Ludovic et Vincent.
Eté 2003. Alors que je revenais tout juste de Bordeaux et que je tentais de renouer des liens avec ma mère, je dois avouer que le quartier dans lequel elle sétait installée me plaisait beaucoup. Les après-midi et les soirs, nous étions une vingtaine de gamins du coin à se rassembler afin de discuter, rigoler, chahuter, boire, fumer. Bref, nous tuons le temps comme on pouvait et à force de traîner ensemble, il était clair que nous avions formé un groupe soudé. Dans cette bande, plusieurs garçons me tapaient dans lil et mon homosexualité était un secret pour personne. Aucun mec de cette bande ne cherchait à méviter et cétait une attention qui me touchait beaucoup.
Jétais vraiment accepté tel que jétais et cette appréciation me changeait beaucoup de mes années de collège et de lycée où jétais la risée de tous et les amitiés difficiles. Parmi ce groupe, plusieurs garçons retenaient mon attention : Ludovic, Vincent, Alexandre, Kévin, Nicolas, Joris, Eddie et Jeremy. Pour ceux et celles qui lisent mes histoires, vous voyez très bien de qui je parle lorsque jévoque le prénom du dernier. Il marrivait parfois davouer ouvertement quels étaient les garçons qui avaient vraiment ma préférence et les copines étaient les premières à le savoir. A cette époque, je métais toujours dit que je voulais une histoire sérieuse avec Joris et juste du cul avec Jeremy.
Concernant le premier, je nai jamais pu me le faire à mon grand regret mais quand je le croise dans la rue de temps en temps, je ne regrette rien. Alors que je ne change pas trop physiquement, Joris sétait considérablement enlaidit et forcément, cela ne laidait pas à se faire des conquêtes. Par contre, pour Jeremy, notre amitié a évolué en histoire de cul puis, en histoire de couple. Là encore, aucun regret. Néanmoins, avant que notre histoire bifurque sur une voie plus sérieuse, nous formions un couple plutôt libéré et en attendant que monsieur se décide pour aller plus loin, jétais bien décidé à charmer certains pour mébattre avec eux le temps dun soir.
Dailleurs, je fus très étonné dapprendre par une amie que Ludovic était devenu bisexuel. Ce garçon, je le connaissais depuis un sacré moment puisque cela remonte au temps où nous étions collégiens.
Jétais en train de refaire ma cinquième lorsque mon cur se mit à battre pour Cyril, un petit sixième que je trouvais fort mignon. Malgré mes nombreuses tentatives pour lui faire comprendre quil ne me laissait pas indifférent, mon audace ne trouva pas le résultat espéré. Au contraire, en agissant de cette façon, jai nuancé mon ciel collégial avec des teintes sombres.
Alors que jignorais encore cet horizon qui se profilait au loin, jai pu faire la connaissance de certains camarades de classes de Cyril et Ludovic figurait parmi ces derniers. Dès que mes lendemains de collégien changèrent négativement, le deuxième garçon fit parti de ceux qui samusaient à se moquer de moi. En lespace de quelques mois, jétais devenu le sale pédé qui fallait corriger sans être inquiété de la moindre remontrance venant dun quelconque adulte. Au bout de quelques mois, je ne croisais plus Ludovic dans la cour du collège et comme il était devenu quasi-insignifiant à mes yeux, je ne men étais pas aperçu. A la fin de ma troisième, un changement de bahut était devenu la solution pour mettre un terme au calvaire que je subissais.
Le matin de mon arrivée dans ce nouveau collège, je fis mes premiers pas dans la cour de récréation lorsque je vis Ludovic à quelques mètres plus loin. De tous les bahuts qui se situaient dans ce département, il a fallu que mes pieds me portent ici. Très vite, jétais persuadé que la mauvaise réputation faite par Ludovic auparavant allait recommencer et je ne métais pas trompé. Néanmoins, au lieu de subir comme la première fois, jai jugé quil était temps dagir pour contrer les plans machiavéliques de ce petit con. Un début daprès-midi, alors que je le croise à lentrée des toilettes, je lentendis me traiter de sale pédé.
