4ème jour:
Ma nuit fut agitée, je ne cessais de penser à ce que j’avais fait la veille. Je dois l’avouer, je n’avais aucun regret, je me promis juste de ne pas recommencer même si entre nous il avait un sacré sexe !!!
Au réveil, en regardant Alain nu, s’habiller, je pu de nouveau constater la différence. Celle de mon mari paraissait beaucoup plus petite.
Toute la journée j’essayais d’éviter Karim, ce que je réussie assez bien. L’après midi, étant un peu fatiguée, je décidais de rester à côté de la tente sous un acacia pour dormir un peu. Alain en profita pour marcher un peu et prendre des photos. Boubakar vient me réveiller pour me dire que Karim avait mal a un genou et voulait savoir si je n’avais pas de crème… J’avoue, j’ai été un peu naïve et suis partie sous la tente cuisine pour le voir. il souleva sa djellaba jusqu’aux genoux et je décidais de lui appliquer de la pommade, peut-être avait-il vraiment mal?!
Après 10 minutes de massage, Karim souleva sa djellaba jusqu’à la taille pour me montrer son sexe noir au repos. Même au repos son sexe était joli et toujours aussi énorme. Karim me regarda avec son regard blanc et me demanda de le sucer. Je lui dit que c’était un accident, que j’étais mariée.
Il me regarda, tenant son sexe dans la main, il poussa ma tête vers son sexe en me disant que j’en mourait d’envie. Je ne sais pas pourquoi mais je l’ai laissé faire et j’ai ouvert ma bouche sur son sexe. Je l’ai senti grossir dans ma bouche, c’était agréable.
Je l’ai bien sucer 20 minutes, sa longue tige, ses 2 grosses bourses, je voulais tout goûter. Karim m’allongea sur sa paillasse en osier et se mit au dessus de moi le sexe dans ma bouche comme pour faire l’amour à ma bouche.
Entre deux allers-retours j’ai eu le temps de lui dire que je ne voulais pas boire son sperme; je lui fis confiance lorsqu’il me dit OK.
Soudain la tente s’ouvrit, c’était Boubakar qui venait aux nouvelles…
Karim ne fut pas perturber et ne s’arrêta pas de baiser ma bouche, il eu juste le temps de lui dire "minute on a pas finit" et il éjacula dans ma bouche ou ma gorge plus précisément.
J’avais la honte de ma vie, je trompais mon mari avec le guide. Karim me demanda de m’asseoir et me proposa un thé que jacceptai et bu rapidement pour partir me cacher sous ma tente.
La soirée fut très calme.
J’avais peur des ragots, que mon mari découvre tout, j’avais honte aussi que Boubakar nous ait vu…
Prétextant un mal de crane, je me coucha rapidement en repensant à cette folle après-midi.
J’avais de nouveau céder.
J’avais honte… mais je ne regrettais pas.
De plus, j’ai aime le goût du sperme, doux, salé et tiède dans ma gorge…
