Chapitre 5 : un après-midi champêtre
Toute la famille s’est réunie chez les grands-parents pour fêter leur anniversaire de mariage.
La veille au soir tout le monde s’est retrouvé dans la maison des grands-parents Pierre et Juliette.
Leur fils Eric avec sa femme Sylvie et eux-mêmes ont dormi au premier étage. Leur fille aînée, Annie ainsi que les enfants d’Eric et Sylvie, Béatrice et Marc, accompagné de sa petite amie Claude, ont, quant à eux, dormi au second étage. La nuit, au premier étage, a été assez mouvementée.
Le lendemain matin, Annie a initié ses neveux Marc et Béatrice aux joies du triolisme. L’après-midi, Sylvie et son fils Marc sont partis en voiture à la ville. (voir les chapitres précédents)
Comme ils l’avaient décidé à table, au cours du repas de midi, Eric le père, Béatrice sa fille, Claude l’amie de son fils Marc et Annie, sa soeur partent en promenade aux alentours de la demeure familiale.
Ils traversent la prairie en direction du petit bois, juste au bout. Dick, le chien de la maison, les a suivis et gambade autour du petit groupe. Annie marche devant, bavardant avec sa nièce Béatrice. Peut-être se remémorent-elles, leur matinée ! Eric et Claude les suivent à quelques pas. C’est la première fois qu’ils se rencontrent. Eric en profita pour faire plus ample connaissance avec Claude, l’amie de son fils.
Claude est une ravissante jeune fille, grande, blonde, élancée. Elle porte une jupe courte, taille basse. Son petit haut laissait découvrir sa taille fine. Sa peau dorée est le satin d’un écrin pour le joli bijou ornant son nombril. Son épaule gauche était tatouée d’un petit papillon. Bien qu’elle chausse des baskets pour mieux marcher, ses longues jambes fuselées sont parfaites, le mollet fin mais bien marqué. Sa voix, un peu rauque, (la cigarette?) ajoute à son charme.
Elle explique comment elle a rencontré Marc en septembre à la faculté, comment ils ont très vite sympathisé et sont devenus plus que des copains ! Eric dit qu’à sa place, il aurait sûrement succombé lui aussi ! Flattée, Claude sourit.
- ? Vous êtes ravissante et désirable en diable. Qui peut rester insensible à votre charme, Claude… Si j’avais encore l’âge, je me laisserai volontiers prendre dans vos filets ! ?
— ? Eric, vous me faites rougir. Vous avez un charme fou, vous aussi et je pense que les femmes n’y sont pas indifférentes ! Vous êtes réellement un bel homme et je suis sûre que peu doivent résister ! Mais que dirait votre femme si elle nous entendait ? ?
— ? Oh, mais rien du tout ! Nous sommes un couple très moderne et si nous avons une aventure extra conjugale nous nous la racontons en détail, le soir au lit. Ca nous émoustille et met du piment dans notre couple. Et puis, je ne sais pas si je dois vous le dire, mais nous avons un peu pratiqué l’échangisme. Surtout n’en dites rien à Marc, l’image de ses parents en prendrait un sacré coup ! ?
Tout en devisant, ils ont ralenti leur allure laissant Annie, Béatrice et le chien s’éloigner.
Subitement Eric s’arrête et saisit Claude par les épaules. Il penche légèrement la tête et dépose un baiser sur ses lèvres.
— ? Voilà, c’est fait, j’avais terriblement envie de vous embrasser. On peut se tutoyer ? Ce sera moins guindé. ?
— ? Euh, oui, si vous… Si tu veux !
Il recommence mais cette fois le baiser est bien plus long. Claude accepte ce baiser et s’abandonne. Ca n’en finit pas : leurs langues se cherchent, se caressent. Il la serre très fort contre lui. Il sent le bout de ses seins sur sa poitrine. Claude chancelle et se colle à lui. Eric empoigne ses fesses et les malaxe, sa main descend le long des jambes et remonte la jupe.
Il lui masse d’une main les seins et de l’autre les fesses écartant le string pour mieux lui toucher le cul. Il bande fort. Sa bite gonflée roule sur la cuisse de Claude qui a inséré une jambe entre celles d’Eric.
- ? Eric, ce n’est pas bien. Si ta fille se retourne que va-t-elle dire ? Et ta soeur ? ?
— ? Tais-toi, j’ai trop envie de toi, j’ai envie de te faire l’amour. Pas toi ?
— ? Si, mais… Les autres ?
— ? Viens, on va se mettre à l’écart. S’ils ne nous voient pas, ils penseront que nous sommes rentrés. Quant à Marc, Il n’en saura rien si tu sais te taire. ?
