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II – Plaisirs coupables – Chapitre 19




Florian et son frère, Xavier, sont attablés à la terrasse du restaurant.

Xavier, la petite quarantaine, ressemble assez à son frère, si ce n’est au niveau de la morphologie ; il est plus massif que Florian avec une taille inférieure d’une poignée de centimètres. D’un naturel joyeux, il aime beaucoup taquiner les gens, que ce soit ceux qu’il connaît comme des inconnus, mais sans jamais être méchant. Grand charmeur devant l’éternel, son sourire avenant et son visage agréable participent à mettre rapidement à l’aise tous ses interlocuteurs.

— Alors frangin, tu racontes quoi de beau depuis le temps ? demande Florian.

— Oh ben la routine, boulot, boulot, boulot et encore boulot ! Et toi ?

— Beaucoup de boulot aussi. T’as du temps libre un peu ou tu passes vraiment ta vie à bosser ?

— Oui, quand même, pourquoi ?

— Ben j’aurais besoin que tu viennes chez moi pour bricoler deux trois conneries.

Xavier est bien plus manuel que Florian, ce qui explique que ce dernier préfère s’adresser à lui quand il s’agit de faire du bricolage, d’autant plus qu’il aime ça.

— Tu fais des travaux chez toi ?

— Non, c’est juste que je vais bientôt rendre les clés et je veux arranger quelques petits détails histoire d’être sûr que le proprio ne me casse pas les couilles pour la caution.

— Ah tu déménages ? Où ça ?

— Je vais habiter chez ma nana.

Xavier tousse de surprise.

— Habiter chez ta nana ? T’as une gonzesse ?

— Ben ouais.

— Mais depuis quand ?

— Un peu plus de six mois.

— T’es sérieux ?

— Ben oui, ma foi ! C’est si incroyable que ça ?

— Disons que depuis pas mal de temps, tu nous avais plus habitués à collectionner les plans cul qu’à avoir une relation stable !

— Comme quoi, tout arrive.

— Tu l’as rencontré où ?

— À mon boulot.

— D’accord. Et tu

Soudain, Xavier se tait et fige son regard au loin.

— Qu’est-ce qui te prend ? s’enquiert Florian.

— Putain de merde, regarde le bolide qui se ramène ! dit-il dans un souffle.

Florian se retourne.

— Mais qu’est-ce qu’elle fait là ? se chuchote-t-il à lui-même.

— Rooooh le bloc que c’est ! rajoute Xavier.

Ce n’est autre que Jenny qui s’approche de la tablée avec un beau sourire ; Xavier est obnubilé par la belle brune et il ne la lâche pas du regard. Elle est vêtue d’un magnifique tailleur jupe bleu foncé qui détaille délicieusement ses hanches, ses jambes sont habillées de bas noirs transparents et ses cheveux sont tirés en arrière et rassemblés en une queue de cheval. Une paire de talons hauts, assortie à ses vêtements, complètent ce magnifique tableau. Rajoutons à tout ça une belle démarche féline et on comprend mieux pourquoi Xavier n’arrive pas à en détacher les yeux.

Arrivée près de la table, elle enlève ses lunettes de soleil.

— Bonjour ! lance-t-elle joyeusement en regardant d’abord Florian puis en posant ensuite ses yeux de biche joliment maquillés sur Xavier.

Ce dernier secoue brièvement la tête comme pour se sortir d’un état hypnotique puis gratifie Jenny d’un large sourire.

— Bonjour, mademoiselle, dit-il d’une voix mielleuse.

— Je croyais que tu devais manger avec l’avocat, demande Florian à sa petite amie.

— Je devais, mais le rendez-vous a été pas mal écourté.

— Ah bon, ça s’est pas bien passé ?

— Pas trop non, mais je t’expliquerai plus tard.

D’un coup d’il discret, mais insistant, Jenny pousse Florian à faire les présentations.

— Oh euh, oui, dit-il, alors Jenny, je te présente Xavier, mon grand frère. Xavier, voici Jenny, la fameuse petite amie dont je viens de te parler.

Xavier regarde son frère avec un air ahuri avant de poser de nouveau ses yeux sur Jenny.

