Comme cela avait été convenu, Aurélie se rendit au garage indiqué par l’automobiliste avec qui elle avait eu un accrochage. Elle reconnut immédiatement la Porsche qui était garée ainsi que son conducteur à qui elle sourit en arrivant. Avant de sortir de la voiture, elle tenta de se calmer car elle sentait son cur battre la chamade. Elle venait afin de faire redresser son crochet de remorque dans le but de laisser cet accident derrière elle et que son mari ne le découvre jamais.

L’homme lui sourit et lui tendit la main en lâchant un timide Bonjour, vous allez bien ?. Le vouvoiement et la poignée de main firent sourire Aurélie, ce côté respectueux et légèrement timide dénotaient avec ce qui s’était passé lors de leur dernière rencontre où elle l’avait sucé et s’était fait prendre en levrette pour éviter d’avoir à remplir un constat à l’amiable.

Elle avait eu deux jours pour repenser à tout cela, à cette impression de liberté qu’elle avait ressentie en s’offrant toute nue à cet inconnu mais également à ce sentiment de vengeance vis-à-vis de son mari en laissant un autre homme la pénétrer.

La porte du garage s’ouvrit, un homme en sortit, il avait la cinquantaine, bleu de travail cousu d’écussons de marques de voiture, cheveux poivre et sel et une grande moustache grise.

— Salut Edouard, lança-t-il au propriétaire de la Porsche.

— Salut Jean-Claude, lui répondit celui-ci, un large sourire aux lèvres.

Il s’appelle donc Edouard, pensa Aurélie, s’apercevant qu’elle ne connaissait pas jusqu’à présent le nom de cet homme à qui elle avait donné son corps.

— Madame, dit le garagiste en faisant en léger hochement de tête respectueux à l’encontre d’Aurélie tout en lui tendant la main.

— Aurélie, répondit-elle pour se présenter, lui serrant la main avec un sourire tout en regardant le regard d’un bleu délavé du garagiste.

Celui-ci s’avança vers l’arrière de la voiture, se mit à genoux devant le crochet, l’observa quelques instants et dit :

— Ça va être rapide, aucun problème. Je peux la rentrer dans l’atelier ? demanda-t-il à Aurélie.

Celle-ci acquiesça d’un mouvement de tête et regarda le garagiste rentrer sa voiture. Il semblait que les deux hommes se connaissaient depuis longtemps, ils avaient l’air d’être amis. Elle se demanda, inquiète, si Edouard avait raconté au garagiste ce qui s’était passé dans le champ de tournesol.

Elle suivit sa voiture et demanda au garagiste lorsqu’il en sortit :

— Mais dites-moi, combien cela va-t-il coûter ?

— Mais rien du tout, Madame, lui répondit le garagiste en lançant un regard à Edouard accompagné d’un léger sourire que celui-ci lui rendit comme s’ils étaient de mèche. La réparation du capot d’Edouard va m’occuper, vous savez, alors pour les quelques minutes que cela va me prendre de détordre le crochet, je ne le compte pas. On se connaît bien avec Edouard, aucun problème.

Aurélie remercia le garagiste. Elle comprit immédiatement dans leur échange de regard qu’Edouard lui avait tout raconté. L’accident, la peur d’Aurélie de son mari, la proposition d’Edouard et sans aucun doute, tous les détails croustillants de leurs ébats dans le champ de tournesol.

Elle ne put s’empêcher de rougir et de se sentir un peu gênée lorsqu’elle croisa de nouveau le regard du garagiste. Elle pensa à ce que Jean-Claude avait dû imaginer lorsqu’il lui avait serré la main peu de temps avant ; il avait dû l’imaginer nue, à genoux, en train de sucer son ami Edouard.

Aurélie rougissait toujours et elle sentit une douce chaleur la parcourir. Elle regarda Edouard, il n’était pas franchement beau mais il avait été un gentleman avec elle, il n’avait pas lésiné sur les caresses, la douceur, elle avait éprouvé du plaisir en se donnant à lui. Et maintenant ce garagiste, qui avait eu tous les détails de ses ébats avec Edouard, peut-être s’était-il masturbé dans ce garage en pensant à elle après avoir écouté l’histoire.