Ils entrent dans le petit bois. Eric a remonté le petit haut et tète les seins de Claude. Ils sont parfaits, fermes et souples à la fois, le mamelon bien dressé au centre de l’aréole dorée. Ils les soupèse et les fait rouler dans sa main.
Sous l’effet du plaisir, ils se laissent choir à terre. Eric relève la jupe de Claude et lui écarte les jambes. Elle rechigne un peu, gardant ses cuisses serrées. Il glisse une main sous ses fesses et lui caresse la raie. Son majeur touche l’anus et branle le petit trou par de doux va-et-vient. De l’autre, il tente à nouveau de lui écarter les cuisses.
Lorsqu’il y parvient une surprise de taille manque de le faire défaillir : une bite !
Il retire vivement sa main de l’entrecuisse de Claude. Dans sa tête, tout se bouscule. Claude, un garçon, un travesti ! Son fils Marc vit et couche avec un mec ! Il est abasourdi.
Et pourtant, c’était bien une fille qu’il a peloté. Putain, ces nibards ! Il n’a pas rêvé ! Et puis ce parfum, c’est bien celui d’une femme !
S’insinue peu à peu en lui la réalité. Il va réaliser un de ses fantasmes les plus refoulés, faire l’amour à une femme tout en sachant que c’est un homme.
Leurs regards se croisent. Claude scrute la réaction d’Eric. Elle est rassurée lorsqu’il prend la queue encore flasque entre ses doigts, la caresse et tripote ses couilles.
— ? Surpris ? Eh oui, je suis un mec, mais tu sais depuis mon enfance, dans ma tête, je me sens une fille ! Ma mère voulait une fille et elle m’a toujours éduquée en fille. A la maison je ne portais que des robes ! ?
— ? Pour une surprise, c’en est une belle ! Mais t’as beau être un mec, tu me fais toujours bander ! ?
— ? Tu vas voir, je vais être très tendre avec toi. Une vraie petite femelle ! ?
Eric se penche et prend la bite de Claude dans sa bouche. Il la suce longuement, comme il le fait du gros clitoris de sa femme. Mais cette fois c’est bien plus gros et commence à durcir. Il décalotte doucement le gland et fait tourner sa langue tout autour, insistant sur le filet. La bite, fine et longue, coiffée du gland tout rond, rouge vif s’enfonce dans la bouche d’Eric. Claude gémit sous la caresse. Il s’enhardit et à son tour, ouvre la braguette, dégage la queue d’Eric et commence à le branler.
Tête-bêche ils se sucent longuement, se tripotant les couilles, se caressant la raie du cul, le nez au niveau du petit trou. Eric enfonce un doigt dans le rectum puis un deuxième. Il lui branle le cul, forçant au passage l’anneau maintenant relâché et dilaté dans l’attente d’être défoncé.
— ? Je veux te prendre maintenant. Oh, Claude, il faut que je te foute ma queue dans le cul ! J’en crève d’envie ! Tu me baiseras après si tu veux, tu me la mettras dans le fion, mais il faut que je te prenne ! ?
— ? Je vais être ta petite femelle soumise. Encule-moi, bourre-moi le cul ! ?
— ? Tu fais pareil avec mon fils ? ?
— ? Oui ! Attends, prends-moi en levrette. Vas-y, défonce moi le cul. Jute dans mon cul, que je sente ton sperme au fond de mon trou !
Eric se positionne à genoux derrière Claude, écarte ses fesses, et présente sa bite devant l’anus ouvert. Il l’encule d’un coup, poussant sa queue jusqu’aux couilles. Une grimace de douleur marque le visage de Claude, puis la brûlure passée, elle se sent remplie par cette queue qui la ramone lentement. Elle sent le membre, chaud et raide qui vibre dans son cul, le gland qui lui dilate l’anus à chaque passage. Une chienne couverte par une mâle, voilà ce qu’elle est.
Soudain le plaisir monte et Eric éjacule dans le rectum. Il sent ses giclées de sperme tapisser la muqueuse, il défaille sous le plaisir, ses jambes ne le portent plus. Un dernier coup de rein et il s’affale de tout son long dans l’herbe. Claude, amoureusement prend dans sa bouche la bite de son ? beau-père ? et achève de le vider. Elle aime ça !
— ? C’est bien, petite sale, suce ! Nettoie bien ma queue ! Tu n’es qu’une petite chienne ! ?
— ? Oui, mon amour, insulte-moi, dis-moi des cochonneries, je le mérite. Je n’ai pas été sage et puis j’ai trompé le fils avec son papa ! Je suis une grosse dégueulasse ! Donne moi la fessée ! ?
— ? Tu aimes te faire fesser ? Attends, tu vas voir ! Tourne ton cul, petite dévergondée ! ?
