ses fesses. La suite ne laissait aucun doute. Sa verge bien droite allait finir par prendre possession de cet endroit que Valérie me refusait. Ses doigts allaient et venaient de plus en plus fort dans l’anus de mon épouse et ses gémissements samplifiaient aussi. Quand elle estima que Valérie était prête, Lilou invita son copain à « embrocher » mon épouse. Il ne se fit évidemment pas prier. Il se plaça à genoux derrière Valérie et la poussa vers le deuxième garçon. Ainsi, son anus était disponible. Il pointa son sexe dressé à l’entrée de l’anus de mon épouse. Il l’agrippa par les hanches et s’enfonça dans son petit trou en douceur. Pour autant, Valérie grimaça lors de cette sodomie. Le garçon s’enfonça de toute sa longueur entre les fesses de ma femme. Lorsqu’il fut en place, lui et son copain commencèrent à bouger de concert. Mon épouse se mit à gémir encore plus fort. Elle se tourna alors vers moi. Je vis de nouveau dans son regard la honte perçue quelques minutes plus tôt. Mais j’y vis qu’elle semblait s’excuser de ce qu’elle était en train de faire et d’y prendre du plaisir. Elle ne se retenait plus et jouissait de cette double pénétration.
Les deux garçons décidèrent de changer de place. Après s’être allongé, celui qui était dans l’anus de ma femme l’invita à venir se mettre sur lui. Valérie s’installa sur la verge tendue et se mit à onduler en gémissant de plaisir.
« Je comprends ton envie de prendre son cul. Elle a vraiment un joli cul… » Dit le deuxième garçon en se mettant derrière mon épouse.
Tout comme son copain, il poussa mon épouse vers l’avant pour dégager son petit trou. Il positionna son sexe à l’entrée de l’anus de Valérie. Il s’y enfonça d’un seul coup arrachant un cri de douleur à ma femme.
Ce cri fut si fort que de nouveaux cris montèrent de la chambre de notre fils. Lilou m’ordonna alors d’aller voir ce qu’il se passait. Je dus quitter des yeux mon épouse pour aller voir ce qui pouvait se passait. Lorsque je revins, Lilou m’attendais devant la porte.
« Le spectacle est terminé pour toi. Tu peux te finir en écoutant si tu veux… »
Derrière la porte, j’entendais Valérie gémir et j’imaginais mon épouse baisée par les deux garçons. Mon érection revint alors subitement et, sous le regard amusé de Lilou, j’ai saisi ma verge. Je me suis mis à me masturber avec vigueur.
« A genoux ! » m’ordonna la jeune femme qui avait perverti mon épouse.
Les larmes aux yeux, je me suis agenouillé tout en continuant à me masturber. Mon excitation était si puissante d’entendre ma femme prendre de plaisir éhonté entre les mains des deux garçons que, très vite, je sentis le mien arriver. Dans un dernier mouvement d’aller et retour, mon sperme jaillit. Une longue traînée faillit atterrir sur les pieds de Lilou. Elle me regarda alors méchamment.
« Tu vas nettoyer tes cochonneries… Vite ! »
D’un bon, je me levais pour aller chercher de quoi nettoyer. Lilou ouvrit alors un petit peu la porte. Dans lentrebâillement, je pouvais voir le dos d’un des garçons debout à côté du lit et ma femme sur le côté visiblement occupée à le sucer. Je ne pouvais pas voir l’autre mais, en entendant les gémissements étouffés de mon épouse, j’imaginais qu’il devait être en train de la prendre. Quand j’eus fini de nettoyer, Lilou s’adressa de nouveau à moi.
« Va te coucher…
— Mais vous êtes tous dans la chambre.
— Va te coucher où tu veux. Ils restent là pour s’occuper d’elle cette nuit. »
Et la porte se ferma. Je restais immobile pendant quelques minutes. J’entendis alors mon épouse jouir bruyamment, suivie par les râles des deux garçons. En entendant des mouvements dans la chambre, j’eus peur d’être surpris et je dévalais les escaliers pour aller m’allonger sur le canapé. Le silence est alors revenu à l’étage et je finis par m’endormir.
En pleine nuit, je fus réveillé en sursaut. De nouveaux bruits émanaient de la chambre. Bien malgré moi, je restais fixé en écoutant les gémissements d’une femme, probablement la mienne baisée encore une fois par les garçons. Ce nouveau calvaire sembla durer une éternité mais finit par prendre fin avec le retour du silence dans la maison.
Au petit matin, Lilou, ses deux copains et ma femme me rejoignirent dans la cuisine. Valérie avait le regard fuyant comme consciente et honteuse de la façon dont elle s’était comportée la veille. Lilou semblait ravie de son coup. Les deux copains furent expédiés rapidement. Après leur départ, Lilou s’adressa à Valérie.
« Tu as été parfaite hier soir et cette nuit… Tu t’es bien occupée de mes amis. Et toi, tu en penses quoi, Frédéric ?
— Tu es une… tentais-je franchement énervé
— Oui, je sais. Mais je ne suis pas une ingrate. Toi aussi, tu as joué ton rôle à merveille. C’est pourquoi tu as droit à une récompense.
— Quoi ? Tu vas me rendre ma femme prude de nouveau ?
— Non… Valérie, vas sucer ton homme… »
Valérie s’avança vers moi et, sans un regard, tomba à genoux devant moi. Elle prit mon sexe en bouche. Cette douce bouche experte dans l’art de donner du plaisir avait ravi deux garçons inconnus la veille. Pourtant, je ne pouvais pas m’empêcher d’en avoir envie. Au contraire, cette frustration et cette honte ressentie la veille s’était presque transformée en rage .Je voulais baiser la bouche de ma femme comme si elle était la plus sale des catins du pays. D’ailleurs j’attrapais l’arrière de sa tête pour mettre ma verge bien au fond de sa gorge. Bien entendu, le plaisir ne tarda pas à arriver.
« Je vais jouir, lançais-je.
— Fais-le dans sa bouche. Valérie l’a bien mérité, me répondit Lilou.
— Non, pas ça… coupa Valérie.
— Je ne t’ai pas autorisé à refuser ! Dit méchamment Lilou.
— Pardon… »
Et ma femme me reprit en bouche. Mon orgasme arriva rapidement. Je me déversais à grand jets au fond de la gorge de ma femme en râlant bruyamment. En me retirant, je vis des larmes sur les joues de mon épouse. Lilou autorisa alors Valérie à aller cracher mon sperme car c’est normal « pour une première fois ». J’en déduisis que notre baby-sitter m’avait réservé cette première. J’en étais ravi bien que cocu par sa faute.
Lilou nous quitta alors très vite, nous laissant, Valérie et moi, comme anesthésiés. Notre fils finit par nous sortir de notre torpeur. Nous allions reprendre notre vie après cette parenthèse.
