Lintérêt que jai pour le rugby à XV me porte à des extrêmes; je supporte mon équipe favorite sur notre stade, à lextérieur. Nous sommes placés les seconds des meilleurs clubs de France. Ha, la joie de voir François (Trenduc) ou Fufu marquer un essai équivaut presque à un orgasme. Jai quand même un ennui. On dit que les hommes sont en adoration devant un match de foot. Les affreux. Ils ne connaissent pas labnégation et le fairplay dun quinziste. Mon homme en fait parti. Nous nous disputons presque les déplacements. Je sais comment gagner, le comble de prévenances.

Comme je naime pas tellement les programmes quil aime, pensez dont regarder TF1 !!!! Ou alors les retransmissions dun match de foot. Je marrange pour lui donner de petites faveurs. Je sors sa bite du pantalon, quand il la sorti, je le branle juste ce quil faut pour quil bande. La suite est connu: il faut quil regarde lécran, moi je moccupe du reste. Ma bouche ne le dérange pas en bavardages. Je sais comment passer ma langue sur sa bite, la prendre dans la bouche, faire aller et venir ma tête pour que mon pompier lui soit agréable. Seul moment où il ne vois pas la télé cest quand il ferme les yeux en jouissant dans ma bouche.

Ce nest quensuite je lui annonce mon déplacement pour samedi après midi, Toulouse, Paris, ou Bayonne. Comme je suis toujours avec la même bande de copines fan comme moi, il me laisse partir sans problème. Ce quil ne sait pas, heureusement cest que dans le bus qui nous transporte je marrange toujours pour être avec un autre supporter. Cest un garçon un peu plus jeune que moi qui ma tapé dans lil dès que je lai vu.

Julien est grand, costaud et amusant, toujours le mot pour me faire rire. Ça cest passé en allant à Biarritz, le matin très tôt. Jétais à ses coté quand je me suis endormie sur son épaule. Il a passé un bras sous ma tête: jétais bien comme ça. Je crois que cest-ce bien être qui ma réveillée. Tout le monde était à moitié endormi. Jai eu envie de lembrasser. Jai posé gentiment ma bouche sur sa joue mal rasée. Il a tourné la tête juste à ce moment là. Ma bise sest transformée en baiser. Quand nos langues se sont amusées entre elle, je sentais ma culotte se mouiller. Éros me guidait sans doute, jai posé ma main là où je naurais pas du. Il bandait. Plus rien ne mempêchait daller plus loin, sauf que jétais la femme. Je nai pas voulu caresser sa queue comme ça la première. Il a fait ce que jattendais, il venait en exploration sur mon bas ventre. Sa main montait entre mes jambes que jécartais déjà. Quand il est arrivé juste à la limite des bas, il a enfin caressé ma peau. Je sentais sa queue durcir sous ma main. Il est arrivé à passer trois doigts dans ma culotte. Il a été directement sur le clitoris, comme sil me connaissait depuis toujours. Il ma caressé longuement, sans se presser. Jétais bercée par les mouvements du car, par sa langue et sa main. Je me régalais tellement que je loubliais. Il ma pris ma main, la appuyer fortement sur sa bite.

Jai pris conscience quil demandais son du. Jai péniblement sorti sa bite du pantalon. Jen avais la main pleine. Je ne pensais jamais quelle soit si grosse. Il faut dire que la seule que je connaissait était celle de mon mari. Je le branlais: satisfait il mordillait ma langue.

Il ma faite jouir rapidement rien quand me caressant le clitoris. Je ne voulais pas quil sorte sa main de ma chatte. Il a mis trois doigts dans le vagin. Ses doigts réunis étaient aussi gros que sa bite. Il synchronisait ses mouvements avec ceux de ma main.

Nous nétions pas couchés et nous baisions. Personne ne nous regardait ou ne faisait attention à nous. Je lai fais jouir entre mes doigts que jai essuyer avec les pans de sa chemise. Les voyageurs se réveillaient: nous faisions comme si nous aussi nous étions réveillés.

Dès larrêts nous nous sommes séparés pour faire taire les mauvaise langues éventuelles. Jai quand même trouvé le moyen de nous isoler: jallais aux toilettes en le regardant.

Dans la cabine nous nous sommes embrassés longuement. Il a enlevé ma culotte, Jai à nouveau sortie sa bite. Je lai embrassé pour le sucer, il a voulu me la mettre. Il avait raison jen mourais denvie. Il sest baissé devant moi, jai ouvert les jambes et il est venu doucement la faire entrer. Je sentais mon vagin sélargir devant son gland. Cétait la première fois que je sentait un tel plaisir dêtre empalée sur un engin aussi gros. Jai joui rapidement avant quil me retourne. Il ne visait que mon cul. Jécartais mes fesses à deux mains. Ce quil allait faire nétait pas pour me déplaire. Il a évasé mon entrée avec ses doigts. Quand il a estimé que jétais assez ouverte il ma enculée lentement, tellement lentement que je ne le sentais pas au début: ce nest que quand son gland est passé entre les fesses quenfin je sentais le plaisir innomé de la sodomie. Il ma la mise au fond de mon cul. Je sentais les poils contre mes fesses. Jai joui comment rarement.

Nous sommes restés sages jusquau retour: nous ne pouvions rien faire de plus, sinon un vague touche pipi pendant une escale.

Ce nest que le lendemain que je trouvais dans mon sac son numéro. Je ne sais quand il me la mis. Jai appelé aussitôt, il répondait oui à tout ce que je demandais. Oui pour nous revoir, oui pour nous retrouver à lhôtel laprès midi suivant, oui pour jouir ensemble, oui pour le sucer, oui pour me sucer. Mes fellations sont plus rare avec mon mari plongé dans ses match de foot. Sil savait le plaisir que je prend avec le rugby et ses supporters, pardon un supporter. Les seules à voir une différence sont mes copines qui me comprennent: je leur expliquais ce que je faisait; certaines en étaient jalouses. Qui leur empêche de voir un supporter. Ils sont plus nombreux que les filles et ne demandent certainement pas mieux de les baiser.

Si vous voulez, je raconte la suite plus sportive.

Related posts

Sand – Chapitre 2

historiesexe

mon mari et son amant – Chapitre 1

historiesexe

Mes retrouvailles avec ma copine – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .