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MON SECRET – Chapitre 2




Comme il ma l’avait laissé sous entendre, mon oncle s’arrangea à trouver un prétexte pour aller au chalet.

Il y avait, au dire de mon oncle, une chasse dimanche prochaine, il devait y aller pour faire un peu de ménage et garnir le frigo. Ma tante lui suggéra de m’emmener avec lui. Sans le savoir , cela arrangeait bien mon oncle. Il décida d’y aller jeudi, nous étions mardi, cela nous laissait une journée.

Ce qui s’était passé ce matin m’avait émoustillé. J’y pensais sans cesse et fantasmais un max. Je revoyais le sexe de mon oncle tendu à l’extrême contre ma bite. J ’étais intriguer par ce qu’il m’avait dit, je me demandait bien ce qu’il voulait me montrer.

Cela m’excitait et m’obsédait. Je ressentais des choses étranges dans mon bas ventre, je n’arrêtais de bander et impatient d’aller au chalet. N’y tenant plus, il fallait que je me masturbe; j’allais dans les toilettes , le seul endroit ou je pouvait m’isoler. Le lieu n’était pas très agréable, mais à défaut d’autre chose… Je faisais aller ma main contre ma verge Je me branlais avec frénésie, par moment je ralentissais pour faire sortir mon gland. Et l’examinais avec attention; je le trouvais pas si petit que ça; je me tendais de plus en plus, je tirais sur mes couilles cela donnait l’impression que ma bite était plus longue. Ma respiration devenait de plus en plus rapide, mon cur battait la chamade

Le corps , je serrais les cuisses. J’essayais de ne pas faire trop de bruit car ma tante était juste à coté. Je mis peu de temps à éjaculer…

La tension retomba petit à petit , mon sexe avait repris sa taille de repos. En sortant des WC, je croisais ma tante.

"Tu es bien rouge, tu n’as pas de fièvre?"

"Non, juste un peu mal au ventre"

Le soir, j’eus du mal à trouver le sommeil. Toutes ces images et émotions m’empêchaient de me calmer.

Le lendemain matin , mon oncle vint dans la chambre, il a juste effleuré mon sexe , ma tante étant dans la pièce d’à coté, il ne pouvait faire plus. La journée me parue d’une longueur pas possible, j’avais hâte d’être à demain, Mon excitation s’émoussa et le soir, je mendormis rapidement.

Au petit matin , mon oncle comme à son habitude, vint me rendre visite. Il prit ma main et la posa à l’emplacement de son sexe, il bandait, de son autre main, il me tripota la bite. Ce contact fut rapide , car ma tante l’appelait

"Georges, il n’y a plus de grain pour les poules’

Il sortit de la chambre et alla rapidement chez le fermier qui était un voisin.

Juste après le repas , nous partîmes en vélo pour la forêt, il y avait 2 ou 3 km

La propriété était clôturée, nous y rentrâmes et fîmes les 500 derniers mètres à pied, le chemin n’étant pas carrossable. Enfin nous arrivions a cette fameuse cabane. Il y avait une grandes salle ou les chasseurs mangeaient. Un canapé et deux fauteuils constituaient le mobilier. Il y avait une cuisine , une douche et les toilettes. Il ferma la porte à clé. Nous étions impatients…

" Mets toi à l’aise !"

Il commença par enlever sa chemise, son pantalon, son maillot de corps et son slip.

"Déshabille toi entièrement !"

Je ne fis pas prier et m’exécutais rapidement.

Nous étions nus tous les deux ’tait la première fois que je voyais un homme entièrement nu.

J’étais gêné d’être moi même dans cette situation

Il était un peu un peu enrobé avec du poil sur la poitrine

Son pubis était couvert de poils noirs, il avait une toison importante

Moi j’étais pratiquement imberbe quelques poils sur la poitrine et au niveau du sexe. Nos sexes étaient flasques et pendaient lamentablement .

Il s’approcha de moi, m’embrassa sur la bouche, nos langues se mêlaient, je n’appréciais que moyennement

il s’en rendit comte et n’insista pas

Ses mains s’activaient sur mon corps tout en évitant ma verge.

"Vas t’allonger sur le canapé"

Il s’agenouilla e t entrepris de me caresser, ses mains étaient partout à la fois. Ma bite commençait à se redresser et à grossir

Soudain, d’une main , il me saisit les couilles et de l’autre , il me branla en prenant soin de me décalotter le gland.

