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Essais de call girl – Chapitre 3




Jai eu une excellente idée de quitter Mende pour Montpellier : mon affaire de call girl marche du feu de Dieu. Jai fidélisé quelques clients triés sur le volet, jen ai de nouveau. Mes journées sont bien remplies, mais fatigantes : pensez trois amants par jour, des fois quatre. Je ne men plains pas du tout, je fais du pèze, mon seul objectif. Certains gagne peu en étant vendeuse, dautres secrétaires, moi je fais travaille mes fesses. Je gagne plus que les autres. Mon rêve : trouver un beau mec qui vivent de ses rentes pour me promener sur la Costa Brava, les Antilles, le Brésil.Jai pu louer un bel appartement donnant sur la Place de la Comédie. Le numéro du portable commence à circuler. Il mest arrivé de me tromper dans mes RDV. Je fini toujours par arranger les donnes.

Jétais couchée avec, je crois Frank. Nous nous amusions à nous rendre les caresses. Il me touchait le dos, je le lui rendais, il me tripotait la rosace, je lui prenais la queue. Nous en étions à nous sucer. Jadore me faire lécher entre jambes. Quand une langue est sur mon pistil, je gémis pour jouir trop vite à mon gré. Jen étais justement là quand la sonnette interrompt mon début dorgasme. Vous je ne sais pas, moi, ça ménerve au possible, juste au moment de ce grand départ vers la petite mort. Mon amant me demandait de ne pas réponde, jaurais mieux fait de lécouter : lui aussi allait jouir en plus dans ma bouche, lextase pour moi. Tant pis, je reste nue pour ouvrir.

Un homme est là, un type que je ne connais pas du tout. Même pas un client, un rien du tout. Comme une idiote jouvre la porte pour le faire entrer. Il me suit dans la chambre où mon amant du moment attend, même sil a un peu débandé, il montre quand même sa virilité grandissante. Le nouveau venu voit lautre couché. Il me semble quil se réveille en voyant une queue, une grosse queue. Il va directement vers le lit, sassoit, prend la bite de mon amant de linstant.

Je proteste un peu, il sen fiche, il commence à branler mon type. Si en plus il fait mon boulot, je ne suis pas daccord du tout. Jallais protester quand celui qui ma payer pour tirer un coup me fait signe de me calmer. Il pense que ça fait parti de mes prestations. Après tout cest lui le payeur.

Spectacle bizarre pour moi ; un homme qui en branle un autre. Il le fait, il me semble mieux que moi. Et lautre qui se laisse masturber devant moi en plus. Il tient la queue dans les règles de lart, à pleine main. Il monte et descend régulièrement. On sent quil sait ce quil fait que ce nest pas sa première bite. Il fait durer le plaisir longtemps, plus que moi en tout cas. Je prends même une certaine leçon.

Je repense à la première bite mendoise que jai eue dans ma main. Jétais gênée, inexpérimentée. Mes va-et-vient étaient irréguliers, je le faisais pour faire plaisir à mon premier homme qui sentait un peu la vinasse. Il avait sorti sa queue de son pantalon en velours côtelé, devant moi, il me lavait donné à traire, il ny a pas dautres mots. Ses copains de la foire attendaient tranquillement que lai fini. A un moment jai dérapé sur la queue. Je ratais son gland complètement : il râlait en murmurant que jétais une incapable. Je le reprennant normalement : en deux coup il a giclé sur son pantalon. Il protestait à cause de son sperme égaré sur son beau froc !

Lautre continuait la masturbation. Cest quà force ça mexcitait. Nue, il métait facile de me caresser.

Jétais assise sur le lit, près de mon amant, je frottai lentement mon clitoris. Je sentais les odeurs particulières de la bite branlée et de mon con excité. Jaurais voulu prendre mon amant de rechange, un beau gode acheté la veille, servi deux fois seulement.

Mon client se laissait allait complètement vers lorgasme. Je ne servais plus à rien. Les femmes passent au second rang. Moi, je tiens à rester en tête. Il y a une autre bite, je vais men servir. Je moublie un moment, jarrive difficilement à sortir la queue du visiteur, en pensant « toi mon vieux tu va y avoir droit ». Personne na jamais résisté à ma main redoutable sur un sexe, même pas une fille, puisque je suis une call girl disons mixte.

Donc il branle mon client je le branle aussi, il ny a pas de raison. Il tente bien de me repousser. Mais dès que je lui touche le gland, il me laisse faire. Je ne lui descends la peau quavec deux doigts légers. Légers, mais redoutable. Le prépuce ne fait pas de résistance. Il va jusquen bas, au niveau des couilles pas encore remontées. Il monte avec mes doigts. Je recommence deux ou trois fois : la queue est bien raide. Son odeur durine mattire deplus en plus. Je ne résiste pas à appel du mâle. Je suis totalement penchée sur lui, je prends sa queue dans la bouche. Je peux la tenir à la base avec une main. Je la serre un peu avant de lavaler en partie. Son gland est doux entre mes lèvres. Ma bouche va et vient sur la bite. Je la sens vivre sous ma langue. Je sais quil ne va pas tarder à me donner sa semence. Je vais men régaler.

Il sest arrêter de branler son copain, il sintéresse à ce que le lui fait. Il tend sa queue vers moi : je suis obligée de me retirer un peu sinon jallais vomir. Et enfin il jouit. Il me tardait à cause de ma position inconfortable. Javale son jus totalement : il commence à débander.

Je reviens vers mon client qui lui bande toujours. Même sil se branle, je le veux. Ma bouche le prend, le lèche, le suce, laspire et enfin il décharge bien là où il faut. Il na pas le même gout, il est plus salé que lautre, cest meilleur. Je le déguste en entier pendant que lui aussi débande. Ah, si jen avais eu un autre..

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