Javais 28 ans, jhabitais un studio à Clichy, une grande pièce avec porte fenêtre donnant sur un petit balcon, une grande salle deau où jinstallais mon labo photo et une kitchenette dans un placard.

Ma demi-sur, fille dun premier lit de la seconde femme de mon père, de onze ans ma cadette vint un jour de Perpignan et me demanda de lhéberger. Jacceptais bien volontiers tout en lui faisant remarquer que je navais guère de place.

Elle avait bien changé depuis le temps que je ne lavais vue. Vivant avec ma mère je voyais surtout mon père aux vacances, lorsque jétais enfant. Mais je navais pratiquement plus vu ma sur depuis ses dix ans, sauf en coup de vent lorsque jétais allé en Espagne via Perpignan.

La toute jeune fille qui sonnait à ma porte, en fin daprès midi, était très jolie, pas très grande, la peau assez hâlée, les yeux plutôt verts, bien dessinés, les cheveux aux épaules, châtain avec des mèches plus claires. La bouche bien ourlée et souriante. Son visage me disait quelque chose mais je mis quelques secondes à la reconnaître. Il fallait effacer le souvenir de la gamine espiègle que javais un peu connue. Ce ne furent pas effusions, mais simplement embrassades et bavardages pour se reconnaître, ou tout simplement se connaître. Ce premier soir je travaillais de nuit, la dernière de ma période. Après un repas frugal parce quimprovisé, je la laissais seule et partais au boulot la tête un peu obsédée par limage de la presque inconnue qui avait partagé mon repas.

En rentrant vers sept heures et demie, je fis un peu de bruit qui la réveilla. Je lui proposais de déjeuner avec moi et lui annonçais que, crevé, dormant debout, jirais aussitôt me coucher. Elle me rétorqua:

– Pas de problème, il est un peu tôt, mais jaime bien me lever tôt et jai plein de trucs à faire dans Paris.

Elle se leva pour passer dans la salle deau et je vis quelle avait dormi nue. Elle passa devant moi très naturellement, sans ostentation particulière. Elle était toute bronzée mais ne devait pas faire de lintégral. Les traces du maillot deux pièces dessinaient de jolies formes blanches sur sa peau. En particulier de jolis petits seins pointus ou le mamelon tranchait en couleur sur le blanc laiteux de la peau, de belles fesses, bien blanches elles aussi, bien dessinées et une toison pubienne assez brune mais pas trop dense. Je mettais mon mouchoir sur mes réflexions, buvait un thé avec elle après quelle eut passé un peignoir, je pris une douche rapide et allais me coucher. Javais lhabitude de dormir nu également, mais pour la circonstance javais mis un Tee-shirt XXL. Jallais mallonger et dans un demi-sommeil je lentendis tirer la porte derrière elle.

Le soir, comme jétais en repos le lendemain, je linvitais dans une petite pizzeria en bas de chez moi. Nous prîmes un apéro et un peu de vin. Sans avoir trop mangé, après avoir beaucoup parlé, nous rentrâmes assez gais. Me déshabillant dans la salle deau et reprenant mon tee-shirt, je lui dis que nous serions contraint cette nuit, de partager le même lit.

Elle me répondit:

-Je le sais bien, mais tu es mon frère, non? Pour moi, il ny a pas de problème.

-Pour moi non plus. Sois tranquille.

Je lui tendais un tee-shirt de la même taille et elle partit dans la salle deau. Jallais mallonger dans le lit qui était assez grand et entrepris de lire un peu. Elle vint se coucher à coté de moi, côté mur, il navait pas de lampe de chevet de ce côté.

-Cest embêtant! Jaimerais bien lire un peu moi aussi, comment je fais?

-Pas de problème, je suis un peu fatigué, tu vas prendre mon côté et moi le tien.

Je me levais et faisais le tour alors quelle glissait sous la couette près de la lampe.

Jétais presque assoupi lorsquelle éteignit la lumière et sembla se rapprocher de moi. Il ne faisait pas froid. Sentir sa présence à mes cotés me réveilla complètement. Je me retournais vers elle. En fait, elle était allongée sur le dos, les bras le long du corps sous la couette, mais à me toucher. Dans la pénombre, je voyais ses yeux ouverts qui regardaient au plafond, son profil joli qui se découpait.

