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Un anniversaire inoubliable – Chapitre 7




L’interview de Raymond :

Pendant que mon épouse prenait sa douche, Raymond se rhabilla et je lui proposais de l’interviewer afin de recueillir ses impressions sur cette bonne partie de jambe en l’air.

"- Quand j’ai rencontré ta femme, Karine donc, nous étions en séminaire à Paris. Il y avait bien 200 personnes, mais je l’ai tout de suite repérée. Elle était toute jeune, mince mais pas maigre, avec un joli chemisier à fleurs et un tailleur strict qui mettait en valeur ses longues et fines jambes.

J’ai tout de suite flashé sur elle.

J’essayais de savoir qui elle était et m’approchais d’elle pour entamer la discussion.

Au 1er contact, j’ai su quelle était dans la même branche que moi et que nous pourrions travailler ensemble.

Elle a écrit mes coordonnées et pour cela, s’est penchée sur une table. J’ai pu admirer à travers son décolleté son soutien gorge aux bonnets un peu trop grand pour elle et donc j’ai pu lorgner longtemps sur ses seins et ses magnifiques tétons érigés. Je bandais comme un fou.

C’est ainsi que j’ai commencé à fantasmer sur elle.

Le soir, je me suis branlé comme un malade.

J’ai donc tout organisé pour que travaillons ensemble, en organisant des réunions à 2 où je pouvais la revoir seul. A chaque fois, elle venait avec un chemisier et un tailleur. Et on travaillait sur pleins de documents, l’obligeant à travailler debout et penchée en avant.

Donc j’ai souvent pu mater les petits seins de ta femme. J’ai même réussi à les prendre en photo en lui demandant de garder la position pour faire des photos nous représentant en plein travail. Ses seins sont en fond d’écran sur mon ordi perso.

Donc plus tard, nous avons donc réalisé notre audit en Angleterre ensemble où j’ai pu continuer à la voir de près et à me masturber en pensant à elle.

Par contre, j’ai essayé de la chauffer plusieurs fois, mais elle a toujours décliné."

— "il faut que tu saches" dis-je "qu’elle m’avait dit, à son retour d’Angleterre, que tu n’étais pas du tout son genre. Elle m’avait même dit que jamais elle ne te laisserait toucher son corps ni la baiser, que tu étais trop vieux pour elle et que tu n’étais pas son genre".

— "Ah ouais. N’empêche. Quel plaisir de pouvoir la baiser. Ça t’exciterait pas toi de pouvoir baiser ta collègue de bureau ? Moi, je fantasmais sans arrêt sur ta femme. Jamais je n’imaginais que je pourrais la baiser. Pourtant, le nombre de fois où je l’ai baisé, où je lui ai défoncé le cul, où je lui ai léché la chatte en rêve. Et là, tu me l’as offerte sur un plateau. Putain, ça me fait bien chier de savoir qu’elle ne voulait pas de moi. Vieux crouton qu’elle a dit. Putain, elle qui ne voulait pas baiser avec moi, je te lui ai défoncé la chatte avec mes mains puis son petit cul de salope. C’est vraiment qu’une pute ta femme. J’espère que t’as bien filmé ce que je lui ai mis. T’as vu ça. Elle voulait pas qu’un vieux la baise. elle faisait la sainte Nitouche : je veux pas que Raymond me touche, il est trop vieux. N’empêche que ma vieille queue l’a bien fait jouir. Et celle de Luigi aussi. Et maintenant, elle en redemande. Elle voudrait que le vieux Raymond et le vieux Luigi la baisent du matin au soir devant son mari. Elle a quand même bien pris son pied avec le vieux crouton.

Merde, elle voulait pas que je la touche. J’aurai du lui montrer qui était en train de la baiser quand elle jouissait. Cela lui aurait fait tout drôle de se retrouver face à son vieux collègue de bureau en train de la niquer.

— je ne pense pas que ce soit une bonne idée.

— Bon, Ça t’a bien excité, hein, de voir ta petite femme se faire prendre comme ça ?

— Oui. Je ne l’imaginais pas comme ça. D’ailleurs, elle n’était pas comme ça avant."

— tu t’es bien rincé l’il quand on l’a prise en sandwich. T’as fait des gros plans de nos 2 queues lui défonçant ses petits trous ?

— oui, tout est dans la boîte. Merci Raymond pour ta prestation. Allez, il faut que tu te sauves avant qu’elle ne sorte de la douche.

— OK. Merci pour ton invitation. Tu me réinvites quand tu veux. Et n’oublies pas de m’envoyer une copie des vidéos.

— oui. Mais pas de diffusion sur internet.

— Pas de soucis" me dit-il.

Sur ce, Raymond s’en alla, nous laissant seul.

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