— Enchanté de te connaître, Xavier ! lance Jenny avec un grand sourire en se penchant vers lui.

Elle lui fait la bise puis s’assied aux côtés de Florian.

Xavier a du mal à faire passer sa surprise et ses yeux font l’aller-retour entre Jenny et son frère.

— Oh, ça va ? s’inquiète Florian.

— Vous êtes ensemble ?

— Ben oui.

Il continue de les regarder, surtout Jenny à vrai dire.

— Je te crois pas. Embrassez-vous pour le prouver !

Jenny et Florian étouffent un rire avant de se plier à l’exigence de Xavier ; ils se font donc un petit smack rapide.

— Nan nan nan, c’est pas un vrai baiser ça !

— Bon, soupire Florian.

Il se tourne vers Jenny et le couple commence à s’échanger un baiser chaud et langoureux en n’hésitant pas à s’enlacer amoureusement. L’intensité de cette étreinte finit même par faire dévier vers eux les regards de quelques clients.

— C’est bon, ça ira ? demande Florian en se léchant les lèvres après ce baiser, tu veux peut-être qu’on nique sur la table aussi ?

— Euh non non, c’est bon. Ben enchanté Jenny, c’est un plaisir de te connaître aussi ! lui dit-il.

— C’est si étonnant que ton frère ait une nana ? l’interroge-t-elle, amusée par sa surprise.

— Et bien disons que ça fait bien longtemps que ce n’était pas arrivé, et encore moins avec une si belle femme !

— Oh, merci beaucoup, c’est très gentil, répond Jenny, flattée par ce compliment.

— À t’entendre, je ne me suis tapé que des cageots jusqu’à maintenant !

— Pas que, mais y en a eu quelques-uns. Mon frère a parfois des goûts douteux en termes de femmes ! dit-il à Jenny, un petit sourire moqueur aux lèvres.

— Des exemples ? lui demande-t-elle, les yeux brillants de curiosité.

— Monsieur s’est tapé une des pionnes de son bahut. Son seul atout, c’était son cul, mais pour le reste, bonjour l’angoisse Tu la croisais le lundi dans un couloir sombre, le vendredi, tu courrais encore !

— Mais n’importe quoi, marmonne Florian alors que Jenny pouffe de rire, tu remarqueras que mon frère a un sacré sens de l’exagération ! indique-t-il à sa petite amie.

— Tu vas quand même pas oser dire qu’elle était du même niveau que Jenny !

— Ah non, bien sûr, mais là on parle des années lycée, hein, à l’époque, mon but était de troncher dès que je le pouvais et j’étais moins sélectif qu’aujourd’hui.

— Ben heureusement que t’as rehaussé ton niveau d’exigence alors ! Et donc, vous travaillez ensemble tous les deux ?

— Oui, en fait, c’est ma patronne.

Xavier paraît une nouvelle fois étonné.

— Mais tu tu as changé de boulot ?

— Ben non, c’est toujours le même.

— Dans la boite de comm’, c’est ça ?

— Oui, pourquoi ?

— Ben jeeeeee

Xavier esquisse un petit sourire et fait papillonner son regard entre Jenny et Florian, comme s’il se tâtait à dire quelque chose.

— Bon, t’as fini de bégayer, on dirait un débile ! C’est quoi le problème ?

— Euuuuh ben j’ai le souvenir que tu m’avais dit que désolé Jenny hein, mais tu m’avais dit que ta patronne était une putain d’emmerdeuse.

Jenny ouvre de grands yeux en pivotant lentement vers Florian qui s’étrangle presque à cause de ce qu’a osé dire son frère.

— Euuuuuh, mais non non c’est c’est pas ça du tout chérie ! bégaie-t-il en se tournant vers Jenny qui le fusille du regard.

— Ah si si, Flo, tu m’as clairement dit que c’était une putain d’emmerdeuse ! confirme son frère.

— Mais ferme-là un peu toi ! grogne-t-il.

Jenny balance une claque appuyée sur l’épaule de Florian qui se tourne vers elle en s’écartant un peu, juste au cas où

— C’était au tout début, chérie, au tout début ! C’est vrai qu’à cette époque-là, t’étais une emmerdeuse.