Très vite, je le pris par le bras, lentraînant dans cet endroit puant lurine et je me fis un petit plaisir en lui défonçant sa gueule avec une petite menace à la prime. Si jamais je devais lentendre me nommer ainsi au détour dun couloir, je nhésiterai pas à recommencer. Une fois mon avertissement donné, je déserte les toilettes pour retourner à mes occupations habituelles. Durant les jours qui suivirent celui-ci, pas une seule rumeur dhomosexualité ou dautres choses ne circula à mon propos. A cette constatation, jétais convaincu de lefficacité des épreuves de forces et même si je déteste me montrer violent, jétais plutôt content de moi.
Apprendre quil était bisexuel alors que plusieurs années auparavant, il était le premier à pointer la différence des autres me paraissait trop beau pour être vrai. De plus, je ne le trouvais pas repoussant. Il était plus grand que moi, très maigre, avait des yeux marron et une chevelure rousse et courte tandis que son teint était extrêmement blanc. Non, Ludovic nétait pas un vilain garçon, bien au contraire. Maintenant, restait à savoir si jallais pouvoir mamuser sexuellement avec lui et dailleurs, le meilleur moyen de le savoir est de saisir loccasion lorsquelle se présentera.
Et cest ce qui se passa lors dune soirée. Alexandre, Vincent, mon frère et moi étions installés sur la banquette de la caravane dans laquelle dormait Ludovic. Comme il habitait dans la ville à côté, il était plus pratique pour lui de dormir sur place en demandant à son père de lui confier sa caravane qui fut installée sur la propriété de sa grand-mère. Alors quon fumait joint sur joint, mon cadet avait lidée den rouler un mais avec un filtre de menthol. Comme je fumais des royal à cette époque, je lui tendis une clope bien volontiers et quelques secondes plus tard, voilà que létrange cigarette tourna autour de la table.
Cependant, alors que les garçons se vantaient de la curiosité du goût auparavant, le joint ne restait pas très longtemps dans leur main. Du coup, il arriva très vite dans la mienne et je me suis fit un petit plaisir de le fumer entièrement puisque personne ne voulait retenter lexpérience. Forcément, une fois que le carton reposait dans le cendrier, je nétais plus vraiment dans mon état normal et peu à peu, la caravane devient plus calme puisque Alexandre et mon frère nous quitta. Désormais, jétais seul avec le joli Vincent et notre hôte. Pour profiter pleinement du moment présent et continuer à me détendre au maximum, jécoutai de la musique grâce à mon baladeur cd que javais emmené avec moi.
Me voyant faire, le plus jeune des deux garçons me demanda ce que jécoutais et aussitôt la réponse connue, il voulait savoir sil y avait moyen que je lui prête. Comme je le trouvais très mignon, je ne voyais pas pourquoi jallais refuser et cest gentiment que je lui passe mon baladeur. Du haut de son mètre quatre-vingt, Vincent sallonge sur la banquette et enfonça les écouteurs dans ses oreilles. Tout dabord, il faut croire que les garçons de sa famille sont tous beaux.
Si je dis ça, cest parce que Vincent est le cousin dAlexandre, le grand frère de lun de mes derniers partenaires : Mickaël. Toutefois, les garçons ne se ressemblent pas vraiment puisque le premier est le seul à avoir les cheveux clairs. Certes, Il a un teint un peu bronzé mais sa peau reste plutôt claire par rapport aux deux autres membres de sa famille. Ses yeux sont verts et je dois avouer que cest un garçon particulièrement sympa. Alors que Vincent continue découter la musique, voilà que Ludovic se lance dans une certaine conversation.
– Jimagine que tu as su concernant ma sexualité ?
– Si tu veux parler de ta bisexualité, ma réponse est oui.
Pourquoi me disait-il ça ? Sa préférence sexuelle ne suffisait pas à en faire tout un sujet de conversation à moins que monsieur avait une idée derrière la tête. Ensuite, la curiosité sur son habitation plutôt originale séveilla et je ne me privai pas pour lui en parler.
– Comment se fait-il que tu dormes dans cette caravane alors que ta grand-mère aurait pu te confier une chambre ?
– Pour être libre de recevoir qui je veux. Dailleurs, je dois regarder un truc.
