Au moment où les cartes s’abattent, je réalise mon erreur et m’en mords la lèvre. A ce moment-là, le temps semble figé, je regarde les cartes, puis je remonte vers leurs propriétaires. Ces deux sublimes créatures, en sous-vêtements, face à moi.
Vanessa, cette amie proche, que j’ai vu s’épanouir en même temps que moi, qui a parfois été dans mes pensées lors de séances solitaires. Je vois à cet instant une jeune femme magnifique, et dans ses yeux, une lueur que je ne lui connaissais pas, celle du désir, de ses désirs et besoins à satisfaire. A côté d’elle, Mathilde, nous n’avons jamais été proche, jusqu’à maintenant du moins. Elle s’est épanouie également depuis le lycée. C’est devenu une créature si sensuelle et à la chevelure de feu. Son regard est rivé sur les cartes qui annonce sa victoire et tout comme Vanessa, ses yeux sont éclairés d’une intense lueur.
Mais entre autres, mon regard se pose longuement sur leurs magnifiques jambes et leurs continuités, qu’on nomme pieds. Ils sont si beaux que mes yeux ne peuvent s’en détacher, et c’est pendant cette admiration que Mathilde relève la tête satisfaite et brise le silence.
— On dirait que nos pieds te plaisent, Max ?
— Si vous saviez
— Oui ? demanda-t-elle avec un certain intérêt.
— Ça reste entre nous hein ?
— Mais oui t’inquiète pas, ce qui se passe ici, reste ici. C’est Vanessa qui prononce ses mots en s’approchant comme pour écouter un secret qui visiblement l’intéresse.
— Bon ok, je sais que c’est bizarre mais j’aime ça.
— Tu aimes quoi exactement ? C’est Mathilde qui insiste et s’amuse du malaise qui s’installe en moi.
— Tout Les pieds, les jambes, nue, avec bas, collants, talons hauts, tout ça quoi. Enfin tant que c’est sur une femme bien sûr.
Un blanc s’installe alors sous le choc de cette révélation. Je préfère garder la tête baissée même si j’en profite pour avoir leurs pieds dans la limite de ma vision et pouvoir observer ces quatre merveilles. Soudain j’entends des chuchotements, un petit gloussement et Vanessa prend la parole.
— Alors si ce que tu dis est vrai, c’est ton jour de chance Max.
— Comment ça ?
— Mathilde a gagné alors tu vas t’occuper de ses pieds pendants disons 2min et concentre-toi à la tâche.
— Euh merci, mais logiquement c’est pas sensé me faire plaisir, enfin un gage c’est plus pour amuser les autres personnes.
— T’inquiète pas pour ça
Dans un état de plénitude, je marche à quatre pattes pour réaliser le mètre qui me sépare de Mathilde et après un regard positif de sa part, j’attrape l’un de ses pieds entre mes mains. Il est si doux, je le caresse quelques instants puis je ne peux m’empêcher de le porter à mes lèvres afin de déposer un baiser dessus. Malgré la soirée, il sent plutôt bon. Et puisque je n’ai senti aucune réaction, je me mets à le lécher tout en le massant. Au bout de ce qui me semble faire une minute, ne voulant pas faire de jaloux, je dépose le premier pied et entame le même travail sur le second. Mais une barrière a été franchi et je plonge littéralement dessus. Je suis tellement accaparé par ce que je fais que je ne remarque que Vanessa a bougé que lorsque je sens une main se refermer sur ma verge, tendue vers le sol. J’ai à peine le temps de réagir que je sens cette main presser légèrement mon sexe et commencer à le branler.
Malheureusement, je suis en train de réaliser une sorte de fantasme et j’ai beau faire un effort colossal, la main de Vanessa semble experte et accélère si bien que je finis par jouir en direction du sol en une vingtaine de seconde.
Au même moment, la main de Vanessa et le pied de Mathilde se retire. Et je prends alors lentement conscience de ce qui vient d’arriver dans cette pièce au fur et à mesure que je redescends de ce petit nuage sur lequel j’étais.
— J’en étais sûre, moins de trente secondes je t’ai dit.
— C’est vrai, tu as bien fait ça, on dirait que tu as fais ça toute ta vie ahah.
— Bah alors Max, on peut pas se retenir un peu ? Et les deux filles partent dans un éclat de rire, heureusement pas assez fort pour faire accourir les autres invités, mais assez fort pour que je sente cette pique au fond de mon cur et de mon égo.
— C’est que J’ai pas fais exprès Tu m’as surprise et j’étais concentré Enfin en temps normal
— T’embête pas à nous expliquer quoi que ce soit Max, c’est pas grave ça arrive. Mais bon maintenant il va falloir nettoyer. Il y a une sorte de compassion dans la voix de Mathilde, mais en même temps je sens une pointe d’humour ou bien juste ce qu’il faut pour me blesser un peu plus.
— Ya rien dans la chambre pour et j’utiliserai pas mon t-shirt, à la limite mon caleçon.
— J’ai une autre idée. C’est Vanessa qui me regarde droit dans les yeux. Si tu lèches, je te laisse t’occuper de mes pieds.
— Vous racontez rien aux autres hein ?
— Mais non t’inquiète.
N’ayant jamais essayé, je m’approche lentement de la petite flaque qui macule le sol. Je plonge mon doigt et le porte à mes lèvres sous le regard amusés de mes amies. Le goût est salé et après un léger haut le cur, je me penche afin de lécher directement la flaque puisque le sol m’a l’air plutôt propre. Une fois ma tâche terminée, je relève la tête et vois Mathilde et Vanessa en train de s’embrasser en jetant juste un regard de de temps en temps dans ma direction. J’approche alors les mains des pieds de Vanessa et je commence à m’en occuper, à l’aide de mes mains mais aussi de ma langue. L’odeur est un peu plus forte mais rien de sale.
Au travail depuis plusieurs dizaines de secondes, j’entends subitement de petits gémissements. Je relève légèrement la tête en pensant être l’instigateur de ce plaisir mais ce que j’aperçois fait aussitôt dresser ma verge qui restait jusqu’alors à l’état mi molle.
Les filles sont passées à l’étape supérieur et alors qu’une des mains de Mathilde caresse un sein de Vanessa par-dessus la dentelle, l’autre est entre les cuisses de celle-ci. Vanessa, quant à elle, à une main sous les seins de sa partenaire et une perdue dans ces longs cheveux aux reflets flamboyants.
La scène est si belle que je stoppe ce que je fais pour simplement observer ce magnifique tableau. Je tente alors de remonter le long de la jambe de Vanessa afin de me retrouver moi aussi dans ce tableau de plaisir. Mais à peine ma main arrivée sous les fesses, je reçois une tape sur la main de la part de Mathilde. Et aussitôt Vanessa qui enchaîne.
— Non, non, Max, toi tu t’occupes que de nos pieds.
Sans savoir ce que cela entraînerait par la suite, je redescendis mes mains et mon visage afin de m’occuper des 4 délicieux pieds offerts à mes doigts et ma langue, sans oublier de jeter un regard de temps en temps sur la scène qui s’offrait à ma vue.
