Contrairement à ce que je pensais, papa m’a laissé tranquille toute la journée et j’ai apprécié car mon trou du cul était encore douloureux. J’attendais le soir avec un peu d’anxiété mélangée au désir de profiter de nouveau de sa superbe bite.

Mais papa est sorti tout seul en ville et je ne l’ai même pas entendu rentrer. Je me suis endormi immédiatement après une courte branlette en pensant à son sexe qui m’a si bien sodomisé le matin.

Le lendemain, je vois mon père sur le canapé lit, allongé sur le dos, nu et désirable. Sa grosse queue repose sur le côté de ses grosses couilles, le prépuce recouvrant son gland.

Je m’approche de son lit et je m’agenouille au bord. Pendant quelques secondes, je fixe sa queue. Peu importe combien de fois j’ai vu sa queue au cours des 48 dernières heures, je la trouve magnifique. Je l’attrape doucement et je la sens lourde dans ma main. Je la branle lentement, elle grossit et devient plus dure à chaque seconde qui passe. En un rien de temps elle se dresse fièrement au-dessus de son pubis.

Je me redresse un peu et tout doucement je lèche sa queue sur toute sa longueur, la mouillant de ma salive. Je la lèche encore et encore, savourant le plaisir que me donne sa bite toute dure contre ma langue. Ma langue suit l’une des veines qui va jusqu’à son gland maintenant découvert entouré de son prépuce roulé.

Je branle sa bite avec ma bouche en remontant son prépuce sur son gland pour le recouvrir partiellement avant de le redescendre. Sa queue se contracte doucement dans ma main.

De son méat entrouvert perle une goutte de liquide. Ça m’a l’air si délicieux que je place mes lèvres sur le bout de sa queue et j’aspire ce nectar comme une drogue dont je ne peux me passer. C’est si bon, si doux, si onctueux.

Mais je n’en ai pas assez, j’en veux plus de la crème à papa. Je lèche mes lèvres avant de replonger sur sa queue pour engloutir son beau gland dans ma bouche et je passe ma langue sur le dessous en effleurant son frein.

— Huuuummm…

Papa vient de gémir et je laisse son gland glisser hors de ma bouche. Levant mes yeux vers lui je constate qu’il est bien réveillé car il me regarde avec un grand sourire.

— Mon grand garçon ne peut plus se passer de la grosse bite à papa ?

Papa attrape sa queue et la pose sur ma bouche. En guise de réponse je la reprends dans ma bouche en le regardant.

— Tu es bien une petite salope, dit mon père en souriant

Au bout de 30 secondes, je relâche sa bite après avoir recueilli un peu de pré sperme et je la tapote avec ma main.

— A qui la faute. Comment ne pas avoir envie d’une si belle et bonne chose.

— OK fils, je te la redonnerai. Mais il est tard et il est temps d’aller se faire bronzer à la plage. Va chercher ton maillot de bain.

Papa et moi nous avons passé nos maillots de bain et nous avons attendu que son érection cesse avant de sortir du gite pour aller sur la plage.

La plage était belle. Ça fait longtemps que je n’ai pas été au bord de la mer. Il fait déjà très beau, le sable est fin, doux et chaud sous mes pieds alors que nous marchons pour trouver un endroit où nous installer. L’eau est bleu foncée et brille à perte de vue. Une brise légère venant de l’océan emporte l’odeur de l’eau salée. Sur la plage il y a déjà pas mal de monde.

Nous prenons un bon bain de soleil afin d’avoir une peau un peu moins pale et puis je demande à mon père.

— J’ai envie d’aller faire un tour. Tu m’accompagnes ?

— D’accord. Allons-y.

Nous allons près de l’eau. Nous nous promenons sans dire grand-chose en regardant les gens allongés sur le sable et après avoir marché pendant environ 10 minutes, il y a très peu de monde sur la plage.

Papa me montre les dunes et me suggère de monter vers elles.

Sous les pins et la végétation il fait plus doux et papa me pousse vers un coin entouré de hautes herbes. Je devine ce qu’il a envie car son slip de bain est déformé par sa queue qui grossit et s’allonge.

— Papa… des gens pourraient nous voir.

— Non, ils ne peuvent pas. Regarde autour de nous, nous pouvons à peine les voir d’ici. Ne fais pas trop de bruit.

Papa a raison. La majorité de la vue est bloquée par des touffes de végétation. Derrière moi, Papa a déjà enlevé son maillot de bain et son sexe a une belle érection.

