Histoires de baise Histoires érotiques Histoires gays

Découverte d'une nouvelle voie – Chapitre 1




Je me présente, je m’appelle Manon, je fait 1m65, j’ai les cheveux bruns et les yeux verts. J’ai des petits seins et un petit cul mais ils me conviennent très bien. Mes parents sont très croyant mais moi je ne l’ai jamais été. Ils ne veulent pas que je le fasse avant la mariage alors je leur dit que je suis toujours vierge mais ce n’est pas vrai.

Nous sommes vendredi soir, mes parents ont décidé de m’envoyer dans une communauté de surs pour me remettre sur le droit chemin. Nous partons tôt le samedi matin. Vers midi, nous sommes là-bas, c’est un vieux couvent perdu dans la nature. Mes parents me déposent et repartent.

Une sur nommé Sur Émilie vient à ma rencontre. Elle est jeune, je trouve. Elle m’amène jusqu’à ma chambre, puis au repas. Nous mangeons des pâtes avec une sauce à l’orange. C’est très silencieux car ces surs ont fait vux de silence et les invités doivent le faire aussi. Mais moi, je m’en fout un peu donc je leur posent des questions sur tout et rien. Dans l’après-midi, nous allons dans leur chapelle pour la messe. Je me trouve une place sympa vers l’arrière et je fais une sieste.

A mon réveil, je ne peux plus bouger. Mes poignets et mes chevilles sont attachés par des sangles. Je suis couchée sur un lit à un mètre de hauteur.

Je regarde autour de moi et je remarque que je suis complètement nue. Un groupe de surs arrive. Elles me font comprendre que je dois rester silencieuse sinon je serais punie. Je leur dit d’arrêter alors Sur Émilie me met une pince sur le téton, je hurle de douleur alors elle m’en met une deuxième. Elle me montre un panneau où c’est marqué "Silence", je retiens mes cris. Une autre sur s’approche de moi et commence à me masser la chatte. Elle tourne autour de mon vagin puis y rentre un doigt. Elle fait des va-et-vient puis, quand je commence à mouiller, en rentre un deuxième. Lorsque je commence à pousser des gémissements de plaisir, Émilie me remet une pince sur le téton. Je suis partagée entre le plaisir et la peur. Une sur se met à quatre pattes et pose sa langue chaude sur mon clitoris, je retiens un gémissement. Elle me lèche sensuellement, puis la rentre dans mon trou. Je n’en peux plus, l’orgasme me traverse et je pousse un long gémissement. On me rajoute encore deux pinces sur les seins. Elles me laissent me calmer puis accepte de m’enlever les nombreuses pinces, si je me tais. Elles me détachent puis me mettent une culotte dans laquelle est accroché un petit vibromasseur et l’enclenchent. Puis, elle me mettent une sorte de robe noir qu’elles portent toutes sauf que le mienne a des ouverture sous les seins pour qu’on puisse me mettre des pinces à tout moment.

Durant la soirée, elles me mettent encore plusieurs pinces. Quand je retourne dans ma chambre, je peux enfin enlever ces pinces et cette culotte, elle est toute mouillée et un filet de cyprine vient faire une tâche sur le sol de pierre quand je l’enlève. J’ai besoin de me détendre alors je ferme la porte à clé et je décide de reprendre le gode. Je descends doucement vers mon pubis et fais quelques tours autour de ma vulve puis je l’enfonce dans mon vagin. Je fais des va-et-vient lent puis jaccélère jusqu’à atteindre l’orgasme. Je pousse un râle de plaisir sans que personne ne m’en empêche, quel bonheur. Je range le gode, lave un peu mon intimité puis je vais me coucher.

Le lendemain, pour me punir des gémissements de la nuit, je me retrouve de nouveau attachée à ce lit. Une sur me met déjà une pince tandis que deux autres s’appliquent à me donner du plaisir. C’est efficace car j’ai rapidement de la peine à retenir mes cris. Les surs prennent un malin plaisir à me torturer comme ça pendant trois orgasmes. À la fin, mes seins sont enflés tellement ils ont eu de pinces.

Le reste de la journée se déroule sans trop d’événements, je me prends encore quelques pinces mais je commence à ne plus y faire gaffe.

Lundi matin, on me réveille tôt pour aller s’occuper des chèvres car les surs ont une ferme avec pleins d’animaux. Je suis accompagnée de deux jeunes femmes. Une fois arrivées à l’enclos, nous nous changeons car les robes ce n’est pas pratique pour travailler. Elles me donnent des habits usés. Pendant qu’on rassemble les chèvres, j’ouvre la discussion, je leur pose des questions sur leur choix, leur vie ici, etc… Je vois qu’elle sont gênées car elles devraient me mettre des pinces mais je vois qu’elles sont nouvelles et qu’elles n’osent pas, alors je continue. Pour finir, elle m’en mettent quand-même une mais cela ne marrête pas. En fin d’après-midi, nous rentrons au couvent, on me laisse tranquille jusqu’au repas du soir qui est vers 20h. Une fois ce bon repas fini, je vais me coucher.

Soudain, je me réveille. Il fait encore nuit. J’ai une pince sur chaque téton et je suis à nouveau attachée à ce lit. Les surs de hier ont dû expliquer que j’avais parler tout l’après-midi. Une sur joue avec mes seins pendant que autre me fait un cunnilingus. Sa langue tourne dans tout les sens à l’intérieur de mon vagin. Puis, elle descend un peu et vient poser sa langue sur mon anus. Je pousse un gémissement et on me met une nouvelle pince. Elle fait des tours sur ma rondelle et finit par y enfoncer sa langue chaude jusqu’au fond. Je pousse des râles de plaisir et les surs me rajoutent des pinces. Je gémis encore plus fort pendant qu’une autre m’enfile trois doigts dans la chatte. Peu de temps après, j’explose. Des spasmes me traversent et un jet de cyprine arrose le visage de la sur qui me doigtait. Les surs me laissent les pinces, me rhabillent et je retourne dans ma chambre. Il me reste que quelques heures de sommeil avant que le jour se lève.

Le lendemain se passe sans problèmes, on travaille avec des animaux presque toute la journée. Le soir, après le souper, je vais dans ma chambre. J’ai envie de me masturber, alors je prends le gode qu’elles m’avaient donné le premier jour et le pose sur ma chatte. Je tourne un peu puis l’enfonce gentiment dans ma vulve. Après quelques va-et-vient, j’enclenche la fonction vibreur, un spasme de bonheur me traverse mais je sens qu’il me manque quelque chose. Je prends les pinces qu’elles m’ont laissées et en met une sur chaque téton et sur le clitoris. Cela me procure du plaisir. Je ressors le vibro de ma chatte et l’approche de mon autre trou. Je décide de changer de position, je me mets au coin du lit et m’assieds sur le gode. Il rentre vraiment jusqu’au fond de mon anus. Je fais des aller-retours en me levant un peu et en masseyant le plus profond possible. Il me faut peu de temps avant d’avoir une suite d’orgasmes plus puissant les uns que les autres et d’inonder le sol de ma chambre. Je range un peu puis je vais me coucher.

Le reste de la semaine se passe bien, je me masturbe encore plusieurs fois, toujours avec des pinces à différents endroits.

Le samedi matin, mes parents reviennent me chercher. Ils me demandent si j’ai enfin trouvé mon chemin.

Je leur réponds que oui, le sadomasochisme.

Related posts

Soumise par mon fantasme – Chapitre 2

historiesexe

Marion ; une veuve, une maman – Chapitre 9

historiesexe

Un repas qui dérape – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .