Virginie était arrivée la veille, vendredi soir, vers 23 heures. Son oncle habitait une bien belle maison, de plain-pied, nommée « Le Domaine » avec un grand jardin dans lequel se trouvait une piscine. Une des portes donnait sur un petit studio de prise de vues et un laboratoire permettant le tirage sur papier, en grand format des prises de vues faites avec un appareil photo argentique ou numérique, réservé à son activité professionnelle elle était toujours fermée à clefs. En arrivant chez lui, il lui donna la chambre d’amis. Elle savait qu’elle allait devoir signer son contrat et la nuit elle ne dormit pas beaucoup, intriguée par ce qui allait se passer, et, surtout, comment cela allait se passer. Le samedi matin, pour le petit déjeuner elle arriva dans la salle à manger en portant un tee-shirt blanc et un jean. Pendant le repas il lui dit qu’elle l’avait toujours appelé Tonton Marc et vouvoyer, et que cela allait continuer ainsi. Puis, il lui parla de la raison de sa présence en ces lieux et l’emmena au bureau.
Sur le mur, derrière lui, se trouvait le tableau d’un modèle, nue, assise au milieu d’un canapé, sur le bord, dos et tête bien appuyés à l’assise et au dossier, jambes très écartées, mains posées à plat de part et d’autre du corps, vulve offerte, bien lisse, souriante regardant l’objectif. Dessous un petit cadre en laiton sur lequel était gravé, « Aline, 20 ans, en position d’attente 2017 . Virginie fut subjuguée, il lui expliqua, qu’il s’agissait d’un cadeau fait lors d’une séance de prises de vues. Il lui dit qu’il s’agissait de la position d’attente, à prendre sur simple demande et que si elle acceptait son contrat, elle aussi devra prendre cette pose. Il insista sur le fait que ses jambes devront être largement écartées et qu’elle devra bien voir sa vulve, bien lisse. Virginie attendait ainsi, debout, sur le côté de la table. Monsieur Marc lui proposa son contrat et lui dit qu’il s’agissait d’un contrat de soumission simplifié et adapté pour en faire une bonne cochonne. Elle dut se mettre nue pour le lire.
Elle se déshabilla, en suivant les indications données par son oncle. Elle commença par le bas, retira ses chaussures, ses socquettes, son jean, son string, et, enfin, son tee-shirt et soutient gorge, qu’elle dut lui donner tout de suite, dévoilant sa poitrine menue. Ces petits seins avaient des mamelons étroits et des tétons courts d’une jolie couleur rosée. Il lui dit que ces tétons étaient jolis, mais bien trop courts. Il lui demanda de s’approcher, ouvrit le tiroir de son bureau et en sortit une petite boite et lui dit, Virginie, il est temps de te poser tes anneaux de tétons, cela sera bien mieux sur la photo avec tes tétons plus longs. Il inséra un téton dans le petit tube de verre muni d’une poire, lorsqu’il pompa le téton fut aspiré dans le tube transparent, lorsqu’il jugea l’aspiration suffisante il fit glisser l’anneau en caoutchouc qui entourait le tube à la base du téton, relâcha la succion et retira le tube. Le téton resta tendu, bien serré à sa base, il fut procédé de même avec le second.
Ses tétons serrés étaient bien tendus et son excitation avait bien monté. Elle se tenait debout, nue devant lui, les tétons serrés bien tendus, ses aisselles étaient bien lisses, mais pas le reste il lui dit que cette toison, bien que blonde, devait disparaître immédiatement. Il la fit donc s’allonger sur le canapé ; pris le nécessaire et s’employa à la débarrasser de cette pilosité incongrue. Une fois que cela fut fait il la fit se relever et se tenir debout devant lui. Malgré ses jambes serrées sa fente qui montait haut sur son pubis légèrement bombé était bien visible, ses grandes lèvres un peu plates et ses épaisses petites lèvres assez longues en dépassaient un peu. Venant en au contrat, il disait : Moi, Virginie, demande d’être éduqué sexuellement par mon oncle et j’exprime mon désir d’apprendre à devenir une sacrée cochonne, comme ma mère. Pour cela j’accepte ce qui suit de rester bien lisse, que lors des périodes de cette éducation nommée « Les jeux » ma tenue sera une jupe écossaise dans les tons roses, s’ouvrant par devant ; sa coupe la faisant s’ouvrir lorsque je serai assise, un chemisier sans manches, col en V transparent, des petites chaussettes blanches, et des escarpins noirs, de me déshabiller, en commençant par le bas en premier, le haut après, pour me rhabiller cela sera l’inverse, de faire ma photo, dans la position d’attente, nue, assise au bord du canapé, jambes largement écartées et de bien faire voir ma vulve et en tenant le panonceau « Moi Virginie demande à être éduquée sexuellement par mon oncle ».