Les lèvres pincées, Jenny ne lâche pas Florian de son regard noir et lui remet une tape sur l’épaule, le tout sous les yeux de Xavier, hilare.

— Toi-même tu as reconnu que t’étais chiante à l’époque, tu l’as toi-même dit ! insiste Florian.

— Et aujourd’hui, c’est bon, ça te convient ? demande-t-elle.

— Mais oui bébé, voyons !

— T’es sûr hein ? Sinon tu m’dis !

— Tu es parfaite, mon amour !

— Ouais ouais, c’est ça, rattrape-toi aux branches, dit-elle en esquissant un sourire.

— Remarque, il a aussi dit que tu étais canon, précise Xavier après avoir fini de rire.

— Et tu pouvais pas juste te contenter de dire ça ? Espèce d’enfoiré va ! peste Florian.

— Ah non, ça n’aurait pas été honnête !

— Faudra que tu viennes manger à la maison un de ces jours, j’ai l’impression que tu peux m’apprendre pas mal de choses, lance Jenny, le sourire aux lèvres.

— Avec plaisir, Jenny, j’ai des anecdotes plein ma besace !

— Bon, assez parlé de moi ! Et toi alors, personne en vue ? Il me semblait que tu m’avais parlé d’une nouvelle collègue de boulot soi-disant bien foutue, lui demande son frère.

— Tu bosses dans quoi ? le questionne Jenny.

— Je suis chef d’atelier dans un garage auto. D’ailleurs, si tu as le moindre souci avec ta voiture, n’hésite pas à m’appeler !

— C’est noté ! C’est toujours bien d’avoir un mécano dans ses connaissances.

— Bon, alors ? insiste Florian.

— Alors non, carrément pas ! En fait, j’étais en vacances et c’est un pote qui m’a prévenu qu’il y avait une nouvelle et qui m’a assuré qu’elle était canon.

— Et donc ?

— Ben c’était une connerie.

— Pas de nouvelle collègue ?

— Oh si, mais attention l’engin ! Même avec ta bite, je la touche pas !

Florian lève les yeux au ciel en ricanant, tout comme Jenny qui semble beaucoup apprécier l’humour piquant de son beau-frère.

— Voilà, donc tu remarqueras qu’au contraire de l’exagération, la finesse ne fait pas trop partie de ses habitudes, dit-il à Jenny.

— Et je suppose que tu vas dire que c’est toi qui as récupéré tout le stock de finesse, c’est ça ? lui demande-t-elle.

— Une partie seulement, le reste, c’est notre sur. D’ailleurs, t’as des nouvelles de Caro ? interroge-t-il son frère.

— Ouais, elle fait un road-trip en Amérique du Sud.

— Ah bon ? Toute seule ?

— Non, elle est avec Fifou.

— Mais je croyais qu’ils étaient plus ensemble.

— C’était le cas, mais ils se sont rabibochés, encore, et du coup, ils ont décidé de faire ce voyage en guise de retrouvailles.

— C’est pire que « les Feux de l’Amour » sa relation à elle, j’te jure

— Oh putain, faut que j’y aille, je suis à la bourre ! s’écrie soudain Xavier après avoir regardé l’heure.

— Déjà ?

— Ouais, désolé, mais j’ai une grosse inter’ à faire qui va me prendre des plombes donc je préfère m’y mettre le plus tôt possible. En tout cas, très heureux de t’avoir rencontré, Jenny, j’espère qu’on aura l’occasion de se revoir !

— J’espère aussi, s’exclame-t-elle, l’invitation à manger est valable sans condition de durée !

— Je ne manquerai pas de m’en souvenir ! Pour ton appart’, tu passeras au garage pour me filer les clés et m’expliquer ce que tu veux que je fasse, d’accord ? dit-il à son frère.

— Ça roule Xav’, j’essaierais de passer avant la fin de semaine.

— OK. Allez, bon aprèm’ !

Xavier prend congé, laissant Jenny et Florian finir le repas.

— Il est super cool ton frère ! dit-elle.

— Oui, même s’il est un peu fou-fou parfois.

— Moi, j’aime bien ! Vous vous ressemblez pas mal quand même.

— Oui, on nous le dit souvent.

