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la vie sexuel d'un jeune manipulateur – Chapitre 2




Chapitre 2 : la fête

Jarrivai à minuit chez mon ami Antoine. Même sans savoir ou la fête se situait on pouvait la localiser à loreille tant la musique est forte. Les baffles crachaient des décibels, les dolby explosaient, la nuit serait loin dêtre silencieuse pour tout le quartier. En mapprochant un peu plus de la demeure, jentendis des cris et des rires provenant du numéro 12. Toutes les lumières étaient allumées, les gens buvaient et fumaient au balcon, sembrassaient derrière les fenêtres, dansaient sur le perron. En arrivant devant le portail de fer forgé, je mavançais vers un groupe de personnes que je connaissais. Dans ce groupe il y avait Raph, mon meilleur ami, une clope à la main, un verre dans lautre, 3 filles de ES plutôt bien foutues, et un autre mec inconnu qui avait sans doute été incrusté. Je saluai tout le monde et me décidai à rentrer dans la maison. Avant de passer la porte, je me retournais et observais rapidement la place sur laquelle la maison se trouve, partout des groupes de jeunes arrivaient En voiture, à pied, en bus, à vélo Toute la ville semblait se déverser chez Antoine.

Je rentrai enfin dans la maison. La musique était assourdissante, les basses faisaient vibrer les murs et les meubles. Quelques filles me frôlèrent en souriant et en se tenant par la main. Jarrivai enfin dans le salon, une pièce immense un peu en contrebas du reste de la maison. Les flash lumineux provoqués par les Star Flash laissaient apercevoir une mer de monde. Les gens étaient serrés les uns contre les autres, tous sautaient sur place sur un même rythme, faisant vibrer le plancher et trembler les fenêtres. Je posai mes affaires dans un coin et allai à la cuisine me chercher un verre.

A la cuisine il y avait pas mal de personne. Une fille au téléphone, une autre en pleur, un garçon qui roulait sa cigarette, trois autres qui semblaient débattre ardemment dun sujet qui navait sans doute pas lieu dêtre, et une fille. Une fille magnifique aux cheveux bruns et ondulés, les yeux verts, un corps de rêve moulé à la perfection dans les vêtements couleurs crème et noir.

-Tu cherches quelque chose ? lui lançai-je.

Elle se retourna et me fit un grand sourire.

-Ouais, je ne trouve pas les verres

-Tiens. Je lui en sortis un dun placard et le lui tendis. Moi cest Guillaume, et toi ?

-Lise.

Elle me fit la bise pour me saluer.

-Tu viens de quel lycée, je ne tai jamais vu ici

De toute évidence elle sattendait à cette question puisque quelle me répondit avec une rapidité déconcertante.

-Jétais à Politzer, cest Annabelle qui ma incrusté.

Notant alors la présence dun citron et dune bouteille de tequila, je sautais sur loccasion pour essayer den apprendre plus sur elle et peut être essayer de conclure avant la fin de la soirée. Je devais avouer que sa poitrine si bien mise en valeur par son léger décolleté, ainsi que ses fesses rebondies ne me laissaient pas indifférent. « Un teqpaf, ça te branche ? » lui lançai-je avec un petit sourire en coin en prenant le citron sur le table.

-Cest mal me connaitre que de me demander ça Evidemment que oui ! On sen fait minimum 5 daffiler, sinon aucun intérêt !

Étonné par ce comportement, mais heureux dêtre face à une fille si décontractée de la bouteille, je mattelai à découper ledit citron en tranche. De son côté, Lise trouva six coquetiers qui feraient office de shot. Elle les remplit de tequila, les aligna et demanda aux gens aux alentours : « bon, qui veut teqpaf ? » Seuls les 3 mecs répondirent présents.

-Nous on en fait 5, fit-elle en nous montrant elle et moi, et vous ?

-euh 2 3 ?

-Ouais mec allez, on sen fait 3 ! affirma lun des 3 garçons en prenant ses amis par les épaules.

Nous avions tous notre shot à la main, la rondelle de citron dans lautre et le sel sur le dos de cette dernière. On se regardait tous avec un petit sourire. 3 2 1

Au même moment nous léchâmes tous le dos de notre main, bûmes le shot de teq et croquâmes dans le citron. Immédiatement après nous récidivions. Et ainsi de suite jusquà ce que nos 5 teqpafs soient bus.

