Les Gars de la confrérie.
Coulybaca / Just Plain Bob
droits d’auteurC 2006 Just Plain Bob
Je vivais avec Stéphanie à Houston dans une maison louée, lorsque ses parents décédèrent dans un accident de voiture.
Par testament ils laissaient leur maison située dans une petite ville universitaire à Stéphanie et nous avons prévu de la mettre en vente.
Mais nous avons trouvé rapidement que la conjoncture dans l’immobilier n’était pas favorable et notre avenir professionnel assuré aussi, en dernier ressort avons-nous décidé de la garder et de déménager.
Cette maison était située sur une route surnommée "l’avenue des confréries" du fait qu’elle abritait de nombreuses maisons et clubs de confréries universitaires, nous nous trouvions à moins d’un kilomètre de ces clubs, la rue était très animée spécialement les vendredi et samedi et nous étions très heureux de demeurer à cet endroit.
L’appartement que louions à Houston ne nous permettait d’avoir d’animaux et voila que maintenant Stéphanie dans sa propre maison pouvait en avoir un.
Ce n’est pas que je n’aimais pas les chiens, mais je ne désirais pas en avoir, je préfère de beaucoup les chats car ils nécessitent beaucoup moins de soins et d’attention.
Une fois sa gamelle pleine, son bol plein d’eau, sa litière propre, un chat pouvait prendre soin de soi lui-même.
On ne pouvait pas dire la même chose des besoins d’un chien. On doit les promener, les sortir trois ou quatre fois par jour qu’ils fassent leurs besoins dans les pelouses que vous devez souvent nettoyer ensuite.
Si vous voulez sortir le week-end vous pouvez laisser votre chat à la maison, mais un chien vous devez soi l’emmener avec vous, soi lui trou-ver un gardien, soi même le confier à un chenil.
De plus un chien peut semer le souk, si quelque chose le perturbe la nuit il n’hésite pas à vous réveiller en aboyant à pleins poumons.
Et puis par-dessus tout je n’avais aucune envie d’avoir un chien, mais Stéphanie en voulait un aussi avons nous avons adopté un chien, un grand danois nommé Max.
Stéphanie était une joggeuse et elle courait ses 10 bons kilomètres chaque jour, généralement dans la fraîcheur du matin, elle emmenait le chien avec elle.
Cela lui prenait entre 1 heure et demi et deux heures, c’était ce que j’appelais mon temps de repos.
Cela me donnait l’occasion de faire toutes les choses que je voulais faire sans avoir Stéphanie sur le dos intervenant à tout propos.
Nous nous étions installés dans une certaine routine et ces dernières années la vie s’était déroulée calme et paisible.
Puis mon employeur élargit sa zone d’activité et je dus superviser les différents bureaux.
C’est lors d’un de ces voyages que je rencontrais Charlie, c’était le directeur de notre nouveau bureau à Atlanta et le troisième soir il m’invita à me joindre à lui pour le souper.
Nous avons commencé par discuter boulot, et de nos connaissances mutuelles dans le circuit, puis il m’informa que son jeune frère fréquentait l’université de ma petite ville.
— Le gosse trouve cette vie formidable… J’espère seulement que toutes les petites fêtes auxquelles il se livre n’interfèreront pas sur ses notes.
— Une chose est sûre, il se tape bien plus de chattes que je n’ai pu en baiser lors de mes universités ! Sa fraternité dispose même de leur propre pute ! Elle les rejoint au club de la fraternité du lundi au vendredi et se faisait partouzer !
Elle fait tout ce qu’elle peut en une heure puis elle se précipite auprès de son mari !
Je lui demandais à quelle fraternité appartenait son frère et il me le dit, c’était justement une de celles situées dans notre rue.
Je badinais lui disant que j’aimerai connaître son frère :
— Peut-être pourrait-il s’arranger pour que je puisse participer à leurs partouses !
Charlie rit aux éclats et me déclara que la façon dont cette salope était devenue la pute de la fraternité valait le détour !
Le soir les gars avaient l’habitude de s’asseoir sur le perron de leur club et d’y vider quelques cannettes en regardant passer les filles.
Il y avait une fille, une femme mature qu’ils adoraient reluquer.
Elle faisait son jogging tous les soirs avec son chien, ils reluquaient ses nibards qui se balançaient au rythme de sa course et la sifflaient la faisant sourire alors qu’elle leur faisait un petit signe de la main.
Cela dura une paire de mois et, un beau jour le chien se sauva. Il dévala la rue alors que la ravissante femme courait après lui hurlant de revenir.
Danny et une paire de ses copains sautèrent sur leurs pieds et se joignirent à la poursuite.
Le chien pantelait bruyamment lorsqu’ils le rattrapèrent, et Danny suggéra à la somptueuse bonne femme de lui donner une gamelle d’eau, ils en profitèrent pour offrir une boisson fraîche à la propriétaire du chien tandis qu’elle attendait qu’il éponge sa soif.
L’un des gaillards se rua à l’intérieur du club et revint avec un soda;
Tandis qu’elle se désaltérait le gars qui s’était rué à l’intérieur prévint Danny qu’il avait versé une bonne dose de leur "potion magique" dans son verre.
Je coupais Charlie pour lui demander ce qu’était cette "potion magique".
Charlie rit lourdement et lui avoua qu’en fait il s’agissait de cette substance que les journaux appelaient "la drogue du viol". Puis il reprit le cours de son histoire.