Peu après, Ludovic se lève de sa banquette et va se poster devant un petit meuble qui se situe près de son siège. Très vite, il ouvre la porte, prend un carton coloré et lorsquil retrouve sa place, je me rends compte que lobjet quil tient dans ses mains nest autre quun calendrier. En face de certaines dates, des prénoms sont inscrits ainsi que des symboles que je peine à distinguer clairement de là où je suis. Pendant ce temps, le propriétaire de la caravane regarde sa surface et fait une réflexion à voix haute.
– Justement, cela fait un moment que je nai rien fait.
– Sur quel plan ?
– Ben sexuel.
– Daccord et tu dis ça parce que je suis là ?
– Non, pourquoi ?
– Parce que jai cru sur le coup que tu voulais que je te donne un petit coup de mains de ce côté-là.
– Sincèrement, je ne dirais pas non si tu devais me le proposer.
– Tu es sérieux ?
– Ouais.
Je tourne mon visage vers Vincent pour être sûr que celui-ci nécoute pas notre conversation. Sincèrement, je nai jamais songé à coucher avec Ludovic mais comme je ne suis pas vraiment maître de mon être à cause de ce que jai fumé, il est fort possible que je dise oui à la moindre proposition. De plus, avoir un mec supplémentaire à mon tableau de chasse pourrait probablement mamuser beaucoup plus quautre chose. Je décide alors daller sur le terrain de Ludovic pour savoir ce quil souhaite vraiment. Alors que jétais en train de réfléchir, le voilà qui me devance.
– Cela te dit quon couche ensemble ?
– Si tu veux. Quand ?
– Ben ce soir et tu pourras rester dormir avec moi si tu es daccord.
– Entendu.
Normalement, je devais rentrer chez ma mère mais bon, pour une fois que je me montre désobéissant, je ne vois pas pourquoi elle me ferait une scène dès le lendemain. De toute façon, jétais majeur et vacciné donc, je fais un peu ce que je veux. Tout à coup, Ludovic et moi entendons quelque chose vibrer. Très vite, nous tournons notre tête vers Vincent qui plonge sa main dans la poche droite de son pantalon et en sort son téléphone portable. Sans sinquiéter, le jeune homme consulte le message avant de ranger son mobile.
Ensuite, il retire les écouteurs de ses oreilles, se lève de la banquette et me tend le baladeur.
– Je dois passer vite fait chez moi à cause de ma mère.
Vincent passe devant moi et forcément, jen ai profité pour mater son joli petit cul et une fois parti de la caravane, Ludovic me demande si on pouvait commencer. Avec mon accord, nous nous levons tous les deux de nos sièges respectifs pour nous rendre dans sa petite chambre qui était séparée du reste par un panneau. Tranquillement, lhomme éteint la lumière et sallonge sur son lit, me guidant par sa voix. Dès que ma tête se retrouve au-dessus de son entrejambe, jattrape lélastique de son pantalon, tire dessus et répète les gestes avec son sous-vêtement. Dès que javais sa queue dans ma main, je nai pas pu mempêcher de lancer un « Waouh ».
Une chose est sûre, cest que je ne mattendais pas à ce que Ludovic soit aussi bien monté. Sa queue devait faire environ vingt centimètres et elle était suffisamment large pour que je la sente passer si jamais le monsieur avait lidée de me visiter de larrière. En tout cas, je ne me fis pas prier pour le masturber doucement en guise dhors-duvre avant de glisser son gland entre mes lèvres. Pendant plusieurs secondes, je suis là à le sucer tandis que lui ne fait pas un seul bruit, ni me fait savoir si ce que je lui fais lui procure du plaisir. Je naime pas les mecs silencieux.
On ne sait jamais avec eux si on se débrouille bien ou pas. Lorsquon a laudace de leur poser la question, ils répondent mais dune telle façon quon aurait presque limpression quon les dérange. Alors que je me régale de sa queue, voilà quon frappe contre la porte dentrée de la caravane. Inquiet, Ludovic me demande darrêter et daller ouvrir afin de lui rendre service. Etant un garçon serviable, je noppose aucune difficulté et méloigne de mon amant dans le but de me rendre face à lentrée de son petit chez lui monté sur roulette.
Alors que la lumière fait son apparition sous la volonté et les actions de mon partenaire, jouvre la porte sur le joli Vincent qui me fait un sourire lorsquil me voit.
