Je considère que les nichons, c’est comme le relief. Ça va des monts d’Arrée à l’Everest.

Je nai rien contre la Bretagne, mais, personnellement, je préfère grimper le point culminant du monde qu’une grosse colline.

Enfin, grimper le point culminant du monde… C’est vite dit… faut pouvoir y aller. À défaut je sais me contenter des Alpes, voire des Pyrénées.

Et… elle est plutôt le genre Puy de Sancy que Mont-Blanc;

Elle est folle de moi. Je le sais. D’abord parce qu’elle s’est arrangée pour me le faire savoir par Eric, un autre collègue de boulot. Il est aussi gay qu’on puisse l’être et il lui sert de meilleure copine.

Et puis elle fait tant d’efforts pour que je m’approche d’elle. Elle porte des jupes si courtes qu’on dirait des ceintures. Elle exhibe sa raie dans des culottes trop étroites. Elle en est impudique et indécente. À tel point qu’un jeune stagiaire, l’autre jour, en avait le boxer tout tendu. Il ne savait plus où se foutre.

Le patron vient généralement le mardi et le jeudi. Là, elle s’habille de façon plus convenable.

Elle met des décolletés, mais c’est pathétique. Y’a rien à bouffer là-dedans ma pauvre Iohanna !

J’ai bien failli dire à Eric que moi, je fantasme sur les gros nichons. Le reste est secondaire. Le gros, sein, l’opulente mamelle, le nibard colossal, la laiterie industrielle, c’est ça qui me fait bander. Le reste j’y viens après. Mais mon trip, c’est la poitrine. Rien ne vaut une bonne cravate de notaire, des tétons pointus qu’on dévore, des chairs qui remplissent bien la main; des mamelons fermes qui respirent sous les jets de sperme. Parce que tant qu’à jouir, c’est sur ces rondeurs que j’aime y aller.

Un jour peut-être je me caserais. Mais pour le moment je préfère garder jalousement l’indépendance de ma queue. Je vais dans les clubs, je surfe sur l’internet, je fais les maisons closes dès que e boss m’envoie en Allemagne. Les FKK n’ont plus de secret pour moi. Et là toujours je vais sur les pipeuses à forte, très forte poitrine…

Enfin ça c’était avant, avant que Nina n’arrive.

Ah Nina ! Le coup de foudre ! Le vrai. Celui qui existe. Je l’ai vue et cela a été d’une telle évidence qu’il m’a semblé que tout mon être n’attendait qu’elle.

J’étais perdu derrière mon écran quand elle est arrivée. C’était la nouvelle.

Nous ne travaillons pas en open-space mais nos bureaux sont séparés par une épaisse cloison de verre. D’abord, les premiers après le hall, celui de Iohanna et le mien, puis la salle de conférence puis celui d’Eric et en retour après la kitchenette et les sanitaires trois autres bureaux, celui que le patron occupe quand il vient et deux autres, libres pour le moment. On se voit tout le temps. Néanmoins, pour être tranquille, lorsque l’on reçoit un client par exemple, on peut tirer un rideau, sans même bouger de notre place puisqu’il y a une télécommande.

Nina était dans le bureau de Iohann et j’ai d’abord vu son sourire, je vous jure, d’abord son sourire. Et puis ses yeux verts… un vert sombre et profond, envoûtant, ses beaux cheveux blonds regroupés en chignon (c’était son premier jour, elle a fait dans le strict) et cette énorme poitrine, enfin qui semblait vouloir crever le chemiser, déborder le tailleur et s’avancer vers moi pour un hommage effervescent…. peut-être, en définitive est-ce inconsciemment cette masse de chair qui m’a d’abord attiré, qui à hypnotisé mon champ de vision, qui a aimanté mon regard vers la femme, mais c’est le sourire qui m’a ferré comme un pêcheur ferre le poisson.

Je ne sais pas ce qu’elle m’a dit ni ce que j’ai répondu. Des conneries sans doute. Je me suis senti rougir, mais rougir…. comme la fois où mon coloc m’avait surpris dans les chiottes de l’appart, dont j’avais mal fermé la porte, en train de me masturber… c’était quand j’étais étudiant.

Je suis tombé amoureux instantanément.

S’en est-elle rendu compte, je ne sais pas. Mais Eric oui. Il n’arrêtait pas de me chambrer après… et Iohanna, morte de jalousie. Elle n’a rien perdu de la scène. Elle a tout de suite vu ce qui se passait et elle m’a battu froid pendant des jours.