En quelques 5 petites minutes la femme commença à se sentir légère, comme éméchée, ils l’emmenèrent alors dans leur club et la couchèrent à plat dos sur un sofa dans leur salle de jeux.
Ils attendirent encore 5 bonnes minutes puis ils commencèrent à la dés-habiller lentement.
Elle leur demanda ce que devenait son chien sans se rendre compte qu’ils la déshabillaient lentement mais sûrement.
Même lorsqu’ils lui écartèrent les cuisses en grand, elle se contenta de grommeler :
— Que faites-vous ? Où se trouve mon chien ? Est-ce que mon chien va bien ?
Ce n’est que lorsqu’un des gars enfouit sa grosse bite dans sa chatoune qu’elle sembla à demi -consciente de ce qui se passait. Elle leur dit doucement :
— Vous n’avez pas le droit de faire ça ! Seul mon mari peut me faire ça… Alors que l’effet de la drogue s’estompait.
A cet instant 5 gaillards l’avaient déjà baisée et il y en avait 4 fois plus qui attendaient leur tour.
Bien que l’effet de la drogue se soit dissipé son corps restait très excité et voulait continuer cette expérience enivrante.
Lorsque le dernier gars faisant la queue se la fut tapée, elle les pria de continuer à la baiser, et ils se mirent une deuxième fois en ligne pour honorer ses charmes.
Seuls trois gars l’avaient à nouveau possédée lorsque jetant un oil sur sa montre elle s’écria :
— Oh mon Dieu, Je dois rentrer à la maison avant que mon mari n’appelle les flics !
Elle repoussa le gars qui la baisait allègrement et rassembla rapidement ses vêtements puis se précipita vers la porte tout en enfilant ses habits.
Le lendemain soir elle passa devant leur club en joggant, ils lui firent signe et la sifflèrent mais elle continua à jogger imperturbablement.
Puis ce arriva le week-end et ils ne la virent pas passer comme tous les samedis et les dimanches.
Le lundi elle reprit sa course, ils lui firent signe, elle regarda dans leur direction mais ne s’arrêta pas pour autant, mais après une centaine de mètres elle ralentit et fit demi-tour et revint vers eux pour leur demander si elle pourrait avoir un peu d’eau pour son chien.
Tandis que l’un des gars rentrait dans la maison pour y chercher une gamelle d’eau pour le chien, Eric, le gars qui avait épicé son verre l’appela de l’intérieur lui disant qu’il détenait quelque chose qu’elle aimerait sûrement voir.
Il l’emmena dans la salle de réunion et la fit asseoir sur le sofa sur lequel ils l’avaient partousée sans vergogne, puis il inséra une cassette dans un magnétoscope.
Nous voulions vous montrer que l’on avait pris grand soin de votre chien l’autre soir… Et les images apparurent sur l’écran, un grand sourire illumina alors son visage.
— Votre chien était en chaleur et nous lui avons fourni une partenaire !
Elle voyait effectivement son chien sauter allègrement une femelle collée.
Elle rit à pleine gorge et s’esclaffa :
— Il a l’air d’aimer ça !
Après quelques minutes, les images changèrent et elle se vit alors se faisant sauter par les membres de la confrérie.
— Et que pensez-vous de ceci ? Lui demanda Eric
— Aimez-vous autant ces images ?
Elle se tenait figée sur place les yeux rivés sur l’écran, une paire de minutes plus tard Eric dégrafa sa braguette et sortit sa bite.
Il saisit la main de son invitée et la referma sur son chibre palpitant, elle ne chercha pas à écarter sa main et, après quelques instants elle entre-prit de le branler machinalement.
Cinq minutes encore et, entièrement nue, elle se faisait à nouveau partouser sur le canapé alors qu’ils filmaient sa performance.
Depuis ce jour, elle se pointe à leur maison tous les soirs pour regarder la cassette enregistrée la veille tandis que les gars se la font de plus belle.
Ils lui ont promis que personne en dehors de la fraternité n’en saurait rien, mais cela ne s’avérait pas tout à fait exact, en fait, ils voulaient dire que seuls les membres de la confrérie seraient mis au courant, et vous savez ce que veut dire le mot fraternité !
On est membre à vie !
Ils m’ont offert deux des cassettes et je puis vous dire que cette femme est une fieffée salope, je pense retourner les voir un jour ou deux pour profiter moi aussi de ses charmes !
Puisque vous êtes encore là pour deux jours, pourquoi ne viendriez-vous pas demain chez moi pour jeter un oil sur ces cassettes.
Hey peut-être bien que vous reconnaîtrez cette salope et que vous pourrez alors vous la taper en retournant chez vous !
— Danny m’a dit que pendant que quelques gars prennent soin de Max au rez-de-chaussée, les autres à l’étage trempent leurs bis-cuits dans tous les trous de la salope.
Il vit alors mon air ébahi et me demanda :
— Qu’y a t il ? On dirait que vous avez vu un fantôme !
D’une voix fable je l’interrogeais :
— Comment avez-vous dit que s’appelait le chien ?
— Max ! C’est un grand danois ! Pourquoi cette question ?
Tout d’un coup je me sentais horriblement mal.
Le 18 mars 2008
Coulybaca ([email protected])
Auteur Just Plain Bob (Literotica)