Caroline passa sa matinée à épousseter, astiquer, aspirer, jamais elle n?avait connu de maison aussi belle que celle de B?zios. Elle était bâtie en bordure de plage, une plage de sable fin, qui s’étendait à perdre de vue, on aurait dit une de ces résidences comme on n?en voyait que dans les magazines. Le simple fait de savoir qu?ils pouvaient habiter là quelque temps la transportait de bonheur. Elle fredonnait doucement tout en vaquant à ses tâches, elle passa la serpillière sur le sol impeccable de la cuisine, frotta les plans de formica étincelants, versa du désinfectant dans trois cabinets inutilisés.
La plage resta brumese toute la matinée mais, à midi, le soleil finit par percer. Elle enfila un bikini et s?allonga sur la terrasse ouverte qui dominait l?océan. Prévoyant d?éccrire à sa famille adoptive, elle avait pris un bloc et un stylo.Venant d?une famille catholique conservatrice, elle a encore du mal à se soutraire à cet héritage bien qu’elle le nie. Elle avait déjà envoyé plusieurs lettres à sa ville, mais n?avait jamais reçu réponse.
Elle s?arrêta pour réfléchir et suivit des yeux un couple qui courait dans les vagues en se tenant par la main sur la plage ensoleillée. Un chien folâtrait derrière eux. Ils rient. Jefferson, lui, était tellement tendu depuis quelque temps. ?a allait peut-être s?arranger maintenant qu?ils étaient au bord de la mer dans une belle maison, respirant à plein poumons un air pur, le ressac des vagues pour musique de fond, le stress de la ville complètement effacé. Une légère brise balayait ses cheveux, séchant lentement la peau trempée de son dos et de ses jambes.
Une belle maison, oui, mais pour combient de temps: elle soupira puis, brusquement, froissa le papier et le jeta dans la sable, sa famille maintenant c?était Jefferson. Il était son avenir, même s?il ne se confiait pas à elle et lui servait des tas de mensoges alors qu?elle était toute prête à entendre la vérité. Par exemple d?où sortait l?argent avec lequel il payé ses vêtements neufs et si chers ? Qui finançait la voiture avec chauffeur qui venait tout le temps le prendre? Quand elle le lui avait demandé, il avait ri. Il avait répondu en lui ébouriffant les cheveux :
— T?en fais pas, ma biche ! Mon vieux copain me doit bien ça. Il ne fait que rembourser une dette.
S?il y avait une dette à payer, Caroline se demanda pourquoi elle n?avait pas de vêtements neufs. Elle ne jaloussait pas du tout les costumes de Jefferson, mais ça aurait été bien si elle avait pu avoir quelque chose, elle aussi. Il ne lui avait même pas demandé de l`accompagner quand il était allé faire de achats. Elle en avait été meurtrie, bientôt, pourtant, il faudrait qu?elle en ait, des vêtements neufs, à cette pensée, un petit sourire se dessine sur ses lèvres. Elle serait son épouse aimante.
Les rouleaux semblaient l?inviter. Elle envoya promener ses nus pieds blancs et descendit l?escalier qui condisait au sable. Puis elle s?élança vers l?océan, elle est blonde, menue, fragile comme une porcelaine, ses longs cheveux blonds flottant comme une traîne derrière elle, sexy mais pas vulgaire, un sourire admirable et un corps parfait. Elle était très belle, des fesses rondes et fermes, de beaux seins et une façon d’envoûter remarquable…………..Le fait qu’elle soit aussi voyeuse et exhibitionniste, tempérament explosif qui a besoin de jouir plusieurs fois par jour. Malheureusement elle était mariée et très heureuse avec son mari.
C?était une routine pour Caroline de se faire aborder par des hommes.