— Bon dieu Marco ! Enlève ton maillot de bain. Grogne Papa, impatient.

Je retire vite fait mon slip et je lui demande comment il veut me baiser car je n’ai pas envie d’avoir du sable dans mes fesses.

— Mets-toi à quatre pattes. Je vais te baiser comme une chienne en chaleur.

Je me mets dans cette position et papa me met un doigt dans le cul après l’avoir humidifié dans sa bouche.

— Toujours aussi serré mais un peu plus souple que la première fois.

Me dit papa en se mettant à genoux derrière moi et pour la deuxième fois en 24 heures, il me bouffe le cul. Sa langue est mouillée qu’elle glisse facilement dans mon trou du cul qui se détend rapidement. Quel plaisir se faire lécher l’anus mais j’ai envie de sa queue. Lisant dans mes pensées papa me présente sa queue et comme la première fois, il la pousse vers ma bouche.

Enfin je vais pouvoir la sucer. J’en prends le plus possible dans ma bouche, la mouillant avec ma salive pendant que je la suce en passant ma langue dessus. Quand sa queue est suffisamment mouillée, il la sort de ma bouche et revient derrière moi. Il frotte sa queue de haut en bas sur mon anus et présentant son gland sur ma rosace il me dit.

— Prêt ? Tu la veux dans ton cul de chienne lubrique ?

— Ooohh, ouiiiii, papa. Baise-moi !

Son gland force mon anus et je gémis déjà, anticipant le plaisir que je vais avoir lorsqu’il va me pénétrer. Un petit coup de reins et son gland ouvre le chemin pour sa queue qui glisse en moi. Ça passe plus facilement que la première fois et c’est surtout moins douloureux. Je suppose que mon trou du cul s’habitue à être baisé par la grosse bite de mon pervers de père.

Papa continue d’enfoncer sa queue fermement et je l’ai rapidement toute entière en moi.

— Huuuummm, Papa…

Papa reste bien dans mes entrailles, au plus profond de mes fesses pendant un moment pour me permettre de laisser mon intestin et mon anus de s’ajuster à son monstre. Je le sens se retirer puis revenir avant de me baiser, lentement au début, mais en accélérant progressivement. À chaque poussée de ses hanches, son corps claque contre le mien et ses couilles frappent les miennes.

Nos gémissements et le bruit de nos corps m’excitent tout autant que la queue qui va-et-vient dans mon cul.

Je n’ai pas encore touché ma bite mais elle est très dure et ballotte entre mes cuisses. Sous les coups de bite violents de mon père, mon sexe se soulève et frappe mon ventre en laissant dessus des traces de mon pré sperme qui coule un peu de mon gland.

— Putain, Marco ! T’es encore incroyablement serré. Carine se relâche plus que toi quand je lui baise le cul !

Je me demande bien qui est cette Carine ? Probablement un transsexuel.

En tournant ma tête pour regarder mon père je vois qu’il prend vraiment plaisir à baiser son fils. Il me sourit et claque plusieurs fois mes fesses de ses mains.

— Tiens petite pute ! Ton cul sera un moins blanc.

Pendant qu’il continue de me défoncer l’anus, je saisi ma bite et je commence à me branler. Avec Papa qui me baise rudement en frappant ma prostate à chaque poussée, et excité comme je suis, je ne vais pas attendre longtemps avant de jouir. Papa aussi car il gémit.

— Marco… je ne vais pas tarder à jouir !

— Retiens-toi encore un peu !

Suppliai-je en secouant ma bite plus fort et plus vite.

— Petite salope ! Je vais essayer.

Papa ralentit un peu, essayant de retarder son orgasme pour que je puisse jouir. Je sens sa sueur couler sur mes fesses et cela m’excite un peu plus. Je continue de me branler fiévreusement car j’ai une putain d’envie de jouir et je sens ce fourmillement familier dans mon bas-ventre.

— Papa ! Ça vient !

— Moi aussi fiston !

Notre respiration devient irrégulière alors que nous approchons ensemble de l’orgasme. Papa m’encule le plus loin possible pour me combler et ma queue explose.

— Putain ! OUIIIIII !