– Je vous dérange ? Me demande-t-il.
– Non, pourquoi ?
– Je suis sûr que tu étais en train de sucer Ludovic ?
– Ouais et tu me dis ça parce que tu es jaloux ? Tu sais très bien que je serais super content de pouvoir te sucer un jour.
– Je le sais mais jaurais trop peur que tu me touches le cul.
– Cest ta queue qui mintéresse Vincent, pas ce qui se trouve de lautre côté. Si jamais tu mautorises à te pomper, je te fais la promesse de moccuper que de ta bite.
– Je ne suis pas très convaincu.
– Ok ben écoute, si tu te décides dans le cours de la nuit, tu sais où me trouver.
Vincent monte dans la caravane et sinstalle sur la banquette. Là, il attrape la couverture pliée qui reposait à lextrémité du siège long et sallonge avant détendre le drap sur lui. Alors quil se prépare à dormir, je prends soin de bien fermer le panneau qui sépare les deux parties distinctes de la caravane avant de rejoindre Ludovic dans son lit. Une fois que la lumière séteint, je retourne à lentrejambe de mon amant que je mempresse de glisser à lintérieur de ma bouche. Vu la taille de son engin, je mapplique du mieux que je le peux afin de lui faire honneur.
Au fur et à mesure que la fellation se poursuit, je garde la présence de Vincent qui est allongé à quelques mètres de nous, dans un coin de ma tête. De temps en temps, Ludovic me parle à voix basse pour savoir quelles sont les pratiques sexuelles quil peut tenter avec mon accord. Il me fait part ainsi de son inexpérience dans la sodomie, aussi bien en tant quactif que passif. Vu lénorme queue que lhomme possède entre les jambes et qui joue beaucoup sur mon excitation, il est clair que je suis prêt à tenter nimporte quoi avec lui. Après une conversation sur le sujet, mon amant a mon autorisation pour me pénétrer avec son beau membre.
Aussitôt, je libère sa verge et mallonge correctement tout en écartant les jambes. Là, le rouquin se positionne derrière moi et commence à promener son gland le long de ma raie. Vu comment la situation mexcite, je nai pas besoin de me passer quelques doigts mouillés autour et dans mon trou afin de faciliter lintromission. Malgré son sexe aux mensurations extraordinaires, lhomme parvient à se frayer un chemin timidement avec son gland. Lorsque celui-ci est dans mes chairs, je demande à Ludovic dy aller doucement au tout début.
En effet, il est très rare que la plupart de mes partenaires sexuels soient aussi bien dotés et du coup, jai besoin dun petit temps dadaptation pour savoir si je suis apte à me prendre un tel truc sans broncher. Alors que mon amant avait reçu la consigne dy aller lentement, il se montre égoïste et me lenfonce dun coup. Forcément, en recevant une telle verge, je ne pouvais pas me montrer discret et ce nest pas un cri de douleur qui sort de ma bouche mais un râle de contentement. Bien sûr, Ludovic me dit dêtre plus discret, ce à quoi je rétorque quil aurait dû respecter ma faveur. Si lui avait peur que Vincent devine nos actions nocturnes, je ne désirais quune seule chose de mon côté : Que ce garçon vienne nous rejoindre pour que je lui bouffe la queue.
Tandis que Ludovic me lime tout en douceur cette fois, jécarte un peu plus les jambes pour mieux sentir les caresses que me prodiguent sa tige. De temps en temps, jexprime ma satisfaction par des gémissements que je tente détouffer à laide dun coussin sur mon visage mais jétais persuadé que Vincent devait tout entendre. Au bout de plusieurs minutes, Ludovic minterroge sur la possibilité de changer de position, ce à quoi je réponds oui. Désormais, me voilà le ventre contre le matelas tandis que mes jambes étaient davantage écartées lune de lautre. Ensuite, mon hébergeur sallonge sur mon moi et ne perd pas de temps pour me remettre son organe reproducteur dans le cul.
