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On la surnommait "Hécate". – Chapitre 1




INTRODUCTION: On peut facilement dénigrer une actrice X, mais j’ai l’intention au contraire à travers mes histoires, d’encenser ces femmes qui ont eu l’audace de se donner ouvertement face à une caméra. C’est ma façon de leur rendre hommage. Et qu’elle soit "putain" ou "prude", la Femme sera toujours la source d’inspiration des plus belles uvres du monde, controversées ou non.

Je n’oublierai jamais cette expérience contradictoire qui m’a fait comprendre qu’on pouvait être intime avec une femme sans rien savoir d’elle. Fraîchement sorti de mes études, je venais de me lancer dans la vie active. J’avais pas mal de choses à rattraper, notamment au niveau sexuel. Car ayant été un élève studieux, je n’avais pas eu l’occasion d’expérimenter ni même d’admirer la réelle beauté des femmes. Je me retrouvais alors perdu dans ce domaine. Comment aborder une femme, comment faire pour que l’on s’intéresse à moi… Il n’y avait pas d’études pour ça.

Alors, je me suis hasardé à aborder quelques femmes, sans succès. Que ce soit la caissière du supermarché, la boulangère ou même ma voisine de palier, les réponses étaient gentilles mais négatives. Je me suis alors replié un certain temps sur moi-même, pour arriver à la conclusion qu’il y avait des endroits, où les célibataires pouvaient se retrouver sans prise de tête et passer un bon moment ensemble. Ce n’était certes pas la façon dont j’avais envisagé commencer ma vie amoureuse, mais cela était au moins un point de départ.

Je me suis donc rendu dans un club privé où l’on proposait différentes activités. J’avais opté pour le salon romantique. Comme je n’étais pas très sûr de moi, je préférai me diriger au bar. De là, j’aurais eu une vue d’ensemble tout en sirotant un verre. Et là, à peine je m’étais assis que je l’ai vue, cette femme qui allait changer ma vie. Elle était assise elle aussi au bar à deux places de moi, mais je savais qu’elle m’avait déjà repéré.

Dans une jolie tenue noire que l’on aurait dit un juste au corps, elle était svelte et portait une jupe sombre fendue sur le côté qui laissait voir la blancheur de sa cuisse où s’arrêtait son bas résille. Elle m’a semblé être une dame raffinée, certainement quinquagénaire. Elle me lançait quelques regards discrets, alors qu’elle portait son verre à ses lèvres. Je me suis alors levé fébrilement de ma place et me suis approché en espérant qu’il s’agissait des fameux signaux qu’il fallait apprendre à interpréter.

Je lui ai alors demandé si je pouvais m’asseoir à ses côtés et fus soulagé par sa réponse gentiment positive. Comme cela se faisait dans les films, je lui ai offert un autre verre et me suis efforcé à trouver un sujet de conversation. Mais cette dame a gracieusement facilité les choses en se présentant. Elle voulait que je l’appelle Hécate. Elle avait de la conversation et la tonalité de sa voix était très agréable, très rassurante. Dans la lumière tamisée et l’ambiance romantique, je m’y sentais à ma place, avec celle qu’il fallait que je sois. C’est vraiment agréable lorsqu’une personne vous comprend sans que l’on ait à s’expliquer. Elle lisait certainement le désir dans mes yeux. Toutes sortes d’idées me passaient par la tête, mais j’étais incapable de les exprimer. Elle posa alors une main sur les miennes:

— Tu auras ce que tu veux… Mais allons danser avant.

Le slow était certainement une très belle manière d’apprendre à se connaître. Avec ses talons, nous faisions à peu près la même taille et pendant que nous dansions serrés l’un contre l’autre, Hécate se livra à des confessions de femme mariée, qui aimait se retrouver parfois ici pour fuir la monotonie de son foyer trop tranquille. J’étais donc prévenu qu’il ne s’agirait que d’une histoire d’un soir. Mais cela me convenait très bien. Nous avons pris ensuite la direction d’un hôtel pour conclure notre soirée.

Une fois dans notre chambre, Hécate se mit à m’embrasser langoureusement. Je me laissais guider, désireux d’apprendre tout ce qu’elle avait à m’enseigner. Je sentais sa main descendre de mon torse pour aller se glisser dans mon pantalon. Elle me souriait avec un regard plein de désir, se mordillant les lèvres. Elle se mit à descendre, pour faire monter mon plaisir.

Dénouant ma ceinture, Hécate me libéra progressivement de mes contraintes vestimentaires. Et mon sexe en érection manifesta sa joie de se retrouver en liberté, tel un diable à ressort qui sortait de sa boîte. Elle me lécha, des bourses au gland dans un mouvement suave, toujours avec ce regard que j’aimais tant. Puis elle redescendait, jouant avec sa langue le long de mon membre. Je sentais que je n’allais pas tenir et ma partenaire aussi. Mais au lieu de me laisser redescendre, Hécate emboucha mon gland avec gourmandise et pompa sans me laisser la moindre chance. J’en perdis l’équilibre et me retrouvai sur le lit qui était heureusement derrière moi. Ma prédatrice n’avait pas lâché sa proie. Et à demi allongé, je ne pouvais que me sentir partir en de jets puissants dans cette bouche dominante et affamée.

Je pensais alors que je lui avais tout donné, mais la soirée était loin d’être terminée. Elle savait que ma jeunesse allait nous permettre de nous aimer encore et encore. Alors pour me faire patienter, Hécate m’initia aux caresses féminines et à la découverte de ses charmes. Fébrilement je me lançais dans l’exploration de son corps. Mes mains tâtonnant pour dévêtir ma partenaire, Hécate restait passive et s’amusait certainement de mon inexpérience. Son justaucorps qui se dégrafait à l’entrejambe était remonté au-dessus de ses seins. Elle avait gardé ses bas résille et ses talons. Et pendant que je m’essayais au cunnilingus, je la regardais dans les yeux pour constater l’effet que cela lui procurait. J’ignorais si je me débrouillais bien, mais son sourire et son regard doux étaient agréables. Je me délectais de la saveur de cette dame et je m’en retrouvais très bien.

Si concentré sur ce que je faisais, je ne m’étais pas rendu compte que j’arborais déjà une nouvelle érection. Et quand me vint l’idée, je pris l’initiative de pénétrer ma partenaire. Hécate en fut ravie et m’accueillit de la façon la plus ouverte qui soit, à ma plus grande surprise. Ancienne gymnaste professionnelle, elle n’avait aucun mal à s’offrir avec souplesse. Cette vision me conforta dans mon érection et je ne pus attendre davantage. Je me suis glissé à l’intérieur de cet antre vénérable, avec tout le respect mais aussi tout le désir qu’un jeune homme pouvait témoigner. Ma toute première éjaculation de la soirée m’avait permis de tenir et d’honorer ma partenaire comme je le devais. Mes va-et-vient devenaient de plus en plus amples et donnaient à Hécate le plaisir qu’elle attendait de moi.

Je finis par jouir et à l’inonder de mon plaisir. Mais nous avons recommencé plusieurs fois dans la nuit, arborant des positions qui me semblaient impossibles à réaliser. La souplesse de cette dame était impressionnante. Et malgré la nuit que nous avons eue, la perversité de nos gestes et de certaines de ses paroles, je garde le plus grand respect pour cette dame que je n’ai plus jamais revue depuis. Je me souviendrai toujours de ce regard tendre qu’elle arborait, alors que je la prenais indécemment.

A la duchesse de la souplesse: Françoise S.

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