Mon cul se crispe autour de la bite de mon père, augmentant les frictions, alors que je commence à jouir en envoyant mes giclées de sperme dans le sable sous moi. Cinq beaux jets de sperme sont sortis de ma bite et ont atterri dans le sable. Les jambes molles je m’effondre presque sous le plaisir de mon orgasme et le martèlement de Papa. Mais il me tient bien sous mes cuisses et lorsque je sors de ma jouissance je sens sa queue se gonfler encore plus et tressauter dans mon trou du cul.

— Oooohh, Marco… je viens !

Crie Papa d’une voix rauque.

Bien enfoncé en moi il jouit en envoyant son foutre incestueux aussi loin que possible dans mon intestin. Il halète et grogne à chaque pulsation de sa queue qui me remplit merveilleusement. Lorsqu’il reprend son souffle il sort sa queue de mon cul, me laissant vide, le cul dévasté et grand ouvert.

— Ton trou du cul est superbe lorsqu’il vient de se faire baiser !

Il insère un doigt dans mon cul et le fait bouger un peu.

— Que fais-tu papa ?

— Je ne sais pas. J’en avais envie.

Papa sort son doigt de mon cul et me le montre. Son doigt est couvert de son foutre qui coule de mon cul.

— Tu veux goûter, petite salope ?

L’idée de goûter le sperme qu’il a éjaculé dans mon cul me dégoûte un peu et m’excite en même temps. Et ne suis-je pas sa soumise, sa salope, sa pute…

Je hoche la tête et j’ouvre ma bouche. Je suce le doigt recouvert de sperme de Papa pour le nettoyer. J’aime le goût de son sperme sucré, mais cette fois, il a une légère saveur de plus. Celle de mon cul.

— C’est bon Fiston ?

— Tu n’as qu’à goûter papa.

Lui dis-je en plaisantant et en secouant mes fesses.

— Non merci. Je ne suis pas très porté sur ça.

Dit-il en se levant.

Je serre mes fesses et lui emboîte le pas. J’ai beau contracter mon fessier le sperme de Papa commence à couler sur mes cuisses.

Nous sommes sortis de notre petit coin et je me suis précipité dans l’eau pour laisser le foutre de papa s’écouler de mon trou du cul épanoui et me laver à l’eau de mer.

De retour dans notre location nous prenons une douche ensemble. J’’ai d’abord lavé mon père en savonnant son corps de haut en bas en passant plus de temps à nettoyer sa queue, en décalottant bien son gland pour qu’il soit tout propre. Quand j’ai fini, sa queue est de nouveau bien dure et brillante sous l’eau de la douche. Ensuite c’est papa qui me lave en insistant bien sur mon cul plein de mousse et en glissant ses doigts dedans.

— OOOoohh, papa !

— Tu aimes ça hein ? Tu aimes avoir quelque chose dans ton joli cul ?

Tout ce que je fais c’est de continuer à gémir de plaisir sous ses doigts qui fouillent mon petit trou sensible.

Mais papa n’a pas en tête de me baiser maintenant.

Ses doigts dans mon cul m’ont fait bander et c’est ce qu’il voulait. Il se met derrière moi, sa grosse queue pressée contre mon dos, et il attrape ma queue. Lentement, papa commence à me branler.

— Tu n’as pas une si grosse bite que moi mais c’est très agréable de l’avoir en main.

Il doit avoir beaucoup de pratique avec sa propre queue ou d’autres que la mienne car il fait ça très bien. Il me fait gémir de plaisir et dans sa main, mon sexe devient encore plus gros et plus dur.

— PAPA ! JE JOUIIIISSSSS !

Réussis-je à gueuler lorsque le premier jet de sperme sort de mon gland décalotté.

Papa continue de me branler en visant la vitre de la cabine de douche pendant que j’éjacule. Avec l’orgasme que j’ai eu sur la plage, je ne croyais pas jouir autant et il me restait encore un peu de sperme dans mes couilles, Personne ne m’a fait jouir aussi fort auparavant. Je me suis à moitié effondré au début de mon orgasme et papa me soutient pour continuer de caresser lentement ma bite afin d’extraire mes dernières gouttes de sperme. Mon prépuce va-et-vient sur mon gland me faisant tressaillir de plaisir à chaque fois.

— Alors, ma petite salope… heureuse ?

Dit Papa, lâchant finalement mon sexe qui tombe à moitié bandé contre mes couilles.

Tout ce que je peux faire c’est d’acquiescer de la tête

Quelle journée incroyable ! Je pourrais m’y habituer. Vraiment, c’est très excitant de se faire baiser au soleil.

A suivre

Phantome

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