Peut-être bandait-il en la regardant actuellement. La chaleur envahit le corps d’Aurélie et s’intensifia dans son entrejambe. Elle baissa les yeux pour tenter d’apercevoir l’éventuelle érection du garagiste. Il y avait effectivement une bosse dans son bleu de travail et cela la flatta. Elle remonta les yeux et croisa ceux du garagiste, il avait vu où le regard d’Aurélie s’était arrêté, il ne dit rien mais lui fit juste un sourire.

Jean-Claude prit quelques outils et se mit au travail à l’arrière de la voiture. Aurélie, qui se sentait observée discrètement, ouvrit la porte du conducteur et se pencha sur le siège pour ouvrir la boîte à gants comme pour y chercher quelque chose. Elle n’avait rien à y prendre mais elle voulait se pencher en avant afin que les deux hommes puissent apprécier la vue de ses jambes et de ses fesses. Elle avait mis ce jour-là une jolie robe qui, une fois penchée en avant, remontait suffisamment pour laisser apparaître une partie de ses cuisses.

— Et voilà, c’est fait, fit Jean-Claude. Cela n’avait pris que quelques minutes.

— Déjà, répondit Aurélie, surprise. Vous êtes vraiment adorable, c’est très gentil. Mais dites-moi, c’est vous le patron du garage ?

— Oui, c’est moi, je travaille tout seul ici. Je répare uniquement les voitures de luxe, c’est ma spécialité, ajoute-t-il.

— Vous pouvez me faire visiter ? demanda Aurélie.

Ils traversèrent l’atelier où Jean-Claude lui montra les voitures qu’il réparait : la Porsche d’Edouard, une Bugatti et une Aston Martin. Ils passèrent devant une pièce vitrée qui lui servait de bureau, des classeurs étaient rangés méthodiquement dans deux grandes armoires ouvertes.

Puis ils approchèrent d’une grande ouverture qui n’avait pas de porte, juste une rangée de bandes rouges en plastique transparent comme dans une usine. Jean-Claude et Edouard passèrent devant Aurélie et, avec la galanterie des hommes de leur âge, écartèrent chacun de leur côté les bandes de plastiques pour laisser passer Aurélie qui apprécia ce geste prévenant.

Elle observa cette pièce, elle était plus sombre que l’atelier. De grandes étagères regorgeaient de pièces détachées, de morceaux de carrosseries, de pots de peinture, tout était parfaitement rangé, étiqueté, Jean-Claude devait être un homme soigneux. Dans le coin à gauche se trouvait une petite salle de bain dont la porte était ouverte. Elle était recouverte de miroirs et Aurélie aperçut son reflet et celle des deux hommes.

Elle se trouva belle dans sa robe, attirante. En la mettant le matin, elle ne se l’était pas avouée mais se rendait bien compte désormais qu’elle l’avait mise pour plaire à Edouard, pour qu’il la trouve sexy. Elle se retourna et les observa.

Edouard n’était pas vraiment beau mais sa délicatesse avait plu à Aurélie, elle s’était sentie désirée et respectée entre ses mains. Jean-Claude était déjà beaucoup plus charmant, son physique était agréable, il avait l’air d’être en bonne forme pour quelqu’un de son âge. Sa grande moustache lui rajoutait un côté charmeur et une bonhomie de gentil grand-père…

Ils restèrent ainsi quelques instants, échangeant regards et sourires sans dire un mot. Aurélie surprit des regards qui balayaient subrepticement son corps, de légers coups d’il furtifs sur ses seins serrés dans sa robe. Elle se sentait désirée, elle appréciait le fait qu’ils attendent poliment et ne tentent rien, elle ne ressentait ainsi aucune contrainte, elle était libre et la chaleur qui l’habitait augmenta encore un peu plus.

Elle sourit à Jean-Claude en s’approchant de lui et posa deux doigts sur l’écusson Bugatti cousu sur son bleu de travail au niveau du torse. Elle fit circuler ses doigts d’un écusson à l’autre puis descendit lentement le long du ventre plat du garagiste. Toujours du bout des doigts, elle arriva jusqu’à l’entrejambe où elle caressa lentement la bosse formée par le sexe en érection. Elle descendit encore un peu sa main et saisit délicatement les bourses qu’elle palpa tout en regardant Jean-Claude droit dans les yeux.