En me retournant, involontairement, sans y prendre garde, le tee-shirt était un peu remonté à ma taille et ma verge soudain dégagée se trouva au contact de sa peau, sa cuisse ou sa main, je ne pouvais le dire avec précision. Elle sembla ne pas sentir le contact et nesquissa aucun mouvement de retrait. Moi, par contre, réalisant la situation, je ne pus contrôler une érection qui simposa assez rapidement.

Par petites contractions, je faisais pression contre ce qui était sa cuisse ou le dos de sa main. Elle resta un temps sans réagir puis ses doigts sagitèrent et senroulèrent ou plutôt semparèrent de ma verge bandée. Elle me branlait doucement sans dire un mot, sans bouger le reste du corps, sans me regarder, les yeux toujours fixés vers le plafond. Enfin elle tourna son visage vers moi. Habitué à lobscurité je voyais ses yeux brillants. Japprochais mon visage, effleurais le sien, nos bouche se touchèrent puis souvrirent. Bouche très ouverte et langue agile, jallais trouver la sienne et visiter ce lieu excitant. Sa main se serra nettement sur ma verge. Stimulé, jallais chercher sous son tee-shirt, dune main, sa toison et son sillon. Pour descendre entre ses cuisses, je fis un peu pression, car elle gardait les jambes serrées. Je glissais franchement la main entre ses cuisses et les écartais doucement. Sur ma sollicitation insistante, après une courte résistance, elle les écarta finalement lentement mais très largement. Je pus ainsi commencer à visiter des doigts sa jeune chatte à loisir.

Je parcourrais dabord les grandes lèvres que jouvrais délicatement. Après avoir effleuré son prépuce, ce qui lui arracha un murmure, jencourageais son clitoris à se décalotter, Elle frissonnait et laissait échapper des grognements alors que nos langues semmêlaient. Bientôt je glissais très aisément un, puis deux doigts dans sa vulve chaude, qui était désormais bien mouillée dexcitation. Je me hissais sur un coude, la regardant dans la semi obscurité, tout en même temps je lui dis:

– Je ne suis pas raisonnable, Marie-Claire, un frère et une sur! Cest interdit! Cest de linceste! Mais je te trouve vachement attirante.

– Justement, dit elle, cest tabou! Mais cest très excitant, linterdit, limmoral! Le secret de famille!

– Cest ça qui texcite à ce point et qui te fait mouiller comme ça? Ta chatte est vraiment trempée, cest un plaisir de la visiter.

– Taimes ça? Jaime beaucoup tes caresses. Tu es très doux, et visiblement tu connais les femmes et même le sexe féminin. Et puis, tes pas mal comme mec! Je suis une femme avant dêtre ta sur.

Tout en parlant elle continuait à me branler.

– Tu mouilles vraiment beaucoup, jaimerais bien goûter ta liqueur, connaître ta saveur. Jai très envie de lécher ta chatte, tu veux bien?

– Tu ne vas pas me croire, mais cest la première fois quon me le fait! Je veux bien, jen ai bien envie, mais attends, ça tennuie si jallume la lumière? Jai très envie de te voir et de voir ce que tu fais.

– Oui, allume! Moi aussi jai envie de te voir. Je suis très voyeur et jaime bien regarder ce que je fais. Ça me plaît bien.

Je retournais la couette pour nous découvrir, jenlevais mon tee-shirt. Elle alluma la lampe de chevet et ôta également son tee-shirt. Je la contemplais nue, redressée sur ses avant bras, en attente, les jeunes seins blancs fermes, les petits mamelons hérissés, les cuisses désormais bien écartées sur ce triangle blanc et sa toison pubienne à peine fournie surmontant cette bouche rose pale et luisante qui mattirait tant. Je mallongeais entre ses jambes, écartais à deux mains les grandes lèvres de sa jeune chatte, jouvrais également doucement mais fermement les petites lèvres roses liserées, rouges foncés en haut et contemplais, béat, le joli puit rose, baignant dans une liqueur un peu blanche et crémeuse qui soffrait à moi. Cette vision était terriblement excitante.

