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club – Chapitre 4




Cest alors que le patron de la boite fît son entrée dans la pièce.

Il ne dit pas un mot mais observa la scène avec une attention toute particulière.

Il se dirigea vers moi et me dit à voix basse :

Vous avez une femme vraiment splendide Sa plastique est parfaite et elle semble visiblement apprécier ce moment. Au risque dabuser, puis je me joindre à eux, me demanda-t-il sur un ton hésitant.

Je lui fît un signe de tête comme accord.

Il se déshabilla en quelques secondes, sa verge était déjà dressée et prête à laction.

Il vint se placer sur le lit et commença par lui caresser le visage.

Il présentait déjà son sexe au niveau de la bouche dIsa qui marqua un léger mouvement de recul dés que le gland toucha ses lèvres.

Elle neut pas le temps de dire un mot : lami de Lionel la saisit par les poignets et la fit se redresser en lui maintenant fermement les mains derrière le dos tout en continuant de la défoncer.

Cette action offrait sa poitrine à la vue et à la merci de celui qui voudrait bien sen occuper.

Entre deux secousses, cest Lionel qui vint la saisir à pleine main.

Maintenant quelle était immobilisée, le patron de la boite vint saisir ma femme par les cheveux et engouffra sa verge dans la bouche dIsa de manière plutôt virile.

Il saisit ensuite sa tête à deux mains et entama un va et vient en allant le plus profond possible dans sa gorge, presque jusquà létouffement.

Il allait si profond quelle en avait la nausée.

Ses gémissements étaient maintenant étouffés et elle semblait comme sous lemprise dune drogue et chancelait de toute part sous les coups de reins de ces trois hommes.

Doù jétais javais vue directe sur la chair rosée et humide découverte sous laction du sexe imposant de Lionel qui écartait ses lèvres.

Lexpression de ces trois lascars en disant long sur le plaisir quils avaient de profiter dune femme aussi bien foutue que la mienne.

Et elle aussi semblait en prendre énormément, elle avait même oublié jusquà ma présence et ne me réclamait plus.

Je pense quelle navait plus rien à faire de ma présence, elle ne mavait pas réclamé depuis un bon bout de temps et que je sois là ou ailleurs lui importait peu.

Elle se faisait prendre par tous les trous et elle aimait tellement cela quelle se foutait que soit par moi ou un autre.

Et à chaque fois, cela me faisait un mal de chien mais décuplait mon excitation à la voir se faire baiser.

A la vue de son expression, je sentais bien que lami de Lionel nallait pas tarder à craquer.

Il continuait à défoncer Isa et à lui maintenir fermement les bras dans le dos pendant que Lionel explorait le plus profond de son intimité et que le patron de la boîte allait et venait dans sa bouche.

Ce fût chose quelques instants plus tard : lami de Lionel se retira avec hâte et vint se placer au niveau du visage de ma femme pour y déverser plusieurs giclées de sperme.

Tes vraiment un sacrée cochonne, dit-il à Isa en lui tapant sur les fesses.

Puis il se dirigea vers la salle de bain de la chambre pour prendre une douche.

Ce fût ensuite au patron de la boite de craquer.

Il était le dernier arrivé mais fût le second à craquer : il commença à gémir et à soupirer puis il se vida dans la bouche de ma femme qui avala chaque giclée entre deux gémissements.

— Tu te débrouilles très bien ma petite, va falloir revenir plus souvent, glissa-t-il à Isa.

Il vint me voir et me dit :

Je connais quelquun qui rêve également de baiser votre femme, cest la personne qui lui a fait du rentre dedans en début de soirée : cest un vieil ami, il ma beaucoup parlé de votre épouse tout à lheure Sa compagne est fort occupée avec deux clients, jai bien envie de le faire monter.

Fou dexcitation et moi aussi sur le point de craquer, je lui répondis :

Dites lui de venir.

Il se rhabilla en hâte et quitta la pièce.

Dans lentrefaite, Lionel avait couché Isa sur le dos et la prenait dans la position du missionnaire.

Elle avait de moins en moins de réaction, et semblait épuisée et à bout de souffle, mais continuait tout de même à gémir, mais elle subissait la situation plus quelle ne la contrôlait.

Lionel était toujours en pleine forme et la défonçait littéralement si bien quelle sest vite retrouvée la tête pendante hors du lit tant Lionel y allait fort.

De mon côté, jessayais de ralentir la cadence, car jétais moi aussi sur le point de craquer.

Isa était si belle, complètement abandonnée à son assaillant, seul ses jambes enserraient les hanches de Lionel, mais ses bras pendaient hors du lit et balançaient tout comme sa poitrine au rythme des coups de reins de son amant.