De son autre main, Aurélie descendit la fermeture éclair du bleu de travail jusqu’en bas. Sans même regarder Edouard, elle se mit à genoux devant Jean-Claude et sortit son sexe de son slip blanc. N’ayant pas de ventre, le garagiste profitait avec bonheur de cette vision : cette belle femme tenait son sexe dans sa main, elle fit glisser très lentement la peau le long de la verge pour laisser apparaître le gland qu’elle enfila dans sa bouche.

Jean-Claude sentit les lèvres chaudes se poser sur sa verge et son gland se faire envelopper de cette langue experte. Aurélie saisit de ses deux mains les hanches du garagiste et fit coulisser son sexe dans sa bouche par des mouvements de va-et-vient de sa tête.

Edouard assistait à la scène, il était médusé et caressait son sexe tendu à travers son pantalon. Aurélie prenait son temps, elle ne se précipitait pas et sucer langoureusement ce sexe qui était à l’image de son propriétaire : mince, grand et bien droit. La chaleur avait envahi Aurélie, sa petite culotte était de plus en plus mouillée, elle sortit le sexe de sa bouche quelques instants puis, en levant la tête pour les regarder, elle demanda : Ça vous plaît ?

Les deux hommes acquiescèrent d’un mouvement de tête et Aurélie saisit Edouard par la cuisse pour qu’il se rapproche de Jean-Claude.

— Je ne voudrais surtout pas qu’il y ait de jalousie entre vous deux, plaisanta-t-elle.

Rapidement, elle baissa le pantalon d’Edouard puis son caleçon, son sexe tout dur se dressait à la verticale, elle le rabaissa à lhorizontale et commença à le sucer. Elle trouva à tâtons le sexe de Jean-Claude qu’elle masturba tout en continuant la fellation d’Edouard.

Le garagiste se rapprocha de son ami et Aurélie faisait désormais des allers-retours d’un sexe à l’autre. Tout en les masturbant, elle passait sa bouche d’un sexe à l’autre ; elle léchait leurs verges, titillait leurs glands de quelques coups de langue, puis enfouissait son visage entre les cuisses pour lécher adroitement leurs bourses. Elle aspirait les couilles pour les mettre dans sa bouche et les sucer.

Elle se mit alors uniquement sur le sexe d’Edouard et Jean-Claude en profita pour prendre quelques cartons aplatis et les disposa par terre. Par dessus, il jeta un drap qu’il utilisait pour protéger les sièges lorsqu’il travaillait à l’intérieur d’une voiture.

Aurélie alla jusqu’aux cartons où elle embrassa Jean-Claude pendant qu’Edouard abaissait la fermeture éclair de sa robe. Elle mit les bras le long du corps et ce dernier écarta les bretelles de sa jupe qui tomba tout droit à ses pieds. Ils regardèrent son joli corps plein d’admiration et la complimentèrent. Elle portait une belle lingerie noire qui contrastait avec sa peau blanche, elle aimait être regardée et se sentir le centre d’attention.

Prestement, elle dégrafa son soutien-gorge et le jeta au loin sur un établi. Jean-Claude se mordit la lèvre inférieure en voyant cette jolie poitrine, il la caressa doucement puis remonta jusqu’à son cou et lui maintint le menton pour l’embrasser. Edouard caressait son dos, serrait ses fesses puis remontait ses mains pour saisir ses deux beaux seins.

Aurélie s’abandonna quelques instantes à ces caresses, elle ferma les yeux et se focalisa sur ces quatre mains baladeuses qui la caressaient et la pelotaient avec douceur et une pointe de fermeté comme elle aimait. Elle descendit ses mains et les masturba lentement.

— J’ai tellement envie de me faire sauter, dit-elle à voix basse dans une profonde expiration tout en regardant Jean-Claude dans les yeux.