De ne plus porter que des jupes, ou robes, même en dehors des jeux, que lors de mes menstruations de n’utiliser que des tampons, de ne plus croiser mes jambes, en étant assise, et de les laisser toujours, au moins, entre-ouvertes, de tout dire de mes habitudes sexuelles, sur simple demande, soit de mon oncle ou à toutes autres personnes désignées par lui, de recevoir des anneaux de tétons en caoutchouc et de les porter régulièrement afin que mes tétons restent bien tendus, De devenir bisexuelle, de faire mon press-book, qui sera fait, dans des poses précises, habillée et nue, seule et en couple. Par la suite il sera enrichi de poses faites en couple avec un homme ou une femme, que des photos, et vidéos seront faites lors de mes rapports sexuels et ajoutées a mon press-book. J’accepte que mes compétences sexuelles y soient mentionnées par mon oncle, quun site soit créé et qui y sera publié mon press-book qui sera fait, dans des poses précises, habillée et nue, seule et avec une autre fille, que des photos, et vidéos, continueront d’être faites lors des rapports sexuels et ajoutées a mon press-book et que mes compétences sexuelles y soient mentionnées par mon oncle.
Son oncle précise les faits suivants ; je t’emmènerai dans des saunas, clubs échangistes, salon de massage et plages naturistes ceux-ci étant les seuls endroits où tu pourras être exhibée au public sans attirer l’attention. Cela me permettra de t’examiner, de vérifier ton niveau d’obéissance. Par la suite tu ne pourras plus utiliser de culotte ou string, donc tu me les donneras à ma demande, quand il te faudra porter un maillot de bain il devra mouler étroitement ton sexe et la forme des grandes et petites lèvres. Tu seras autorisée à porter le haut de ton bikini en portant tes anneaux de tétons, qu’ils soient bien dressés, tu peux accepter, ou refuser, de porter un collier en cuir rose, ceci n’a pour but que de tester ton aptitude à la soumission et tu peux le refuser librement, toutefois tu n’auras pas à m’appeler Maître, mais, Tonton Marc. Consentement : Par ma signature ci-dessous, moi, Virginie, je m’oblige à accepter et à obéir à toutes les règles édictées ci-dessus ainsi qu’à toutes autres qui seront ajoutées à une date ultérieure.
Je confie mon corps et mon âme, avec reconnaissance, à mon oncle, pour bien m’apprendre et me guider dans mes comportements sexuels pour devenir une sacrée cochonne comme ma mère. Date et signature de Virginie et de son oncle.
Virginie lut bien ce contrat, et dit, mais Tonton Marc, concernant le site, mes parents y auront accès aussi ? Il lui répondit, bien que les demandeurs seront filtrés, oui, ils y auront accès, ta mère tient à surveiller ton éducation, et alors ? Elle baissa la tête et dit, non rien Tonton Marc. Ce point éclairci elle signa près de la griffe de son oncle, bien obéissante elle accepta le collier. Dès le contrat signé il lui mit son collier en cuir rose, sur l’anneau en forme de cur pendait un médaillon, sur lequel était inscrit « Valérie, Apprentie de Tonton Marc, Le Domaine » – 2018 ». Il lui dit, viens au studio, Virginie, faire ta photo en position d’attente. Maintenant qu’elle était prête il la fit se positionner sur le canapé, avec des gestes très professionnels, fit quelques clichés.
Elle pensait qu’il allait se jeter sur elle, malgré la bosse qui déformait son pantalon, il n’en fit rien. Il s’approcha, lui caressa la vulve fraîchement rasée, lui dit que cela était parfait et qu’elle était bien douce, il l’embrassa sur la bouche. Sa photo faite il la fit revenir au bureau pour elle se rhabiller en lui disant que l’étape suivant sera son dépucelage. Elle dit, bien Tonton Marc, je suis à vous.