-Bon Ben plus besoin de boire maintenant, dans 20 min on est dans le bien !

Lise me regarda avec un sourire.

-Viens, en attendant que ça monte, on va fumer. Tu fumes ?

-Ouais ouais tinquiète, lui répondis-je en la suivant.

Cette fille était très autoritaire et ne devait pas se laisser marcher sur les pieds, cela me plaisais, et jirai même jusquà dire que cela mexcitait. Je la suivais en regardant lair de rien ses fesses se balançant au rythme de ses talons.

-Mec, je tai cramé ! me lança Raph en passant à côté de moi en faisant référence à mon regard posé sur les hanches de Lise.

Nous nous posâmes sur les marches menant au perron avec quelques autres personnes que je ne connaissais pas. Ça sentait la beuh à plein nez. Ayant bu je décidais de ne pas tirer sur le joint pour éviter toute fin de soirée prématurée. Je mallumais donc une clope et faisais connaissance avec les gens autour de moi. Lise, quant à elle semblait tous les connaître. Elle riait avec eux, nhésitait pas à donner de petites tapes dans lépaule du mec à côté delle, tirant longuement sur le joint. Moi je participais activement à la conversation, maffirmai auprès de Lise, la prenais par les épaules et ça navait pas lair de la déranger. Au contraire, elle répondait à ces petits gestes en posant sa main sur mes cuisses, se blottissant contre moi La musique berçait nos discussions, et lalcool aidant fortement nous étions tous très joyeux. Quand lalcool commença à faire vraiment effet, Lise se leva, me prit par la main et lança à la cantonade « on va danser, vous venez ? ». Le groupe entier se leva pour retourner dans le salon et senjailler sur le plancher en chêne massif faisant office de piste de danse.

Ma vision brouillée par lalcool me fit redécouvrir ce lieu bondé de monde, où les gens étaient collés les uns aux autres, où les mains baladeuses pouvait laisser libre court à leur imagination. Ce lieu de débauche où les filles se lâchaient et où les garçons imaginaient réaliser leurs fantasmes. La musique faisait bourdonner les oreilles, lalcool ralentissait le cerveau, la pièce entière était en transe et vivait au rythme des flashs lumineux et aveuglants !

Lise mentraîna au milieu de la pièce. Nous étions serrés, très serrés. Lise entama alors une danse assez aguichante, faisant bouger ses hanches, jouant avec ses cheveux de ses mains, un petit sourire accroché aux lèvres, me fixant du regard, tandis que ma main se perdait dans le creux de son dos. Tout le monde criait autour de nous, ne pensait quà danser, sauter Nous, nous nous sentions seuls au monde tant nous vivions cet instant à fond. La musique ralentit et finit par séteindre La foule cessa de sagiter, nous aussi.

-Viens !

Lise me prit fermement par la main et mentraîna vers la cuisine. Raph me voyant la suivre en trottinant me fit un mouvement de bassin obscène, nous nous comprenions, je lui répondu par un sourire entendu. Une fois à la cuisine Lise enleva T-shirt de grosse maille, remplit un shot de vodka, et un quartier de citron. Comprenant ce quelle voulait, je lui léchais lentre-deux-seins. Elle sallongea au milieu de la cuisine sous les sifflets des mecs et des filles présents, certains prirent même des photos il me semble. Je lui répandis un peu de sel là où je lavais lécher tandis quelle coinçait le citron dans sa bouche. Avec un sourire qui révélait mes pensées je me mettais à quatre pattes au dessus delle, lécha le sel entre ses seins, bu cul sec le shot de téquila et vint mordre le citron dans sa bouche. Sous les applaudissements, les cris, et les crépitements des flashs de nos amis, nous nous embrassâmes longuement malgré le citron. Nous finîmes par séparer nos deux bouches lune de lautre. Elle avait les lèvres sucrées et lacidité du citron avait rendu ce baiser aphrodisiaque ! Cette fille me chauffait ! Elle me retourna alors, me forçant à me mettre sur le dos, et elle sur moi. Elle menleva mon T-shirt, me lécha labdomen jusquau nombril, y répandit du sel, me coinça un quartier de citron entre les dents et, comme moi, elle lécha, bu, et croqua (embrassa). Je bouillonnais de désir pour cette fille qui aimait tellement allumer sans en faire trop La juste dose pour ne pas faire vulgaire, tout en restant affreusement désirable

Quelques minutes plus tard, nous nous éloignions du salon et de sa foule pour nous trouver un coin plus tranquille. Nous nous baladions dans les couloirs de la maison, cherchant désespérément une pièce vide. Cette fois-ci cétait moi qui guidait et elle qui suivait, je la tenais par la main, par moment nous nous arrêtions dans un couloir, une cage descalier pour nous embrasser en nous plaquant contre le mur. Nous trouvâmes enfin une pièce vide : un débarrât de 4m² environ. Nous nous y engouffrâmes en fermant la porte à clef.