Pourtant, elle n?avait jamais mis au point de stratégie pour les repousser sans se mouiller d?une façon ou d?une autre, la conversation entraînait la familiarité et voilà que, tout à coup, vous connaissiez un homme qui un moment plus tôt, était un complet étranger. Le ciel était sans nuage, et l’ océan d’un bleu limpide, Caroline sentit immédiatement que l?homme de la plage n?était pas comme les autres, il ne lui inflingea pas les habituels boniments. L?inconu s’approchait de plus en plus. Il était debout devant elle, sa poitrine revêtait des seins d’une beauté irrésistible, ses doux mamelons pointait vers le ciel escomptant la chaleureuse présence d’un contact humide et affectueux, manifestant un persistant désir sensuel.
Le visage de Caroline à hauteur de sa braguette. Elle avait les jambes écartées, et les lèvres de son minou étaient moulées par le coton qui était trop remonté. Le galbe de ses jambes impeccable, le haut de son pantalon, devant elle, commençait à se gonfler. Elle lui jetait des regards malicieux. Le regard de Caroline, presque timide, restait rivé sur ce sexe.
Elle en a été assez troublée,c’est très excitant d’être excité en public peut-être que quelqu’un a deviné son petit jeu mais c’est ce qui est excitant.physiquement. Le besoin d’intimité en devenait obscène et prenait toute la place dans sa tête.
Il alla droit au fait :
— Vous ne me connaissez pas mais il y a un moment que je vous regarde. Et, si vous me permettez, notre rencontre pourait être le début d?une vue nouvelle pour vous …..
— Excusez-moi ! Dit-elle en reculant.
Il la poursuiva
— Ce n?est pas à vos charmes que j?en veux. L?intérêt que vous porté n?a absolument rien de personnel. Elle battit en retraite.
— Magnifique ! Exclama-t-il, Parfait !
Elle regarda autour d?elle, cherchant du secours.
— Nous sommes voisins ! Reprit l?homme cherchant à la rassurer. J?habite cette maison à côté de la vôtre. ?coutez-moi, jeune femme, et écoute-moi bien…..je veux faire de vous une star de tv ! Si vous pouvez refaire devant une caméra ce que vous avez fait sous mes yeux, c?est gagné. Est-ce que vous comprenez ?
Il marqua une pause théâtrale, puis ajouta :
— Je veux que vous travaillez avec moi.
— Votre mari semble souvent occupé Madame et……..
Les yeux de Caroline s?écarquillèrent, toute sa vie, elle avait rêvé de s?entendre dire ça !!!
L?homme est très attiré par cette fille et ils se sont rencontrés par hasard, sans chercher à savoir d’où ils venaient ni ce qu’ils voulaient vraiment. Les choses se sont passées simplement, comme ça, au fil des mots et de sa voix, au détour d’une rencontre et d’un échange de regards silencieux. Elle ne savait pas ou elle en était, ce qu’elle voulait vraiment, et surtout comment elle pouvait concilier ses désirs et ses rêves.et la réalité avec un homme avec qui elle vivait. Mais le désir qu’elle avait déjà ressenti durant les quelques moments ou ils se parlèrent persistait depuis son départ et ne la quittait pas.
Pour leur prochaine rencontre Caroline avait décidé d’être encore plus attirante. Elle était seule chez elle son mari était absent pour la semaine et, ce soir la, il faisait super chaud pour un mois de juillet. Elle avait pris sa douche et le soin d’explorer toutes les parcelles de son corps. Elle s’était parfumée, maquillée. Elle avait choisi une robe courte en coton qui épousait ses formes. Elle se demanda si elle serait facile à retirer et sourit en pensant qu’il fallait juste la soulever de quelques centimètres pour accéder à son intimité. A cette idée, elle sentit le plaisir l’envahir et se coucha sur son lit en ouvrant les jambes. Elle savait qu’elle était dans une position incroyablement indécente et cela l’excita encore plus.
D’un doigt elle écarta la ficelle du string et découvrit son sexe gonflé et très humide. Elle se caressa doucement au rythme de ses hanches. Malgré sa jeunesse elle était bien plus expérimentée que son époux Jefferson. Grâce à elle, il a découvert des orgasmes fous et le plaisir d’aller toujours plus loin, son mari à perdu de sa vigueur. Peut-être ses activités ont fait de lui plus un donneur d?excuses qu’un amant.