Celui-ci se mit à genoux et descendit lentement la petite culotte. Il vit apparaître cette jolie petite touffe de poils châtain clair puis ce charmant sexe que son ami avait déjà eu la chance de pénétrer. Tout en descendant la petite culotte jusqu’aux pieds, Jean-Claude lécha la toison puis le clitoris avec délicatesse. Une fois arrivée aux pieds d’Aurélie, le garagiste jeta la petite culotte au loin.

Elle aimait cette sensation d’être complètement nue dans ce lieu incongru, offerte à ces deux hommes, prête à les recevoir en elle, à leur donner ses orifices pour qu’ils la pénètrent.

Aurélie s’allongea sur le dos et ouvrit les cuisses pour se faire pénétrer. Jean-Claude ne se fit pas attendre et inséra son long sexe dans l’intimité d’Aurélie. Edouard se mit à genoux à côté de la tête d’Aurélie qui se redressa sur les coudes pour prendre son sexe en bouche, il mit sa main derrière sa tête pour lui faire faire des mouvements de va-et-vient pendant que son ami la pénétrait.

Elle réalisa que c’était la première fois qu’elle faisait l’amour avec deux hommes. Elle profitait avec un immense plaisir de ces deux sexes qui s’enfonçaient de conserve dans sa bouche et son vagin.

Jean-Claude, qu’elle ne connaissait pas il y a moins d’une heure, s’agenouilla, lécha son clitoris puis descendit lentement jusqu’à l’anus qu’il titilla du bout de la langue. Il suça alors son majeur et l’introduit tout doucement dans l’anus d’Aurélie qui eut un léger gémissement de plaisir. Le garagiste semblait un expert en la matière, les années d’expérience se dit-elle. Il introduit un deuxième doigt qu’il fit aller et venir dans l’anus pendant qu’il léchait le sexe tout humide.

Il retira ses deux doigts et passa quelques instants à lécher l’anus d’Aurélie, entrant le bout de sa langue dans l’orifice, léchant les contours avec précision pendant que son ami se faisait sucer.

Toute trempée de sueur, le vagin dégoulinant, Aurélie demanda à Edouard de s’allonger sur le dos puis le chevaucha pour qu’il pénètre son vagin. Dans cette position, elle tournait le dos au garagiste et lui offrait par la même occasion ses jolies fesses. D’habitude, elle n’aimait pas pratiquer la sodomie car son mari était une brute qui lui faisait toujours mal mais elle se sentait en confiance avec ces deux hommes et se cambra pour que Jean-Claude la pénètre.

Il posa son gland contre l’anus tout humide et enfonça son long sexe en prenant tout son temps. Aurélie expira longuement au fur et à mesure que le sexe entrait dans ses fesses, elle gardait les yeux fermés pour se focaliser sur la pénétration de ces deux verges.

Elle sentait désormais Jean-Claude bien enfoncé dans son anus, elle se dit que c’était la première fois qu’elle était pénétrée par deux hommes en même temps, cette double pénétration était une première… La garagiste se pencha pour l’embrasser dans le cou ce qui la fit sourire de plaisir, elle sentait en même temps les coups de langue d’Edouard sur ses tétons.

— Qu’est-ce que j’ai bien fait de cabosser ta Porsche, lui dit-elle avec le souffle coupé.

Les deux hommes rirent, ils ne boudaient pas leur plaisir et souhaitaient en procurer à Aurélie en prenant tout leur temps. Jean-Claude caressa le dos d’Aurélie, remonta jusqu’à son cou qu’il massa et caressa également puis passa aux épaules qu’il saisit fermement pour indiquer la cadence.

Tout d’abord il fit des va-et-vient lents dans l’anus d’Aurélie le temps qu’elle s’habitue et se dilate complètement puis, voyant qu’elle aimait cela, il augmenta la cadence et la profondeur de la pénétration. De ses grandes mains, il serra encore plus fermement les épaules, sans lui faire mal, afin de guider les mouvements d’Aurélie pour qu’elle coulisse bien le long de son sexe. Edouard se cala sur le même rythme que Jean-Claude pour qu’ils la pénètrent en même temps.