Il entreprend alors de lui assener quelques claques sur les fesses, d’abord doucement, puis se prenant au jeu, de plus en plus fort. Claude a le cul tout rouge, mais se livre avec délectation à cette punition qu’elle juge méritée.
- ? Tiens, petite garce ! Tu as séduit le père de ton mec, tu as baisé avec lui sans vergogne, Salope ? ajoute-t-il en lui claquant une dernière fois le cul !
Remis de leurs émotions et enfin calmés, ils s’enlacent. Eric console sa ? belle-fille ?, la serrant contre lui en la cajolant.
- ? J’ai été trop sévère avec toi, Il faut me pardonner. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai éprouvé du plaisir à te battre. Tu sais, je suis un peu pervers. ?
— ? Mais non ! J’aime bien être brutalisée. Si tu veux, un jour je te ferai partager le plaisir sado-maso dans une boite que je fréquente avec ton fils. Sûr, que tu prendras ton pied ! En attendant, tu veux pas que je te fasse l’amour ? ?
— ? Je ne sais pas ! J’ai jamais été pris par une vraie bite. Hier soir, ma femme m’a enculé avec un gode, mais une vraie queue, bien raide et chaude… ?
— ? Laisse toi faire mon chéri. Je serai très douce, tu verras. ?
Claude agenouillée devant Eric, allongé sur le dos, lui relève les jambes et les fait passer sur ses épaules. Elle a devant elle, son ? beau-père ?, exposant son cul, sa grosse bite toute molle reposant sur les couilles. Claude admire l’anus et se penche pour sucer puis lécher copieusement ce petit trou, y déposant de la salive pour le rendre plus souple. Elle agrippe Eric par les mollets et s’enfonce dans l’anus d’une poussée continue. Celui-ci céde facilement et Claude lime le cul sans ménagement. Eric se tripatouille la queue, faisant aller et venir le prépuce pour se branler mais avec la queue dans le cul, il a du mal à bander.
— ? Tu sais, comme ça, tu es une vraie fiote ! Elle le sait ta femme ? Tu vas tout lui raconter ? ?
— ? Oh, Claude, continue, t’arrête pas, encule-moi, bourre-moi le cul ! Je ne suis qu’un gros cochon ! ?
Eric aperçoit sa soeur et Béatrice qui reviennent sur leurs pas. Il est trop tard, elles les ont sûrement vus. Ne sachant que faire, Eric décide de se taire. De toute façon il est cloué comme une chouette !
C’est Béatrice qui la première aperçoit, éberluée, le spectacle : Claude, un travelo ! Et qui tronche son père ! Annie, elle aussi surprise, prend Béatrice dans ses bras pour la détourner de ce spectacle.
- ? Oh ma chérie, ton père se faisant baiser par un travelo ! Je n’aurai jamais cru qu’il soit aussi dégueulasse et en plus là, devant sa fille. Putain quel salaud. Et toi Eric tu pourrais dire quelque chose, non, au lieu de te faire limer, vieux dégoûtant ! Ca me répugnerait presque de regarder ça. Mais c’est qu’elle jouit la petite Claude. Regarde Béatrice, elle a le masque du plaisir, elle va jouir ! Regarde cette petite salope, elle se vide les couilles dans le cul de ton père !
Claude vient d’éjaculer au fond du rectum d’Eric. Elle a lâché un sacré paquet de jute ! Putain, que c’était bon ! Elle sort son membre tout gluant et va se faire nettoyer l’attirail par Eric. Sans rechigner, sous les yeux de sa fille et de sa soeur, il suce consciencieusement, tout en continuant de se tripoter la bite.
- ? Ne sois pas choquée, Béa, je suis ton papa, mais tu sais avec ta maman on aime bien les choses du sexe, un peu sales, même ! Au début, j’ai cru que Claude était vraiment une fille et je me suis laissé aller, c’est tout ! Tu sais, elle est très belle, Claude ! Et ton frère a de la chance de vivre avec elle ! Viens l’embrasser, soyez amies, toutes les deux.
La jeune fille ne répond pas et ne résiste pas lorsque sa tante l’embrasse tendrement puis la pousse vers Claude, toujours nu, sa bite pendant maintenant entre ses jambes.
- ? Mon frère a raison, Claude, tu es vraiment ? beau ? ou plutôt ? belle ?. Enfin je sais pas comment dire, mais ça n’a pas d’importance.
Annie s’avance et, profondément, glisse sa langue dans la bouche de Claude. Elle lui roule un patin en lui touchant la bite.
Eric et Claude se rhabillent. Ils sont, là, tous les quatre, bavardant comme si rien ne s’était passé.
— On continue ? Demande Annie d’une voix coquine…