Elle avait lapparence dun animal blessé qui subissait les assauts dun prédateur. Elles subissait les attaques de Lionel sans résistance, elle était totalement offerte et avait le souffle court.

Elle avait toujours les yeux bandés et sur son visage ainsi quà la commissure de sa bouche luisaient quelques traces de sperme laissé par lami de Lionel et par le patron de la boîte.

Cest alors que lhomme du début de soirée fit son entrée dans la chambre.

Il remarqua ma présence, me fit un signe de tête avec un sourire timide, comme sil attendait mon approbation pour agir.

Je lui fis un signe de tête, et il se dirigea vers le lit en quittant ses vêtements.

Il était de carrure assez maigre, le crâne dégarni et avait un sexe de taille tout à fait raisonnable.

Il caressa le visage dIsa et lui enleva le bandeau qui lui obstruait les yeux, avant de laisser mes mains glisser vers sa poitrine.

Salut ma belle, je savais quon allait se revoir très vite lui dit-il en présentant sa verge dressée devant la bouche dIsa. Je tenlève ça, jadore regarder une femme dans les yeux quand je la baise. Apparemment, je ne suis pas le premier à qui tu te sois donnée ce soir

Isa me regarda les yeux mi clos alors que lhomme lui enfonçait son sexe dans la bouche.

Lionel continuait à la pilonner et Isa vint prendre appui sur les cuisses du nouvel arrivant pour encaisser les chocs pendant son nouvel amant commençait à aller et venir dans sa bouche.

Puis Lionel se retira et vint se placer au niveau du visage de ma femme.

Tu suces trop bien ma poulette, tiens fais toi plaisir.

Dans sa demi-transe, je vis le regard dIsa se bloquer net à la vue de la verge imposante de Lionel.

Elle se mit à genoux sur lit :

Whoaou, quelle bite monstrueuse, dit elle en fixant Lionel.

Puis elle sexécuta en pompant assidument ses deux amants.

Elle se tourna dans ma direction, et elle ne me lâcha pas du regard, son regard lubrique que je connaissais si bien.

Je laimais encore plus quand elle était comme ça, une vraie chienne qui semblait me défier et me dire : « Tu es content, tu as ce que tu voulais Regarde comme je prends du plaisir. ».

Ce petit jeu dura quelques minutes, puis Isa sadressa à Lionel :

Viens en moi, reprends-moi, maintenant Que je profite de ton engin.

Si tôt dit, si tôt fait, il contourna le lit, vint se placer derrière elle et sintroduit dans son vagin.

Hummm, non pas là Sodomise-moi

Il sexécuta.

Isa était comme une diablesse, elle criait si fort que je me demandais si on ne pouvait pas lentendre den bas. Malgré la fatigue, je ne lavais jamais vue dans un tel état dexcitation

Cétait si intense, quelle ne parvenait plus à sucer Sean tant Lionel lui procurait du plaisir en se faufilant au plus profond delle.

Cest ta chatte que je veux ma belle, jy retourne, lui dit Lionel au bout de quelques instants.

Et il la défonça de plus belle.

— Cest bon Huummm plus fort.

Mais Lionel nen pouvait plus : il poussa un grand râle de plaisir : il ne prit même pas la peine de se retirer et se vida à lintérieur de ma femme.

Lui aussi à bout de souffle après un tel effort, il resta quelques instants avant de se retirer.

Je voyais la chatte dIsa encore dilatée par le pieu de Lionel qui dégoulinait de foutre.

Je ne métais pas trompé sur ton compte, tes vraiment une sacrée chienne, je tembauche quand tu veux On passera de sacré moment dans mon bureau et je pense que certains de mes gros clients seront ravis de profiter de tes aptitudes, ricana-t-il avant de quitter la pièce.

Ma femme se coucha sur le dos, épuisée par les assauts quelle venait de subir.

Elle navait pas repris tout à fait ses esprits, mais elle suçait maintenant Sean avec le plus grand soin tout en me dévisageant.

Il laissait ses mains vagabonder sur son corps en partant de ses seins pour ensuite descendre sur son ventre et vers sa chatte.

Elle était toujours allongée sur le dos et se donnait entièrement.

Une chatte dégoulinante de sperme, jadore ça, lança-t-il. Jadore passer après les autres je vais te baiser comme jamais tu ne las été ma petite.

Sans autre forme de procès, il se retira de la bouche dIsa pour monter sur le lit.

Il se plaça entre ses jambes et commença à fouiller son intimité suintante du foutre de Lionel avec sa langue.

Je nen pouvais plus Jétais sur le point de craquer moi aussi.

A suivre…

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