Je ne pus résister à donner un coup de langue sur ses muqueuses liquéfiées, chargeant ma langue de sa liqueur. Elle eut un soupir. Jaidais alors, dun doigt dhorloger, le clitoris à se décapuchonner complètement et se dresser plus encore. Rose presque blanc, il se gonfla de vigueur et dénergie. Je le pris dans ma bouche alors que jenfonçais et faisais, doucement, aller et venir deux doigts trempés de son nectar, dans sa vulve. Tout en la suçant, jadmirais ses seins durcis, ses tétons bruns dressés sur ces petites collines laiteuses, ses yeux qui ne me lâchaient pas.

-Hoooo, cest bon! dit elle, cest super bon! Jaime! Tu aimes, toi?

Je répondais par un « Hon, hon » affirmatif, sans desserrer mes lèvres. Je respirais sa toison, son odeur qui avait rapidement anéanti celle du gel douche. Sa respiration à elle, était maintenant plus lourde, et des soupçons de râles lui échappaient.

Elle mit alors sa main droite sur ma nuque, glissant ses doigts dans mes cheveux. Mes doigts sagitant dans son fourreau sentaient ses sphincters les enserrer. Je frottais doucement mais consciencieusement son méat puis la partie ferme et légèrement râpeuse qui le suit en entrant dans son vagin. Elle avait mis les deux mains sur mes tempes et agitait ses doigts à la cadence des miens.

Elle me disait:

-Oui, oui, oh jaime! Tu me lèches super bien, cest bon! je n’ai pas encore rencontré de garçon qui lèche…

Je vis à ses yeux quand elle commençait à partir, et je le sentis à ses contractions. Jactivais encore plus mes succions et le frottement de ma langue, jaccentuais aussi un peu la pression de mes doigts. Elle poussa un râle rauque, puis deux autres moins forts, son corps fut arc bouté, cabré, secoué, tendant sa chatte vers moi, puis elle retomba et me demanda doucement darrêter de la lécher. Je gardais ma bouche ouverte sur son sexe épanoui, mes doigts toujours fichés en elle. Sa respiration était devenue plus calme. Son regard était brumeux, très émouvant. Reprenant doucement ses sens, elle me dit:

-Oh, la, la! Cest super bon! On ne me lavait jamais fait avant! Cétait génial! Quel pied! Ta langue et tes doigts! Tu es un expert! Vraiment super! Houou, cest bon! Cest violent! Jai vachement aimé!

Je dégageais mes doigts trempés, les léchais avec volupté, ramenais fermement ses jambes vers son torse et lui dit:

-Tu as mouillé très abondamment, ta chatte est encore pleine de liqueur, jai envie de la boire dans ta chatte.

Avant toute réplique, jenfonçais ma langue dans son vagin et lapais tout ce que je pouvais.

Elle se laissait faire avec ravissement. Enfin rassasié, je me redressais en lui disant:

-Merci, tu es succulente! Et très excitante!

Elle me regardait tendrement en souriant, puis avisant ma puissante érection:

– Et toi? Tu es toujours bien raide! Tu veux venir en moi? Tu peux, si tu veux, je prends la pilule tu sais!

Je lui dis:

– Non, laisse-toi aller. Récupère. On ne fait pas un troc. Ce nest pas orgasme contre orgasme. Jai eu énormément de plaisir à te lécher, à boire ta liqueur et à te sentir jouir. Tu es bien? Alors je suis bien.

– Oui je suis très bien, mais ce nest pas du troc. Jai envie aussi de te faire plaisir. Tu veux bien? Tu mas vue jouir, toi!

– Oui, bien sûr que je veux. Mais tu sais ce que je voudrais?

-Non, quoi?

-Que tu me suces!

-Ah bon? fit elle avec une petite moue, mais tu sais, jaime pas trop le goût du sperme, me répondit-elle

– Ah, tu vois! Nen parlons plus! Cest pas très important.

