Etudiante en 5èm année, en Erasmus en Espagne à Madrid, j’avais du mal les premiers jours à trouver mes repères.
Nous étions 6 dans une maison assez confortable, l’ambiance était bonne, chacune faisant un effort pour que les choses se passent au mieux.
Isabelle, avait réussi à nous faire inviter chez une de ses cousines qui fêtais ses 20 ans, sur les hauteurs de Madrid, une magnifique villa.
Une demeure de rêve, tout suivait, service, nourriture, boissons même trop abondantes.
La musique, thème rétro n’était pas pour me déplaire.
Je me sentais bien, je revenais à la vie, loin des miens, j’étais même très courtisée, ce qui me plaisait assez.
Je m’étais préparée avec tout le soin possible, un habillement assez sexy, une jupe longue fendue assez haut, assez moulante, un slip blanc sans couture, invisible, un top moulant, écrasant mes petits seins bien accrochés . Le tout couronné de chaussures à haut talons accentuant la cambrure de mes reins et faisant ressortir mes fesses rondes.
Je dansais avec un très bon cavalier qui savait y faire, il était sous le charme, je voyais dans ses yeux toute l’envie de moi qui était sienne. Il faisait sur la piste,de moi, tout ce qu’il voulait.
Parfois même, lors de certains mouvements de danse, je sentais son émoi grandissant. Ayant assez abusé de cocktails, mon cerveau était en ébullition, des envies de tout trottaient dans ma tête, je devais faire attention.
Les heures passant, toutes inconscientes d’avoir trop abusé, il nous devenait impossible de rentrer et il fallut bien se résoudre à dormir sur place, mais nous n’avions rien prévu pour la chose et nous étions trop nombreux.
Mon lascar connaissant bien les lieux, s’arrangea bien vite pour que nous partagions la même chambre, où, à cinq nous décidâmes de dormir, trois dans le lit et deux dans les fauteuils.
Dans le lit, j’étais au milieu, avec à ma gauche, mon cavalier et à ma droite Manuella, une jolie espagnole, cousine de notre hôte.
J’étais en slip et top, mon voisin en boxer et torse nu, ne pouvant faire autrement, n’ayant aucuns vêtements appropriés.
Dormant sur le côté, j’étais imbriquée à mon cavalier, et c’est sans problème que le sommeil nous gagna.
Vers 6 heures du matin, endormis, nous nous retournâmes le plus naturellement du monde et là, je ne sus que faire, mon voisin pointant son érection matinale sur mes fesses et ayant passé ses bras dans son sommeil autour de moi.
Des idées, de mauvaises idées trottaient dans mon esprit, je voulais cette tige prometteuse en moi.
Lui dormant, bandant sur moi, avec mon derrière, je fis tout pour entretenir son érection en me frottant insidieusement.
Je le sentais grossir encore, dormait-il réellement, je n’en étais plus sûre.
Lui aussi poussait pour exacerber nos envie.
Soudain, je sentis sa verge libre.
N’en pouvant plus, je me suis retournée et nez à nez avec lui, nous avons échangé un baiser.
La situation devenait jouissive, mon top relevé, mes seins contre son torse, sa verge qui se frotte sur mon ventre, je mouille comme une folle.
Nous devons rester discrets.
Je prends sa tige en main et le masturbe, lui, une main dans mon slip excite mon clitoris et recueille de mon jus qu’il goûte avec délectation.
Ca monte d’un cran.
J’écarte le fond de mon slip, je le guide en moi, je sens qu’il entre, je sens qu’il s’enfonce, je suis bien remplie, j’attends, je suis bien.
Lui petit à petit se met en route, il me lime, il m’embrasse, il agace les pointes de mes seins, je sens que ça va venir, je le sens lui aussi encore grossir, je lui dis qu’il peut rester en moi jusqu’au bout, que je veux le sentir exploser bien en moi, il explose en moi, je jouis en silence.
J’aime l’homme qui me remplit avec une grosse tige, se vide en moi, me donne son jus.
