Il ne fut pas difficile de terminer l’éducation de ce jeune mâle. Le soir même il dût réitérer ses exploits tout seul, sans conseils, devant nous. Nous le vîmes fendre la raie sans ménagement dès que ma femme fut sur le dos, puis lui remonter les jambes, les rabattre vers son corps pour relever le bassin et mieux plonger dans la chatte; puis il demanda à Germain de prendre du gel et d’en enduire le trou de balle  après qu’il se fût retiré du con. Pendant que Germain lubrifiait le trou de deux doigts et se masturbait, Henri astiquait aussi son membre vigoureux. Il présenta l’engin devant la rondelle après avoir fait mettre la femelle à genoux; le calibre de l’engin rendait toujours introduction un peu délicate même si maintenant le pétage de rondelle était devenu un classique et même à deux bites à la fois. Le temps de retrouver une certaine élasticité et le gros zob disparut dans les chairs. Solidement cramponné aux hanches, le petit salaud donnait de gigantesque coups de bite. Les muscles de son cul et de ses cuisses se tendaient sous l’effort et le spectacle étaient magnifique. Germain se rapprocha des oreilles de ma femme qui gémissait follement.

" Il est bon le chibre de mon petit black dans ton cul, hein salope ? Tu vas jouir ma belle truie ? Tu kiffes les gros nuds comme les nôtres" ?

Mais Germain ne s’autorisa que des paroles. Il attendit patiemment, la verge raide, dressée, superbe que le petit eût fini et quand ce dernier gicla sur les nichons, Germain sans délai prit la place. Il se lubrifia le nud sur le sperme dégoulinant des mamelles fermes et chaudes puis enconna ma femme sans ménagement de son braquemart de pur-sang. C’était toujours aussi impressionnant de le voir s’en servir et je ne me lassait pas d’assister à ces accouplements sauvages.

Les jours suivant, à chaque fois que Germain venait tirer sa crampe quotidienne, il était suivi de son stagiaire qui prit vite le pli et acquit une véritable dextérité dans le maniement de sa queue. Les parties à quatre furent nombreuses, ardentes, humides. Je me demandai comment ma femme faisait pour encaisser tout cela sans dégout mais la queue de Germain, triomphante, appelait sans cesse la chair à exulter.

Rapidement, Henri s’enhardit au point de venir lui même, seul, demander qu’on le soulageât. La première fois, il était un peu plus de midi. Germain avait dû s’absenter et Henri tout seul vint frapper à notre porte.

"Tiens, tu es tout seul" ?

— Oui, Germain est parti.

— Tu as besoin de quelque chose"?

-Ben, je me demandait, si c’était possible… enfin comme M. Germain….

-Quoi?

— Madame Anne-Sophie n’est pas là ?

— Si, qu’est-ce que tu lui veux ?

 Je le savais mais je m’amusais à le voir un peu embarrassé.

"Monsieur Germain, quand, il vient….euh, je sais pas comment dire…".

— Tu veux la sauter  ?

— Oui, enfin si ça ne dérange pas" ?

–  Chérie, Henri est là" .

— Qu’est-ce qu’il veut ?

 -Il parait qu’il ne peu plus se passer de toi.

— Vrai ?

— Sûr. Je crois qu’il bande déjà.

— Ok, j’arrive.

Il avait entendu. Je lui servis un verre en le priant de se foutre à poil, ce qu’il fit sans hésiter. Ce ne fut pas difficile, il avait juste un débardeur et un short.

Anne-Sophie vint et se mit à genoux pour le sucer puis la séance commença. Je les regardai faire. Il avait acquis de solides réflexes et il la démonta selon son désir. Ainsi pendant tout le reste de son séjour, il revint se faire vider les couilles à satiété. Il adorait la position dite du "cavalier à la barre" où la femme allongée lève une jambe et la colle contre le corps de son amant qui enjambe l’autre j et la pénètre très profondément et "l’offrande secrète" où la femme se met sur le côté, replie la jambe qui n’est pas sur le lit et laisse pénétrer son mâle. De sorte qu’au lieu d’avoir deux mâles habituels, elle en eut trois. Mais elle ne put tenir le rythme.

De plus, compte tenu que la baise se faisait sans capote, elle dut prendre la pilule ce qui arrivait rarement avec Germain car il préférait éjaculer sur ses gros lolos ou sur sa petite gueule de pute. Quand il s’oubliait à inonder le vagin , la pilule du lendemain faisait son effet.

Quand Henri retourna dans son pays nous reprîmes notre routine à trois, enfin presque. Ma libido avait changé. Je prenais presque plus de plaisir à regarder Germain monter ma femme qu’à me joindre à eux; Souvent je le regardais déployer son grand vit et la foutre dans toutes les positions en me branlant à côté. Il me vint aussi l’idée  de prendre des photos et, au fur et à mesure, je devins assez bon. J’achetai même un matériel adéquat pour prendre des gros plans.

Les jours où Germain ne venait pas tirer son coup  étaient rares. Parfois, trop fatiguée, Anne-Sophie lui disait non. Il n’insistait jamais. Mais nous pouvions aussi bien passer une soirée à trois sans baiser… mais c’était assez rare, il faut en convenir.

Je ne me lassais jamais de les voir s’accoupler. J’étais fasciné par la masse du pieu de Germain qui s’insérait pourtant partout et qui toujours dégageait un flot abondant de sperme. J’aimais les coups de bite violents qui secouaient le corps de ma femme et qui imprimait aux seins énormes et fermes une ondulation excitante. Il incarnait pour moi l’homme, le mâle, la puissance virile avec une sorte de force animale.

Mais Germain était nostalgique des plans à quatre. Il me demanda si je connaissais quelqu’un qui aurait pu se joindre à nous. Dans l’immédiat, je n’en vis pas mais au bout de quelques semaines, j’appris que Vincent, l’un de mes meilleurs potes, d’internat avait divorcé. Il est vrai que c’était un véritable Don Juan et je ne fut pas surpris que sa femme le quitte s’il avait été ce que sa réputation avait toujours soutenu. De commun accord avec Germain et Anne-So, nous l’invitâmes un week-end. Il arriva le vendredi soir. Nous ne lui avions rien dit de nos intentions.

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