J’étais aux anges

Ne pouvant plus me retenir, ma main gauche vint en renfort. Sentant que mon excitation montait rapidement , trop rapidement

à son gout Mon oncle écarta ma main pour éviter que je me touche.

Il ralentis ses mouvements et la tension baissa.

"Tu vas trop vite ! nous avons tout notre temps ! Plus c’est long , plus c’est bon !"

J’avais du mal a me contrôler, j’étais pratiquement arrive à un point de non retour, mon ventre était traversé par de violentes contractions. La tension retomba un peu, je me calmais doucement. Il s’allongea sur le canapé.

"Viens, mets toi sur moi , tes pieds du coté de ma tête"

Je me demandais ou il voulait en venir, je ne connaissais pas grand chose sur ces pratiques sexuelles , à part la branlette que je pratiquais souvent.

Son sexe se trouvait juste devant mon nez, il était impressionnant, son gland rouge était gonflé

"Suce moi !"

Je ne savais pas trop comment m’y prendre, je m’enhardis ; d’une main je saisi son membre et l’approchais de ma bouche. Ma langue titillait le petit le petit trou situé en haut de son gland, j’essayais d’y introduire le bout de la langue

Une petite goutte perlait au bout de son gland, je m’empressais de la lécher

Je mis sa bite dans ma bouche, elle en occupait le totalité de la place

Je sentais son membre se tendre de plus en plus, il battait la mesure ma langue allais et venais, son gland grossissait sous l’action de ma langue.

Pendant ce temps, mon oncle étant sur le dos avait les mains libres, il pouvait saisir mon sexe et l’orienter à sa guise. Alternativement il me malaxait les testicules ou me branlait en me suçant le gland. Sa langue glissait de temps en temps vers mon anus et essayait de forcer mon intimité il me suçait aussi les couilles comme un bonbon. Je ne savais ou donner de la tête entre le sexe de mon oncle que je suçais et tétais, mes mains qui lui trituraient les bourses et le branlaient , la chaleur de sa bouche sur mon gland, mon anus qui se contractait , mon ventre qui était parcouru par les spasmes.

Je ressentais des décharges dans les reins, j’étais à deux doigts de l’orgasme et souhaitais que rien ne s’arrête. Mon oncle lui manifestait son contentement.

"Ahhhh ! Ohhh! C’est bon ! Ralentis ! Tu sais tu es doué !

Ahhhh… Je vais jouir !!! Suce, suce moi l’anus… Mets-moi un doigt dans le cul… Ahhhh… Accélère ! Ahhhh ! Je jouis !!!! ouiiiiii"

Son sexe était soumis tressautait son bassin se levait, il me soulevait

J’avais du mal à suivre le mouvement. D’un coup, dans un ultime gémissement, il explosa .D’un jet puissant il éjacula. Ma bouche se remplit d’un liquide chaud, ma langue continuait ses mouvements circulaires sur le gland. Étant novice, je ne savais quoi faire de son sperme, l’avaler ou le conserver en bouche. La solution me fut dictée

"Avale bien mon foutre et lèche moi la queue , n’en laisse pas une goutte"

Son sperme était suave , doucereux , fade enfin difficile a définir

Je le gardais pendant une seconde ou deux et enfin j’avalais le tout. Je continuais à sucer le sexe de mon oncle jusqu’à la dernière goutte. Pendant ce temps, j’avais les mêmes sensations, je poussais mon bassin vers sa bouche je gémissais de plus en plus fort.

Je m’agitais dan tous les sens, ma respiration se faisait plus rapide.

C’était bon , très bon, difficile à décrire…

Mes mains me tripotaient, je me branlais vigoureusement, je me pressais contre mon oncle, mon gland était bien dans sa bouche chaude, il était sur le point d’éclater. A mon tour je jouis. Cette jouissance m’était inconnue !

Je venais déjaculer à mon tour dans la bouche de mon oncle. Je sentais mon sperme s’écouler en saccade. Mon oncle avala le tout avec avidité.

Un sentiment de plénitude m’envahit… Que c’était bon !

Nous sommes allés sous la douche pour nous nettoyer et reprendre nos esprits. Nous venions de faire un magnifique 69, nous avions eu tous les deux un magnifique orgasme et j’avais hâte de recommencer !

"C’est tout pour l’instant je voulais t’apprendre d’autres choses pendant que nous sommes seuls mais il faut d’abord récupérer… J’ai pris de quoi manger , ensuite nous verrons !"

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