Enfin elle honteuse mais excitée, arriva chez lui. Ils s’embrassèrent tendrement et elle se laissa vite aller au plaisir. ils s’embrassèrent longuement et elle colla son corps contre lui, elle voulait sentir son sexe.
Ses lèvres se mêlèrent pour un baiser tendre et langoureux, ses langues partant en exploration, se mélangeant en une folle sarabande qui leurs laissa essoufflés.
Elle se frottait contre lui et le désirait. Il avait remarqué qu’elle ne portait pas de culotte. En fait, elle ne portait que sa robe et ses chaussures.Elle est d’une sensualité toujours présente et, Caroline l’excitait mais voulait le rendre encore plus fou. Elle se levait en prétextant changer de disque ou aller chercher de l’eau à chaque fois qu’il s’enhardissait. Elle faisait exprès de se baisser pour ramasser son paquet de cigarette et ne manquait pas de cambrer ses reins pour qu’il admire ses fesses. Elle jouait, il l’avait compris. Mais son amant n’avait pas non plus de culotte et elle devinait son sexe le long de sa cuisse. Elle posa sa main sur sa jambe et se pencha pour le libérer. Elle ouvrit la braguette et sortit son pénis qu’elle appuya le long de sa joue.
— Mon Dieu, mais c’est pas une bitte que vous avez !
— Hummmm comme elle est bonne !!!!!
Elle faisait courir ses lèvres le long de sa verge, enveloppant son gland dans sa bouche humide. Son amant avait soulevé sa robe et entreprit de caresser ses reins et son sexe pendant qu’elle le suçait.
— Quelle suceuse !
— Ca ! vraiment fantastique !
— Tu aimes, hein, salope !
Elle voulait le faire jouir dans sa bouche. Elle entoura le corps de son sexe avec une main ferme et entreprit de le masturber fermement en tirant la peau vers le bas pour bien découvrir son gland. Elle le serrait dans sa bouche en l’aspirant et en le caressant avec sa langue. Ses lèvres enserraient son gland et faisaient des va et vient autour de sa base comme une pénétration. C’était très bon, Il se cambra en arrière et posa ses mains sur la nuque de Caroline pour l’encourager. Son plaisir arrivait et il ne put le retenir. La contraction venait de l’intérieur et libéra de puissantes giclées de sperme dans la bouche de Caroline qui laissa échapper à son tour un soupir de plaisir pendant qu’elle se contractait autour du doigt qui lui pénétrait le vagin.
— Tu es fantastique.
Elle était trempée et l’implorait de la prendre. Il caressait son sexe avec le sien en écartant les lèvres et ses poils humides. Il trouva l’entrée de son vagin liquoreux et s’y enfonça entièrement.
Hoooooooooooooooooooooooo…………..
Il lui caressait le dos et les fesses pendant qu’il allait en elle, elle cherchait son sexe en s’empalant sur lui. Nouveau gémissement, un peu plus fort celui la. ouffffff……. Sa respiration devient de plus en plus anarchique, ses soupirs de plus en plus rauques. Elle gémit:
— Oh !… c’est super… Que c’est bon… oh oui !…
Et elle continue de donner ses coups de bassin, à fond, profitant presque bestialement de son sexe enfoncé dans le sien, pour en tirer le maximum de plaisir. Elle remue avec régularité, consciente du plaisir qu’elle lui donne tout en tirant elle-même son plaisir de son bâton de chair. Il lui léchait le cou en lui disant des mots doux et crus pendant que son sexe s’activait.son orgasme quand il s’est déversé en elle en lui mordant le cou, les mains autour de ses hanches. Quand il jouirent, ils s’immobilisèrent pendant qu’il déchargeait sa semence en mêlant leurs contractions.
— hummmmmmmmmmmmmmmmmm quel orgasme fantastique.
En se retirant, le sperme coula le long de sa cuisse. Elle voulait le garder en elle et s’endormir avec son odeur. Quelques minutes plus tard, elle revint à chez-elle semblant fatiguée mais satisfaite d?elle-même.
Fin
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Ivan Ribeiro Lagos