Je me nomme Gwendoline, je suis célibataire et jai 31 ans. Je mesure 1m70 pour 55 kg. J’ai les cheveux châtains et des yeux bleus. Après avoir été durant 7 ans secrétaire dans une agence bancaire, je suis depuis quelques semaines, et après une formation à notre direction régionale, conseillère financière.
A l’issue de cette formation, je suis pour six mois en stage pratique dans une importante agence située dans la région voisine.
Mon responsable d’agence pour ces six mois de stage se nomme Laurent. Il m’a bien accueillie, et « recommandée » par Paul, le chef de mon agence de rattachement, il m’a expliquée que sachant que je pouvais être coquine, mon stage allait bien se passer si bien que dès le premier jour, nous avons appris à mieux nous connaître pour mieux travailler ensemble
Les jours suivants, je suis rentrée dans le vif du sujet professionnelle avec Agathe ma tutrice.
Agathe est un peu plus âgée que moi, 36 ans, diplômée d’une école de commerce et divorcée sans enfant. C’est une belle femme qui est toujours tirée à quatre épingles et qui connaît bien les ficelles du métier …
Au bout d’un petit mois, nous avions ensemble traité un beau dossier et Agathe m’a proposée un petit resto le samedi soir. Et comme nous avions parlé à de nombreuses reprises de sport, elle m’a proposé d’aller faire un petit footing, de nous doucher et de nous changer chez elle avant de partir au resto.
Après 45 mn de footing, nous revenons chez elle.
Après avoir pris sa douche, elle me laisse la place dans sa salle de bain. Lorsqu’elle sort, je constate qu’elle est bien foutue un peu plus petite que moi, bien proportionnée et des seins qui se tiennent bien car siliconés avec un sexe parfaitement épilé.
Après un resto italien, nous sommes allées dans un petit bar où elle a l’habitude d’aller de temps en temps
Vers 1h du matin, nous décidons de rentrer. Agathe m’a gentiment proposé de passer la nuit chez elle. Une fois chez elle, Agathe me dit : « Sincèrement, tu me plais. Jai envie daller plus loin avec toi ! »
Je réponds : « Javais deviné cela rapidement, … »
Elle se hasarda à me prendre la main et madressa un sourire.
Elle memmène vers son salon, me prend dans ses bras et membrasse sur les lèvres. Je me laisse faire, car je crois que j’en ai autant l’envie qu’elle.
Après avoir ôté nos manteaux, elle déboutonne ma robe, et cette dernière glissant à mes pieds, j’apparais devant elle en soutien-gorge et petite culotte. Je déboutonne son chemisier et jôte son soutien-gorge. Nous nous caressons longuement, irrésistiblement.
Jôte complètement sa jupe et je massieds sur le canapé. Nous sommes bientôt complètement nues.
A genoux entre mes jambes, ses lèvres parcourent mon ventre et descendent jusqu’à ma fente.
Elle écarte ma petite culotte, je ferme les yeux et me laisse faire. Sa langue ne tarde pas à venir stimuler mon clitoris
Le plaisir monte vite. Je serre les mâchoires pour ne pas gémir et finalement … jexplose !
Me regardant droit dans les yeux, elle se redresse et enlève son soutien-gorge comme sa petite culotte. Elle s’allonge sur la table basse et expose face à moi ses jambes écartées comme une invitation. Je me mets à mon tour à genoux entre ses jambes. Très excitée, j’embrasse rapidement son bas ventre et arrive, comme attirée, sur ses lèvres intimes. Ma langue les titille, les écarte, s’insinue à l’intérieur, un peu puis un peu plus je remonte vers ses seins, son cou, ses lèvres l’effet ne se fait pas attendre, Agathe commence à gémir. Ma langue ne tarde pas à venir jouer avec son clitoris
Elle m’enserre de ses jambes, presque prête à vouloir me faire entrer en elle Je sens son plaisir monter. Elle se contracte et gémit, se laissant aller à sa jouissance.
Nous reprenons nos esprits. Elle me propose une nouvelle douche, que j’accepte.
C’est toutes les deux sous la douche que nous nous retrouvons.
L’eau chaude nous coulait dessus. Agathe ne tarda pas à m’embrasser alors que ses mains me savonnèrent. Les épaules, les seins, le ventre et plus bas mon intimité. Ses doigts s’attardèrent longuement sur cette partie de mon anatomie.
Le savonnage devint bientôt caresse. Mes jambes légèrement fléchies et écartées, sa langue joue avec la mienne et son autre main pince délicatement mes tétons successivement.
Son ponce titille de nouveau mon clitoris, ma bouche s’écarte de la sienne, je pince mes lèvres, je ne peux plus me retenir, mon plaisir monte, je me contracte en gémissant, en me laissant aller de nouveau à ma jouissance. Nous terminons cette douche et allons nous coucher, Agathe dans sa chambre et moi dans la chambre d’ami.
Le lendemain dimanche, nous avons pris le petit déjeuner ensemble, puis je suis rentrée chez moi.