Je me crois beau garçon et je n’ai jamais aucun problème avec les femmes; je drague, je me prends parfois des râteaux, mais souvent j’emmène la fille chez moi. On passe la nuit ensemble, je vois ce qu’elle sait faire et si c’est une bonne pipeuse qui sait jouer avec ses seins sur mon zizi, je la revois… mais je ne m’attache jamais.

Pas timide donc, mais Nina…. impossible de l’approcher sans balbutier. J’ai l’impression d’être un petit garçon ou même l’adolescent emprunté que j’étais quand je croisais la mère de mon copain Miguel ; une rousse comme j’aime, avec des seins partout… mais j’étais ado et c’était la mère de mon pote et dès que j’ai eu dix-huit ans, j’y suis allé et je l’ai sautée la mère de Miguel. Une bombe d’ailleurs, pas fainéante sous l’homme la MILF. J’étais peu expérimenté à l’époque et elle m’a bien permis de développer l’art de la queue la salope. Elle m’a appris à me contrôler, à bien trouver le bouton, à bien exciter la femme et la faire monter aux rideaux quand la tringle est bien mise. Miguel n’en a jamais rien su. Mais avec Nina, il me semble que je ne pourrai jamais, que je ne saurai jamais, que je n’oserai jamais.

Depuis qu’elle est là, Iohanna s’habille plus normalement. Revenue de sa jalousie première, elle déploie des trésors de gentillesse pour me séduire, ayant constaté quIohanna ne faisait pas le plus petit pas vers moi.

Je me suis alors servi d’Eric. Il devait bien pouvoir recueillir les confidences de la nouvelle venue.

Les filles l’adorent Eric. Il est rassurant avec sa carrure de videur de boîte de nuit qu’il entretient soigneusement par de longues heures en salle de muscu, mais tellement touchant pas sa gentillesse et sa délicatesse. Les filles lui parlent volontiers. Ce serait un concurrent sérieux s’il n’était pas attiré par mon cul plutôt que par celui de mes collègues. Car Eric m’a dragué bien sûr. Maintenant c’est juste un jeu sachant qu’il n’y aura jamais rien entre nous.

— Alors mon Yann, quand vires-tu ta cuti ?

Ou

— Tu as toutes les femmes que tu veux et tu pourrais avoir tous les hommes dont tu ne veux pas…

— Allons, toi aussi…

— Ah non, ah non… moi j’veux tous les hommes, y compris celui qui ne me veut pas… enfin, tu ne sais pas ce que tu perds !

Et un tas de conneries de ce genre.

Très vite Eric m’a appris que, apparemment non, Nina n’avait pas de petit ami.

Alors j’ai demandé à mon collègue et pote gay d’organiser une soirée pour qu’on puisse se rencontrer, mieux faire connaissance avec Nina. Mais cela a été un bide. Je n’ai rien osé tenter. Elle s’est montrée heureuse, enjouée, spirituelle, on a bien rigolé, mais rien…

Les jours suivants, j’ai remarqué un rapprochement entre les deux filles. Elles devenaient de plus en plus proches, presque amies. Mais Iohanna n’arrêtait pas de me faire du gringue pour autant, et moi je fantasmais de plus en plus sur Nina. Il m’arrivait, certaines fois que je la regardais trop, à mesure que l’été approchait et que les tenues devenaient plus légères, de bander comme un fou derrière mon bureau sans pouvoir me toucher et je devais attendre qu’elles sortent toutes les deux pour glisser furtivement vers les toilettes pour me soulager, aussi vite que possible en espérant ne rencontrer personne qui ne s’aperçoive de la bosse énorme qui soulevait la toile de mon pantalon. Je m’agitais frénétiquement le nud au-dessus de la cuvette des w.c. et revenais m’installer, tranquille pour un moment, à mon poste de travail.

Je suis venu un matin plus tard que d’habitude. Il n’y avait aucun rendez-vous à l’agenda, pourtant les rideaux de Iohanna étaient tirés, signe qu’elle recevait quelqu’un et donc qu’il fallait différer nos salutations du jour..

Je me suis installé, en faisant un peu de bruit pour qu’elle sache que j’étais bien arrivé.