— Pourquoi tu dois lui donner les clés de ton appart’ ?

— Pour qu’il vienne réparer deux trois trucs que j’aurai jamais le temps ni l’envie de faire. Tiens, puisqu’on en parle, je vais envoyer le préavis pour rendre mon appart’.

Jenny sourit et regarde Florian en silence.

— Tu sais que tu peux encore changer d’avis, lui dit-il.

Elle vient alors l’embrasser tendrement.

— Ça te va comme réponse ? lui chuchote-t-elle presque.

Il fait mine de réfléchir.

— Je pense que j’ai quand même besoin de quelques précisions…

Elle sourit et durant de longues secondes, ils ne se lâchent plus du regard.

Une serveuse vient alors interrompre leur jeu visuel.

— Vous avez fini ? leur demande-t-elle.

— Oui, on voudrait l’addition, s’il vous plaît, embraye immédiatement Jenny.

— Pas de dessert ou de café ?

— Non, ça ira.

— Bien. Vous pouvez venir au comptoir pour le paiement alors.

Ils se lèvent et prennent leurs affaires. Une sorte de frénésie s’empare alors d’eux car ils vont bel et bien prendre un dessert, mais ce dessert, ils ne vont pas pouvoir le déguster en plein milieu du restaurant, ça ne serait pas correct, et encore moins légal

Après avoir payé, ils se pressent de sortir et marchent rapidement jusqu’à arriver à l’entrée d’un parking souterrain dans lequel ils se faufilent. Ils descendent de quelques niveaux puis trottinent entre les voitures en se tenant la main ; ils finissent par s’arrêter entre deux véhicules, dans un endroit un peu à l’écart.

Jenny s’agenouille et déboutonne prestement le pantalon de son homme d’où elle sort une queue déjà bien formée ; elle glousse de contentement en commençant à la masturber tout en fixant Florian avec un regard qui, à lui seul, suffirait à faire péter la braguette de tout homme qui le croiserait.

— Hummmm, elle m’avait manqué, avoue-t-elle.

— Depuis hier soir tu veux dire ?

— Oui. Tu te rends compte, ça fait près de douze heures que je l’ai pas vu !

— Une éternité, en effet. Allez, suce-moi maintenant.

Elle sourit, puis ouvre son suçoir pour y enfourner le dard à présent rigide à souhait. Les lèvres humides de Jenny glissent parfaitement le long de la verge, de petites fossettes se creusent dans les joues de la belle suceuse qui aspirent le sexe tendu comme si elle voulait l’avaler.

Après quelques instants à admirer sa petite amie, Florian attrape une bonne poignée de ses cheveux et lui maintient fermement la tête. Il se met ensuite à aller et venir entre les lèvres serrées, de plus en plus vite et de plus en plus profondément.

Jenny, les yeux fermés et crispés, a passé ses mains autour des jambes de Florian et se maintient à ses cuisses pour subir les assauts qu’elle encaisse. Ses bruits de succion et les grognements de la jeune femme se font plus sonores à mesure que Florian accélère la cadence, puis il vient se placer entièrement en elle, lui maintenant la tête immobile.

Il sent son gland appuyer fermement au fond de la gorge de Jenny, sa langue chatouille la queue remplissant son gosier ; elle hoquette, plusieurs fois, retient des haut-le-cur et quand elle n’en peut vraiment plus, elle griffe les cuisses de son petit ami qui relâche immédiatement son étreinte.

Jenny a la tête comme expulsée par une force invisible, les yeux baignés de larmes et de longs filets de bave reliant encore ses lèvres à la queue congestionnée. Elle vient couper ces liens de sa main pour se remettre à la masturber. De la salive, qui s’écoule de ses lèvres luisantes, finit par venir s’écraser sur le béton grisâtre du parking.

— T’as voulu me tuer ? demande-t-elle avec un sourire obscène.

— Étouffée par une bite, y a pire comme mort, non ?

— Tant que c’est la tienne.

— Ma belle petite salope à moi, lâche Florian avec une pointe de tendresse dans la voix en lui caressant la joue du dos de la main.

— La petite salope est trempée donc si tu pouvais t’occuper d’elle.

