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Du malus à l’esclavage sexuel
Notre enquête nous emmène d’abord dans le Sud de la France, dans une petite entreprise familiale, en apparence sans problème. Christelle, secrétaire de direction depuis 10 ans était une employée modèle. Pourtant, son divorce il y a 2 ans a entraîné une profonde dépression chez elle dont elle a eu énormément de difficulté à se sortir. Les mois qui ont suivis son retour au travail, après un arrêt maladie prolongé, ont été difficiles car les rechutes étaient nombreuses. Christelle a ainsi accumulé retards, erreurs, maladresses avec les clients ou les collègues, si bien que son compte malus c’est considérablement alourdit.
Christelle nous précise : « Avec ces saloperies d’exotablettes, mon malus augmentait à la moindre minute de retard, sans que je le remarque. Ensuite, avec la fatigue et les nerfs, j’ai commencé à mal me comporter avec les clients et les collègues. J’ai reçu des avertissements qui, évidemment, ce sont traduit en malus. Lorsque je me suis enfin intéressé à cette tablette, j’avais plus de 500 points malus (somme considérable, ndlr) à rembourser à l’entreprise ! J’ai fait des heures en plus mais comme cela me fatiguait, je continuais d’arriver en retard Je m’étais endetté, en quelque sorte et je n’arrivais plus à payer les traites».
Au bord du gouffre, Christelle a fait ce qu’une personne en situation d’endettement profond aurait fait : demander la charité à son patron.
« Au début, il était très correcte. Il effaçait un malus pour un petit retard si je me comportais bien dans la journée en faisant passer cela comme une prise d’initiative. Mais cela ne remboursait pas ou peu ce que je devais. Il a ensuite reçu des consignes de plus haut pour récupérer les malus en attente et, là, il a changé de méthode »
En effet, pour que le système marche, il faut que le malus soit « payé » par les agents. Il existe donc des systèmes d’alertes si un patron, trop gentil, laisse s’accumuler du malus dans son entreprise sans chercher à se le faire rembourser.
« Il m’a convoqué dans son bureau et m’a dit que faire des heures en plus ne marchait pas et que m’enlever des primes ne ferait qu’empirer ma situation suite à mon divorce. Il avait raison. Il m’a donc invité à dîner en me disant que ça lui faisait plaisir de me faire sortir pour me changer les idées et que cela me rembourserait 50 points de malus, en faisant passer cela comme un dîner de travail. Affaiblie mentalement, j’ai accepté. Et à ma grande surprise, le dîner c’est passé de manière très cordiale et correcte. Il n’a pas abusé de la situation et m’a raccompagné chez moi ».
Et le lendemain matin, Christelle avait effectivement 50 points de malus en moins sur son exotablette. Cet épisode c’est plutôt bien passé et l’a mise en confiance. Elle et son patron ont mangé encore quelques fois ensemble ce qui a fait grandement diminuer l’endettement malus de Christelle. Mais la situation s’est dégradée. Christelle nous raconte :
« Un matin, mon boss m’annonce qu’il doit réduire les ardoises de malus de la société, ordre du conseil d’administration, et que mon cas est compliqué car, à cause de mes enfants que je garde seule, je ne peux pas faire d’heures sup ou travailler le weekend, comme il l’a demandé aux autres. Lui-même ne pouvait plus m’emmener dîner plus souvent que ce que nous faisions déjà. Il me propose donc un marché : si je m’habille un peu plus sexy et l’allume pendant qu’il travaille, il fera passer cela en bonus d’efficacité. J’étais désespérée et en dépression J’ai accepté. Et je me suis vite prise au jeu car, pour la première fois depuis des mois, je faisais de nouveau attention à moi, me faisais belle et trouvais plaisir à voir les hommes se retourner sur mon passage. Au début, c’était parfait : je me rendais régulièrement dans son bureau pour lui apporter des dossiers et lui montrait mon décolleté en me penchant vers lui. Ou alors, je faisais exprès de faire tomber un dossier et me penchait pour le ramasser en lui exposant le haut de mes cuisses. »
Les tenues classiques de Christelle se sont aussi enrichies de vêtements de plus en plus sexy. Pantalons moulants laissant deviner son string, mini-jupe, tailleur décolleté, bas sexy apparaissant au moindre croisement de jambes, soutien-gorge en dentelles Tous les clichés de la secrétaire des films pornographiques étaient là.
« C’est moi qui est fait ensuite une connerie : dans l’ascenseur, je lui ai touché les fesses ! Je ne sais pas pourquoi j’ai fait cela Déjà, mon patron est un bel homme, charismatique et charmeur. J’adorais m’exposer devant lui et j’étais moi-même en manque de sexe Je n’avais eu aucun rapport depuis mon divorce ! Donc quand j’ai vu son petit cul juste devant moi dans l’ascenseur, j’ai craqué et je lui ai peloté ».
Et cela a été un élément déclencheur pour le patron de Christelle. Dès le lendemain, c’est lui qui lui caressait les fesses alors qu’elle l’aguichait à son bureau.
« Sa main a été comme un coup de foudre pour moi, mais pas du point de vue sentimental, uniquement du point de vue physique. Il m’a caressé la cuisse alors que je me penchais vers lui pour lui faire signer un document et il a remonté doucement sa main. Ce jour-là, je portais une mini-jupe, des bas et un string. Il a donc remonté le long de ma cuisse, a atteint la dentelle de mon bas, puis a continué de me caresser à même la peau en remontant vers les fesses. Sa main a ensuite englobé une de mes fesses et me la peloté délicatement.
— Et vous n’avez pas contesté ? C’est un attouchement sexuel caractérisé, pourtant
— J’aurais dû, je sais. Mais j’étais tellement excitée qu’au contraire, j’ai encouragé son geste. Alors qu’il me caressait les fesses, j’ai fermé les yeux et pousser un léger gémissement. Il a donc logiquement continué, je ne peux pas lui en vouloir
— Qu’a-t-il fait ensuite ?
— De son autre main il a ouvert un bouton de mon chemisier pour augmenter mon décolleté et avoir ainsi une vue imprenable sur mes seins. Et de son autre main, il est doucement passé de mes fesses vers mon sexe. Lorsque son doigt a effleuré ma vulve, j’ai tressaillis mais, encore une fois, je n’ai pas contesté et l’ai laissé faire. Depuis le début je sentais que je mouillais, excusez-moi l’expression, et que mon string commençait à être moite. Du coup, au moment où il m’a touché, il s’en est rendu compte et a souri. Son doigt insistait sur ma vulve et mon clitoris et il pouvait enfoncer la moitié de son doigt en moi tant mon string était trempé. Je n’avais qu’une envie, pour être honnête, c’était qu’il me saute sur son bureau ! Mais quelqu’un a frappé à la porte et nous nous sommes interrompus. Ma chemise était encore bien ouverte quand le collègue est rentré dans le bureau. J’étais rouge de honte ! »
A suivre…