La pénétration repart comme si aucun changement ne sétait opéré ainsi que mes expressions vocales. Alors que le traitement se poursuit à un rythme raisonnable, mes oreilles perçoivent des bruits venant de lautre côté de la cloison. Peu de temps après, le panneau souvre et Ludovic simmobilise très vite en cas si la lumière devait refaire son apparition à lintérieur de la caravane. Fort heureusement pour lui, rien ne se déroula comme il le craignait mais la voix de Vincent se fit entendre.
– Ca va ? Vous allez lair de bien vous amusez tous les deux depuis tout à lheure.
– Tu tes enfin décidé à nous rejoindre ? Lui dis-je.
– Ouais et puis comme ça, tu nauras plus besoin de te montrer discret pendant que Ludovic tencule.
Heureux dentendre que Vincent est désormais motivé pour nous rejoindre, je demande à Ludovic de se reculer un peu afin quon puisse laisser de la place à notre ami. Sans sortir sa queue de mon arrière-toi, le garçon sexécute et cest tout naturellement que je copie ses gestes. Dès que nous estimons avoir rejoint un peu plus le centre de son lit, on sarrête et je le fais savoir à mon futur amant. Celui-ci monte sur le lit et je le soupçonne davoir déjà retiré son pantalon et son sous-vêtement à cause de sa facilité de déplacement.
– Jay, tes où ?
– Ici.
Au son de ma voix, Vincent déplace sa main pour me toucher et ses doigts meffleurent mon visage. Je la prends rapidement dans la mienne et ensuite, le garçon mattrape le poignet pour lapprocher vers son entrejambe. Dès que mes phalanges senroulent autour de son chibre, je manque de défaillir tellement lattente était au rendez-vous. Certes, la queue de Vincent était beaucoup plus menue que celle de Ludovic mais elle restait respectable. Malgré le fait que nous étions dans le noir le plus complet, je pris la décision destimer sa longueur en lenfonçant entièrement dans ma bouche.
Au tout début, je mamuse juste à lui lécher le gland alors que son propriétaire exprima son impatience en empruntant un mouvement de va-et-vient plutôt doux. Ensuite, je descendis mes lèvres jusquà la base et là, je constate avec délice que je peux la contenir dans ma gorge sans la moindre difficulté. Rapidement, le verdict tomba dans un coin de mon esprit : sa verge faisait dans les dix-huit centimètres voir un peu plus. Heureux davoir un tel jouet dans la bouche, je pris laudace denfermer ses couilles dans lune de mes mains afin de les caresser tout en le suçant. Dès que ma peau entre en contact avec la sienne, le jeune homme se mit à trembler mais nexprima aucun refus suite à cette idée.
Sincèrement, jétais plutôt content de partager ma première partie de jambes en lair avec ces deux garçons. Même si on se connaissait, nous ne ressentions aucune gêne à nous amuser de la sorte et très vite, on se lâcha véritablement. Alors que je suçais avec gourmandise la queue de Vincent, celle de Ludovic me labourait les entrailles tout en veillant à ne pas me faire du mal. Cependant, avoir ces deux beaux garçons pour moi tout seul augmenta mon excitation et aussitôt, je libère mes lèvres dans le but de pouvoir mexprimer à lattention de Ludovic.
– Tu peux y aller franchement maintenant que Vincent est avec nous.
– Tu nas pas peur que je te fasse souffrir ?
– Du tout.
Et suite à ce petit échange amical, Ludovic redouble la vitesse de sa pénétration et voilà que mes gémissements se manifestèrent une nouvelle fois. Afin de ne pas avoir la bouche vide, la queue de Vincent y retourna et là, je savais enfin que je prenais mon pied. Malgré le fait que Ludovic soit derrière, je sentais mon cul shumidifier et plus je recevais ses coups de reins et plus jen voulais encore. Jétais encore dans lignorance lorsque je me pose la question de savoir si jallais pouvoir me satisfaire de ces deux mecs. Si je me suis posé la question, cest parce que je sentais mon appétit sexuel sagrandir au fur et à mesure que les secondes passaient.
En tout cas, jétais vraiment fier de pouvoir pomper la queue de Vincent car cela faisait déjà un moment que je nourrissais des fantasmes sur lui. Désormais, un autre souhait le concernant me traversa lesprit : quil néjacule pas trop vite pour que je puisse en profiter pleinement. Alors que les couilles de Ludovic claquaient contre mon cul, notre ami commun ne mit pas très longtemps pour manifester le plaisir quil prenait à son tour. Peu de temps après, cest le rouquin qui mêla ses expressions aux siennes lorsquil posa une question au jeune homme.
