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Un amour de tante – Chapitre 1




Un amour de tante Chapitre 1

Comme je vous lavais promis (pour ceux qui ont lus la première partie de mon récit), voici la suite de lhistoire ; toujours faite à base dimagination (pure fiction et aucune ressemblance réelle) et encore désolé pour le retard.

En ce mois de Mars, jai enfin obtenu ma majorité, et oui, jai eu 18 ans, jai pu passer mon permis, jai eu ma carte bleue et tout ça A Paris avec ma tante, qui est devenue une amante parfaite, cela ne mempêche pas plus de penser à ma mère, délaissée dans sa grande villa marseillaise.

Vendredi 9 Juillet, jai passé et obtenu mon bac S (assez facilement sans vouloir me vanter) ; Alicia, ma tante, me proposa comme cadeau, de descendre dans le Sud pour passer une semaine à la plage dans un grand hôtel luxueux puis une semaine de croisière pour finir à Barcelone.

— Mais comment ? Comment peux-tu me proposer ça, cela doit coûter une petite fortune, non ?

— Ne tinquiète pas pour ça, jai obtenu une promotion, je suis passée chef dans mon groupe, et mon salaire à été multiplié par 2.5, il faut dire aussi que jai dû passer sous le bureau

— Mais Ton patron Cest Stéphanie, la belle blonde, non ?

— Oui oui, cest ça, je vois que tu la regardes assez souvent, non ?

— Javoue, je la mate beaucoup quand elle est là, mais ne men veux pas, cest toi qui me la mets sous les yeux durant plusieurs heures lors de vos recap de la semaine faits à la maison Mais attend, si tu es « passée sous son bureau », ça veut dire que tu tes fait une fille ?

— Oui cest cela, je vois que tu comprends vite.

— (Vive le sarcasme !) Alors ça change tout ! Bon on part quand !

— Ce week-end si ça te va.

— Parfait ma chérie.

Et sur ce je lenlaçais pour lembrasser, puis elle se dirigea vers la chambre en me trainant par le jeans, et elle me coucha sur le lit puis sallongea sur moi et nous avons continué nos embrassades jusquau moment où je commençais à la déshabiller, soudain, un petit marrant décida de sonner à la porte (arrrgh, le con, je vais le t#£^ù*$ ce c@=+¤µ). Cest ma tante qui alla ouvrit à cet inopportun :

— Ah, cest toi, comment tu vas aujourdhui ? (Ah ? Une connaissance, on peut excuser alors, enfin)

— Bien bien, (une voix féminine que je connais bien, ce pourrait-il que) tu es toute seule ?

— Non, mon neveu est dans sa chambre (vite, il faut que je change de pièce), il fait je ne sais quoi.

— A cet âge, cest soit le sexe ou les jeux vidéo, crois-moi, je connais les jeunes.

— Viens, entre Je le connais bien mon neveu, il nest pas comme ça.

— Enfin Si tu le dis, bref, je viens pour te parler travail, ça te dirais douvrir une nouvelle boîte ailleurs en France ?

— Euh, oui, mais

A ce moment-là, rien dautre noccupait mon esprit que limage de la créature de rêve qui venait dentrer dans notre appartement, et là, jeu une érection terrible. Je devais établir un plan pour la voir nue, où au moins son cul majestueux (moins volumineux que celui de ma tante, mais joli quand même). Après un petit quart dheure, je me dirigeais vers la cuisine sous prétexte de venir boire un coup dû à la chaleur ambiante. Les deux collaboratrices sétaient établies sur la table du salon. Je pris un verre deau et me dirigeais vers la table de travail :

— Bonjour Stéphanie, comment vas-tu ?

— Bien, et toi, je vois que tu te portes bien.

— Toi aussi, toujours aussi radieuse

— Merci jeune homme, mais tu ne sors pas avec tes amis aujourdhui, pour une fois quil fait beau sur Paris.

— Non, je préfère veiller sur ma tante, elle le mérite, elle mhéberge et on se raconte tout, nous navons pas de secrets, elle est ma confidente, rien ne pourra la remplacer, elle est unique.