— C’est vrai ça ? Montre-moi !

Florian attrape Jenny par le bras et la relève rapidement, puis il l’emmène derrière une voiture.

Il la bascule brutalement sur le hayon et remonte sa jupe. Il caresse les fesses de sa belle avant d’y lancer quelques gifles qui la font tressaillir. Il fait ensuite se faufiler sa main entre les cuisses bien écartées et il parcourt le tissu du string de ses doigts. Il constate que Jenny n’a pas menti, elle est bel et bien trempée, sa lingerie ne suffit pas à endiguer ce lâcher de cyprine qui vient aussi maquiller l’intérieur de ses cuisses.

Florian écarte le tissu et introduit deux de ses doigts ; Jenny pousse un long gémissement en cambrant un peu plus ses hanches, ses mains griffant la carrosserie de la voiture qui lui sert d’enclume.

— Ça t’a excité de bouffer ma queue, pas vrai ?

— Han hummmm oui oui mets-là moi, s’il te plaît je la veux, supplie-t-elle.

Florian attrape son sexe et en promène le bout sur les fesses de sa belle.

Jenny ronronne en sentant le gland poisseux lui caresser la peau et elle ne cesse de l’implorer de la prendre. Il retire alors ses doigts et vient lubrifier sa verge à l’aide de la cyprine récupérée dans l’antre en fusion, puis il fait glisser son gland dans le sillon interfessier jusqu’à sentir les lèvres entrouvertes entre lesquelles il vient coulisser.

Jenny pousse un long gémissement de satisfaction alors que Florian fait de même en commençant à la pénétrer, il la pilonne généreusement en lui mettant quelques gifles appuyées sur le cul. Même si à la base, Jenny n’est pas une fan absolue des fessées, elle a appris à aimer ça, car Florian sait choisir le bon moment pour la lui donner, et quel meilleur moment qu’une bonne baise dans un sous-sol qui résonne de leurs ébats !

Il attrape ensuite la queue de cheval de sa petite amie qu’il tire dans un mélange de douceur et de fermeté savamment dosé ; bien cramponné à sa jument, il appuie encore un peu plus ses assauts sur la croupe de Jenny qui fait son possible pour ne pas se mettre à crier.

C’est alors qu’un bruit de porte se fait entendre, puis des bruits de pas. Florian met sa main sur la bouche de Jenny et s’immobilise au plus profond de sa petite amie. Il se couche légèrement sur elle en continuant à faire doucement onduler son bassin ; Jenny gémit presque imperceptiblement dans la main de son homme qui voit, à quelques dizaines de mètres de là, un homme qui marche dans leur direction.

— Putain, j’espère qu’on n’est pas en train de baiser sur sa voiture, chuchote-t-il.

L’homme continue à avancer vers eux puis il bifurque à droite. Florian pousse un ouf de soulagement en le voyant grimper dans sa voiture qui n’est qu’à quelques mètres d’eux.

Une fois cet intrus parti, Florian reprend sa chevauchée en mettant les bouchées doubles. Jenny, tout comme le véhicule sur lequel elle est étalée, tremble des coups de boutoir ininterrompus, elle se mord les lèvres en s’efforçant tant bien que mal de garder un volume sonore raisonnable.

Florian pousse des râles de plus en plus rauques et après un ultime coup de reins, il se retire pour jouir lourdement sur le derrière rougi. Affalée sur le hayon, Jenny admire le visage de son homme en train de jouir en savourant la douce chaleur laissée par la semence qui inonde son épiderme.

— Étale bien tout ce que tu peux, histoire que ça n’imbibe pas trop ma jupe, lui dit-elle.

Après avoir fini de crachoter quelques gouttes de sperme qui atterrissent au sol, il se met à étaler son éjaculation sur la peau de sa belle à l’aide de son gland. Tel un peintre, il se sert de sa queue comme d’un pinceau pour lui barbouiller les fesses ; Jenny vient l’aider en récupérant quelques échantillons de sperme pour les porter à sa bouche.

Une fois rhabillés, ils lèvent le camp en lançant des rires complices et avec des sourires satisfaits imprimés sur leurs visages. Ils rejoignent ensuite leurs voitures respectives pour repartir travailler.

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