J’ai tombé la veste, l’ai mise sur le dossier du fauteuil, ai allumé l’ordi et passé un premier coup de fil.

Souvent, quand je téléphone, je fais pivoter le fauteuil de droite et de gauche, regardant tantôt par la fenêtre, tantôt vers la cloison de verre, tantôt vers l’un ou l’autre mur.

Lors d’une de ces rotations, je vis le rideau se mouvoir dans l’angle. Il s’ouvrait et, tout en continuant à parler avec mon interlocuteur, je m’apprêtais à dire coucou à Iohanna. Mais….

— Allo ? Allo, Yann ? Vous êtes encore là ? Y’a un problème ?

Mon correspondant était surpris par mon silence soudain et absolu.

— Euh… attendez, attendez… je crois que ma collègue fait un petit malaise… je.. je vous rappelle…

Ma collègue ne s’était jamais aussi bien portée.

Mais ce que j’avais découvert au fur et à mesure que le rideau s’était ouvert m’avait laissé sans voix.

Entièrement nue, allongée sur le bureau, les jambes grandes ouvertes, les pieds posés de part et d’autre chacun sur une chaise, la chevelure blonde en bataille, les yeux émeraudes fixés sur moi, la bouche entrouverte et la langue parcourant les lèvres en signe de contentement, Nina, la belle Nina, la femme de mes rêves, la déesse de mes nuits, la beauté de mes fantasmes, Nina était en train de se faire bouffer la chatte par Iohanna, à genoux, qui y allait comme une folle à en juger par les mouvements de sa tête.

Gouine, j’étais amoureux fou d’une gouine qui avait réussi à séduire une femme qui prétendait coucher avec moi et qui était en train de jouer à broutte-minou avec elle !

Elles me provoquaient, pour qui ? Pour quoi ?

Nina, ma belle Nina, en train de se peloter ses gros nichons, ses beaux nichons que je voyais pour la première fois et avec lesquels elle jouait tout en me dévisageant… et l’autre petite bécasse ! Elle s’arrêta un court instant, releva la tête et leva son pouce en l’air tout en me souriant d’un air entendu.

Pendant ce temps, Nina ouvrit bien ses lèvres avec ses doigts les présentant à l’autre chienne. Elle s’y précipita aussitôt et se remis à lécher goulument.

Nina remonta alors ses jambes et les replia vers elle pour ouvrir grand son trou et son cul. Son regard, toujours lancé vers moi en forme de défi semblait me dire : "C’est ça que tu voulais gros ? Et bien ce n’est pas pour toi ! Tu peux toujours te tripoter mon grand !"

Je restai là un long moment complètement interdit puis je finis par réaliser. Je me sentais humilié, sali, cocu même. Comment elles s’étaient foutues de ma gueule !

Je décidai de partir… de fuir en fait. Je pris ma veste et sortis sur-le-champ.

Je m’arrêtai dans un bar que je connaissais bien et commandai un double whisky, ce qui n’était pas mon habitude en matinée.

Raymond le patron me dit :

— T’as pas l’air bien. Un problème ?

— Ma femme me trompe, répondis-je !

— Ah merde… Tiens, mais je savais pas que tu étais marié !

— Ouais… enfin, c’est plus compliqué que ça !

— Ah ! Et tu connais le mec ?

— C’est pas un mec !

— Ah merde alors… c’est moins grave d’un autre côté, hein… risquent pas de te faire un gosse dans le dos… Mais tu es sûr ?

— Je les ai surprises en train de se bouffer le cul ! Tu imagines ?

— Ah chaud.. toutes les mêmes hein!

— Ouais, remets-moi ça !

— Oulaaa, non ! Tu vas vite dépasser la dose. Ce que tu as de mieux à faire c’est de rentrer chez toi ou d’aller aux putes tirer ta vengeance, mais je te ressers pas ! Pas dans c’t’état là !

— Ouais t’as peut-être raison….

Là-dessus, je rentrai chez moi. J’envoyai un message par mail au bureau pour dire que je ne viendrai pas de la journée, que je travaillerai depuis la maison…

Mais je ne pus rien faire.

Je restai toute la journée à moitié prostré, sans rien faire, ne sachant pas si je devais poser ma démission ou pas. J’avais bu encore un peu. Vers dix-huit heures, on sonna à la prote. Je regardai dans le visiophone. C’étaient mes collègues de bureau…

À suivre

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