— Comme cest charmant, cest trop mignon ! (Un pas de plus vers elle)

— Ne te fis pas à lui Steph, il a une idée derrière la tête, et je pense savoir quoi ! dit Alicia en me regardant amoureusement.

Et elle lui chuchota quelque chose dans loreille, mais je nai pu entendre mot.

— Ohh ? Cest donc sa alors, non, ça ne peut être vrai, pas lui, je le connais depuis un an.

— Et si, il est bien comme ça. Tu penses vraiment que

— Vas-y essaie.

— Bon daccord, jessayerais plus tard

Puis elles se remirent au travail et moi je minstallais dans le canapé pour me mater un épisode de Malcolm. Pendant plus de deux heures je les ai entendus glousser derrière mon dos, mais lorsque je me retournais, plus rien.

— Bon, on a bien travaillé, on mérite bien une coupe.

— Ok, va la chercher moi je minstallerais dans le canapé en attendant.

Quoi, une bombe sexuelle à côté de moi ! Eh non, elle décide de sasseoir face à moi, tant mieux, je peux mater ses longues jambes gainées de bas couleur chair (en nylon je suppose). Mais cela ne durera pas longtemps, car je croisais son regard derrière sa mèche, ça y est, je suis pris la main dans le sac. Alicia arriva les bras chargés dune bouteille de champagne et dun seau à glace, je me levais pour laider mais Steph en profita pour remonter sa jupe et ouvrir un peu plus louverture de son décolleté. Elle se dirigea vers les toilettes, et en revenant, et sinstallait dans le canapé et elle colla ses genoux lun contre lautre. On se regardait tous lors quon buvait nos coupes et à ce moment-là les cuisses de Steph ont commencé à sécarter. Je plongeais mon regard et je faillis métouffer, mais Steph sapprocha de moi et me tapotait le dos. Assise contre moi je pus mater sa paire de seins bien garnie tandis que sa jupe ne sarrêtait pas de remonter jusquà la limite de ses bas. Elle posa sa main sur mon genou et me caressait en me demandant si jallais bien. Je lui répondis que oui, ma tante me dit que si javais perdu connaissance, elle aurait pu me faire de la réanimation, ce à quoi je répondis que javais manqué quelque chose. Elles se mirent à rire. Alicia nous laissa entre nous deux pour se rendre à la Poste, une affaire urgente suite à leur travail de laprès-midi.

Stéphanie se colla à moi et je pus sentir sa poitrine gonfler et ses tétons durcir et cela se fit remarquer par une bosse énorme déformant mon pantalon. Elle approcha sa main de mon entrejambe en me disant « Alors jeune homme, on est excité par une cougar ? ». Et en effet, cela était le cas, puis soudain, elle se jeta sur moi et membrassa à pleine bouche et je sentis sa langue forcer pour entrer. Je pris les initiatives, je passais une main sur ses fesses et lautre dans ses cheveux. Cela dura cinq minutes, puis elle se décolla pour commencer à môter mon pantalon, moi je lui enlevai son chemisier, et apparu alors un soutien-gorge rose qui soutenait une poitrine proéminente. Je lui demandais si cela nétait pas trop lourd à porter, ce qui la fit rire. Et finit de me déshabiller et moi aussi, et je pus la contempler comme la jolie milf de mes rêves (même si la meilleur, et la plus fantastique, est ma tante). Je lentrainais jusquau lit et je la tirais vers moi pour quelle sallonge par-dessus moi. Et là, elle descendit dun étage pour arriver près de mon sexe gonfler. Elle commença une caresse douce et délicate puis termina par une fellation divine : elle enroulait sa langue autour de ma queue et maspirait le gland tout en me massant les couilles, une vraie pro, jamais mieux de toute ma vie. Au bout de dix minutes, je sentais que la sauce montait en moi mais je neus pas besoin de la prévenir car elle le sentait, et elle ôta son string rose assortit au haut et vint sempaler sur mon sexe turgescent, ce qui la fit gémir de plaisir. Je donnais plusieurs coups de reins vers sa chatte pour lui procurer un maximum de plaisir, et jen vis immédiatement les effets, en moins dun quart dheure, elle eut un orgasme moi-même je lâchais ma semence en elle. Elle embrassa et continua à me chevaucher quand soudain, jentendis la porte souvrir. Jessayais de sortir mais Steph men empêcha :

— Ta tante sait ce que nous faisons, cest elle qui en a eu lidée.