Aurélie sentait ces deux verges envahir de conserve son vagin et son anus, se retirer lentement puis l’envahir de nouveau dans un va-et-vient interminable, source d’un immense plaisir, elle sentait l’orgasme arriver. Elle prit conscience que tous les hommes n’étaient pas des bourreaux comme son mari, que la sodomie pouvait lui procurer du plaisir et qu’elle avait une chance inouïe d’être tombée sur ces deux perles qui s’occupaient si bien d’elle.

La cadence des pénétrations avait augmenté, Aurélie se dit qu’ils allaient certainement jouir sous peu, elle était en nage, les cheveux défaits, la transpiration dégoulinait sur tout son corps. Les cartons aplatis sur lesquels ils se trouvaient étaient tout humide et carrément trempés à la verticale du sexe d’Aurélie qui mouillait comme jamais.

Elle ouvrit alors les yeux et son regard tomba sur la porte de la salle de bain recouverte de miroirs et la vision qu’elle eut précipita son orgasme. Elle était à califourchon sur Edouard qui pénétrait son vagin, appuyée sur les coudes, ses seins ballotaient au niveau du visage de celui-ci qui les pelotait et les léchait avec avidité. Sa poitrine était pleine de salive, des fils de bave dégoulinaient de ses tétons jusqu’à la bouche d’Edouard qui mordait et léchait à pleine bouche.

Elle vit alors Jean-Claude qui la sodomisait en la tenant par les épaules, il avait les yeux fermés, la tête relevée, les muscles tendus, ruisselant de transpiration. Elle regarda alors son visage, elle était trempée, la bouche entre-ouverte avec une expression d’extase dans le regard. Se voir ainsi, toute nue, sa belle peau blanche contrastant avec l’environnement sombre de cet atelier et de toutes ces pièces de métal, prise entre ces deux hommes, se donnant en toute liberté, eut pour effet de faire bondir son excitation.

Elle continua de se regarder, cette vison l’excitait, elle augmenta elle-même la cadence et le débattement des mouvements. C’était un feu d’artifice de sensations dans tout son corps et plus encore entre ses hanches qui recevaient les pénétrations successives. Elle s’abandonna complètement et sentit l’orgasme l’envahir, elle ouvrit tout grand la bouche pour lâcher un cri de plaisir, elle geint sans retenue, sans honte, bien au contraire, elle se sentait libre et voulait partager avec ses amants l’onde de choc de plaisir qui était en train de la parcourir.

Voyant cette très jolie femme perdre contrôle et se donnant à eux entièrement, les deux hommes atteignirent le paroxysme de leur excitation et, chacun leur tour, jouirent dans les charmants orifices de leur déesse. Tout d’abord Jean-Claude qui était en nage et éjacula plusieurs saccades en enfonçant son sexe au plus profond à chaque lâché de sperme. Puis Edouard inonda le vagin d’Aurélie de sa semence accompagné d’un long râle de plaisir.

Ils continuèrent leurs mouvements encore quelques instants puis ralentirent la cadence. Ils se retirèrent et Aurélie se blottit entre ses deux amants qui la câlinèrent de longues minutes, caressant son dos, son ventre, ses seins tout en l’embrassant dans le cou, sur la bouche, sur les épaules…

Aurélie était heureuse d’être choyée de la sorte, jamais son mari n’aurait eu ces gestes tendres ; elle caressa tendrement leurs sexes déjà ramollis comme s’il s’agissait de petits animaux craintifs puis, écartant les cuisses, elle passa ses doigts sur son sexe et son anus qui avaient laissé s’écouler un flot de sperme sur le carton, formant une auréole.

Elle remonta sa main à proximité de son visage pour regarder le sperme collé sur ses doigts, elle les écarta pour voir les filaments qui s’étiraient, elle s’amusa quelques instants avec cette semence qui dégoulinait sur ses doigts et, avant qu’elle ne tombât sur sa poitrine, fourra ses doigts dans sa bouche qu’elle suça.

— Si vous me promettez d’être toujours bien élevés comme vous l’avez été, en me traitant aussi bien, je vous fais la promesse que je reviendrai, dit-elle très calmement, un sourire coquin aux lèvres.

Les deux hommes acquiescèrent et l’embrassèrent tendrement.

À suivre.

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