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Vacances aux Canaris – Chapitre 1




Je n’oublierais jamais l’été dernier. Mon père m’avait promis un voyage si j’avais mon examen de fin d’année et je savais qu’il tiendrait parole. Et voilà, j’étais dans l’avion. Je revais déjà au iles lointaines tant convoitées pendant toute l’année.

Je venais d’avoir 19 ans et je n’avais jamais fait l’amour. J’esperais bien que ces quelques jours passés en solitaire me permettraient de vivre ce que toutes mes copines me racontaient depuis si longtemps. Mais un doute subsistait en moi : je voulais que l’homme qui me dépucelle soit un compagnon que je connaitrait plus de 5 minutes… Pourtant, je n’avais pas envie de passer à coté de quelquechose… Allez ! après tout, je verrais bien sur le moment ! Mes vacances se déroulèrent bien les premiers jours. Mon activité se limitait strictement au bronzage (étant blonde, mon but était de ressembler à une californienne le plus possible) Je prenais un plaisir immense à ignorer les mecs qui venaient me draguer. Non pas qu’ils ne me plaisaient pas, au contraire, mais c’était trop facile. Je m’étais imposée un peu de difficultée. Parfois, c’était vraiment difficile de ne pas ceder à la tentation. Voir des hanches d’homme entourées d’un slip qui faisait ressortir leur anatomie, parfois à quelque centimètres de ma bouche… Mais j’ai tenu bon ! Un soir, je marchais sur la promenade au bord de la plage lorsque je vis un jeune homme, d’environ 25 ans. Il était assis dans le sable et regardait la mer. Je pouvais distinguer un dos construit en ’V’, ce qui semblait indiquer une musculature assez harmonieuse. Je descendit sur le sable et marchais en sa direction. Il se releva et me regarda l’air un peu étonné. Il était brun, la peau assez foncée et des yeux à faire pâlir toutes les âmes sensibles. Il s’approcha de moi. J’étais sous le charme, je ne pouvais plus bouger.

Il me dit quelque mots à l’oreille mais c’était de l’espagnol et je ne le comprenait pas. Il me prit alors par la main et m’emmena vers les rochers. Le cadre était magique : La nuit noire et le reflet de la lune dans la mer. J’étais surexcitée; Il m’emmena entre deux rocs, sur une mini-plage au bord de l’eau, Instinctivement, je me suis agenouillée devant lui. Il fit de même et commenca à m’embrasser. Sa bouche était si douce que je ne pus l’empecher de longer mon corp jusqu’entre mes cuisses. Sa langue longue et chaude rentra en moi et je me liquiefiait de bonheur. Soudain, ses doigt essayèrent de rentrer. Il eu alors une hésitation. et s’arreta net. Il revint me dire quelque chose à l’oreille. Encore une fois, je ne comprenait pas. Mais il me fit vite deviner ce qu’il attendait et l’idée me séduit énormément. Il se releva et se tint debout devant moi. Il enleva son tee-shirt et dévoila un corps parfait. Je me mis alors à l’embrasser sur son torse et à lui lécher le ventre. Ma bouche descendait petit à petit lorsqu’elle atteint sa braguette. Je dégraphais alors son pantalon à une vitesse ahurissante. Son slip blanc jaillit du noir et ma bouche vint le lécher. On sentait à l’interieur un membre circoncis énorme mais encore mou. Il baissa son slip de lui-même et son sexe entra très lentement jusqu’au fond de ma gorge. Le va-et-vient de ma tête le faisait durcir de plus en plus. Soudain, il se pencha m’entrainant avec lui. J’étais maintenant alongée dans le sable, la tête bien calée entre ses cuisses. Tout son poid reposait maintenant sur mon visage et son sexe rentrait dans ma bouche de plus en plus profondément. C’est alors qu’il donna un coup sec. Mes mains essayèrent de l’empêcher de rentrer plus profond mais il était trop fort. Je sentis ma gorge me trahir. C’est comme si un barrage venait de ceder. Son sexe épais était maintenant enfoncé dans ma gorge au plus profond. Mes lèvres étaient distendues à la base de son sexe et j’avais le nez écrasé contre ses poils. À ce moment, il repris son va-et-vient à la différence que son sexe ne ressortait quasiement plus du tout de ma bouche. Je suffoquait et hoquetait, paniquée… Il me viola la bouche ainsi pendant au moins 10 longues minutes. Mes yeux pleuraient à cause de la pression exercée dans ma gorge. Mes mains tentaient vainement de le repousser tandis que mes oreilles parvenaient à entendre ses râles. Soudain, il se raidit. Il enfonca sa queue au maximum. Mon nez était écrasé, je ne pouvais plus respirer. Il me donna alors plusieurs coups de bassin. Mes lèvres distendues sentaient passer le sperme dans sa queue puis ma gorge fut remplie de ce liquide chaud. J’étais obligée d’avaler, tant bien que mal. Mais il ne se retira pas tout de suite. Il s’allongea sur moi, le temps de débander dans ma bouche. Je me surpris alors à jouir. Toute cette violence était parvenue à me faire jouir. je n’en revenais pas. Instinctivement, je continuais à sucer son sexe de plus en plus mou, esperant aspirer encore un peu de ce liquide chaud. Nous sommes resté ainsi pendant au moins deux heures. je me sentais bien, protégée par ce bouclier humain. Nous ne nous revimes jamais. Je rentrais à paris, toujours pucelle mais je savais maintenant que j’avais d’autres atouts.

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