– Non, non, écoute, je veux bien essayer. Je ne suis pas une oie blanche, je lai déjà fait, mais

– Mais? Tu nas pas aimé? Ne mavale pas si tu naimes pas! Tu me recracheras dans un Kleenex, il y en a une boite là! OK? De toute façon je te préviendrai quand je vais jouir.

– Daccord! Si tu veux!

Je me redressais et je linvitais à se mettre à genoux. Je la regardais, nue à mes pieds. A la dérobée je contemplais notre image dans la glace murale, elle agenouillée, assise sur ses talons, les mains sur ses cuisses, ses jolis seins blancs pointus tranchants sur sa peau bronzée, le visage tendu vers moi comme on attend lhostie à la première communion. Elle était vraiment très excitante, très bandante. Moi, debout, la queue tendue vers son visage. Japprochais ma verge raide et gonflée de sa bouche, à toucher ses lèvres et, plongeant mon regard dans le sien, lui ordonnais:

– Ouvre grand ta bouche, que je te fourre ma bite! Comme ça! Suce ma belle! Suce ma bite! Avale ma queue! Pompe la! Jai les couilles pleines qui ne demandent quà se vider. Fais-moi gicler dans ta bouche!

Je lui retirais ses cheveux longs en arrière et contemplais son visage dencore jeune adolescente absorber doucement ma verge raide. Elle avait dans un premier temps, saisi ma queue dans une de ses mains et sactivait avec un réel talent. Je mexcitais à contempler sa bouche engloutir et ressortir, aspirer, suçoter et engloutir ma bite. De temps en temps, elle me relâchait et léchait au bout de mon gland, les larmes de sperme qui suintaient, comme on lèche une glace, puis me reprenait. La main gauche maintenant appuyée contre ma cuisse, elle caressait mes couilles gonflées de la main droite. Javais le sentiment quelle y prenait un réel plaisir. Souvent je croisais son regard qui cherchait le mien, pour mesurer la qualité de sa prestation. En levant les yeux elle avait presque un regard implorant, mais de fines pattes doie rendaient ses yeux gais. Je lui disais:

-Cest très bon! Continues comme ça! Suces ma queue, Marie! Tu pompes vraiment bien! Tes vachement excitante! Je narrive pas à croire que tu naimes pas ça! Moi, jaimerai te regarder pomper des dards comme tu me suces! Jaimerais bien te regarder sucer des mecs devant moi!

Je lui appuyais de temps en temps sur la nuque pour enfoncer mon gland jusquà sa glotte. Elle retenait alors son souffle pour me prendre jusquau fond de sa gorge. Puis elle me dégageait et se concentrait sur mon gland quelle tétait comme un veau tire sur le pis. Elle se montrait plus que docile, très active.

Je lui dis alors *:

– Tu suces divinement bien, petite sur! Probablement comme une professionnelle, ou une actrice de porno! Et te regarder sucer est super excitant. Une bite dans ta bouche, quel spectacle! Tes vraiment une sacrée pompeuse! Pour quelquun qui naime pas le sperme, ten as visiblement pompé déjà des bites! Des belles et grosses queues bien raides de mecs, hein! Et avec plaisir! Si ça se trouve cest toi qui prenait linitiative, nest ce pas? ils croyaient te forcer mais tu nattendais que ça! Taimes bien avoir une bite raide dans la bouche, hein! Et je suis sûr que taimes bien sentir le mec jouir dans ta bouche! Tu dois aimer sentir la bite tressaillir lorsquelle fait gicler sa crème! Tu aimes quand tu as la bouche pleine de foutre épais, hein!

Je contemplais son activité dans le miroir, ses jeunes seins durs à éclater piquaient presque mes genoux, et sa bouche qui sactivait.

Mes mots mexcitaient bien sûr, mais la stimulaient également à continuer de plus belle, quand je lui annonçais:

– Attention, mignonne, je vais venir! Je viens, Marie! Je vais gicler! Tu vas avoir la bouche pleine de mon foutre! Tes prête? Je-jeOhhh, ohhhh, ouiii, ouii, je jouiiiis!

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