Nous nous allongeâmes à même le seul. Nos respirations étaient bruyantes et saccadées. Je lui caressais enfin ses fesses qui mavaient fait tant rêver toute la soirée durant dune main, tandis que de lautre je dégrafais son soutient gorge. Elle était magnifique, ses yeux brillant à la lumière de la lune traversant la fenêtre, ses seins de taille moyenne et ferme suivant chacun de ses mouvement, sa peau rosé et lisse. Avec un regard provocateur elle se mordilla la lèvre inférieure et revint membrasser. Je décidais de prendre le dessus. Je la retournai, la mettant allongé sur le dos. Jentrepris alors de lécher ses petits mamelons gonflés par le désir alors que mes mains malaxaient ses seins ou caressait ses cuisses. Elle gémissait doucement en me caressant la nuque ou passant sa main dans mes cheveux. Moi, jétais clairement à létroit dans mon jean. La musique rythmait ses mouvement de dos, elle se cabrait, se détendait, me serrait contre elle, me relâchait Tout son corps sagitait. Lentement je descendis mes lèvres vers son nombril en lembrassant, pour finir à la ceinture de on mini short. Je sentis ses jambes venir menlacer dans mon dos. Je voulais la frustrer pour quelle explose littéralement quand je ferai ce quelle désirait Je lui caressais, frôlais lintérieur des cuisses, léchant sa douche peu, embrassant son aine. Enfin, une de mes mains saventura entre ses cuisses pour venir titiller du bout de mes doigts son sexe sans doute gonflé par le désir. Je relevais alors la tête pour admirer sa réaction lorsque mes doigts effleurèrent sa chatte à travers ses vêtements. Sa réaction fut immédiate, elle laissa échapper un léger cri aigu de plaisir tandis que son bassin se mettait à onduler. Je continuais ainsi ce petit jeu pendant de longues minutes, la voyant presque suffoquer de plaisir, ses cheveux en bataille, sn corps agité de petits spasmes Je revins alors lembrasser du bout des lèvres Jadore en donner juste assez pour exciter, mais aussi frustrer, elle bouillonnait de lintérieur, voulant membrasser à pleine bouche, que ma main se fasse plus ferme. Moi je faisais exprès de garder cette distance si horrible à supporter. Je me sentais puissant, javais le pouvoir, je pouvais faire ce que je voulais delle, je le sentais. Nos visages étaient très proche lun de lautre, nos respirations gênant celle de lautre, mon regard planté dans le sien. Soudain, elle reprit le dessus, magrippa la tête et membrassa fougueusement, nos langues tourbillonnant lune autour de lautre. Ma main se fit alors plus présente entre ses cuisses, caressant du majeur et de la paume sa fente que je commençais à sentir tant son short devenait humide. Jen devenais fou de cette fille, un corps si parfait, un comportement si parfait Je sentis alors ses mains descendre vers son short. Au passage lune delle effleura mon entre jambe ce qui eu pour effet de provoquer une contraction simultanée de tous les muscles de mon corps, bloquant ma respiration pendant quelques secondes

-Cest moi qui te fais cet effet là ? me susurra-t-elle avec un sourire vicieux.

Nos deux front étaient plaqués lun contre lautre, je tenais sa tête fermement par les cheveux lorsquelle repassa sa main entre mes cuisses. Je frissonnais immédiatement de plaisir. Jattrapais sa main et la replaçais sur son propre short.

-Pour plus tard, dabord je moccupe de toi !