– Tu veux prendre ma place ? Tu vas voir, cest trop bon.
– Ouais mais je ne lai jamais fait.
– Parce que tu crois que javais de lexpérience dans ce domaine ?
En attendant davoir la réponse de Vincent, Ludovic libéra mon anus que je sentais élargit tandis que lhomme retira son préservatif. A ce moment, jétais convaincu sur le fait que mon deuxième amant pouvait sy glisser sans la moindre difficulté et que mon premier amant de la soirée y soit passé le premier était une très bonne chose. Maintenant que mon cul était préparé à la sodomie par une très belle queue, celle du cousin de Mickaël ne pouvait me faire que du bien. Du coup, mes deux partenaires échangèrent leur place et tandis que la grosse queue de Ludo se tendit sous mon nez, Vincent prit place derrière moi et enfila un préservatif que lui donna notre pote. Toutefois, afin de varier un peu les plaisirs, je me mis à quatre pattes en veillant bien à tendre mon cul en arrière.
Comme je my attendais, la queue de mon plus jeune camarade sy enfonça sans la moindre difficulté et de mon côté, je tentais dachever le second avec une fellation. Malgré son sexe qui était bien plus petit que le premier, le cousin de Mickaël mattrapa par la taille et me défonça à toute vitesse pour vérifier à quel point je pouvais apprécier ses assauts. Le souci est quil ne faut jamais me limer de cette façon car ce sont dans ces moments que jobtiens plus facilement mes orgasmes. Dailleurs, le premier ne tarda pas à se manifester mais au lieu de dire à mon enculeur de ralentir, je préfère garder le silence et me régaler avec la bite de Ludo. Au moment où lorgasme se déclare, je madresse au jeune actif en lui suppliant de continuer à me défoncer comme il le fait actuellement, ce qui ne lui posa aucun souci.
Vincent sappliqua à bien me défoncer lanus tandis que celui-ci mouillait encore plus et que mes gémissements redoublèrent. Comme javais la queue du rouquin dans la bouche, ces derniers étaient beaucoup moins intenses dans leur expression et de ce fait, je pouvais continuer doffrir à mon premier pilonneur, une fellation dont javais le secret. Au bout dun moment, je sentis celui-ci trembler avant que les premières gouttes de son sperme achèvent leur course dans ma bouche. Je pris bien soin de tous les accueillir sur ma langue avant davaler la semence et de mettre un terme à ce que je lui faisais. De son côté, Vincent nallait pas tarder à cracher à son tour.
Lorsque le moment arriva, il ne se priva pas pour lindiquer.
– Cest bon les gars, je vais tout balancer là.
Je sentis son membre se libérer dans mon postérieur et même si je suis du genre très prudent avec mes partenaires, jétais un peu prit de remord à cause de limposition de la capote. Vincent me rendait tellement dingue que jaurais voulu accueillir son sperme à lintérieur de moi sans le moindre morceau de plastique. Dès que les deux garçons furent calmés avec leur tension sexuelle réciproque, ils me demandèrent de mallonger sur le dos tandis que ses derniers prirent chacun position à mes côtés. Sous leurs caresses et le désir de mentendre cracher à mon tour, je mexécute dans une dernière masturbation afin de satisfaire leur souhait. Une fois que mes bourses étaient vides de leur liquide blanc, Ludovic bondit hors de son lit, alluma la lumière et sempara dun rouleau de sopalin qui reposait sur le meuble de la caravane.
Après un petit brin de toilettes respectif, nous prîmes la décision de tous dormir dans le même lit puisque celui de Ludo était suffisamment grand pour y recevoir quatre personnes en même temps voir plus. Durant la nuit, les deux garçons nhésitèrent pas à solliciter mes services et forcément, je ne me fis pas prier.
Par la suite, nos chemins ont prit différentes voies pour que chacun dentre eux puisse grandir et faire son propre apprentissage de la vie. Néanmoins, rien ne mavait indiqué que je reverrai lun dentre eux, bien des années plus tard mais ça, cest une autre histoire.