— Steph ? Vous êtes où tous les deux ?

— Dans la chambre, on la fait !

— Ah bon, tu y es déjà, bravo ma ptite.

— Salope comme je suis, ça a été facile de la faire céder.

— Et alors, il est vraiment aussi bon que tu le dis, même avec les kilomètres de queues que je me suis pris, il est de loin le meilleur coup que je me suis fait.

— Alicia ! Tu lui as dit pour nous deux ?

— Bien sûr que oui, Stéphanie est ma meilleure amie depuis 20 ans, ta mère ne ten a jamais parlé ?

— Alors cest toi Fanny la féline ?

— Oui, cest bien moi, je vois que ma réputation est restée.

Et sur ce, ma tante se déshabilla pour nous rejoindre. Elle se mit derrière son amie et lui embrassa le cou en me regardant sensuellement mais à bout de fatigue, Steph sallongea à mes côtés et nous dis « Faites-moi voir ce quest lamour familial ». Et Alicia vint membrasser, tendrement et je lui agrippais les cuisses pour la pénétrer car sa chatte reluisait, elle coulait abondamment ce qui rendait la tâche plus facile. Je lui insérais mon sexe dans ses grandes lèvres et elle se mit vite à faire les mouvements de bassin tout en me laissant reposer. Je continuais à la labourer pendant vingt minutes jusquà ce quelle se retira et se retourna pour me montrer son fessier, et je la pris en levrette, tandis que Steph nous regardait et se masturbais le clitoris. Je lembrassais et je retournais à mes occupations, je pilonnais toujours et encore ma tante, puis dix minutes après, je sentis à nouveau la semence montée le long de ma queue et se déverser une quantité phénoménale de sperme dans le vagin de ma partenaire. Puis les deux amies de toujours senlacèrent et se firent lamour lesbien pour mon seul et unique plaisir (seul dans mon coin, je me branlais et je crachais tout ce qui me restait de sperme sur mes deux créatures de rêves.

La soirée et le début de la nuit étaient composés des jeux érotiques et dattouchements jusquà ce que Stéphanie se décida à partir, elle me fila son numéro et me glissa un baiser au coin de la lèvre. Le reste de la nuit, Alicia et moi lavons passé à faire lamour dans toutes les positions et dans toutes les pièces. Même fatigué et quasiment mort, elle réussit sait à me faire cracher. Il faut dire aussi quavec sa nuisette noire en satin, elle savait profiter des courbes de son corps et le mettre en valeur et elle savait aussi que jadorais cela. Puis on sendormit vers 3h 30.

Réveil brutal à 7h 30 par le réveil, et oui, javais oublié quaujourdhui, je passais les sélections pour intégrer le centre de formation du PSG (je sens que je vais me faire des ennemis et je tiens à préciser que ce nest quune histoire et que je ne suis pas du tout pour le PSG, mais bon, lhistoire se déroule à Paris donc je peux pas faire autrement, désolé) jenfilais un caleçon un jeans, un tee-shirt et mes chaussures, je préparais mon sac, jengloutis un café (ouille, cest chaud !) et dernier passage par la case « chambre » pour embrasser ma tante et je filais au stade. Alicia ma dis quelle me rejoindrait vers 9h.

10h, je la vois arriver, lunettes de soleil, petit haut sexy, mini short en jeans, et hauts talons, par les chaleurs quil fait, cela ne métonne pas. Midi, fin des sélections, jaurais les résultats Mardi, en rentrant à lappartement, Alicia me proposa quelque chose de très important, et cela pourrait pour toujours, changer nos existences dune façon radicale, mais cela demandait à réfléchir sérieusement

Si vous voulez savoir quoi, lisez le second chapitre du Tome 2 de mon récit Un amour de tante

Désolé (La suite au prochain chapitre)

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