Lise se mit à rire alors que je décrochais mon visage du sien et descendais vers son sexe, je retirais rapidement son short et son string et enfonçais mon visage entre ses cuisses. Elle était toute mouillée et sa chatte bouillonnait. Ma langue glissa sur toute la longueur de sa fente, savourant le goût et lodeur de ce sexe en chaleur ! Elle entame de grands mouvements de bassin et plaque ma tête entre ses cuisses pour bien mimprimer le rythme qui lexcitait. Ma langue se baladait partout, la pénétrant de temps en temps, léchant son clitoris tandis que mes lèvres le suçotaient. Dune main je lui écartais les lèvres pour pouvoir bien lui aspirer le clito, de lautre je commençais à malaxer la bite. Pendant plus de 20min je nai cessé de lui aspirer, lécher, mordiller les lèvres, son bouton, sa fente Elle gémissait et se tortillait dans tous les sens et passant ses mains de manière désordonnée dans mes cheveux.

Lise me prit alors le visage par la mâchoire et me fit remonter jusquau sien pour lembrasser.

-À mon tour !

Elle me plaque au sol en me caressant les pectoraux et léchant les abdos. Elle suivit les poils qui reliaient mon nombril à mon sexe et défit mon pantalon sans ménagement. Une fois en boxer (tendu le boxer, évidemment) elle entreprit de me sucer à travers le tissus en me caressant les bourses. Jétais aux anges ! Javais encore le goût de sa mouille sur les lèvres et le savourais tandis quelle trempait mon calbut de sa salive, sa langue jouant avec mon gland tendu à men faire mal ! Je bandais comme un taureau. Ne tenant plus, je passais ma main sous lélastique de mon caleçon et en sortais ma queue dans un soupir. Elle la prit immédiatement en main, remit en place ses long cheveux bruns derrière les oreilles et enfonça mon sexe dans sa bouche. Cétait divin ! Dune main elle tenait fermement ma verge, variant la pression exercée dessus, de lautre elle me malaxait les couilles, les faisant rouler entre ses doigts ! Je métendais, repliant mes bras sous ma tête, soufflant comme un buf, pour savourer au maximum ce moment ! Rapidement je ne pus me contenter de si peu : jentamais de petits mouvements de bassin pour lui imprimer le rythme et quelle enfonce ma queue plus profondément dans sa gorge. Je relevai légèrement la tête pour ladmirer à luvre quand elle planta son regard dans le mien, une lueur de vice brillait au cur de ses pupilles tandis quelle continuait sa fellation, alternant rapidité et lenteur, grand mouvement finissant dans sa gorge et léger coups de langues sur le gland. La voyant ainsi me regarder avec cet air de provocation dans le regard, je me redressais, la pris par les cheveux derrière la tête et accentua mes mouvements de bassins de telle manière que presque toute ma bite rentra dans sa gorge. Elle eu un petit haut le cur mais ne cessa pas son activité pour autant. Labsence de musique nous faisait savourer linstant. Justement, pourquoi ny avait plus de musique ?!

Des bruits confus se firent entendre en dessous. Je remettais mon boxer maladroitement et sortais discrètement de notre repère. Létage était en train de se vider, les gens descendaient dans une relative bonne humeur due à lalcool et la beuh. La maison semblait littéralement se vider. Cest alors quune femme dune 40aine dannées apparut, en robe de soirée et maquillée.

-Eh ! Toi aussi ! Dehors ! me fit-elle en claquant des doigts et montrant la porte au bout du couloir !

-Mais je

-Je ne veux pas savoir !

Elle me prit par les épaules et me poussa vers la porte menant à lescalier.

-Jen peux plus de ces gosses qui se croient tout permit !

Je descendis rapidement les escaliers en caleçon tandis que les dernières personnes encore présentent dans la maison la quittaient en chantant ou se plaignant déjà de la soirée. Au rez-de-chaussée, un homme du même âge que la femme tirait par le col un groupe de garçons trop bourrés pour comprendre que les parents dAntoine navaient en aucun cas été prévenus de la soirée qui avait lieu chez eux. Comme tous les autres, je fus jeté dehors sans un regard de compassion de la part des propriétaires des lieux.

Je restais là bêtement, attendant je ne sais pas quoi, en boxer, au milieu de la place. Certes cétait une situation très étrange en soit, mais le plus déstabilisant avait été ce que javais ressenti en franchissant la porte. Je métais tapé Lise ce soir, mais je venais de trouver un challenge encore plus difficile Me faire cette sublime femme en robe de soirée : la mère dAntoine !

A suivre

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